Discussion:Poésies (Mallarmé, 1914, 8e éd.)/L’Azur
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Source : Stéphane Mallarmé : Selected Poetry and Prose, edited by Mary Ann Caws ; New Directions, 1982.
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[modifier]- Encore ! que sans répit les tristes cheminées
- Encor ! que sans répit les tristes cheminées
- Encore est trois syllabes, et encor et deux syllabes.
Variantes
[modifier]Poésies (Stéphane Mallarmé) (1887) / Poésies (Deman)
- 2 :
- Accable, belle indolemment comme les fleurs
- Accable, belle indolemment comme les fleurs,
- 4 :
- À travers un désert stérile de douleurs.
- À travers un désert stérile de Douleurs.
- 7 :
- Mon âme vide : où fuir ? et quelle nuit hagarde
- Mon âme vide. Où fuir ? Et quelle nuit hagarde
- 8 :
- Jeter, lambeaux, jeter sur ce mépris navrant.
- Jeter, lambeaux, jeter sur ce mépris navrant ?
- 20 :
- Le soleil se mourant jaunâtre, à l’horizon !
- Le soleil se mourant jaunâtre à l’horizon !
- 25 :
- Car j’y veux, puisqu’enfin ma cervelle, vidée
- Car j’y veux, puisque enfin ma cervelle, vidée
- 27 :
- N’a plus l’art d’attifer la sanglotante idée
- N’a plus l’art d’attifer la sanglotante idée,
- 29 :
- En vain ! l’Azur triomphe et je l’entends qui chante
- En vain ! l’Azur triomphe, et je l’entends qui chante
- 33 :
- Il roule par la brume ancien et traverse
- Il roule par la brume, ancien et traverse
- 34 :
- Ta native agonie ainsi qu’un glaive sûr :
- Ta native agonie ainsi qu’un glaive sûr ;