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TABLE DES MATIÈRES.
Pages.
XXXI
— Comment faut-il consulter les oracles 
 101
XXXII
— De la nature du bien. — Ce qui fait l’infériorité de l’âne par rapport à nous. — Du Dieu que nous portons en nous. — La Minerve de Phidias — L’homme remis par Dieu en garde à lui-même 
 102
XXXIII
— On n’est pas de force à remplir son rôle d’homme, et l’on se charge encore de celui de philosophe 
 104
XXXIV
— Comment de nos différents titres on peut déduire nos différents devoirs 
 106
XXXV
— Quel est le commencement de la philosophie ? — Nous avons tous des notions naturelles du bien et du mal; ce qui nous manque, c’est de savoir appliquer ces notions. — La balance du philosophe 
 108
XXXVI
— Des discussions 
 110
XXXVII
— De l’inquiétude 
 111
XXXVIII
— La vie humaine 
 112
XXXIX
— Sur les gens qui persistent obstinément dans ce qu’ils ont décidé 
 113
XL
— Nous ne nous préparons pas aux jugements que nous portons sur les choses bonnes et mauvaises. — Le joueur de harpe. — Ce dont il faut avoir peur. — Hercule. — Les monstres que chacun de nous porte en lui-même 
 115
XLI
— Utilité de la philosophie. — La philosophie et la médecine 
 119
XLII
— Les habitudes. — Comment elles se fortifient et s’affaiblissent 
 120
XLIII
— Exhortation 
 122
XLIV
— Des choses dont on ne convient pas 
 123
XLV
— De l’amitié. — Le sage seul peut aimer. — Étéocle et Polynice. — Le collier d’Ériphyle. — Une parole de Platon 
 124
XLVI
— Le talent de la parole. — Mépriser l’art de la parole est l’effet d’une impiété et d’une crainte ; y accorder trop d’importance est sottise 
 128
XLVII
— Nécessité de la logique 
 130