Discussion:Élégies (Marceline Desbordes-Valmore, 1860)

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
La bibliothèque libre.

Liste des incipit


L’inquiétude — Qu’est-ce donc qui me trouble ?
Le concert — Quelle soirée ! ô dieu ! que j’ai souffert !
Prière aux Muses — Votre empire à troublé mon bonheur le plus doux
Le billet — Message inattendu, cache-toi sur mon cœur
L’insomnie — Je ne veux pas dormir
Son image — Elle avait fui de mon âme offensée
L’imprudence — Comme une fleur à plaisir effeuillée
La prière perdue — Inexplicable cœur, énigme de toi-même
À l’amour — Reprends de ce bouquet les trompeuses couleurs
Le ruban — Cette couleur, autrefois adorée
Les lettres — Hélas ! que voulez-vous de moi
La nuit d’hiver — Qui m’appelle à cette heure et par le temps qu’il fait ?
L’inconstance — Inconstance, affreux sentiment
Élégie : Toi qui m’as tout repris
À Délie : Du gout des vers, pourquoi me faire un crime ?
À Délie : Par un badinage enchanteur
À Délie : Oui ! cette plainte échappe à ma douleur
Le souvenir — Votre main bienfaisante et sûre
La séparation — Il est fini, ce long supplice
Adieu mes amours — Adieu, mes fidèles amours
La promenade d’automne — Te souvient-il, ô mon âme, ô ma vie
Élégie : Il fait nuit ; le vent souffle et passe dans ma lyre
Les regrets — J’ai tout perdu !
À Délie : Toi, dont jamais les larmes
La douleur — Sombre douleur, dégoût du monde
Les deux mères — N’approchez pas d’une mère affligée
Le pressentiment — C’est en vain que l’on nomme erreur
Élégie : J’étais à toi peut-être avant de t’avoir vu
Élégie : Je m’ignorais encor
Élégie : Ma sœur, il est parti !
Élégie : Quoi ! les flots sont calmés
Élégie : Peut-être un jour sa voix tendre et voilée
Élégie : Il avait dit un jour
Élégie : Qui, toi, mon bien-aimé, t’attacher à mon sort
Prière pour lui — Dieu ! créez à sa vie un objet plein de charmes
Le printemps — Le printemps est si beau !
L’attente — Il m’aima. C’est alors que sa voix adorée
L’impatience — Ne viens pas ; non ! punis ton injuste maîtresse
Élégie : Dusses-tu me punir
L’indiscret — Dans la paix triste et profonde
La fête — Pour la douzième fois, hier, sur ma demeure
L’isolement — Quoi ! ce n’est plus pour lui
L’accablement — Mes yeux rendus à la lumière
Souvenir : Quand il pâlit un soir
À Mlle. Georgina Nairac — Ah ! prends garde à l’amour
Souvenir : Son image, comme un songe
À ma sœur : Que veux-tu ? Je l’aimais
À ma sœur : Qu’ai-je appris !
Point d’adieu — Vous, dont l’austérité condamne la tendresse
Souvenir : Toujours je pleure au nom de mon enfant
Le rêve de mon enfant — Mère ! petite mère !
Albertine — Que j’aimais à te voir
À Mme. Sophie Gay — Vous dont la voix absente enhardit mon courage
La guirlande de Rose-Marie — Te souvient-il, ma sœur, du rempart solitaire
Le vieux crieur du Rhône — On avait couronné la vierge moissonneuse
La fleur du sol natal — Ô fleur du sol natal ! ô verdure sauvage !
À mes enfants — Oui, nous allons encore essayer un voyage
Les deux amitiés — Il est deux amitiés comme il est deux amours
Le bal des champs — Un bruit de fête agitait mes compagnes
Le présage — Oui, je vais le revoir, je le sens, j’en suis sûre !
Le message — Le voilà cet écrit qu’ont demandé mes larmes
Élégie : Parti ! Fut-elle donc pour moi seule charmante
Élégie : Un jour, écoute
Pressentiment — Une autre le verra
Le regard — Laisse ! j’ai vu tes yeux, dans leur douce lumière
Regret — Des roses de Lormont la rose la plus belle
Élégie : Toi que l’on plaint
Élégie : Quand le fil de ma vie