Discussion:Lyriques grecs/Callimaque

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Discussion[modifier]

Je souhaiterais émetre des doutes sur le nom des divinités, en effet, ceux-ci sont les noms latin et non les noms grecs, car, je tiens à le rappeler, Callimaque de Cyrène, fut poète à la cour ptolémaïque et, son oeuvre fut naturellement rédigée en grec. 14 décembre 2006 à 17:37 90.6.189.151

Peux-tu trouver sur Internet une autre traduction plus littérale (et qui reste quand même harmonieuse), 90.6.189.151 ? --Zephyrus 14 décembre 2006 à 17:47 (UTC)[répondre]

Peut être cette traduction :http://ugo.bratelli.free.fr/Callimaque/Callimaque.pdf est libre de droit ? Là nous sommes dans l'interprètation donc 50 ans après le décès, je crois. 15 décembre 2006 à 12:10 90.13.194.240

C'est une belle traduction ; le site d'Ugo Bratelli a toujours été très fiable. Mais les pdf sont difficiles à récupérer, et même si on les copie page par page il reste à résoudre les problèmes d'encodage. --Zephyrus 15 décembre 2006 à 19:04 (UTC)[répondre]

C'est peut-être une idée bête, mais si l'on passe par l'intermédiaire d'une feuille de papier ça ne pose pas de problèmes ? Je m'explique : on écrit ce qui est inscrit sur la page du site, puis on modifie cette page. C'est long et je pense pouvoir me charger d'un hymne par week-end. 17 décembre 2006 à 12:39 90.13.202.212

Autre traduction[modifier]

Source ? I

EN L'HONNEUR DE ZEUS

A l'heure des libations, qui chanter sinon Zeus, qui chanter plutôt que lui, le vainqueur des Fils de la Terre, le juge des Ouraniens ?

Mais sous quel vocable le chanterons-nous ? Dieu du Dicté ? Dieu du Lycée ? Mon âme hésite ; car de ta naisssance on dispute. Zeus, les uns disent que tu naquis sur les monts de l'Ida ; Zeus, les autres prétendent que ce fut en Arcadie. Qui des deux, ô père, a menti ? Ces Crétois éternels menteur s. O tout puissant, ils t'ont, ces Crétois, bâti une tombe ! Mais non, tu n'es pas mort, tu es immortel. C'est dans la Parrhasie, que Rhéia t'enfanta, au plus épais des fourrés de la montagne ; depuis ce lieu est sacré ,et nul créature n'y pénètre, bête, ni femme, à l'heure ou elle a besoins de la déesse Ilithye ; les Apidanéens l'appellent l'antique couche de Rhéia.

Je commence à rédiger doucement la traduction du site d'Ugo Bratelli, donc la traduction de M. Trabucco.