Discussion:Poésies inédites (Desbordes-Valmore, 1860)
Ajouter un sujetListe des incipit
Amour
Une lettre de femme — Les femmes, je le sais, ne doivent pas écrire
Jour d’Orient — Ce fut un jour pareil à ce beau jour
Allez en paix — Allez en paix, mon cher tourment
Les cloches et les larmes — sur la terre où sonne l’heure
Un cri — Hirondelle ! hirondelle ! hirondelle !
La feuille volée — Va-t-il écrire à sa maîtresse
Simple oracle — ???
Les éclairs — Orages de l’amour, nobles et hauts orages
Les roses de Saadi — J’ai voulu ce matin te rapporter des roses
La jeune fille et le ramier — Les rumeurs du jardin disent qu’il va pleuvoir
L’entrevue au ruisseau — L’eau nous sépare
L’image dans l’eau — Fontaine, fontaine, ton eau coûte cher !
L’eau douce — Pitié de moi ! j’étais l’eau douce
La voix d’un ami — Si tu n’as pas perdu cette voix grave et tendre
L’ami d’enfance — Un ami me parlait et me regardait vivre
Trop tard — Il a parlé. Prévoyante ou légère
Dernière entrevue — Attends, nous allons dire adieu
L’esclave et l’oiseau — Ouvre ton aile au vent, mon beau ramier sauvage
Dans l’été — Un danger circule à l’ombre
L’enfant triste — ???
« Fierté, pardonne-moi ! »
Le secret perdu — Qui me consolera ?
Au livre de Léopardi — Il est de longs soupirs qui traversent les âges
Simple histoire — Tu m’as connue au temps des roses
La jeune comédienne — Légère, on la portait !
Crois-moi — Si ta vie obscure et charmée
Pourquoi ? — Quand vous suiviez ma trace
Cigale — De l’ardente cigale j’eus le destin
« Amour, divin rôdeur » — « Amour, divin rôdeur, glissant entre les âmes »
Famille
Le nid solitaire — Va, mon âme, au-dessus de la foule qui passe
Soir d’été — Le soleil brûlait l’ombre, et la terre altérée
Loin du monde — Entrez, mes souvenirs, ouvrez ma solitude !
La fileuse et l’enfant — J’appris à chanter en allant à l’école
Un ruisseau de la Scarpe — Oui, j’avais des trésors
Une ruelle de Flandre — Dans l’enclos d’un jardin gardé par l’innocence
À Rouen, rue Ancrière — Je n’ai vu qu’un regard de cette belle morte
Le puits de Notre-Dame à Douai — ???
La rose flamande — C’est là que j’ai vu Rose Dassonville
L’innocence — Beau fantôme de l’innocence
Laisse-nous pleurer — Toi qui ris de nos cœurs prompts à se déchirer
À mon fils, avant le collège — ???
À mon fils, après l’avoir conduit au collège — ???
Rêve intermittent d’une nuit triste — Ô champs paternels hérissés de charmilles
Ondine à l’école — ???
Elle allait s’embarquer encore — ???
La mère qui pleure — J’ai presque perdu la vue
À une mère qui pleure aussi — ???
L’âme errante — Je suis la prière qui passe
La fiancée du veuf — Épouse aujourd’hui fortunée
Inès — Je ne dis rien de toi, toi, la plus enfermée !
La voix perdue — Ma mère, entendez-vous, quand la lune est levée
Foi
Tristesse — Si je pouvais trouver un éternel sourire
Refuge — Il est du moins au-dessus de la terre
Retour dans une église — Église ! église où de mon âme
Quand je pense à ma mère — ???
Les sanglots — ???
Une nuit de mon âme — Par un rêve dont la flamme
Les prisons et les prières — Pleurez ! Comptez les noms des bannis de la France
Au citoyen Raspail — Comme l’ardent mineur ensevelit sous terre
La couronne effeuillée — J’irai, j’irai porter ma couronne effeuillée
Renoncement — Pardonnez-moi, seigneur, mon visage attristé
« Que mon nom ne soit rien »
Enfants et jeunes filles
Pour endormir l’enfant — ???
Selon Dieu — ???
Aux nouveaux-nés heureux — ???
Aux nouveaux-nés partis — ???
Le petit mécontent — Mère, je veux crier et faire un grand tapage Choix de poésies pour les jeunes personnes, ed. Mme. A. Coutan, 1850
Le petit brutal — ???
Le nuage et l’enfant — ???
Ouvrez aux enfants — Les enfants sont venus vous demander des roses
La prière des orphelins — ???
À M. Dubois — ???
La grande petite fille — ???
L’enfant au miroir — Si j’étais assez grande
La jeune pensionnaire — ???
La petite pleureuse à sa mère — ???
L’oiseau — ???
Les danses de Lormont — Poursuivant les nuées de nos chansons
La danse de nuit — ???
Diverses
À ma sœur Cécile — Cache-les dans ton cœur
L’amie — Quand mon ombre au soleil tremble seule et s’incline
L’aumone — Toute fleur bénit sur la terre
Les fleurs — Semez sur lui des fleurs
À madame *** — Que vous soyez pour tous la charité qui pleure
Le soleil lointain — Quand vous m’avez écrit tout ce que femme ou mère
Mme. Émile de Girardin — La mort vient de fermer les plus beaux yeux du monde
Le voisin blessé — L’autre nuit, le voisin qui pleure
Où vas-tu ? — Cesse de m’apprendre d’où vient la douleur
Les deux jeunes marinières — Vois-tu ! si j’avais ta beauté ; Jardin de ma fenêtre, ma seule terre à moi
La fidèle — Si j’étais la plus belle
Un déserteur — J’entends sonner dimanche
La pauvre fille — À toi le monde ! à toi la vie !
Les oiseax — Caravane aux voix enflammées
Le banni — Les toits étaient dorés par le couchant
Dans la rue — Nous n’avons plus d’argent pour enterrer nos morts
La charité — D’une main timide, on sonne au couvent
Les séparés — N’écris pas ! Je suis triste, et je voudrais m’éteindre
Qui sera roi ? — Armé du fouet vengeur, le Christ, en sa justice
La lune des fleurs — Douce lune des fleurs, j’ai perdu ma couronne !
Démarrer une discussion sur Poésies inédites (Desbordes-Valmore, 1860)
Les pages de discussion sont l’endroit où diverses personnes peuvent discuter de la manière d’améliorer le contenu de Wikisource. Vous pouvez utiliser cette page pour démarrer une discussion avec les autres utilisateurs sur la façon d’améliorer la page « Poésies inédites (Desbordes-Valmore, 1860) ».