Épitaphe de M. G. D. L. R., faite de son vivant.

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Épitaphe de M. G. D. L. R., faite de son vivant.
Chansonnier de MomusT. Grandin (p. 263).

ÉPITAPHE DE M. G. D. L. R.,

Faite de son vivant.

Ci-gît qui rehaussa la gloire de la table.
Au trône des gourmands sa panse l’éleva.
Hélas ! il mangea tant qu’enfin il en creva.
Si l’on jeûne aux enfers il mangera le diable.