Discussion:Idylles (Marceline Desbordes-Valmore, 1860)
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Les roses — L’air était pur, la nuit régnait sans voiles
La journée perdue — Me voici... je respire à peine !
L’adieu du soir — Dieu ! qu’il est tard !
L’orage — Oh ! quelle accablante chaleur ! Orage I
Le miroir — Comme un enfant cruel tourmente la douceur
Le retour aux champs — Que ce lieu me semble attristé !
Le ruisseau — Le soleil brûlait la plaine ; les oiseaux étaient muets
La nuit — Viens ! le jour va s’éteindre
L’absence — L’avez-vous rencontré ?
Les deux bergères — Que fais-tu, pauvre Hélène ?
Philis — Presse-toi, vieux berger, tout annonce l’orage
La fontaine — Et moi je n’aime plus la fontaine d’eau vive
La jeune épouse — Que je suis heureuse avec toi !
La visite au hameau — Eh quoi ! c’est donc ainsi que tu devais m’attendre ?
Une jeune fille et sa mère — Ce jour si beau, ma mère, était-ce un jour de fête ?
Le soir d’été — Venez, mes chers petits
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