Page 494, l. 20 : L’eſtomach affamé n’a poinct d’aureilles. Voyez ci-dessus, p. 301, note sur la l. 26 de la p. 470.*
L. 23 : Tarquin. Tite-Live I, 54.
Page 496, l. 8 : Chattemittes, Santorons… Hermites. Rabelais a fait ailleurs (t. II, p. 242) une autre énumération du même genre. La Fontaine se les est rappelées lorsqu’il a dit (t. V, p. 190, Bibl. elzév.) :
Le Poete avoit l’air d’un Rendu
Comment ! d’un Rendu ? D’un Hermite,
D’un Santoron…
et Walckenaër, à qui ce rapprochement avec Rabelais a échappé, a cru que ce mot Santoron était le nom d’un officier retiré à la Trappe, (Voyez à l’endroit cité, la note 2, et le Glossaire de Rabelais)
L. 23 : Feminin genre. Expression empruntée du langage grammatical.
Page 497, l. 16 : Les Predicantes. Ou, comme nous traduisons ce titre, l’assemblée des femmes. Praxagora y dit à son mari (v. 652) : « Tu n’auras autre chose à faire que d’aller manger, lorsque l’ombre du cadran sera de dix pieds. »
L. 20 : En Plaute.
....Me puero uterus hic erat solarium
Multo omnium istorum optumum et verissimum.
L. 24 : Diogenes. Diogène Laërce, Vie de Diogène.
L. 30 : Coucher à neuf. Ce dicton populaire se terminait par ce vers :
Fait vivre d’ans nouante neuf.
Page 500, l. 11 : Andromache. — Andromaque, v. 269.
… Δεινὸν δ’ἑρπετῶν μὲν ὰγρίων
Ἂϰη βροτοῖσι θεῶν ϰαταστὴσαί τινα