Curiositez françoises/1re éd., 1640/Aux estrangers

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AUX ESTRANGERS

Je declare icy par une protestation tres expresse, que mon dessein n’est pas de desterrer les morts ny d’offenser les vivants ; et que me sousmettant à la censure de tous, je conjure les plus severes, de ne point croire que ce soit par suffisance que j’attaque les gens de ma profession. Le seul but où je vise, et que j’estime assez raisonnable, est de purger les erreurs qui se sont glissées dans la pluspart des pieces que l’on a mises en lumiere pour l’instruction des Estrangers : parmy lesquels ayant receu des bienfaits qui ne se peuvent exprimer, je pense estre extremement obligé de leur satisfaire par quelque sorte de reconnoissance, et de leur faire cognoistre l’affection qui me reste de leur rendre, selon mon pouvoir, ce que je tiens encore de leurs courtoisies. Je ne touche point aux escrits des Anciens dont la profondité surpasse tout à fait la foiblesse de mon entendement, mais sans sortir de mes bornes je me contente de dire, que depuis peu nostre langue est tellement embellie, que leur vieille façon d’escrire à peine est reconnoissable aupres de celle du temps. C’est à quelques Modernes que je m’attache, et principallement à ceux qui n’ont pas sceu discerner la politesse du langage de ce siecle, et bien loin d’imiter nos derniers Autheurs, ont rempli leurs ouvrages d’un grand nombre d’antiquailles qui sont capables de donner de la repugnance, et de faire perdre le credit au sujet qu’ils ont traitté, sans considerer que l’ornement est mesmes necessaire aux plus belles choses. Y a-t-il rien de plus desgoustant, qu’vne mulcte pecuniaire ; vn faire porter l’endosse ; vn garousser ; vn larder les passages ; vn boucler le traitte ; auoir serment à quelqu’un ; se sermenter ; sermentation ; estre enlevain des anciennes jalousies, ou du traittement ; à grand randon ; & vne infinité de semblables ordures, et iusques à des fautes de Grammaire qu’il seroit trop long de rapporter en ce lieu. Ie laisse encore les Historiens à part, et veux parler des Grammairiens qui se sont meslez de toutes sortes de proses. Quel jugement peut-on faire d’un cartel de deffy qui commence, vous aviez chaussé vos lunettes de travers, etc. D’vne lettre serieuse qui contient ces mots, vous vous en torchez les souliers. D’vn compliment d’une Demoiselle à un honneste homme, Monsieur vous vous equivoquez prenant Paris pour Corbeil, ou pannier pour corbeille. D’vn Ange de Greue pour Sergent ou geollier à Strasbourg, c’est proprement un crocheteur à Paris. Et ailleurs, les oreilles m’ont bien corné depuis n’a gueres, c’est que vous approchiez desia, je vous sentois de loin, et ce mot de corner, ne s’entend pas de la sorte, mais pour dire seulement que l’on parle d’vne personne en son absence. Peut-on voir vne plus grande improprieté qu’une lavandiere pour une blanchisseuse, on sçait bien que les lavandieres ne blanchissent pas d’ordinaire les rabats, et points couppez : et cette-cy est accompagnée de plusieurs autres que je laisse, pour ne pas importuner le Lecteur. Touchant les Dictionnaires, ils sont si mal ordonnez que l’on n’a pas seulement eu le soin de marquer le bon d’avec le mauvais. Tesmoin ce Gentil homme qui mit dans un poulet à vne Maistresse, fille de haut parage, qu’il avoit tiré de l’Alleman et François, imprimé à Geneve, où n’en desplaise à Messieurs, l’on permet d’imprimer avec trop de facilité, et de fort mauvaises marchandises. Mais pour eviter ces inconvenients, qui sont capables de servir de risée à tout le monde, je vous conseille, Messieurs, au moins si je suis capable de vous conseiller, de vous servir doresnavant de bons livres. Il y a tant d’Histoires en bonnes langues. Vous avez les oeuvres de MONSIEUR DE MALHERBE ; de MONSIEUR SILHON ; celles de MONSIEUR DE BALSAC, le recueil de MONSIEUR FARET : Et pour les Romans, L’ASTRÉE SA CONCLUSION : POLEXANDRE : ARIANE : POLIXENE : SA VRAYE SUITTE, et plusieurs autres belles choses des mesmes Autheurs, où l’on ne rencontrera jamais de pareilles absurditez. Servez vous donc de cet advis, et prenez en gré ce que je vous donne. Adieu.

ADVERTISSEMENT

Je remets au iugement du Lecteur de corriger les fautes d’impression, comme celle de, il n’y a que faire pour frire 461. & si cherchant un quolibet ou prouerbe on ne le treuve en un lieu, il la faudra chercher autre part ; par exemple, il semble à mon ventre que le Diable ait emporté mes dents, celuy-cy se peut mettre à dents, Diable & ventre : observez la mesme chose pour tous les autres, & principalement où il y a un substantif & un verbe. Pour ce qui est des estoiles & du mot vulg. il faut entendre que ce ne sont pas des phrases dont on se doive servir qu’en raillant.

CURIOSITEZ

FRANÇOISES

A

L est marqué à l’A, i. Il est bon. Et quelquefois par ironie, pour dire, il est meschant. vulgaire.

AA


IL a l’Aage des poulains, Mardy unze ans : le vulgaire respond ainsi à qui s’enquiert mal à propos de l’aage d’une personne.

Il ne vivra jamais Aage d’homme, i. il vivra fort peu.

AB


C'Est un grand Abbateur de bois ou de quilles : cela se dit d’un qui se vante beaucoup et ne fait gueres d’execution. vulg. 2 AB

Il en abbat beaucoup ; idem.

* L'Abbaye de monte à regret, i. l'eschelle qui sert à ceux que l'on pend. vulgaire.

* Il est de l'Abbaye de Lonchamp, il tient des Dames, cela se dit à Paris d'un homme qui aime les femmes. vulg.

Abbayer apres quelque chose, i. desirer, esperer, attendre.

Abbayer apres quelqu'un, i. crier.

Abbayer contre la Lune, i. travailler en vain.

Chien qui abbaye ne mort pas, i. qui crie ou menace beaucoup ne fait pas grand mal.

* Vulgairement nous disons, c'est ce que nos chiens ont tant abbayé cette nuit, pour nous mocquer de ce que l'on nous vient proposer ou persuader.

Abbé, nous appellons ainsi celuy qui traitte les autres au cabaret, etc.

Ioüer à l’Abbé, c'est une sorte de jeu où il faut imiter celuy qui passe devant les autres en tout ce qu'il fait.

L’Abbé mange le Convent, i. le Chef ruine les autres.

Abbreuuer d'vn affaire, i. informer, instruire.

Tout le monde en est Abbreué, i. le sçait.

* Vous estes trop chaud pour Abbrever. i. vous estes trop prompt, trop desireux, trop hasté, trop coleric. vulg.

* Abbreuuoir à mousches, i. une grande playe sur la teste où les mousches peuvent boire. vulg.

* Ab hoc et ab hac, i. sans aucune suitte ou raison. vulg.

* Ablatiuo tout en un tas, i. " confusément. " vulg.

* Les tenans et Abboutissans, i. Metaph. tout ce qui depend d'un affaire.

* Mettre à l’Abry, Metaph. cacher, mettre à part.

AC


ACcolade
de lapereaux, i. deux lapereaux ensemble pour les faire rostir.

On l'a Accourcy d'un pied, i. on luy a trenché la teste.

I'ay Accoustumé cette maison là, il faut dire plus proprement, je suis accoustumé, etc. d'autant que le verbe accoustumer est actif.

* Qui bon l’Achepte bon le boit, vulgaire, c'est pour dire qu'il est mieux d'achepter une bonne marchandise cherement, qu'une mauvaise à bon marché. Le reste du proverbe est, ou le respand en chemin.

Par maniere d’Acquit, i. negligemment.

AD


LE vulgaire dit, mon chemin s’Addonne de ce costé là, i. c'est de ce costé là qu'il faut que ie passe.

Adjournemens pour aller coucher, ou dormir, vulg. cela se dit lors qu'on voit baailler vne personne.

Adiouster foy, i. croire.

Il s'est Addressé à moy, i. il a eu recours à moy : ou bien, il m'a attaqué.

S'il y Addresse, vulg. i. si l'affaire va de la sorte, s'il vient à reüßir.

Vous voila bien Addressé, i. vous ne trouverez pas ce que vous esperez.

Payer par Aduance, i. devant le coup, devant que d'avoir fait ou livré la besogne. Donner un soufflet ou un coup par aduance, i. frapper le premier, ou devant que d'avoir entendu les raisons.

* Aduiser, i. voir, vulg.

S'aduiser de faire, i. venir en la fantaisie de faire.

* Ie n'ay que faire d’Aduocat, mes affaires sont claires, i. i'ay le flux de ventre ; c'est une allusion au mot d'affaires, qui signifie außi l'excrement.

* Vous estes mauvais Advocat, vous perdrez vostre cause, i. vous ne me persuaderez pas, vous n'aurez pas ce que vous me demandez.

AF


IL a plus d’Affaires que Fretaut, i. par ironie, il a peu dAffaires, ou bien il tesmoigne d'en avoir beaucoup ; il s'ingere de quelque chose sans necessité : vulg.

Il a plus d’Affaires que le Legat ; Idem.

* Faire ses Affaires, i. descharger le ventre.

Faire bien ses Affaires, i. devenir riche.

Ses Affaires sont faites, i. C'est fait de luy, il est expedié, ou en mauvais estat.

Allez, vos Affaires sont faites, par ironie, i. vous n'aurez pas ce que vous desirez.

Affamé comme un chasseur, i. qui a grand faim.

* Vn Affamé, i. necessiteux.

* Vne chose affamée, i. mal faitte, et où la matiere manque. vulg.

* Affiner, pour tromper.

* Vn Affiné, i. un rusé.

* Affineur, trompeur.

Affronter, tromper.

AG

*
VOila bien des Agios, i. vulg. voila bien des mines, voila bien des façons.

* Venir d’Aguet, i. avec ruse et subtilité. vulg.

AG


AIder
à la lettre, i. aider à ce qui est incorrect dans un livre, et par metaphore, adjouster à ce que l'on dit, aider à mesdire.

* S’Aider de ses membres, i. avoir l'usage libre de ses membres.

S’Aider bien d'un arme, i. s'en servir bien et adroittement.

La Cour des Aides, i. ceux qui font un homme cornard.

Aigrettes de Pan, i. des cornes.

Mots ou traicts Aigus, i. picquants, & penetrants.

* Vulgairement il a l'esprit Aigu comme une boulle, i. il est großier.

Enfiler son Aiguille, i. tirer de l'utilité, ou faire bien ses affaires aupres de quelqu'un.

Il est fourny de fil & d’Aiguille, i. tousjours prest à travailler ; il ne manque de rien. vulgaire.

Lever des Aiguillettes de la peau, i. escorcher.

S’Aiguiser l'esprit, i. se rendre subtil.

Aiguiser l'appetit. i. donner de l'appetit.

Ne battre que d'vne Aile, i. estre à demy abbatu.

Chauffer les Ailes, i. haster, faire fuir.

Sous l’Aile de la mere, i. en sa garde ; en seureté, à son aise.

Il en a dans l’Aile, i. il a receu du dommage, il a esté atteint de quelque mal : il a esté frappé.

Qui veut joüir d’Aile, il luy faut lever la cuisse. C'est par equivoque d'elle, qui veut joüir d'une femme : autrement pour bien trencher l'aile d'un chapon il faut premierement en lever la cuisse.

Rogner les Ailes, i. oster la puissance.

Il veut voler sans Ailes, i. il entreprend outre ses forces & sans aucun moyen.

Voler de haute Aile, i. pretendre ambitieusement.

* On nous Aime bien, il y a long-temps que l'on nous le garde ; vulg. cela se dit d'un hoste qui presente quelque viande qui a traisné, ou bien quelque chose de dur et mauvais.

* Qui m’Aime aime mon chien, i. aime tout ce qui m'appartient.

Qui Aime Bertrand aime son chien, idem. vulg.

Donner Air, i. publier, declarer, mettre au iour.

Humer l’Air d'vn païs, i. prendre la nature, se naturaliser.

Cela est fait d'vn bel Air, par ironie, i. mal fait.

* Vous parlez bien à vostre Aise, i. vous croyez que l'affaire soit bien facile, vous ne treuverez gueres d'incommodité à ce que vous vous imaginez.

* A l’Aise du coüillon, i. monté sur un cheval qui va doucement.

Ajuster une femme, maintenant, i. faire l'acte charnel. Et pour ce sujet l'on prend garde à ne pas user de cette phrase : elle est bien ajustée.

Bien Ajusté, i. poly, bien vestu et proprement.

AL


VN Allant, i. un finet, un rusé.

Les Allans & venans, i. le monde qui va & vient, le peuple.

* Un Alleluya ; vulg. par allusion des premieres lettres, i. vn alloyau, piece de bœuf.

Vous me prenez pour vn Allemand, i. pour vn ignorant qui se laisse facilement attraper : c'est parce que nos Marchands surprenoient autresfois les Estrangers. Contrefaire l’Allemand, i. feindre d'estre grossier.

Aller par mer ou par terre, i. manger du poisson ou de la chair.

Aller à sait Bezet, i. trotter continuellement.

Aller viste en besoigne, i. se presser. Metaph. manger viste.

Aller à la selle, i. descharger le ventre.

Aller où le Roy va à pied, idem.

Aller du corps, idem.

Il y Va de la vie, i. il importe de la vie.

* Comme vous y Allez, i. vulg. que vous procedez rudement.

* Cela Va bien loin, i. cela importe beaucoup.

Il s'en Va midy, i. il est proche de midy.

Cela s'en Va fait, i. cela est presque fait.

Le verbe Aller sert pour dire que l'on est sur le point de faire une action, par exemple : Je m'en vay boire, je m'en vay lire, &c.

Allons allons, pour chasser une personne, ou un animal.

* Cela s'en Va sans dire ; vulg. cela s'entend.

Tout Va bien mais rien ne vient, c'est la response vulgaire des malades à qui l'on demande comme ils se portent.

Aller, pour, estre bien seant, vulg. ce rabat va bien, &c. * Donner l’Aller et le venir ; vulg. i. deux soufflets, l'un d'avant-main, l'autre de revers.

Que cela n’Aille pas plus loing, i. ne se declare pas.

Son esprit ne Va pas si loin. i. ne s'estend pas.

* Faire des Almanachs, i. resver, fantastiquer, ruminer.

* Allonger le bras ou la main, i. demander l'aumosne.

* Allonger le col, i. estre pendu.

Il vaut mieux Allonger le bras que le col, i. il est mieux de demander l'aumosne que d'estre pendu.

Alors comme alors, i. on verra quand le temps sera venu, on y advisera, on y remediera.

* Les Alloüettes luy tomberont toutes rosties dans la bouche, par ironie, pour dire que " quelqu'un n'aura pas tout ce qu'il se promet de bien au lieu où il s'achemine. vulg.

De bas Aloy, i. de basse condition : de mauvaise qualité.

Faire l’Alquemie avec les dents, i. manger et gangner de l'argent en mesme temps.

S’Alterer, i. se mettre en colere.

Vn Alteré, i. un neceßiteux qui cherche à attrapper quelque chose.

* Changer son couteau à une Allumelle. i. changer une bonne chose à une mauuaise.

Vne pauvre Allumelle, i. une personne foible et en mauvais estat.


AM

*
L’Ambassade
de Biaronne, trois cens cheuaux, et vne mule, i. quatre personnes à pied. Il y a une allusion de cens à sans, trois sans chevaux et une femme. vulg.

Ambassadeur d'amour, i. macquereau.

L’Amble des marchands, i. le trot.

Mettre à l’Amble, i. mettre à la raison. Item, mettre en humeur.

Perdre l’Amble, i. perdre patience.

Il a le cul d’Ambre il enleue la paille, i. il dort ou couche sur la paille.

C'est vne bonne Ame ; par ironie, vne mauvaise personne.

Il n'y a Ame vivante, i. personne.

* Iusques à Amen, i. jusqu'à la fin.

Vous serez mis à l’Amende, i. cela se dit à vn qui ne veut pas suivre les autres en vne compagnie de resjoüissance.

A l’Amy, i. bon, excellent.

* Nous sommes des Amis de la fille, vulg. nous sommes de cognoissance, nous auons quelque pouvoir ou entrée en la maison.

* Faire mon bel Amy, i. s'arrester long-temps en vn lieu, demeurer beaucoup à retourner. vulg.

* A l’Amiable, i. pacifiquement, doucement.

La grande Amitié quand vn pourceau baise vne truye, le vulgaire se sert de ce quolibet voyant vn gros valet baiser vne servante, ou bien vn homme baiser une laideron.

* Amoureux de Caresme, qui n'ose toucher à la chair, i. amoureux froid. vulg.

* Amoureux des vnze mille Vierges, i. qui aime toutes les femmes qu'il voit. vulg.

Amoureux comme vn chardon, i. point du tout.

Il en est amoureux comme vn chien d'vn baston, i. il le fuit.

* Il en est amoureux comme vn coquin de sa besace, i. il l'aime exceßivement.

Ampoulé de gloire, d'ambition, etc. enflé.

AN

*
IL a sept Ans passez. i. il n'est plus en aage d'innocence, il sçait qu'il fait mal, il n'est pas excusable. Les parens en colere se servent außi de cette façon de parler, pour dire qu'un enfant pourchasse sa vie.

* Il aura dix Ans aux prunes ou aux herbes ; vulg. c'est pour respondre à qui s'enquiert de l'aage d'vn cheual qui est desia vieil.

* De l’Andoüille apres soupper, c'est vne façon de parler licentieuse, pour l'action venerienne. vulg.

* Ange de Greue, i. crocheteur, gaigne-denier. C'est à cause de leurs crochets qui forment comme des ailes. vulg.

* Vn Ange entre deux Diables, on se sert de ce quolibet en se mettant au milieu de deux personnes, pour dire que le bon est au milieu de deux mauvais.

Il y a des Anglois en cette ruë là, i. je n'y veux pas aller, j'y dois de l'argent à quelqu'vn.

Angouleuent, i. nom propre d'vn basteleur.

* Vn Angouleuent, i. vn bon avalleur ; vn bon beuveur, par allusion d'engouler.

Allé en Angoulesme, par la mesme allusion d'engouler, i. avallé, beu ou mangé. vulg.

Anguille de haye, sorte de couleuvre.

A bon pescheur eschappe l’Anguille, i. vn habile homme peut perdre vne occasion.

Il y a Anguille sous roche, i. quelque danger ou mal caché dessous.

Escorcher l’Anguille par la queüe, i. faire vne chose à rebours. Et entreprendre vne chose difficile.

14 AP

Rompre l’Anguille au genoüil, i. entreprendre vn affaire fascheux et qui ne peut reüssir.

Il ressemble les anguilles de Melun, il crie devant qu'on l'escorche, i. il se plaint devant que d'avoir souffert le dommage. vulg.

* Par la bonne Année, i. en quantité. vulg.

* Faire le pot à deux Anses, i. mettre ses mains sur ses costez pour braver. vulg.

* Par mon Anse, iurement vulgaire de nos femmes, pour ne pas dire, par mon âme.

Vous parlez des neiges d’Antan, i. d'vne chose de peu de consequence ou peu considerable.

Maistre Antitus des cressonnieres, i. vn badin qui se mesle impertinemment de tout.

AP


SA bourse a grosse Apostheme, i. " elle est pleine d'argent.

* C'est un bon Apostre, i. vn bon compagnon, par ironie, ou bien vn bon frippon. vulg.

* Ce n'est pas vn Apostre, c'est vn dissipé, par allusion de disciple, i. vn qui dissipe et use fort ses habits, ou ses biens. vulg.

Apoticquaire sans sucre, i. vn homme mal fourny selon sa profeßion.

Appeau à prendre des truyes, i. vn rot.

L’Appetit vient en mangeant, metaph. cela se dit des larrons qui se font facilement vne habitude en desrobant.

* Fournir à l’Appointement, i. fournir d'argent pour payer.

Charger d’Appointement, i. bien battre.

Il n'a que faire d’Apprestes, les œufs sont trop durs pour luy, i. il n'a que faire de pretendre & de se preparer à une chose.

Estre Apres quelqu'un, i. poursuivre : attaquer.

On est Apres, i. en estat de faire.

Fermer la porte Apres soy, i. la fermer quand on est sorty.

Ie boiray Apres vous, i. ie vivray plus que vous.

* Despenser Apres une personne, i. faire des despenses pour son sujet.

Attendre Apres quelqu'vn, i. attendre vne personne.

AR


VN peu Arabe, i. d'humeur chiche, rude, cher en ses marchandises.

Les Araignes ou Araignées ont fait leur toile sur nos dents, i. il y a long temps que nous n'auons mangé.

* Il ressemble les Arbalestes de Coignac, il est de dure desserre, i. il ne paye pas volontiers, il ne lasche pas l'argent avec facilité. vulg.

Passer par l’Arc saint Bernard, i. se gaster d'ordure, & faire son cas dans ses chausses. Selon aucuns.

Il est bon à faire vn Arc, il est encorné des deux bouts, i. il est cornard, et a des cors aux pieds.

* L’Arche de Noé il y a toutes sortes de bestes, i. un lieu où il y a de plusieurs sortes de gens. vulg.

Mauvais Archer, il tire mal, i. qui ne tire pas volontiers de sa bourse.

* Il en dit bien d'autres dont il ne prend point d’Argent, i. il dit assez de semblables choses sans difficulté et par coustume. vulg.

Il a pris cela pour Argent comptant, i. il s'est contenté de cela.

Argent comptant porte medecine, i. l'argent peut tout.

Argent mignon, i. que l'on garde dans le coffre.

Il est logé chez le sieur d’Argencourt, i. il n'a plus gueres d'argent. vulg.

* Qui a de l’Argent a des piroüettes, ou des coquilles, i. qui a de l'argent peut avoir ce qu'il desire. vulg.

* Faire de l’Argent avec les dents, i. s'enrichir & faire bonne chere.

Le terme vaut l’Argent, i. " vous me remettez à un long temps, ou terme. Les meschans se servent de ce mot, lors qu'on les menace du Jugement de Dieu apres cette vie.

Cet habit Arme bien un homme, i. luy sied bien. Et ainsi des autres choses.

Les Armes d'Orleans des lambeaux, i. habits deschirez.

* Les Armes de Caïn, i. les maschoires.

* Les Armoiries de Bourges, un asne dans une chaire, cela se dit quand on voit un maraud ou lourdaud assis. vulg.

La venuë des Arondelles, i. le printemps.

D’Arrache pied, continuellement, sans desister.

Il semble qu'on luy Arrache le cœur du ventre, d'un avare à qui on demande de l'argent.

Menteur comme un Arracheur de dents, i. grand et asseuré menteur.

Il n'a point d’Arrest, i. il est tousjours en action.

Il ne faut point s’Arrester à cela, il ne faut pas regarder à peu de chose.

Arrester vn marché, i. conclurre.

Arrester une marchandise, i. donner des arres dessus apres l'avoir acheptée.

* Il a tousiours quelque Arriere-boutique, i. quelque malice ou subtilité pour la fin. Item un dernier effort.

* Nous voila bien Arriuez, ironie, i. nous n'avons pas rencontré ce que nous pensions.

* Tu n'as garde d'enfoncer tu es bien Arrivé, i. par ironie et par allusion du verbe riuer, tu n'as pas trouvé ce que tu cherchais.

* Ils sont bien Arrousez, i. bien moüillez de la pluye, ou bien remplis de vin.

A l’Article de la mort, i. prez de mourir.

Ce n'est pas vne article de Foy, i. ce n'est pas une chose que l'on doive croire.

AS


Comme l’Ascension, i. tousiours en mesme estat : d'autant que l'Ascension est tousiours au Ieudy.

* Asne à courtes oreilles, ou qui ne mange point de chardons, i. un ignorant.

* Il fait de l’Asne pour avoir du chardon, i. il feint d'estre simple ou neceßiteux. vulg.

* Comme vn Asne qui court la poste, i. franchement. Le commencement est, tout à la bonne foy. * Meschant comme vn Asne rouge, i. fort mauvais.

* Il n’y a que l’Asne qui sent où le bast le blesse, i. celuy qui souffre sent son mal ou dommage.

* On ne sçauroit faire boire vn Asne s’il n’a soif, cela se dit d’un qui ne veut pas faire comme les autres : ou qui refuse de manger ou de boire.

* Vous auez raison vostre Asne pette, le vulgaire se sert de cette façon de parler pour desapprouver ce qu’vn autre dit.

* à vos Asnes Musnier, i. cela se dit quand on voit deux hommes qui se joüent, ou se battent.

Il tient sa grauité comme un Asne qu’on estrille, i. il est superbe, par ironie d’un lourdaut qui fait le grave.

* Chantez à l’Asne il vous fera des pets, i. un ignorant n’aime point la musique.

Desferrer l’Asne, i. aller à pied.

Monter sur l’Asne, i. faire banqueroute ou cession.

* Comme vn Asne debasté, i. fort et ferme, avec force et vigueur.

Mener l’Asne, i. estre exposé à la risée d’autruy.

* Tirer des pets d’vn Asne mort, i. faire des choses impoßibles.

* A rude Asne rude asnier, i. à mauvais serviteur vn fascheux Maistre.

A laver la teste d’vn Asne, on ne perd que la lexiue, i. on perd son temps à reprendre vn homme sans raison.

* Il y a plus d’vn Asne à la foire qui s’appelle Martin, i. plus d’une personne qui porte le mesme nom.

* Asnier, i. ignorant.

* Il a fait son cours à Asniere, i. il est ignorant. C’est vne allusion du nom propre de lieu au mot d’Asne. vulg.

* Asnon vous mesme, l’on respond de la sorte par equivoque à quelqu’vn qui dit, , hâ non. vulg.

* Il vient tard mais il Assene bien, i. il ne dit guere, mais il touche bien, il se fait entendre.

Assoir son jugement, i. juger.

Le cœur bien Assis, la cervelle bien assise, i. estre courageux, et indicieux.

Assignation de couche, i. quand on baaille d’envie de dormir.

Donner des Assignations, i. tesmoigner son desir.

Assister au compte, i. estre present à une chose sans en profiter, ou sans en avoir sa part.

Il ne mourra jamais si on ne l’Assomme, i. il vivra long-temps.

AT

Il n’y a rien de si froid que l’Atre, i. il n’y a rien à manger, ou rien à profiter.

S’Attacher à la lettre, i. considerer une chose seulement par l’apparence.

Il est tousjours Attaché dessus, i. diligent en une chose.

Donner des Attaques, i. tesmoigner son dessein par des paroles couvertes.

S’Attendre à quelque chose, i. esperer.

Je m’Attends à vous, i. je m’asseure sur vostre personne.

Attrapper, i. tromper.

En Attrapper une bonne, i. avoir une bonne part de quelque chose.

Attrappe-minon ou attrappeur de minons, i. vn trompeur.

AV

*
AValler
le morceau, i. avoir patience.

* Aualler sans corde ou sans poulain, i. boire par allusion d’avaller, qui signifie descendre le vin dans la cave.

Avaller vn bras, i. couper.

Aualler ses chausses, i. mettre bas.

* Auallez vos chausses et nous en contez, c’est une raillerie pour faire discourir une personne.

Aualleur de charettes ferrées, i. vn qui fait des Rodomontades et n’est pas trop mauvais. vulg.

Aualleur de frimas, i. vn faineant.

* Aualleur de pois gris, i. grand mangeur.

* Il a vne belle Aualloire, i. vne grande gorge ou grand gosier.

* Il est des plus Auant, i. des plus favorisez, des premiers.

* Il est Auaricieux, il garde son argent pour boire, i. il est prodigue ou despensier.

à l’Aube des mousches, i. tard le soir.

Bailler de l’Avoine pour du foin, i. rendre avec usure.

De l’Auoine au point du jour, i. le devoir du Mary envers sa femme, ou bien l’acte venerien.

Faire bien gaigner son Auoine, i. faire bien travailler.

Manger son Auoine en son sac, i. manger seul sans en faire part à personne.

Auertin ou mal saint Auertin, i. mauvaise teste, fantastiquerie.

* Un Aveugle retourné, i. qui est marqué d’une fleur de Lys sur l’espaule. Nos aueugles la portent devant. vulg.

Il en juge comme un Aueugle des couleurs, i. mal.

* Vn Aueugle y mordroit, i. l’affaire est apparente.

* Loger les Aueugles ; vulg. se prostituer, se rendre commune, estre garce.

vn Aueugle meine l’autre, i. un ignorant ou absurde conduit ou abuse l’autre.

* Il est bien Avitaillé, par allusion, i. bien fourny de membre viril.

* Au bout de l’Aune faut le drap, i. à la fin on voit ce qu’il manque. vulg. ou bien il n’y a que cela de matiere ; la mesure est toute juste.

* Il sçait combien en vaut l’Aune, i. il l’a esprouvé. vulg.

Mesurer les autres à son Aulne, i. croire que les autres nous sont semblables, juger des autres selon soy.

* Il en a eu tout le long de l’Aune, i. il a esté bien battu : Ou bien on luy a fait payer bien cher : il a receu bien du dommage.

Il n’y en Auoit que pour luy, i. luy seul faisoit plus que tous les autres.

* A qui en Auez vous, i. contre qui estes vous fasché ou en colere.

* Il y a du qu’As tu, i. il y a quelque mal couvert ; quelque sujet de se plaindre. vulg.

* Tu en Auras pour cela, i. il te coustera.

* Il y en A encore assez pour vous, c'est ce que dit un homme qui tombe, à celuy qui se rit de sa cheute.

* Dites que vous en Auez, i. que vous avez esté mal traitté ; que vous estes attrappé.

Ses desseins sont Auortez, i. n'ont pas reüssi.

Vn Auorton, i. vn petit homme.

* Despenser Autour d'vne personne, i. faire des despenses pour son sujet. vulg.

* A d’Autres, i. ne vous addressez pas à moy ; ne pretendez pas de me persuader ou tromper.

* Aux Autres ceux là sont cossez ; vulg. i. continuons.

* Il n'en fait point d’Autres, i. c'est sa coustume.

* Comme dit l’Autre, c'est une façon de parler du vulgaire, pour addition ou authorité à ce qu'il dit.

B

B
asser du B dur en B mol, perdre la vigueur ou cesser l’erection en l’acte charnel. Item, sauter d’vn discours à l’autre : extravaguer.

BA


IE ne Baille pas, ie n’ay point envie de dormir, c’est vne allusion au mot de baailler, pour dire que l’on ne veut rien bailler ou donner.

Baiser le baboüin, i. rendre obeyssance.

Le grand Bacin, i. le plancher d’vne salle ou d’vne chambre.

Item, Boire au grand Bacin, i. dans la riviere.

Cracher au Bacin, i. payer sa part ; bailler de l’argent. vulg.

Donner la Bacule, on prend vne personne par les bras & les jambes, & luy fait-on donner du derriere en terre.

Il est fait au Badinage, i. il est dressé ou instruit par celuy qui l’employe, il se sçait accommoder.

Trousser ou plier Bagage, i. s’enfuïr, s’en aller.

* Le bagage, i. le membre viril.

* Couvrez vous Bagottier, i. cela se dit à vn niais qui tient son chapeau à sa main. vulg.

Bagues sauves, i. sans encourir de dommage, ou despense.

Servir à Baguette, i. promptement & diligemment.

Commander à Baguette, i. absolument & imperieusement.

* Faire comme les Bahuttiers, i. faire bien du bruit & peu de besogne. vulg.

Il se Baigne là dedans, i. il y prend vn extrême plaisir.

* En Bailler à garder, i. en faire à croire.

Vous me la Baillez belle ; vulg. vous me dites vne plaisante chose ; vous me voulez persuader ce qui n’est pas.

* Baille luy belle, vulg. cela se respond à qui nous dit quelque sottise.

* Le Baille luy goust, i. quelque ornement qui fait paroistre vne femme plus belle.

Bains de Valentin, voyez le sujet de cecy dans Françion ; c’estoit vn vieillard qui s’alla baigner de nuit dans le fossé d’vn Chasteau pour se rendre habille à coucher avec sa femme, qui fut pendant cela desbauchée par vn autre. * Vn Bain qui chauffe, c’est en Esté lors que l’on sent vne extreme chaleur & que l’air se couvre de nuages, & se prepare à la pluye, vulg.

* Vous pouvez bien Baiser la porte, i. ne plus retourner en ce lieu.

Ie vous Baise les mains, par ironie, i. ie ne veux point de ce que vous m’offrez, ou bien ie ne suis pas satisfait de vous.

* Il ne faut pas tant Baiser son amy à la bouche que le cœur luy fasse mal, i. il ne faut pas tant importuner vn amy qu’enfin il se fasche.

* Vn Baiser de Judas, i. vne trahison.

* Les Baisers sōt retournez. Nos filles du vulgaire usent de ce mot envers ceux qui leur demandent vn baiser, i. on ne baise plus à la bouche, on baise au derriere.

Baisser la teste, i. avoir patience.

A teste Baissée, avec resolution.

* Elle ressemble aux Balances d’vn Boucher, qui pesent toutes sortes de viandes, i. elle est garce des plus communes.

Estre en Balance ou Balancer en vn affaire, i. estre en suspens.

Balancer, i. comparer vne chose à vne autre.

* On a Balayé devant sa porte, i. cela se dit quand vn joüeur n’a plus d’argent devant luy, vulg.

Se renvoyer la Bale l’vn à l’autre, i. s’envoyer ou s’adresser le proffit que l’on peut tirer d’vne personne par subtilité.

* De Bale, i. qui n’est pas fort bon. Nostre vulgaire l’applique à toutes sortes de choses ; vulg. laquais de Bale, demoiselle de Bale, etc.

Chacun portera sa bale, i. chacun respondra de ses actions, & en portera la peine.

* Il a trouvé son Balot, i. son fait, ce qui l’accommode.

* Balotter vne personne, i. tourmenter, l’envoyer de l’vn à l’autre.

Se Bander contre quelqu’vn, i. se declarer ennemy ou contraire.

* A Bander & à racler, i. avec toute sorte de rigueur, à toute extremité, vulg.

* Bander sa quaisse, i. s’en aller. Cela est tiré des Tambours qui bandent leur quaisse en partant d’vn lieu, vulg.

* La Banniere du Tailleur, i. l’estoffe qu’il desrobe sur vn habit, etc.

Banniere d’Orleans, des lambeaux, i. vn habit deschiré.

Faire Banqueroute à l’honneur, i. faire de mauvaises & lasches actions ; ne se soucier point de son honneur.

Les fols font les Banquets, & les sages les mangent, i. qu’il ne faut point faire de despenses en festins mal à propos.

* Baptiser le vin, i. mettre de l’eau dedans. vulgaire.

* Vin Baptisé, i. remply d’eau, vulg.

* Faire Barbe de paille, i. tromper, se mocquer.

* Faire la Barbe à quelqu’vn, i. gaigner le prix sur quelqu’vn, le braver, le reprendre.

A la Barbe, i. en la presence : en despit d’vne personne.

A la Barbe du palefrenier qui pense la beste. Cela se dit quand vn homme pette.

* Barbe d’Aduocat qui croist par articles, vulg. vne barbe qui vient inegalement en quelques endroits du menton ou de la jouë.

* Barbe de jardinier, qui croist par bouquets, vulg. idem.

* Barbe de lievre, qui n’ose sortir de peur des chiens, i. vne barbe qui ne paroist point encore, vulg.

Vne jeune Barbe, i. vn jeune homme sans experience : vn jeune sot.

Mettre vn homme en Barbe, i. en teste, qui resiste, qui s’oppose.

* Essuyez vostre Barbe & dites que vous avez beu, on respond ainsi à vne personne à qui l'on refuse quelque chose : ou bien pour luy faire entendre qu'on ne luy accordera pas ce qu'elle pretend.

• Barbe de chevre, i. vn qui a vne grande barbe & est repute ignorant.

• Reprenons nostre chèvre à la Barbe, i. retournons à nostre propos.

Barbe en couaine de lard, i, rase, cour : & rude.

• Barbe à Dieu, i. c'est vrjtpetitehÀrheqcéi fe iicff.iclH ii(i Jleurs JeHlfeSy ér vole en l*4ir. vulg.

Chercheùr de Barbet^ x.vn qui cherche i defrober annsvncmdi/oN y & fàntdeiher* cher vnbdrhet effare.

• le ne fuis pas Barbier pour mc.monftrcr les dcnt^ y cc^a /^dtf à Vffeperfâ/9f$equf rit par excès en defc9uurant fes dents,

• Tout beau sarbier la main vous tremble, ’ ccft pour din que l’on procède auec p-lté^Àc douceuroii de patience, vulg.

• Vous eftcs mauuais Barbier , vous pcnfer / mal , c eftvne allttjion dHmot depenfcr ^ i. ’Vùid.’ penfc’i^u voas : imapne ? mal à propos.

Vn Barbier rafc Vmtït^’u%n mefchdntexctiiei ciut^e.

Il a mangé de la barbottine il fait des vers, cela se dit à unhj mauuais Peote par allusion

du mot de vers, parce que la barbottine les fait mourir & ietter hors : vulg.

• Vous vaus raocefuczdc U BarboUilIçc, i. voiis ne dcÊti’^pai filtre (Cijuevçi0sfàtus njûMS dffrz,forjJrprcaJ(rJfU /ûrre vulg.

• Barbouille commcvn pot à fcbuc$,i./#r ; Barbouillcï vnc cfcriturc , i. r/^mr i»4/.

Barbouiller, ^^(>«r^«i^4r/’^A^//Ar.

Barder la volaille ,i. /4^tfX^xir/rW’x/ ;7r/rr>ïr*^ dtUrddtéltcu de U larder,

• Boaiour Bardou , cflva mhÀfftiijue, Un i^arMoriJieuriehadtn.MohfieurUfot.

• Passer pour Bardot, i./M«^ d(cot. ^ II abien parlé à fa Barettc ; vulg. lUuj / parle aiz^cment. Il faut mettre vne Barre entre deu^ paTnc aux mefchans cheuaux^r^/^yï^^// iers qnc deux fer formes :>icc$rdcmmAL loiier aux Barres , u faire vne chfe tantofi l’vntAniofiCautre^chACHn A font9ur.k^- À

I ay Barres fur vous,i. iay quelque nduant âge ". fur votées. La Métaphore ejt tirée du jeu de bar* . res^ou après auoir atteins celuy que i- on pour ^ A//, # ;!( ^Àr, i’ay barres fur vous.

Donner .Barres , i. arrcjlef la com/e ou le couru.

• Rpidc comme la Barre cLvn hui$,i. fort, vulg. .^

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38 BE

y^ ^A "*. ^8 : BE

  • Bec d« lierre .i. ^1$$ 4 U levrc Je dtjpùtfen^

♦vnc^BccqucTîau Xvnt HÎ^tltufc yyx^. vulg. ’ ^ lâBccqucnau qui aaccufc S.Fiacrc,/Vr/»f,

  • B^tlainc gY$s vthtn . vulg. /
  • la Ecdondainc, chânf$n ou^^ ^e goulu ^

Xvulg. Proprcmnt C^f^A^c €rtéfe%nombrtly Q’ le ba4 du ventre. / rand Bcclcur À.^rând crurdi^rând.pUu’-' ^«r^vulg. . . u^_ iTalncorçiÇjn premier Bcguin.i.>/^/^«/»tf /ànj exferuHce ^ innocem ou/Imple vulg. ♦il la eue Belle ÀUUeugrand’ peurioukien lit d receiâ vngrjdnd affront ou ddmmagCy ♦jlcna de Belles , pltrironifyil n* apas ce qutl

  • il a recommence de plus Bc^lc . plus fort

ejH 44ipAréuant. Item ^.derechef yVx^. à Belles dcnti, à belles ongles .i. i force de derjtSyiforced*oitg/es^ vous m^a Baillez belle. Voyel^Ji bailler.

  • voùsTaurez Belle au bond, tron. votu m

treuuereT^fasce que ous prétende :! ;^ C affaire n ira pas comme vitus croyez, ^vx^. îvoùs nous eu contez de Belles i vulgâ. ••» ’A i Page:Curiosités françaises (1640).djvu/48 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/49 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/50 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/51 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/52 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/53 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/54 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/55 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/56 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/57 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/58 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/59 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/60 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/61 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/62 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/63 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/64 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/65 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/66 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/67 Page:Curiosités françaises 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586 AB AC AF AH AI

Abuser d’une fille, i. coucher avec elle & la tromper.

S’abuser à son proffit, i. faire ses affaires avec subtilité.

AC

Accrocher, i. arrester.

Accrocher une femme, i. faire l’acte charnel.

Acte de ma diligence, i. me voicy, je me presente.

Il est de l’advis de Messieurs, i. il s’accorde à tout ce que l’on dit.

C’est bien advisé à vous, i. bien pensé, bien consideré. Iron. vous ne dites pas bien, vous n’avez pas raison.

AF

Affamé d’argent, i. necessiteux.

AH

Il ahanne bien, i. il a bien de la peine.

AI

Aigrir une personne, i. la mettre en colere. Page:Curiosités françaises (1640).djvu/596 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/597 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/598 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/599 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/600 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/601 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/602 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/603 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/604 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/605 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/606 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/607 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/608 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/609 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/610 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/611 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/612 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/613 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/614 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/615 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/616 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/617 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/618 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/619 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/620 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/621 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/622 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/623 Page:Curiosités françaises (1640).djvu/624 A & Gracc& Priuileçc du Roy> don- né Pjfis Je 4. luilTct. mil* (ix cent trciKc-ncuf; Sigt^é , ]Par le Roy eu fon Cônfcil ,0 LIER. H cft permis i ANTOINE. OVDlN, le fai- te imprimer vn hure iniituié , C v a 1 os i- T E z F R A N ç o I s 1 s , ^cc. Et dffFcnccs ^^nc fiqtcs à tous Imprimeur*, Libraires, Vautres, de concrefaireJcdicliurciàpcincdffmiUmresa’amcn- de, ny cnrcn4re de contrefaits durafic le temps do cing •ns.finonduconfentemcnt dudit Expoiant, ainfi qu’il cft plus implemcit port^ pv %i Lit* très de Priuilege cy-dcOus datcécs. i» !<■ Éc ledit Antoine Oudid a ccdé & rVanrporti i Antpineic Sommauillc le Pnuilcgtcy-dcflus ^atté pour en iduir rdon fa temgr. Acheui à* imprimer ce io. UMÙh6jio. : fc€ï Liures ont cflé fournis , àirtfiqu»/l cft ppii^ par le Priuilçgç. y