Le roman de la luxure/Miss Frankland

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MISS FRANKLAND




Je ne dis pas un mot à miss Frankland au sujet de la facilité que nous pouvions avoir de nous réunir en ouvrant la porte de communication entre les deux chambres : j’avais peur qu’elle ne se doute que je m’en était déjà servi ; mais je résolus de frapper à la porte quand elle viendrait se coucher et de la prier de l’ouvrir ; je n’avais aucun doute qu’elle ne fût aussi charmée que moi de voir avec quelle facilité elle pourrait satisfaire les plus lubriques passions que son tempérament lascif puisse lui suggérer. Mes sœurs rentrèrent et parurent fort désappointées de ce que je n’avais pas pu les rejoindre, car elles avaient espéré chacune une ou deux bonnes fouteries, croyant que les verges m’auraient excité comme elles.

Elles me racontèrent ensuite qu’elles avaient été obligées de se satisfaire par un double gamahuchage, mais que cela ne valait pas ma présence.

Pendant qu’elles s’occupaient du thé, je me glissai dans la chambre de miss Frankland, pour voir si la clef de la porte de communication était bien dans la serrure. Je l’ouvris, mis de l’huile sur les gonds, et la refermai en laissant la clef de son côté. Ayant l’intention de me glisser aussi quelquefois dans la chambre de mes sœurs, je mis aussi de l’huile aux ferrures et aux gonds de ma porte et de la leur, car, maintenant que la glace était rompue avec miss Frankland, il était nécessaire d’être plus prudents que jamais, afin de ne pas exciter sa jalousie et qu’elle ne puisse jamais soupçonner mes visites à mes sœurs.

Ayant tout terminé suivant mes désirs, je retournai au salon et, pendant que mes sœurs jouaient un duo sur le piano pour maman, je proposai une partie d’échecs à miss Frankland.

Elle était naturellement bien plus forte que moi, mais nos jambes se rencontraient sous la table de jeu ; son charmant petit pied chercha le mien, se posa dessus et le pressa doucement de temps en temps.

Cela lui donnait des distractions qui furent cause que je lui gagnai deux parties.

Ma mère envoya mes sœurs se coucher et me dit d’en faire autant ; mais, comme je désirais ne pas attendre trop longtemps l’arrivée de miss Frankland dans sa chambre, je demandai de rester une heure de plus, afin de permettre à miss Frankland d’avoir la chance de me gagner à son tour, en même temps, je lui pressai le pied pour lui faire comprendre qu’elle devait appuyer ma demande.

Elle se conforma à mon désir, quoique étant tout à fait ignorante du motif.

Maman s’approcha de nous pour nous voir jouer, ce qui obligea miss Frankland à faire plus attention à son jeu ; aussi elle me gagna trois parties de suite et fut le vainqueur final.

Maman me dit alors que je devais aller me coucher, car il était tard pour moi ; elle me traitait encore comme un enfant.

J’avais toutefois obtenu ce que je voulais en gagnant deux heures avant d’aller me coucher, aussi je n’eus pas à attendre longtemps avant d’entendre miss Frankland entrer dans sa chambre.

Je décidai de lui laisser terminer sa toilette de nuit avant de l’appeler. Regardant au travers du petit trou, je pus contempler à mon aise toutes les beautés si bien développées de son corps admirable, couvert d’une si riche fourrure de poils.

Elle fit toutes ses ablutions ordinaires ; je remarquai qu’elle se servait d’un injecteur pour se laver l’intérieur du con.

Quand elle se fut bien essuyée et sur le point de passer sa chemise de nuit, je grattai à la porte de communication et l’appelai d’une voix étouffée.

— Est-ce toi, Charles ? demanda-t-elle.

— Oui, je vous en prie, ouvrez la porte, que je puisse vous rejoindre.

Elle ne s’était pas encore aperçue que la porte, fermée de son côté, communiquait avec ma chambre, mais sa joie fut plus grande que sa surprise, quand elle découvrit ce moyen de nous réunir.

Je courus dans ses bras, me précipitai sur son sein et la couvris de baisers mais, comme ma pine bandait à éclater, je la menai vers le lit, sur lequel nous tombâmes tous deux, elle sur le dos et moi sur elle. En un instant, je fus englouti jusqu’aux couilles dans son con brûlant et enflammé, et nous tirâmes un coup délicieux jusqu’au moment où nous fûmes tous deux anéantis par une décharge ravissante. Je restai un moment sur elle et, après nous être mutuellement bien caressés, elle me dit :

— Lève-toi, Charles, et mettons-nous tous deux dans le lit.

Nous avions eu une telle hâte que nous n’avions pas pris le temps de nous mettre dans le lit, nous étions couchés sur les couvertures.

Ma charmante compagne se leva aussi pour satisfaire un besoin naturel que j’avais interrompu en frappant à la porte.

Elle s’assit sur le pot de chambre et j’entendis le bruit d’un petit ruisseau.

Je m’écriai :

— Oh ! laissez-moi vous voir pisser par votre jolie petite fente.

Je jouais toujours le jeune innocent et ne me servais que des mots enfantins pour désigner les organes de la génération.

Elle se mit à rire, mais releva sa chemise, se souleva un peu au-dessus du pot ; aussi, approchant la lumière, j’eus une ravissante vue de son con bien ouvert laissant couler avec force un torrent d’eau chaude. Sa position laissait bien apercevoir la masse énorme de poils noirs et frisés qui couvraient toute la partie inférieure de sa magnifique fente, se continuait autour de chaque cuisse jusqu’à ses fesses et, se séparant par derrière, encadrait tout autour les deux superbes demi-lunes qui se trouvaient au bas de son dos.

Elle avait là plus de poils que beaucoup de femmes n’en ont sur le mont-de-Vénus. Tout son corps était couvert de poils fins et droits, très épais sur les épaules, les bras et les jambes, au travers desquels on apercevait une peau blanche comme du lait.

Elle était la femme la plus poilue que j’aie jamais vue, et c’était certainement la cause de son extraordinaire lubricité et de son tempérament si passionné.

La vue dont je jouissais amena pour ma pine une érection complète ; comme nous nous levions tous deux, elle s’aperçut qu’elle pointait sous ma chemise.

— Enlève tout ça, dit-elle, et laisse-moi promener mes regards ravis sur tes jeunes charmes.

Je fis suivant son désir, la priant d’en faire autant, elle se tint debout, toute nue, dans toute la gloire de ses magnifiques formes.

Nous contemplâmes mutuellement nos corps nus, nous faisant tourner l’un l’autre dans tous les sens, afin de bien voir tous nos charmes excitants.

— Viens, mon chéri, que je t’embrasse et te caresse partout.

Elle me fit étendre sur le dos, se coucha sur moi en sens inverse et, prenant ma pine dans sa bouche après l’avoir pelotée gentiment, louant ses surprenantes proportions, déclarant que c’était la plus belle qu’elle eût jamais vue, elle commença à me gamahucher avec un tel art que je n’en avais jamais connu de pareil, me procurant le plaisir le plus exquis et les sensations les plus ravissantes. Quant à moi, voyant son prodigieux clitoris, qui sortait raide et rouge de son con en chaleur, je le pris entièrement dans ma bouche, le suçai, roulai ma langue autour, à la grande satisfaction de ma lubrique compagne.

Ses fesses se levaient et s’abaissaient, je voyais exactement sous mes yeux les lèvres de son cou s’ouvrir et se refermer montrant ainsi la grande jouissance qu’elle en éprouvait. Je la sentis porter sa main à mon derrière, y introduire un doigt et me le branler ainsi. Je lui laissai voir combien cela me faisait jouir. Elle s’arrêta un moment pour me prier de lui en faire autant, prévenant ainsi mon désir de le lui faire.

Je ne perdis pas de temps pour suivre son exemple. Les parties environnantes étaient bien lubrifiées pas nos précédentes décharges, aussi, enfonçant deux doigts dans son con tout gluant pour bien les mouiller, j’en glissai un dans son charmant trou du cul et, sentant qu’il y avait encore de la place, je glissai le second, qui alla rejoindre le premier.

Avec mon autre main, je lui caressai et pelotai ses magnifiques fesses, qui se levaient et s’abaissaient sur ma figure, avec une incroyable rapidité, pendant que mes doigts lui branlaient le trou du cul en unisson avec ses mouvements et que ma bouche suçait étroitement son raide et enflammé clitoris.

Tout son corps fut agité de convulsions érotiques, indiquant à quel degré de lubricité nos mutuelles caresses l’excitaient.

Moi aussi, j’étais fou de désir et aussi énergique dans mes mouvements ; si sa main n’avait pas maintenue la partie inférieure de ma pine, je la lui aurais tout enfoncée dans la gorge.

La crise délicieuse arriva à la fin et nous laissa anéantis dans les extases de la félicité. Nous retînmes tous deux entre nos lèvres les deux objets de volupté et nos doigts restèrent dans les réduits qui avaient tant contribué à augmenter notre plaisir.

Nous restâmes ainsi quelque temps dans cette position langoureuse ; puis, miss Frankland se leva de dessus moi en disant :

« Mon cher enfant, il faut maintenant nous coucher. »

Ce que nous fîmes, tout nus comme nous étions, nous étreignant mutuellement, nous couvrant de baisers et de caresses l’un et l’autre, murmurant de doux mots d’amour, nous racontant à voix basse les joies diverses que nous nous étions procurées. Nos mains se promenaient sur tous nos charmes. Miss Frankland avait un art spécial pour passer sa main sur ma pine et lui faire reprendre instantanément toute sa vigueur. C’était la manière la plus douce de peloter la pine que j’aie jamais connu. Elle semblait à peine la toucher, mais elle promenait ses doigts dans toute sa longueur, depuis le bas jusqu’à la tête, avec une délicatesse de toucher qu’aucune autre femme n’a jamais pu égaler.

L’effet était magique et invariable, quel que fut le nombre de fois que je l’eusse foutue avant.

Avec son tempérament passionné et son excessive lubricité, c’était pour elle un art très nécessaire. Elle avait une de ces natures lubriques qui peuvent facilement épuiser plusieurs hommes en même temps. À mon âge heureux, elle avait tout prêt sous la main un garçon qui pouvait satisfaire à tous ses désirs de toutes les manières ; la nature m’avait si bien doué sous le rapport de la vigueur que, chaque fois que miss Frankland me désira, elle me trouva prêt à répondre à son appel.

Il n’y a pas d’excès lubriques que nous ne mîmes pas en pratique plus tard. Nous satisfîmes nos passions par tous les moyens qui nous plurent et nous n’hésitâmes jamais à faire ce que nous nous imaginions qui pourrait stimuler nos désirs.

Elle fut surprise de mes aptitudes, se réjouit et se félicita d’avoir trouvé quelqu’un d’aussi charmant et d’aussi vigoureux, pouvant satisfaire sa nature si libertine.

Combien elle fut heureuse de croire qu’elle était la première à cueillir les fleurs de mon innocence, de rencontrer un élève aussi capable, qui devenait, en une seule leçon, un maître de l’art.

Plus j’expérimentais le sexe charmant, plus j’appréciais les sages conseils de ma première et toujours aimée maîtresse, la chère, charmante et toujours adorable madame Benson. Combien elle était dans le vrai, lorsqu’elle me prédit que toutes celles qui viendraient après elle, si elles croyaient être les premières à me donner la leçon amoureuse, ressentiraient une joie double, triple, cent fois plus grande, à cause de cette seule idée.

Ainsi, mon ardente miss Frankland, qui avait une grande expérience dans les choses de l’amour, se pâmait à l’idée qu’elle instruisait pour la première fois un jeune élève aux jouissances de la passion. Cela ajoutait considérablement à son plaisir ; et elle m’avoua ensuite que, comme c’était la première fois qu’elle prenait le pucelage d’un jeune garçon, elle avait ressenti une volupté si grande, qu’elle n’en avait jamais éprouvé une pareille auparavant.

Je puis m’imaginer ses délices en trouvant combiné, avec cette satisfaction morale, un garçon extraordinairement membre et si apte à tous les excès de volupté qu’il soit possible d’imaginer.

Mais, je m’éloigne de mon sujet.

En ce moment, les attouchements magiques de miss Frankland avaient amené ma pine au point voulu, elle passa sa jambe sur moi et, se couchant sur mon corps, elle me dit que, cette fois, elle allait se foutre elle-même.

Guidant ma pine vers ses lèvres avides de la posséder, elle se laissa doucement glisser sur cet énorme pieu, sur lequel elle s’empala elle-même avec délices, jusqu’à ce que nos poils se rejoignissent et qu’il lui fût impossible d’en entrer davantage. Elle se souleva alors jusqu’à ce que la tête fût au bord de son con, et se laissa à nouveau retomber doucement. Elle continua ces délicieux mouvements pendant quelque temps, pour notre mutuelle satisfaction, puis, se couchant sur mon ventre, elle me dit de passer mon bras autour de son derrière et de lui enfoncer mon doigt comme auparavant ; elle colla ses lèvres aux miennes, nos langues se touchèrent ; nos mouvements devinrent rapides et furieux, jusqu’à ce que nous tombâmes dans les délices de la grande crise finale. Ce fut le comble de la volupté et nous ne ressentions plus rien, que l’extase érotique de notre lubricité satisfaite.

Quand nous reprîmes nos sens, elle était étendue à mes côtés, me serrant très étroitement, me caressant et me pelotant jusqu’au moment où elle pensa que nous étions assez reposés.

Elle glissa sa main vers ma pine et très rapidement, par un pelotage délicat et délicieux, elle lui ramena aussitôt toute sa vigueur.

Passant sa jambe droite sur moi, tout en restant étendue sur le dos, elle amena son corps à moitié tourné sur mon ventre, moi j’étais couché sur le dos elle me pria d’ouvrir mes cuisses et de serrer son autre jambe entre les miennes ; puis, guidant ma pine vers son con, elle donna une poussée en arrière pour rencontrer mon mouvement en avant, ce qui me fit entrer instantanément jusqu’aux couilles.

« Maintenant, mon cher adoré, nous pouvons de cette manière, faire durer notre plaisir aussi longtemps que nous voudrons ; tu peux aussi me faire décharger plus souvent que toi, ce qui calmera ma nature en chaleur sans épuiser ta vigueur. »

Elle tortilla deux ou trois fois le derrière, plaça son dos sur mon ventre, cambra son corps de manière à laisser ma pine bien à l’aise et me dit de passer mon bras gauche sous sa taille de manière à pouvoir lui caresser le téton gauche et en branler le bout avec mon doigt, un procédé qui l’excitait autant, disait-elle, que si j’avais joué avec son clitoris ; tournant alors la tête, elle colla ses lèvres aux miennes ; elle prit ma main qu’elle conduisit sur son clitoris tout raide, que je me mis à branler de la même manière que j’aurais branlé le petit vit d’un jeune garçon. Faisant en même temps quelques lents mouvements sur ma pine, excitée par tant de titillations sur plusieurs points différents, elle déchargea des plus copieusement avant que je fusse prêt à en faire autant. Elle laissa tomber sa tête, dans l’extase de la décharge, se retirant de moi et laissant ma bouche libre. Immédiatement, je pris entre mes lèvres son autre téton rond et ferme que je me mis à sucer avec ardeur, poussant ma pine aussi loin que possible dans son con, la laissant là sans faire un mouvement, jouissant des délicieuses pressions que lui donnait l’intérieur de ce con, passant doucement une main sur son clitoris encore suffisamment raide. Elle resta quelque temps à savourer les délices de cette position, puis, se collant à nouveau à mes lèvres, elle me remercia encore et encore pour le plaisir que je lui avais donné.

Je commençai alors à exécuter quelques mouvements de va-et-vient ; à l’instant même, elle se trouva prête à me seconder et, comme elle voulait que, cette fois, nous déchargeassions ensemble, elle ne laissa rien à désirer.

Ses mouvements étaient des plus excitants ; aussi le moment de l’extase ne fut pas long à arriver, et nous tombâmes anéantis dans les délices de la volupté, en faisant couler des torrents de liqueur divine.

Nous restâmes entrelacés dans la plus délicieuse étreinte, ayant seulement conscience de notre bonheur indescriptible.

Elle fut suivie des plus douces caresses, jusqu’à ce que ma pine, ravie et excitée par les pressions intérieures de la voluptueuse fente où elle était restée engloutie, réveilla à nouveau ses lubriques passions, qui s’éteignirent dans une divine fouterie.

Elle déchargea encore avant moi, avec un plaisir encore plus grand, si possible, et, après un moment de repos, elle recommença ses mouvements lascifs en unisson avec les miens et nous tombâmes dans la ravissante extase de la lubricité satisfaite.

Sans nous en apercevoir, nous nous endormîmes dans un sommeil profond, nous tenant étroitement serrés dans les bras l’un de l’autre. La puissance vraiment merveilleuse de son con tint ma pine engloutie pendant tout le temps de notre sommeil. Je me réveillai le premier pour me trouver bandant encore dans la petite fente divine dont les plis intérieurs m’étreignaient délicieusement de palpitations nerveuses.

Je glissai ma main vers son clitoris et commençai à la foutre.

Elle soulevait son derrière en murmurant quelques mots incohérents, étant évidemment encore sous l’influence du sommeil et rêvant probablement à des événements antérieurs, car je pus distinguer ceci :

« Henry, mon seul amour… nous voilà encore réunis… Oh ! quelle joie ineffable !… Oh ! comme c’est délicieusement bon !… Pousse !… Va plus vite !… Mon amour bien-aimé !… »

Elle me serra nerveusement, comme si elle voulait ne faire qu’un corps de nos deux corps et déchargea en poussant des cris de volupté, laissant couler et faisant jaillir au dehors, sur mes couilles et mes cuisses, un véritable torrent de foutre brûlant.

« Très cher et bien-aimé Henry, murmura-t-elle, c’en est trop ! » et elle s’évanouit.

Je restai immobile, ne voulant pas parler avant qu’elle, n’eût repris ses sens. Il était évident qu’elle avait rêvé d’un précédent amoureux et certainement elle croyait, dans son sommeil, que c’était lui qui la foutait au lieu de moi.

Elle fut plus d’un quart d’heure avant de reprendre connaissance ; le jour pointait et regardant autour d’elle avec effroi, elle s’écria :

« Où suis-je ? »

Alors ses yeux rencontrèrent ma figure.

« Oh ! mon Charles adoré, c’est toi ! J’ai rêvé au passé bien lointain, et les palpitations de ton énorme pine m’ont fait penser à des événements précédents. Mais, quoique ce ne fût qu’un rêve, je n’en ai pas moins bien joui. »

« Ce n’était pas un rêve, ma chère miss Frankland, si ce n’est pour ce qui regarde votre bien aimé Henry, car, c’est le nom que vous avez prononcé, mais cette pensée vous a fait m’étreindra plus délicieusement et vous avez éprouvé un excès de plaisir que je vous enviais ; mais vous m’avez beaucoup effrayé, car, à la fin, vous vous êtes évanouie tout à fait. Je suis si heureux d’avoir changé votre rêve en une exquise réalité que je ne suis nullement jaloux de votre précédent amoureux, car, si vous n’en aviez jamais eu, vous ne m’auriez probablement pas aimé. Oh ! non, je ne serai jamais jaloux de vous, ma tendre maîtresse. J’aimerais mieux vous voir dans toutes les extases de vos passions dans les bras d’un autre, pourvu que je puisse partager vos plaisirs. »

Elle m’écoutait avec beaucoup d’étonnement et elle reconnut qu’elle s’était crue entre les bras d’un homme qu’elle avait beaucoup aimé, et elle pensait que tout cela n’était qu’un rêve et qu’elle n’avait aucune idée de ce qui s’était passé, c’est-à-dire qu’elle avait été bien réellement foutue.

— Eh bien ! c’est à mon tour de jouir, maintenant. Touchez, comme elle a besoin d’être soulagée.

— Oui, oui, la bonne chérie, enfonce-la vite, mon Charles, et tu verras que je jouirai du cher Charles aussi bien que d’Henry, dont je te parlerai un jour. Tu es digne de lui et de moi, et j’ai peur de t’aimer autant que je l’aime, c’est-à-dire beaucoup trop tendrement.

Se mettant alors à l’ouvrage, elle exerça vraiment toute sa puissance de lubricité, et nous tirâmes un coup comme il est rarement donné aux mortels d’en tirer d’aussi délicieux sur terre.

Nous restâmes épuisés par le plaisir de nos désirs satisfaits et, ayant tous deux à satisfaire un besoin naturel, nous fûmes obligés de nous lever pour nous soulager. Ma chère maîtresse se servit du bidet et me dit de laver mes parties dans la cuvette, parce que, non seulement cela rafraîchissait, mais ça rendait plus vigoureux.

Puis, comme il faisait tout à fait jour, elle me permit de la faire poser et de la tourner dans toutes les positions, de façon à ce que je puisse admirer et peloter toutes les parties de son corps si ravissant.

Son derrière était plus large et plus dur qu’aucun de ceux que j’eusse vus jusqu’à présent, et vraiment, excepté un dont je vais bientôt parler, c’était le plus beau comme formes et comme grosseur que j’aie rencontré depuis.

Naturellement, tout ce pelotage ne s’était pas effectué sans nous exciter énormément tous deux. Miss Frankland n’était pas restée inactive et m’avait fait les mêmes caresses que je lui faisais, et son clitoris, extraordinairement long, se montrait tout rouge et tout raide au travers de la profusion de poils frisés dont les environs étaient recouverts.

Je proposai de nous sucer mutuellement par terre, en tournant son derrière vers le jour, de façon à ce que je puisse avoir la vue entière de toutes ses parties si ravissantes. Elle approuva mon idée et, jetant par terre deux oreillers qu’elle avait pris sur le lit, pour me relever un peu la tête, elle m’enjamba et, s’agenouillant par terre, elle prit ma pine dans sa bouche et approcha son magnifique derrière et son con gluant au-dessus de ma figure. Je commençai par coller mes lèvres à son con tout ouvert, poussant dedans mon menton, puis ma langue, aussi loin que je pus, léchant le foutre qu’avaient fait couler nos précédents pelotages ; c’était aussi doux et aussi bon que de la crème. Ceci l’excita beaucoup, et elle ferma les lèvres de son con sur ma langue assez fort pour lui donner une bonne étreinte. Je n’ai jamais vu une femme comme elle pour avoir une pareille vigueur sous ce rapport. Mon nez était presque enfoncé dans le trou de son cul et je sentais qu’il y était aussi comprimé ; aussi, changeai-je de route et, à sa grande jouissance, je glissai ma langue dans son derrière. Mais, comme la crise approchait, elle me dit de prendre son clitoris dans ma bouche et de lui enfoncer un doigt dans chacun des deux autres orifices. Je le fis aussitôt, tandis qu’elle me suçait, tout en me donnant le postillon, maniant le bas de ma pine, ainsi que mes couilles, avec de gentilles titillations dont elle avait seule le secret, jusqu’à ce que, dans un excès de jouissance, nous déchargeâmes tous les deux dans la bouche l’un de l’autre un torrent de foutre que nous avalâmes mutuellement avec volupté.

Après cela, nous nous couchâmes pour bien nous caresser et embrasser avant de nous séparer.

Naturellement, cela excita tellement nos désirs qu’une bonne fouterie seule pouvait les soulager.

« Mon Charles chéri, dit-elle, ce sera vraiment le dernier coup. »

Je lui répondis que cela m’avait tellement excité de voir son magnifique derrière quand nous étions par terre, que j’étais désireux de la voir s’agenouiller et de l’enfiler par derrière.

Je pensais réellement la lui mettre dans le con, mais elle crut que j’en voulais à son trou du cul.

« Tu es vraiment un garçon étrange, dit-elle, qu’est-ce qui a pu te laisser supposer que tu pouvais enfoncer ton énorme affaire dans le trou de mon derrière ? mais, pour te dire la vérité, quand j’ai été bien foutue, j’aime assez à l’avoir dans ce chemin ; aussi, tu peux essayer, mais il faut aller bien doucement pour entrer. »

Je répondis :

« Je ne savais pas que je pouvais entrer ma pine dans ce petit trou, je voulais dire que je la mettrais dans votre con par derrière, mais, maintenant, d’après ce que vous venez de me dire, j’aimerais à savoir ce que l’on éprouve par cet autre chemin. » Comme on le voit, je continuais à jouer mon rôle d’innocent.

Elle se tourna, mit sa tête sur l’oreiller, ramena ses genoux sous son ventre, m’exposant ainsi son ravissant derrière de la manière la plus avantageuse. Je m’agenouillai, mais, avant de commencer, je collai mes lèvres au délicieux petit orifice et y enfonçai ma langue aussi loin que possible, ce qui l’excita extraordinairement. Approchant alors ma pine toute raide, je l’engloutis deux ou trois fois dans son con jusqu’aux couilles, de manière à bien la lubrifier. Je la retirai ensuite et la plaçai devant le petit temple de l’amour ; puis, par une poussée douce et uniforme, je l’enfonçai graduellement et presque insensiblement jusqu’aux poils.

Elle poussait ses fesses en arrière, et je sentais qu’elle essayait de se soulager, ce qui est la véritable manière d’accélérer l’introduction d’une pine dans ce canal enchanteur, avec peu de difficulté et sans douleur.

Nous commençâmes alors un mouvement lent ; elle me dit de me baisser, de passer mon bras autour de son corps et de lui branler le clitoris ; mais je la priais de se branler elle-même, ce qui me permettrait d’admirer les délicieux tortillements de son derrière si ravissant, ainsi que la vue de ma pine entrant et sortant de ce temple de délices. Elle m’approuva et nous tirâmes un coup des plus délicieux.

Elle pouvait exercer avec son derrière une étreinte aussi forte qu’avec son con, cependant elle me serrait plus étroitement et je sentais une chaleur plus excitante.

Nous finîmes tous les deux en même temps, mais elle était tellement anéantie par l’excès de jouissance, qu’elle s’affaissa sur le lit, m’entraînant avec elle, sans avoir délogé ma pine. Nous restâmes ainsi pendant un moment assez court. Elle frissonnait encore de temps en temps, tellement les jouissances éprouvées de cette manière avaient été délicieuses. À la fin, elle me pria de la soulager du poids de mon corps. Comme c’était le moment de nous séparer, je me levai. Elle m’assista pour mes ablutions, me passa elle-même ma chemise de nuit, me conduisit à mon lit, m’embrassa tendrement pour les délices de toutes sortes que je lui avais données, me promettant que nous recommencerions la nuit suivante. Elle me laissa, ferma à clef la porte de communication, mais elle eut la précaution d’ouvrir ma porte pour le cas où je ne me réveillerais pas à l’heure ordinaire.

Ainsi se termina ma première nuit d’amour, une des plus délicieuses que j’aie passées avec cette femme charmante et extraordinairement lascive. Ce fut la première de beaucoup d’autres qui suivirent, mais dans aucune nos jouissances ne furent plus intenses, peut-être même aussi intenses.

Elle me parla souvent ensuite de l’heureuse nuit où elle avait eu le bonheur de m’initier à tous les mystères de l’amour, car elle n’eut jamais connaissance de mes précédentes expériences, et elle fut toujours très fière d’avoir été ma première institutrice sous ce rapport.

Le lendemain, je fus un paresseux, mais, comme on peut le supposer, miss Frankland n’eut pas l’air de s’en apercevoir, et, quand l’heure de la récréation fut arrivée, elle se retira dans sa chambre.

Mes sœurs me grondèrent pour n’être pas allé les rejoindre pendant la nuit, mais je leur dis que miss Frankland avait veillé dans sa chambre tellement tard que je m’étais endormi profondément, même que je n’avais pas eu assez de sommeil, puisqu’elles avaient pu voir que j’avais été tout endormi pendant le jour. Cependant, pour les satisfaire, je les gamahuchai toutes les deux et je les foutis l’une après l’autre pendant qu’elles se gamahuchaient mutuellement, de sorte qu’elles déchargèrent trois fois et moi deux fois seulement. Je ménageais mes forces pour les jouissances qui m’étaient promises pendant la prochaine nuit.

Je montai me coucher de bonne heure et m’endormis de suite profondément, n’ayant pas besoin de me tenir éveillé, étant persuadé que miss Frankland me réveillerait aussitôt qu’elle serait prête à me recevoir dans ses bras.

Elle vint, en effet, et nous passâmes une seconde nuit dans des voluptés impossibles à décrire.

Une troisième nuit suivit les deux autres, mais avec ce changement que miss Frankland voulut absolument déflorer mon trou du cul avec son clitoris si extraordinairement long et proéminent, ne s’imaginant certainement pas que, là aussi, elle avait été devancée par mon cher et bien-aimé ami Mac Callum. Elle eut cependant tout le plaisir imaginaire d’une prise de pucelage.

Comme on peut, le supposer, je ne fis rien pour la détromper de son ignorance à ce sujet.

Nous nous étions gamahuchés mutuellement, je l’avais foutue deux fois dans le con et une fois dans le cul, lorsque la fantaisie lui prit de m’enculer avec son clitoris. Naturellement, je ne fis aucune objection ; au contraire, je le suçai de manière à le faire devenir suffisamment raide, je me mis à quatre pattes, dans la position la plus favorable pour satisfaire son désir érotique. Elle glissa d’abord sa langue dans mon trou du cul, mouilla son clitoris avec sa salive, lubrifia mon anus avec le foutre gluant dont son con était plein et m’enfonça alors le cher objet avec la plus grande facilité aussi loin qu’elle put.

Je la secondai de toutes les manières, tortillant mon derrière de droite et de gauche, ce qui était, selon elle, bien supérieur aux mouvements de va-et-vient. Elle passa son bras sous mon ventre, elle excita au dernier degré ma pine avec ses ravissants attouchements, pour lesquels elle ne pouvait pas avoir de rivales, faisant répondre mon sphincter aux tressaillements de ma pine, excitant également ses passions avec l’idée qu’elle était la première à prendre possession de ce petit temple de volupté.

Elle sentit, par les palpitations convulsives de ma pine que j’étais prêt à décharger et, activant les mouvements de sa main et de son clitoris, nous tombâmes tous deux anéantis par les exquises jouissances produites par cette conjonction anti-naturelle de nos deux corps.

Plusieurs jours se passèrent ainsi pendant lesquels nous essayâmes tous les genres possibles de nous procurer la volupté.

Nous nous amusions, pendant les moments de repos, à chercher de nouvelles poses ou de nouvelles manières d’effectuer la conjonction de nos deux corps.

Une fois, pensant à l’état d’excitement dans lequel m’avait mis la fessée qu’elle m’avait donnée avec les verges, je lui demandai, comme si je ne connaissais pas déjà ce qu’il en était, si l’application des verges sur le derrière d’une femme, ou seulement l’acte lui-même de donner la fessée, n’excitait pas son sexe.

Elle me répondit que ces deux actes excitaient extraordinairement les femmes qui s’y livraient. Elle savait par expérience que d’être fouettée avec des verges lui procurait le plus violent excitement et la plus grande envie d’être foutue.

— Alors, dis-je, croyez-vous que cela ait excité mes sœurs aux plaisirs érotiques ?

— Certainement, et surtout ta sœur Elise. Je ne sais si tu as remarqué son mouvement soudain de venir m’étreindre et m’embrasser quand elle rentra à la salle d’étude le jour où je la fouettai ; c’était une véritable impulsion érotique, et si nous avions été seules, je n’aurais pas pu m’empêcher d’y répondre d’une manière qui l’aurait ravie et initiée à quelques délicieux mystères de Vénus ; et je crois que si je n’avais pas eu le bonheur de découvrir tes grands et délicieux mérites, j’aurais cherché et trouvé une opportunité de me trouver seule avec cette chère enfant, car il faut que tu saches que nous pouvons éprouver une très grande jouissance à caresser notre propre sexe, pas aussi grande cependant que lorsque c’est une telle affaire (pelotant et maniant ma pine en disant cela). Cette jouissance n’est pas sans mérite, c’est une petite variation de temps en temps qui est très excitante.

— Alors, je suppose que vous avez encore quelque arrière pensée pour les charmes d’Elise ?

— C’est vrai, et ce qu’il y a de plus fort, je crois qu’elle et Marie ont déjà leurs passions développées à ce sujet. Il m’a semblé quelquefois avoir entendu des soupirs étouffés et des mouvements pas ordinaires quand elles sont couchées, et je ne serais pas étonnée qu’elles se branlaient mutuellement. Je ne voulus pas intervenir et, après ce qui s’est passé entre toi et moi, je dois t’avouer que j’avais formé dans ma tête le plan de laisser aller les choses tellement loin que lorsque je serais intervenue, elles auraient été obligées d’être à ma merci. J’aurais alors pu les initier aux jouissances que les femmes peuvent se procurer entre elles. L’heureuse découverte de tes excellentes qualité et la facilité parfaite avec laquelle nous pouvons nous réunir depuis que j’ai changé de chambre, ont chassé quant à présent ces idées de ma tête. Je n’avais demandé à changer de chambre que pour laisser à tes sœurs plus de liberté pour se livrer à leurs plaisirs, certaine que leur excitement ne ferait qu’augmenter tous les jours et que lorsque je les aurais surprises, elles n’auraient fait aucune difficulté pour les partager avec moi.

— Je suppose que vous les auriez enfilées avec ce cher petit objet ? dis-je.

— Oh ! oui, mon amour, mais tu m’as tellement excitée en me parlant de tout cela qu’il faut me foutre de suite.

Nous tirâmes un coup délicieux et quand nous revînmes de la confusion de nos idées dans laquelle nous jette toujours la crise finale, nous reprîmes notre conversation sur le sujet si intéressant de mes sœurs. Je lui fis observer qu’elle ne les avait pas fouettées depuis quelque temps.

— C’est de ta faute ; je suis si satisfaite avec toi que je n’ai plus besoin de soulager mes désirs de cette manière.

— Dites-moi, chère miss Frankland, est-ce que cela vous a beaucoup excitée de fouetter mes sœurs ?

— Tellement que j’ai déchargé ; mais la peur d’aller plus loin avec elles m’avait rendue féroce ; ma grande sévérité provenait de ce que je ne pouvais pas jouir d’elles ensuite, mais si une fois j’étais arrivée à leur faire partager mes plaisirs, je ne les aurais plus jamais fouettées aussi fortement, mais seulement juste assez pour exciter leurs passions à un degré raisonnable qui les aurait rendues esclaves à ma lubricité enflammée. Même maintenant, j’ai de temps en temps l’envie d’agir ainsi, surtout avec la chère Elise, car je crois qu’elle a une nature plus lubrique que Marie. Est-ce que cela te contrarierait, mon cher petit Charles ?

Pas le moins du monde, surtout si vous me promettez de me raconter ensuite ce qui s’est passé dans tous les détails ; cela nous stimulerait tous deux pour nos plaisirs et nous exciterait à renouveler nos combats amoureux.

— Je crois que tu n’as pas besoin beaucoup de cela, car ton immense pine est aussi dure que du fer.

— C’est l’idée lascive de vous voir jouir d’Elise qui me fait bander, mais il faut que je vous foute encore, sans cela elle va éclater.

— Moi aussi, mon chéri, cette idée m’a enflammée ; fourre-la dans le cul, car j’ai une envie folle de la sentir là en ce moment.

Je fis comme elle m’avait dit, et notre jouissance fut telle lorsque arriva la décharge mutuelle, qu’elle s’affaissa sur le lit en m’entraînant avec elle, et nous restâmes absolument insensibles pendant plus d’un quart d’heure.

Nous ne reprîmes pas notre conversation cette nuit-là, mais j’étais résolu à mettre au jour son idée, et aussi d’engager Elise de faire son possible pour seconder ses vues, sans qu’elle puisse se douter de ce qui pouvait se passer entre Elise et moi et en étant en même temps très réservé sur mes rencontres pendant la nuit avec miss Frankland.

Nous passâmes encore la nuit suivante dans tous les plaisirs que nous pûmes imaginer. Après notre premier profond sommeil, enserrés dans les bras l’un de l’autre, et ma grosse pine engloutie et pressée comme par une vis, je me réveillai le premier, sentant ma pine toute raide dans son con, qui la serrait involontairement dans ses délicieux replis intérieurs. Je me mis à mouvoir doucement jusqu’à ce qu’elle fut si excitée qu’elle se réveilla pour éprouver les ravissements du coup du matin. Nous nous levâmes alors pour satisfaire à nos besoins naturels et rafraîchir nos nerfs par une grande ablution.

Comme nous retournions nous coucher, je remarquai que miss Frankland prit dans son armoire quelque chose plié dans un mouchoir de poche et le plaça sous son oreiller d’un air mystérieux. Je ne dis rien. Après nous être purifiés, nous nous livrions toujours à un mutuel gamahuchage, après quoi miss Frankland me demandait généralement comme faveur de l’enculer. J’aimais trop son délicieux trou du cul pour jamais lui refuser. Elle se plaça comme d’habitude sur ses genoux, les cuisses bien ouvertes, la tête baissée, de manière à présenter le mieux possible son magnifique derrière. Après avoir procédé aux préambules habituels d’introduire deux ou trois fois ma pine dans son con juteux pour bien la lubrifier, je l’introduisis dans son petit trou, toujours par une poussée douce et lente, jusqu’à ce qu’elle fût entrée jusqu’aux poils, alors nous nous reposions un peu pour sentir la volupté de nos mutuelles palpitations.

Pendant cette pose délicieuse, je la vis glisser sa main sous l’oreiller, retirer le mouchoir de poche et le porter sous son ventre. Je sentis bientôt une substance énorme lui remplir le con, ce qui rendait son trou du cul plus étroit et plus serré. Je commençai mes mouvements et je sentis que la substance dans l’autre entrée suivait mes mouvements. Je serrai entre mes doigts son clitoris tout raide que j’avais branlé auparavant pour le faire bien bander. Je glissai ma main plus bas et m’aperçus qu’elle s’enconnait elle-même avec un joli godmiché, d’une grosseur formidable.

— À la bonne heure, chérie, lui criai-je, pourquoi vous cacher pour faire cela, vous devriez savoir que mon plus grand désir est de vous voir éprouver les plus grandes jouissances de toutes les manières imaginables ; branlez-vous, ma bien-aimée, et soyez persuadée que si cela ajoute à vos délices, cela ajoute aussi aux miennes.

— Mais, mon Charles chéri, pousse toujours, je suis au septième ciel en sentant les jouissances que me font éprouver ces deux grosses pines en même temps dans mon corps.

Elle aurait voulu m’en dire long, mais ses paroles furent arrêtées par des extases produites par cette double fouterie, et elle déchargea copieusement avant moi, car je me retenais le plus possible, ce dont je fus récompensé en la faisant décharger, avec le plus grand excès de plaisir, deux fois et moi une fois seulement. À ce moment, il faisait tout à fait jour ; il était trop tard pour songer à entrer en conversation au sujet de ce nouveau partenaire dans nos combats amoureux ; cette conversation fut remise au lendemain.

Cela ne vint pas aussi vite que nous l’espérions, car ce jour-là, les affaires de miss Frankland arrivèrent. C’était fort heureux pour moi qu’elles arrivassent à ce moment de la nouvelle lune, car comme Marie avait les siennes au moment de la pleine lune, cela me permit de consacrer une nuit ou deux à mes sœurs bien-aimées qui trouvaient que je les avais beaucoup négligées dernièrement. Je leur dis que je ne m’étais pas senti très bien, que je commençais à croire que nos excès de fouterie étaient trop grands pour moi, et que je sentais que si je continuais ainsi, je tomberais tout à fait malade.

— Il ne faut pas que cela arrive, cher Charles ; c’est vrai que tu fais deux fois autant d’ouvrage que nous et même plus, car nous ne déchargeons pas comme toi un torrent de foutre quand tu jutes ; il faut prendre soin de toi, nous serons à l’avenir moins gourmandes et nous nous satisferons par un gamahuchage mutuel entre Elise et moi.

Je m’arrangeai alors de manière à cesser avec elles toute fouterie pendant le temps que je pouvais consacrer à miss Frankland qui me faisait jouir plus que mes sœurs.

Je restais toujours dans mon lit jusqu’au moment où je l’entendais respirer fortement, ce qui démontrait qu’elle dormait, avant d’oser quitter ma chambre pour aller retrouver mes sœurs. Le désir de me soulager, comme disait la chère madame Benson, aurait pu lui venir, et mon absence aurait tout fait découvrir. Cependant, elle avait certainement considéré qu’il était de son intérêt de me laisser parfaitement tranquille pour récupérer mes forces perdues, après les pompages fréquents qu’elle avait fait à mes sources spermatiques pendant les quinze derniers jours. Elle n’essaya jamais de m’exciter d’aucune sorte jusqu’après la cessation complète de ses affaires. Elle me dit qu’il valait beaucoup mieux en finir tout à fait en une seule fois, car les excitements érotiques pouvaient faire durer l’écoulement une semaine de plus.

— Ce n’est pas cependant, mon cher Charles, que je n’en aie une furieuse envie, car, dans le commencement surtout, j’éprouve le désir d’être labourée par la plus énorme pine qu’on puisse trouver sur terre ; l’irritation naturelle de cette partie semble augmenter à ce moment. Une précédente expérience m’a enseigné qu’il vaut mieux supporter cette démangeaison que de se livrer à mes passions, car alors l’écoulement dure deux fois plus longtemps ; de plus, il y aurait danger pour toi de compromettre ta santé. Quelquefois, les conjonctions ; à ce moment, produisent un échauffement très préjudiciable au canal de l’homme, et me priverait de les étreintes pendant plusieurs semaines. De sorte que tu vois, mon cher garçon bien aimé, que de toutes manières il est prudent d’éviter tout excitement amoureux pendant cette période, quelques grandes que soient les démangeaisons que l’on a de se livrer aux combats amoureux. Quelques femmes n’en tiennent aucun compte, et pour une satisfaction momentanée, courent les risques, non seulement de se rendre malades elles-mêmes, mais surtout leurs amoureux. Moi aussi, mon cher enfant, j’ai été imprudente, et en connaissant les résultats, je serais à la fois cruelle et stupidement insensée de te laisser courir le risque de ce qui m’est déjà arrivé.

Comme elle me donnait ces sages conseils, je ne pouvais m’empêcher de me rappeler ma chère madame Benson, dont les avis m’avaient déjà rendu service, et maintenant j’avais une autre maîtresse aimée qui m’instruisait sur d’autres sujets ayant trait au sexe faible. C’était vraiment une exceptionnelle bonne fortune d’avoir, à mon âge, rencontré deux femmes aussi admirables, non seulement des plus amoureuses et des plus lascives, mais me faisant connaître entièrement tout ce qui concerne leur sexe et le monde, en même temps qu’elles satisfaisaient mes désirs amoureux, ainsi que les leurs. Elles étaient passées maîtresses dans l’art amoureux et n’ignoraient aucun des moyens pouvant augmenter l’excitement et les jouissances amoureuses ; mais elles savaient aussi vous inculquer la sagesse pour la conduite future. Je dois tous mes succès amoureux du restant de ma vie aux admirables conseils que m’ont donnés ces deux charmantes et inestimables femmes.

La nuit suivante, après avoir sacrifié à Vénus suffisamment pour nous permettre de reprendre notre délicieuse conversation sur les meilleurs moyens d’exciter à l’amour, j’arrivai à parler de fouettage, car, pour dire la vérité, j’avais une envie folle de fouetter le superbe derrière de ma charmante maîtresse. Je l’avais souvent senti palpiter sous les vigoureuses attaques de mon énorme pine, pendant que je labourais l’une ou l’autre des entrées du temple de l’amour. Je lui avais souvent appliqué de bonnes claques sur les fesses avec la main, mais j’avais une extrême envie de me servir de verges, de les faire devenir bien rouges et d’enfoncer alors ma pine dans l’une ou l’autre de ses deux charmantes ouvertures.

Le meilleur moyen pour arriver à satisfaire mon désir, était d’avoir recours à sa propre description d’une fessée pas trop sévère, juste assez pour exciter les passions, sans souffrances ; et comme elle avait avoué que cela l’excitait beaucoup, soit de fouetter elle-même, soit d’être fouettée, je lui proposai de m’appliquer une légère fessée sur le derrière, pour voir l’effet que cela ferait.

Elle sauta sur cette idée, mais comme il n’y avait pas de verges dans la chambre, la cérémonie fut remise au lendemain. Pour cette occasion, elle m’avertit d’abord de me livrer à toute la lubricité possible, et lorsque la nature commencerait à être épuisée, nous expérimenterions alors l’efficacité de la verge. Elle m’aida de tout son pouvoir pour toutes les cochonneries que j’imaginai, et nous payâmes réellement six tributs à notre chère mère Vénus, presque sans interruption, car nous désirions tous deux être épuisés le plus vite possible, afin d’essayer le système de la fessée.

Nous restâmes quelques minutes tranquilles, puis miss Frankland essaya de m’exciter comme d’habitude, mais ma pine était trop rassasiée par les précédentes fouteries pour répondre de suite à son appel.

— Ah ! dit-elle d’une voix douce, je vois qu’elle a besoin de la verge. Préparez-vous, monsieur, et faites en sorte de ne pas faire de résistance, ou cela n’en sera que plus mauvais pour votre derrière.

Suivant son exemple, je commençai à demander pardon, promettant de mieux me conduire dans peu de temps, etc., etc. Mais elle fut inexorable et m’ordonna de m’étendre sur ses genoux. Me prenant alors par la taille, elle me donna deux ou trois coups vraiment douloureux, qui me firent me trémousser pendant un moment.

— Faites attention, monsieur, vous résistez et vous savez que votre punition sera plus sévère ai vous continuez.

— Pardonnez-moi, chère maîtresse, et je ne le ferai plus jamais.

— Nous verrons.

Elle m’appliqua trois coups assez vigoureux, mais pas trop cruels. Je ne bougeai pas.

— Ah ! te voilà devenu un bon garçon, nous n’aurons plus de difficulté maintenant.

Elle commença une série de coups de moins en moins violents, qui se terminèrent par une gentille et irritable titillation qui fit rapidement voir ses effets en faisant bander ma pine, qui se frottait avec fureur contre la cuisse nue de ma charmante fustigatrice, qui, passant un bras autour de mon corps, l’empoigna à pleine main, heureuse de voir combien son système de fessée avait été efficace. Se prétendant tout à fait épuisée, elle s’étendit sur le lit, disant qu’elle n’en pouvait plus.

Je lui sautai dessus et nous tirâmes deux coups sans déconner, avec les plus grands excès de volupté. C’était maintenant mon tour, et comme elle me laissa sortir sans rien dire de son con délicieux, je pris cette manière d’agir pour un motif de punition et de mécontentement.

— Quoi ! vilaine fille, dis-je, est-ce la manière dont vous traitez votre maître, le jeter dehors de son logement de cette manière ! Donnez-moi les verges, votre derrière va payer pour votre vilaine conduite ; agenouillez-vous sur ce tabouret et étendez votre corps sur mes cuisses ; surtout pas de résistance ou ce sera encore pire pour vous.

— Oh ! je vous en prie, monsieur, pardonnez moi cette fois-ci.

Elle s’agenouilla à mes côtés, faisant semblant de pleurer. Je la forçai à s’étendre sur mes genoux, et elle présenta ainsi à mes yeux ravis, son dos magnifique et ses splendides fesses larges, fermes et rondes. Je la saisis autour la taille et rassasiai d’abord ma vue de ses charmes ravissants qui se trouvaient en mon pouvoir, puis je m’emparai des verges.

Je lui appliquai deux ou trois coups violents qui lui firent tortiller les fesses, mais sans lui arracher une parole ; et comme je continuais, dans toute la fureur de la lubricité, à la fouetter sévèrement, elle me pria d’être un peu moins cruel.

Mais je continuai de fouetter avec plus de violence encore, ce qui la fit se tordre sous le châtiment que je lui infligeais. Elle essaya, à la fin, avec violence de se dégager, mais elle était complètement en mon pouvoir et je ne la ménageai pas jusqu’au moment où je vis que sa douleur se changeait en un torrent de volupté. Elle devint folle de désirs et s’écria :

— Assez, Charles adoré, enfile-moi de suite, j’en meurs d’envie.

Je jetai les verges par terre, sautai sur le lit et relevai ses reins de manière à la mettre dans la position à genoux ; elle saisit elle-même ma pine enflammée et l’approcha des lèvres de son con où elle l’engloutit de suite jusqu’aux couilles. Ses mouvements devinrent lascifs au-dessus de toute expression et furent menés avec une telle vigueur qu’en très peu de temps nous déchargeâmes tous deux un torrent de sperme. Nous étions trop excités pour nous arrêter et nous tirâmes un second coup des plus délicieux après nous être reposés à peine une minute. Elle n’était pas encore satisfaite, aussi me faisant étendre sur le dos, elle se coucha sur moi en sens contraire et nous commençâmes un mutuel gamahuchage. Je réussis à la faire décharger encore et elle arriva à faire bander ma pine à nouveau.

— Maintenant, Charles, tu dois finir par un enculage.

Se mettant donc encore à quatre pattes, elle guida ma pine, qui ne demandait pas mieux, vers le plus petit trou de la volupté. Après l’avoir bien lubrifiée dans son con gluant et plein de foutre, je l’enfonçai dans son trou du cul. Je m’emparai de son clitoris, elle avait pris son godmiché dont elle se servait avec la main ; nous courûmes notre dernière course avec un tel ravissement que nous tombâmes tous deux sur le lit complètement anéantis et insensibles.

Épuisés comme nous l’étions par tous ces essais de lubricité, nous tombâmes dans un profond sommeil, sans bouger et sans avoir repris nos sens ; quand nous nous réveillâmes, il était très tard et je dus regagner ma chambre immédiatement sans essayer de nouveaux combats amoureux.

Ainsi se termina ma première expérience de flagellation. La sensation était si nouvelle et la tentation de me venger un peu était si grande, que j’avais un peu dépassé la mesure raisonnable en infligeant d’aussi violents coups au charmant derrière de ma bien-aimée miss Frankland. Je vois cependant qu’elle comprit et excusa les raisons qui m’avaient fait agir ainsi, me priant seulement, à la prochaine occasion, d’être un peu plus maître de moi et de ne pas la faire souffrir autant.

Nous renouvelâmes plusieurs fois ces séances de flagellation, mais plus modérément, suffisamment pour nous exciter sans faire souffrir le patient, qu’il fût l’un ou l’autre de nous.

La flagellation fut souvent ensuite le thème de nos conversations, et petit à petit je lui parlais de l’idée qu’elle avait sur les dispositions amoureuses d’Elise. Elle m’affirmait que telle était encore sa conviction. Je lui suggérai alors l’idée d’essayer et de satisfaire notre curiosité, aussi bien pour le bonheur d’Elise que pour sa propre jouissance à ce sujet.

— Je crois que vous pourriez facilement trouver un prétexte si vous le voulez.

— Oui, c’est assez facile, cette idée m’excite et je vais essayer de me satisfaire.

Je ne me rappelle plus quel fut le prétexte, mais Elise fut retenue le lendemain après-midi à quatre heures. Marie et moi nous courûmes au pavillon. Je savais que nous ne serions pas dérangés par Elise ; aussi je fis profiter Marie de tout le bénéfice de notre réunion et nous tirâmes quatre coups des plus délicieux dans toutes les positions admises dans l’entrée légitime du temple de l’amour ; car jusqu’à ce jour, je n’avais jamais pu arriver à m’introduire dans le petit orifice, qui était trop étroit pour permettre de pénétrer à ma monstrueuse pine.

Il est étrange de penser avec quelle facilité Elise me permettait de l’enculer, tandis que Marie, plus vieille qu’elle et dont les formes étaient plus développées, ne pouvait pas me laisser pénétrer dans son petit trou du cul. Quand vint la nuit, j’étais impatient de savoir comment ma chère maîtresse s’en était tirée avec Elise. Elle me raconta qu’Elise avait été nerveuse pour commencer, mais qu’elle lui avait parlé gentiment, lui disant que sa bonne conduite, après sa première fessée, lui avait acquis son affection, que cette fois-ci elle serait moins sévère que la première fois, mais qu’elle devait supporter la punition.

— Venez donc, ma chère fille, faites comme moi, enlevez votre robe, de manière à ne pas la chiffonner.

Voyant qu’Elise tremblait encore un peu après avoir quitté sa robe, elle la prit dans ses bras et l’embrassant tendrement, lui dit de n’avoir pas peur, qu’elle ne la punirait pas beaucoup.

— Relevez vos affaires, ma chère, et laissez-moi voir s’il reste encore des marques de votre précédente punition.

Elise avait un derrière très proéminent et qui promettait. Miss Frankland le caressa de partout et louangea beaucoup ses formes et sa fermeté, disant qu’il était superbe à voir et ressemblait déjà à un derrière de femme.

— Tournez-vous et laissez-moi voir si le devant est déjà formé aussi comme celui d’une femme. Ma parole, la motte est bien formée et déjà couverte d’une légère mousse.

Ses mains pelotaient les formes d’Elise, dont la figure enflammée et les yeux brillants de désirs montraient qu’elle était très excitée. Miss Frankland elle-même commençait à s’émouvoir, mais elle la fit s’étendre de suite sur ses genoux et commença quelques cinglées gentilles, juste suffisantes pour amener le sang dans cette partie, ce qui agissait doublement sur les organes érotiques déjà excités par le pelotage ; Elise commença à tortiller le derrière avec volupté sous les yeux de miss Frankland excitée, qui, voyant que les choses tournaient en sa faveur, augmenta la violence de ses coups, mais seulement pour augmenter l’excitement de sa patiente, au point que ne pouvant plus résister à la volupté, elle s’écria :

— Oh ! ma chère miss Frankland, je meurs de plaisir, étreignez-moi, caressez-moi.

Miss Frankland la releva et l’attira sur son sein et sur ses lèvres et, tout en lui suçant la langue, elle glissa sa main en bas et trouva la fente d’Elise mouillée du foutre qui coulait de son petit clitoris tout raide par suite de la passion érotique qui la consumait.

Elle la branla jusqu’à ce qu’elle déchargeât une nouvelle fois, pendant que leurs langues allaient et venaient dans leurs bouches. Au moment où Elise déchargea, miss Frankland enfonça un doigts dans son con, qui, naturellement, ne fit aucune résistance, mais comme Elise possédait dans la perfection l’art de resserrer, elle la trouva suffisamment étroite pour laisser un doute dans son esprit et croire qu’elle s’était seulement enfilé le doigt.

— Ah ! petite polissonne, tu as déjà joué avec ce petit trou ; dis-moi la vérité.

— Je vous dirai tout, si vous voulez continuer à jouer avec moi comme cela. Depuis que vous avez fouettée Marie et moi-même, nous étions si excitée entre les jambes, que nous avions senti que de nous toucher et d’enfoncer nos doigts nous faisaient beaucoup de bien, quoiqu’au commencement cela nous fît bien souffrir. Mais vous le faites bien mieux que Marie, faites-le encore, ma chère miss Frankland.

— Je le ferai bien mieux, ma chérie, avec ce que j’ai entre les jambes ; regarde.

Et relevant ses jupons et sa chemise, elle montra à Elise stupéfaite, la quantité extraordinaire de ses poils et son clitoris rouge et raide pointant au milieu de cette masse de poils noirs et frisés.

— Que c’est beau ! s’écria Elise, je vois que vous avez une pissette dont j’ai si envie depuis si longtemps ; il faut que je l’embrasse.

Se baissant alors, elle le prit dans sa bouche et le suça.

— Arrête, chère Elise, nous allons jouir toutes les deux.

Prenant les coussins de la chaise, elle se coucha sur le dos par terre, disant à Elise de tourner sa figure de l’autre côté, de s’agenouiller au-dessus de son corps, de manière que chacune de leurs bouches puisse s’adapter à leurs fentes.

Elise me raconta ensuite qu’elle fit en sorte de paraître tout à fait ignorante et de laisser miss Frankland croire qu’elle l’initiait dans toutes les cérémonies du gamahuchage.

Miss Frankland colla ses lèvres à la fente ravissante de la chère Elise, pendant que cette dernière prit dans sa bouche son extraordinaire clitoris.

Après plusieurs caresses ardentes, miss Frankland enfonça un doigt dans le trou du cul d’Elise et s’arrêta un moment pour dire à Elise, non seulement de suivre son exemple de cette manière, mais encore d’en faire autant avec son autre main dans sa fente tout en continuant de lui sucer le clitoris.

S’étant ainsi toutes deux arrangées comme je viens de le décrire, elles se gamahuchèrent toutes deux jusqu’au moment où, épuisées par leurs fréquentes décharges, elles ne purent plus faire un mouvement.

Après cette première séance, Elise fut curieuse de voir en détails toute cette forêt de poils dont étaient couverts les organes et les membres de miss Frankland qui se prêta de bonne grâce pour satisfaire ses désirs. Non seulement elle laissa Elise faire son inspection, mais elle procéda elle aussi à l’inspection d’Elise. Dégrafant sa robe en haut, elle découvrit les charmants petits tétons d’Elise dont elle se mit à sucer les bouts. Ces pelotages et ces caresses mutuels réenflammèrent rapidement ces femmes lubriques et passionnées.

Après un nouveau gamahuchage qui les excita sauvagement, miss Frankland proposa de mettre son clitoris dans la fente d’Elise ; elle la fit s’agenouiller, et s’agenouillant aussi derrière elle, elle l’enfonça avec facilité dans les replis chauds et humides du magnifique con d’Elise. Passant une main sous le ventre d’Elise, elle branla son clitoris jusqu’à ce qu’elle eût déchargé ; elles tombèrent toutes deux dans la voluptueuse langueur qui suit la crise finale. Elles renouvelèrent une troisième fois ces jouissances lubriques et enivrantes et reprirent leurs robes afin d’être en tenue convenable pour nous recevoir.

Miss Frankland dit à Elise de suivre ses conseils et de ne pas révéler, même à Marie, ce qui s’était passé entre elles. Mais Elise supplia miss Frankland d’admettre Marie à ces nouveaux mystères qu’elle venait de lui faire connaître, l’assurant que Marie avait un corps bien plus beau que le sien et qu’elle aimerait cela autant qu’elle.

— Eh bien ! ma chérie, je vais y penser et chercherai une occasion de la fouetter comme je l’ai fait avec toi.

— Oh ! ce sera charmant ! s’écria Elise, elle l’aimera autant que moi ; c’est si bon ; il faut me fouetter tous les jours, chère miss Frankland ; je vous aimais d’abord, maintenant, je vous adore.

Elles s’embrassèrent très tendrement, mais notre arrivée mit fin à leur conversation.

Ces détails furent accompagnés et interrompus par deux ou trois fouteries des plus voluptueuses, sans retirer une seule fois ma pine enflammée de son con brûlant et palpitant, car la description qu’elle me faisait était des plus excitantes. Quand elle eut fini, je déconnai pour pouvoir nous gamahucher l’un l’autre, et lécher le foutre délicieux dont son con était inondé. Nous recommençâmes alors nos combats amoureux, sacrifiant à notre Sainte mère Vénus dans les deux ouvertures. Nous nous endormîmes alors avec la conscience aussi tranquille que possible, et comme des géants, ayant puisé de nouvelles forces dans le sommeil, nous recommençâmes nos dévotions sur chaque autel avant de nous séparer le matin.

Deux jours plus tard, Marie fut initiée par miss Frankland de la même manière qu’Elise, pendant que cette dernière et moi nous prenions nos ébats dans le pavillon. Excité par sa description de ce qui s’était passé entre elle et miss Frankland, nous nous livrâmes à toutes les orgies qu’il nous fut possible pendant une heure ; nous fûmes obligés d’attendre, à notre tour, plus d’un quart d’heure à la porte, ce dont me remercia beaucoup miss Frankland la nuit suivante. La séance avec Marie avait été des plus lubriques, par cette raison que Marie, dès le commencement, se prêta à tout ce qu’elle voulut, sachant par Elise à l’avance ce qui devait se passer. De plus, les formes plus développées de Marie excitèrent beaucoup miss Frankland qui en était tout à fait amoureuse. Elle avait tellement déchargé, que lorsque je l’eus gamahuchée et enfilée trois fois dans chaque ouverture, elle réclama le stimulant de la verge pour ranimer sa lubricité épuisée. Et pour dire la vérité, je la réclamai aussi moi-même et la reçus sur mon derrière. Par ainsi, nos passions voluptueuses agissaient l’une sur l’autre, et nous passâmes une nuit épuisante dans tous les excès des raffinements de la volupté, dans lesquels les godmichés de miss Frankland, car elle en avait deux de différentes grandeurs, jouèrent un grand rôle sur nos deux personnes.

Maintenant que la glace était rompue, je persuadai aisément miss Frankland de prendre de temps en temps, tantôt l’une, tantôt l’autre de mes sœurs, pour coucher avec elle, donnant pour raison qu’occasionnellement une nuit de repos me ferait du bien pour reprendre ma vigueur, et que le matin, quand elle renverrait sa camarade de lit, je pourrais la servir avec plus de force ; elle pourrait les initier à la flagellation mutuelle et à l’usage des godmichés.

Naturellement, je n’ai pas besoin de dire que ma principale intention était d’arriver à une orgie générale ; c’est, en effet, ce qui arriva, mais pas ainsi que je me l’étais imaginé ; cela ne faisait rien du moment que le but principal était atteint. J’avais aussi la possibilité de voir à travers le trou de la serrure beaucoup de ces délicieuses scènes de lubricité, et quand j’étais arrivé au dernier degré d’excitement, je me retirais et me glissais près de ma sœur inoccupée, soulageant avec elle ma sauvage lubricité.

Cela durait depuis environ quinze jours, tantôt l’une, tantôt l’autre de mes sœurs couchant avec miss Frankland. Il paraît qu’Elise avait manifesté souvent l’ardent désir de voir une pine véritable et avait fini par savoir de miss Frankland, qu’elle s’était servie de la mienne. La petite polissonne importunait miss Frankland pour se faire enfiler par moi en sa présence, disant qu’elle pourrait facilement se cacher derrière les rideaux et que je n’en saurais jamais rien. Miss Frankland, qui en avait aussi envie qu’elle, consentit et la plaça à un endroit où elle pouvait tout voir sans être vue ; elle ouvrit ma porte pour venir me chercher, mais trouva un lit vide. Elle crut tout d’abord que j’étais allé trouver une domestique, mais elle voulut s’assurer si par hasard je n’étais pas avec Marie.

Elle monta bien doucement l’escalier et nous trouva en train de nous livrer à un mutuel gamahuchage, qu’elle put voir sans difficulté à la lueur du jour naissant. Elle eut la bonté de nous laisser jouir jusqu’à la fin, puis elle dit en me tirant :

— Oh ! Charles ! c’est affreux ! Comment n’étais-tu pas satisfait avec moi ? Est-ce que je t’ai jamais refusé ! Sais-tu bien que ce serait le déshonneur pour nous tous si quelqu’un venait à savoir ce qui se passe ? Tu es trop jeune pour comprendre quelles seraient les affreuses conséquences d’une pareille découverte.

Elle laissa alors couler un torrent de larmes, dues évidemment non à la jalousie, mais aux horribles résultats qui pouvaient arriver. Je me jetai dans ses bras et comme elle avait elle-même avoué notre intimité, je n’éprouvai aucune difficulté en y faisant allusion. Je la caressai et la pelotai, l’assurant qu’il n’y avait pas à craindre qu’on nous découvre, moins encore maintenant qu’auparavant, car nous étions tous intéressés à bien garder le secret ; elle faciliterait mon intimité avec mes sœurs, et elles, faciliteraient mon intimité avec elle. De suite elle répondit :

— Depuis combien de temps est-ce que cela dure ? Dis-moi la vérité.

Depuis longtemps je m’étais préparé à cette question et répondis de suite que depuis sa description des scènes lascives qui s’étaient passées entre elles, et son admiration pour leurs jeunes charmes, j’avais été pris d’un violent désir de les posséder, que j’avais pris Marie pendant qu’Elise était couchée avec elle, et Elise pendant que Marie était dans son lit, qu’elles avaient été trop heureuses pour ne rien me refuser et que nous avions déjà joui une douzaine de fois les uns des autres.

J’avais auparavant prévenu mes sœurs de confirmer n’importe quelle histoire je pouvais raconter à miss Frankland.

Elise nous avait rejoint quand elle avait vu miss Frankland sortir à ma recherche et toutes deux dirent comme moi.

Nous entourâmes miss Frankland en la caressant de partout. Ma pine devint affreusement raide Relevant ma chemise de nuit, je dis :

— Laissez ce joli morceau faire la paix entre nous et devenir également cher à vous toutes. Je sais, ma chère maîtresse, que mes sœurs sont avides de le voir s’exercer sur votre magnifique personne et s’engloutir dans votre con poilu et délicieux, laissez-moi donc sacrifier à vos charmes incomparables. Elise vient justement de me dire que vous me cherchiez pour cela, voyez, votre cher clitoris est tout raide ; laissez Marie se coucher sur vous pour vous sucer le clitoris pendant que ma grosse pine vous remplira complètement le con sous ses yeux. Vous pouvez la gamahucher, Elise regardera par derrière cette vue enchanteresse et donnera le postillon à mon trou du cul.

— Eh bien, mes chers enfants, le mal est fait, il est inutile de crier quand le lait est renversé, profitons-en donc du mieux que nous pourrons. Je ne puis résister à la vue de cette éloquente et bien aimée « affaire » si longue et si grosse, qui a été faite pour rendre les femmes folles de volupté.

Nous mettant alors tous dans la position que je viens de décrire, nous tirâmes un coup des plus délicieux et des plus lubriques qu’il soit possible d’imaginer. Elise, qui s’était emparée d’un godmiché, se l’enfilait tout en contemplant les mouvements saccadés de nos corps, et nous déchargeâmes tous ensemble très copieusement. Il ne nous était pas possible d’en faire davantage pour le moment, car il se faisait tard et les domestiques allaient bientôt se lever.

Miss Frankland regagna ma chambre avec moi, car sa propre chambre était fermée en dedans ; elle m’embrassa bien tendrement, me disant que j’étais un polisson, mais qu’elle avait toujours supposé que les choses finiraient ainsi, et qu’il valait mieux que ce fut plus tôt que plus tard.

Ainsi se passa notre première orgie générale, qui fut le prélude de beaucoup d’autres plus libertines et plus lubriques et que je décrirai plus minutieusement au fur et à mesure qu’elles se présenteront.

Miss Frankland ne nous permit pas de nous réunir dans une orgie générale la nuit suivante. Elle connaissait maintenant nos réunions dans le pavillon (mais elle supposait qu’elles n’avaient commencé que dernièrement, car mon histoire était trop croyable pour qu’elle n’y ajoutât pas foi, spécialement parce qu’elle était convaincue par tout ce qui s’était passé pendant notre première fouterie, qu’elle avait eu le suprême et divin plaisir de me prendre mon pucelage. Elle était tout à fait satisfaite de ce côté, mais elle supposait que je serais très heureux de continuer ce que j’avais si bien commencé. Elle nous accompagna au jardin pendant notre heure de récréation, de sorte que nous ne pûmes nous livrer à aucun plaisir érotique. Après avoir couru un peu, nous nous assîmes tous ensemble, et miss Frankland nous fit la leçon sur notre conduite future. Elle nous dit :

— Quelque délicieux que cela pourrait être pour vous, aussi bien que pour moi, de nous réunir chaque nuit, cela serait une habitude dangereuse, dangereuse parce que nous serions moins prudents et pourrions nous laisser surprendre ; de plus, et c’est là le principal, ce serait l’épuisement et la destruction de notre bien-aimé Charles, qui ne pourrait pas continuer longtemps un pareil excès de fouterie, que réclameraient constamment de lui trois cons aussi excités que les nôtres.

Voyant que j’allais l’interrompre pour déclarer que cela m’était tout à fait égal, elle m’arrêta en disant que j’étais trop jeune pour savoir quelle pouvait être la conséquence de pareils excès, que nous devions nous en rapporter à son expérience, nous laisser guider par elle et que nous y trouverions tous notre avantage.

Elle ne nous permettait pas de nous réunir tous ensemble plus de trois fois par semaine. Les autres nuits elle veillerait à ce que je ne commette pas d’autres excès.

Tels furent les sages conseils de cette femme admirable et tel fut le programme de nos futurs plaisirs ; je me révoltais contre ce que je croyais être à ce moment une trop grande restriction, mais je fus convaincu plus tard que les voluptés étaient plus grandes quand les délais étaient plus éloignés. Naturellement, je couchais tout de même avec miss Frankland, ce qu’on peut appeler les nuits « blanches », mais elle établit de suite l’habitude de me restreindre à deux décharges par nuit, me permettant cependant de la faire décharger aussi souvent que je voudrais.

Il me fut difficile de me soumettre au commencement, mais à la fin je me pliai assez aisément au règlement qu’elle avait établi. Je m’aperçus bientôt de la sagesse de ce procédé, car souvent ensuite, pour mes derniers efforts, je fus obligé d’avoir recours à la verge pour terminer nos orgies.

La seconde nuit, après la découverte de mon intimité avec mes sœurs, fut celle pendant laquelle eut lieu notre première réunion à quatre dans la chambre de miss Frankland.

Nous avions été envoyés au lit de bonne heure, comme d’habitude, et miss Frankland nous avait bien recommandé de nous endormir le plus vite possible et de ne pas être anxieux, car elle irait elle-même réveiller les fillettes quand toute la maison serait couchée. Quant à moi, c’était le plan que j’employais toujours, car cela me permettait de me livrer plus longtemps aux plaisirs, ayant déjà pris un fort acompte sur la nuit.

L’hiver était fini et le printemps commençait. Il faisait une chaude nuit et un superbe clair de lune. Aussitôt que nous fûmes tous réunis, l’ordre fut donné de nous mettre entièrement nus ; alors, nous nous étreignîmes mutuellement, prenant toutes sortes de positions afin de bien admirer les charmes des uns et des autres. Les mains se promenaient partout, se concentrant spécialement sur les formes magnifiques de miss Frankland, dont la richesse de poils noirs et frisés était si excitante. Il devint bientôt nécessaire de calmer la première effervescence de nos passions, ce que nous faisions toujours par un gamahuchage mutuel. Miss Frankland qui avait un goût extraordinaire pour Marie, s’accoupla avec elle, pendant que je m’arrangeai avec Elise.

Miss Frankland qui s’était munie d’une provision de godmichés, nous en donna un à tous, de grandeur différente, suivant le but qu’ils avaient à remplir. Comme le cul de Marie ne pouvait encore en recevoir un que de petit calibre, miss Frankland garda le plus petit pour son usage particulier, les autres furent distribués indistinctement. Ainsi armés, nous procédâmes aux excès voluptueux du gamahuchage sous toutes les formes, faisant durer nos plaisirs le plus longtemps possible, de manière à passer toute la nuit dans les plus ravissantes jouissances. Quand l’extase finale nous saisit, nous fûmes obligés de cesser de gamahucher afin de permettre de sortir aux expressions poussées par les sensations extraordinaires que nous ressentions.

Nous restâmes quelque temps anéantis avant de recommencer nos caresses. Maintenant que nous avions jeté notre premier feu, nous préparâmes avec plus de calme nos combinaisons voluptueuses. On enleva toutes les couvertures du lit, qui présentait alors un champ admirablement approprié pour nos combats amoureux. Nous tînmes conseil au sujet de nos futurs mouvements et finalement nous décidâmes ce qui suit :

Marie se coucherait sur le dos, Elise se mettrait sur elle en sens contraire, miss Frankland satisferait la grande envie d’Elise de se faire enculer par son extraordinaire clitoris, pendant que je foutrais miss Frankland dans le con et lui donnerais le postillon en introduisant deux doigts dans son petit orifice ; Elise postillonnerait Marie avec le doigt tout en la gamahuchant ; Marie m’enculerait avec le petit godmiché et branlerait le con d’Elise avec le plus gros. Il fut convenu que nous courrions deux courses ainsi groupés, avec cette petite variante, que la deuxième fois j’enfoncerais ma pine dans le cul de miss Frankland dont on remplirait le con avec un gros godmiché.

Aucun de nous n’était pressé d’arriver à la conclusion finale, nous voulions au contraire faire durer le plus longtemps possible cette délicieuse conjonction de nos corps. Nous tirâmes un coup ravissant et nous nous arrangeâmes pour décharger tous ensemble dans des transports de luxure et de volupté.

Malgré le plaisir de cette décharge finale, nous fîmes en sorte, comme c’était convenu, de conserver nos positions ; nos parties sexuelles palpitaient de plaisir ; nos passions furent bientôt rallumées, car jusqu’à présent elles n’avaient été que légèrement calmées, le petit changement convenu fut alors opéré, et je m’engloutis jusqu’aux couilles dans le délicieux trou du cul poilu de miss Frankland qui poussa un cri de joie quand elle sentit mon énorme pine s’enfoncer dans ses entrailles. Nous fîmes une légère pause pour lui permettre de savourer la volupté de cette introduction, sans cela elle aurait déchargé après deux ou trois mouvements de mon énorme braquemart. Nous procédâmes alors plus paresseusement, et après avoir accompli nos mouvements de la plus voluptueuse manière, nous fûmes saisis tous ensemble par la crise finale et, après avoir déchargé les uns sur les autres ou dans les autres des torrents de foutre brûlant, nous tombâmes tout à fait insensibles dans un groupe confus de formes nues et palpitantes de luxure satisfaite.

Nous fûmes très longtemps avant de reprendre connaissance ; nous désenlaçant alors, nous nous levâmes pour faire nos ablutions avec de l’eau froide, non seulement pour nous purifier, mais pour nous stimuler pour nos excès lubriques futurs, tels que chacun de nous pouvait les imaginer ; mais nous nous arrangions toujours de manière à laisser croire à miss Frankland qu’elle était l’auteur des idées nouvelles. Elle l’était presque réellement toujours, car son expérience dans tous les raffinements de la volupté était très grande et nous lui devions beaucoup de combinaisons délicieuses dans nos orgies générales. Après nous être partagé du vin et des gâteaux que miss Frankland avait eu l’heureuse idée de se procurer, nous nous amusâmes à jouer avec tous les poils dont miss Frankland était si abondamment couverte de partout. Mes sœurs admiraient surtout l’ampleur, la fermeté, la rondeur de ses magnifiques fesses, lui suçant, soit l’une, soit l’autre, ses tétons ravissants, d’autres fois, jouant avec son énorme clitoris déjà tout rai de ; nous l’amenâmes bientôt à un tel degré d’excitement que, s’emparant de Marie, elle la coucha sur la table où elle se mit à la gamahucher, pendant qu’Elise, passant dessous, lui suçait le clitoris, et que moi, par derrière, je lui enfonçais ma pine dans le con.

Cela les fit décharger copieusement et la chère créature s’évanouit, ainsi que Marie dans l’excès du plaisir, avant que je n’arrive moi-même à la crise finale. Je me contentai donc de faire palpiter ma pine dans les délicieux replis de son con, jusqu’au moment où la fatigue de la position nous força à nous désunir. Elle était si calme qu’elle put discuter avec nous à quels raffinements de volupté nous allions nous livrer. Comme Marie avait eu une décharge extra avec miss Frankland, on fit agenouiller Elise avec la tête bien baissée, j’enfonçai ma pine dans son con avide, miss Frankland se tenait debout en face de moi, ayant le corps d’Elise entre ses jambes ouvertes ; j’introduisis d’abord un petit godmiché dans son derrière et un plus gros dans son con et j’enfonçai les deux jusqu’aux couilles. Elle avança alors son ventre, me mit son long clitoris dans la bouche et me plaça ses deux mains sur la tête. Je passai alors une main entre ses jambes ouvertes et saisissant les deux godmichés d’une seule main, je me mis à les faire aller et venir tous deux à la fois, tout en suçant son clitoris et en unisson avec mes mouvements dans le con d’Elise qui se branlait elle-même en même temps son clitoris avec ses doigts.

Marie, armée de deux godmichés en avait introduit un dans mon derrière pendant qu’elle engloutissait l’autre dans son con. Nous tirâmes de cette manière un coup délicieux. Miss Frankland, au moment de l’extase semblait vouloir faire entrer ma tête dans son ventre, tellement elle me la pressait. Elle fut si heureuse des jouissances obtenues par cette pose qu’elle s’écria que nous ne devions pas changer avant d’avoir couru une deuxième course.

Elise dit qu’elle désirait que je sorte ma pine de son con pour la lui mettre dans le cul et pria Marie de lui prêter un godmiché avec lequel elle puisse s’enconner.

Les femmes furent de suite prêtes, mais ma pine fut plus longtemps à bander, aussi miss Frankland pria Marie de m’appliquer une vigoureuse fessée avec les verges.

Elle le fit avec beaucoup d’art tout en faisant manœuvrer le godmiché qu’elle avait encore dans le con. L’effet fut instantané, et ma pine grosse et raide remplit entièrement le ravissant trou du cul d’Elise qui en était enchantée. Miss Frankland pria Marie de lui donner un léger stimulant avec les verges. Rien ne pouvait faire plus de plaisir à Marie, car elle nous avoua ensuite qu’elle avait depuis longtemps le plus grand désir de fouetter ce magnifique et immense derrière.

Avec de tels stimulants, cette course fut une des plus exquises que nous avions courues et la crise finale fut accompagnée de cris de volupté, et nous tombâmes anéantis par les jouissances de nos désirs satisfaits.

Nous nous levâmes pour nous purifier et noua rafraîchir à nouveau, et nous nous mîmes sur le lit, nous enlaçant les uns les autres, pendant un certain temps.

Comme Marie n’avait pas encore eu ma pine dans son con, miss Frankland proposa que je l’enconnerais, qu’Elise s’agenouillerait près de nous, qu’elle-même enculerait Elise avec son clitoris et ferait manœuvrer un godmiché dans mon derrière et un autre en même temps dans le sien. Aussitôt dit que fait, la tête d’Elise se trouvait à hauteur du ventre de Marie, de manière à ce que miss Frankland se trouvât assez près de moi pour faire ce qu’elle désirait et nous tirâmes un coup si délicieux qu’après la décharge nous tombâmes pêle-mêle sur le lit où nous nous endormîmes tous d’un profond sommeil.

Il était si tard quand nous nous réveillâmes que nous eûmes juste le temps de nous laver à l’eau froide, faire un gamahuchage général pour finir et regagner nos chambres respectives.

Pour cette dernière occasion, miss Frankland voulut me gamahucher, car elle était heureuse d’avaler une bonne goutte de crème. Ce jeu amusa beaucoup mes deux sœurs.

Ce fut vers cette époque que madame Vincent accoucha d’un gros garçon. Je n’ai pas parlé d’elle depuis le jour où, pour la première fois après son mariage, je l’avais foutue dans le pavillon pendant que tout le monde était allé à la rencontre de miss Frankland. Depuis ce jour, je n’avais eu avec elle que deux entrevues secrètes, que je n’ai pas mentionnées, parce qu’elles avaient été trop courtes et nous avions été trop peu à notre aise pour avoir de grandes jouissances ; elle était ensuite trop grosse de son bébé pour continuer nos entrevues. Maman écrivit une lettre de félicitations à monsieur Vincent, lui souhaitant beaucoup de bonheur pour son fils et son héritier, ne se doutant pas que son propre fils en était le véritable père. Cette lettre amena la visite de monsieur Vincent pour prier ma mère d’être la marraine du petit bébé. Ma mère accepta de suite, demandant quels seraient les parrains. Il répondit qu’un de ses oncles, dont il avait des espérances, avait accepté d’être un parrain, mais il ne savait qui demander pour le second.

— Pourquoi ne pas prendre Charles qui a toujours beaucoup aimé votre femme comme son institutrice et qui a aussi un oncle dont il espère un jour recueillir un joli héritage.

— Vous avez là une excellente idée, madame Roberts, si vous voulez être assez bonne pour faire venir Charles, je lui ferai la proposition et s’il accepte, cela me tirera d’embarras.

On me fit appeler et, comme on le pense, j’acceptai immédiatement, remerciant monsieur Vincent de l’honneur qu’il me faisait et espérant que madame Vincent ne verrait pas d’inconvénient à ce que je sois un des parrains, quoique bien jeune.

— Laissez-moi faire, ma chère femme m’est si dévouée que tout ce que je désire est une loi pour elle, aussi ne vous tourmentez pas de cela.

On peut bien supposer que je ne me tourmentais nullement, étant certain que madame Vincent n’aurait pas demandé autre chose si elle n’avait pas été retenue par la prudence.

J’appris plus tard de monsieur Vincent qu’elle avait simulé quelques objections au sujet de ma jeunesse, mais la première fois qu’elle put m’adresser la parole en particulier, elle me raconta quel bonheur elle avait éprouvé de voir que son mari avait exaucé son désir le plus ardent et le plus cher à son cœur.

La cérémonie se passa fort bien, mais ce n’était qu’à des intervalles très rares que nous pouvions trouver l’occasion de renouveler nos combats amoureux. Cependant, je n’avais aucune raison de le regretter, car, au point de vue du soulagement de mes passions érotiques, pendant près de deux ans, c’est-à-dire jusqu’à mes dix-huit ans, je continuai des jouissances ininterrompues dans les bras de ma lubrique miss Frankland, ou dans des orgies avec elle et mes sœurs, avec lesquelles nous arrivâmes au point culminant de tous les excès qui puissent exister entre trois femmes lubriques et un garçon vigoureux.

À la vérité, nous en abusâmes même un peu trop, si j’en juge par ce fait, qu’à la fin, miss Frankland et moi étions obligés d’avoir recours à la verge, et mes sœurs aussi en usaient occasionnellement.

Avec un précepteur tel que miss Frankland nous devînmes les meilleurs élèves en raffinements érotiques et lubriques ; mais je dois aussi reconnaître qu’elle ne négligeait pas pour cela notre éducation, même je dois dire que l’intimité de nos corps fut un avantage à ce sujet ; car cette femme supérieure nous disait toujours que pour mériter sa confiance et son amitié, nous devions profiter de ses leçons. J’ai parlé déjà de son système d’éducation qui était bien supérieur à tout ce que nous avions connu jusqu’à présent, et maintenant qu’elle avait gagné notre amour et notre affection, il n’y avait rien que nous ne fussions disposés à faire pour seconder ses efforts pour nos progrès. Elle était très instruite, parlait français et allemand comme des natifs, connaissait assez de grec et de latin pour moi et elle était une musicienne consommée. J’ai rarement entendu quelqu’un pour toucher aussi bien du piano. Pendant les deux ans qui suivirent notre première orgie, je fis vraiment des progrès étincelants. Nous parlions tous assez bien le français, nous avions quelques connaissances sérieuses de l’allemand, spécialement. Marie qui le parlait très bien ; quant à moi, je parlais l’allemand aussi bien que le français et j’avais des connaissances assez étendues en latin et en grec.

Ce fut vers cette époque qu’arriva un événement qui changea entièrement notre existence. Ma mère a déjà dit que j’avais des espérances du côté d’un oncle ; elles étaient très vagues. Il était le frère de mon père, mais ils ne s’étaient jamais bien entendus ensemble et nous étions presque étrangers les uns aux autres. Il mourut et un beau jour nous fûmes fort surpris, pour ne pas dire enchantés, d’apprendre de son exécuteur testamentaire, un monsieur Nixon, riche marchand de Londres, que mon oncle avait laissé à ma mère dix mille francs de rentes aussi longtemps qu’elle resterait veuve, mais à sa mort, le capital devrait être divisé entre mes deux sœurs. Il me donna à moi les immeubles, sous la tutelle de monsieur Nixon jusqu’à ma majorité, à la condition que je deviendrais homme de loi et entrerais comme avocat à Inner Temple ; de plus, une somme de douze mille cinq cents francs fut allouée pour nous tous, quoi qu’il advienne.

Monsieur Nixon nous annonçait que d’ici quinze jours il viendrait dans les environs et profiterait de l’occasion pour venir nous voir et arranger les affaires suivant les intentions de mon oncle. Il ajoutait que les revenus des immeubles étaient d’environ vingt-cinq mille francs par année et qu’en conséquence, je devais recevoir une éducation beaucoup plus sérieuse que celle qu’on se proposait auparavant. C’était une véritable chance.

Mon père nous avait laissé avec la maison environ quinze mille francs de rentes en propriétés, entièrement à ma mère, tant qu’elle resterait veuve et jusqu’à sa mort. Alors quatre mille cinq cents francs de rentes à chacune de mes sœurs et la maison pour moi.

J’étais maintenant l’héritier de trente-cinq mille francs de rentes, de deux maisons de campagne et d’une magnifique ferme attenante à la maison de mon oncle.

On peut facilement s’imaginer la joie de toute la famille lorsque nous nous trouvâmes aussi à l’aise, possédant un revenu plus que doublé. Nous faisions des rêves fous sur ce que nous allions faire ; mais maman nous rappela à la réalité en nous informant que jusqu’à ma majorité, monsieur Nixon était le maître de nos destinées et qu’il était plus que probable qu’il insisterait pour m’envoyer à une école publique.

Cette nouvelle anéantit toutes mes espérances, car nous étions heureux de penser que nous serions plus libres, et maintenant il était probable que nos délicieuses orgies allaient toucher à leur fin. Nous échangeâmes de tristes regards en écoutant maman, et nous fûmes d’une humeur massacrante quand nous nous réunîmes dans la nuit dans la chambre de miss Frankland ; mais cette chère et tendre créature nous fit entrevoir l’espoir que si une séparation momentanée était nécessaire, c’était pour obtenir plus tard une réunion plus parfaite et plus sûre.

— Et pour dire toute la vérité, dit-elle, mon cher Charles, nous t’avons trop épuisé dernièrement et ta santé ne pourra que gagner à cette séparation, car j’ai remarqué dernièrement des symptômes qui indiquent que trois femmes c’est un peu trop pour toi seul. Je suis certaine que je resterai toujours l’institutrice de tes sœurs, et rapporte-t-en à moi pour les amuser à un point dont tu seras enchanté quand tu reviendras, ce qui aura lieu environ tous les six mois.

Pour nos passions amoureuses, six mois nous paraissaient une éternité. Les remarques de miss Frankland nous avaient un peu rassurés, et quoique nous ne fussions pas d’humeur à nous livrer à nos orgies avec toute la fureur habituelle, nous passâmes cependant une nuit suffisamment délicieuse, nous livrant à des raffinements de jouissances qui auraient paru excessifs à beaucoup de personnes.

En temps voulu, M. Nixon fit son apparition. C’était un homme déjà un peu âgé, mais de bonne tournure et un véritable homme du monde. Voyant que j’avais toujours été élevé à la maison par des institutrices, il pensa que je devais être un jeune ignorant ; il en avait parlé à maman qui m’avait dit de me tenir sur mes gardes.

M. Nixon me fit venir seul au salon et commença une conversation agréable qui n’avait l’air d’avoir aucune importance, probablement avec l’intention de ne pas me rendre nerveux et timide, mais qui tourna peu à peu sur des sujets scientifiques. Il fut agréablement surpris des progrès que j’avais fait, non seulement sur l’histoire et la géographie, mais aussi sur les langues vivantes, et ce qui le surprit le plus, ce fut mes connaissances en latin et en grec. Il me demanda spécialement si un prêtre n’avait pas aidé mon institutrice pour mes leçons.

Après le dîner, pendant lequel il fit beaucoup attention à miss Frankland, il la complimenta chaleureusement sur son système d’éducation et sur les progrès qu’elle avait obtenus. En même temps, il fit observer que, comme son cher et vieil ami avait manifesté le désir de voir son neveu devenir avocat, il serait nécessaire de l’envoyer à un prêtre prenant en pension quelques élèves, puis au collège royal de Londres, avant d’entrer aux chambres du barreau.

Miss Frankland reconnut de suite la justesse de ces observations, et elle espérait que Charles ferait honneur à son enseignement.

— Certainement, miss Frankland, car je peux vous assurer que j’ai été étonné de la manière admirable dont vous avez préparé le terrain et surtout des connaissances que vous lui avez données sur les langues vivantes. J’en suis si satisfait, que j’ai l’intention de prier madame Roberts de vous conserver comme institutrice de ses filles jusqu’à ce qu’elles soient assez âgées pour commencer à connaître le monde, alors on les mettra dans une école de la métropole.

Tout ceci fut dit avec beaucoup de déférence pour miss Frankland, et je fus certain que le vieux monsieur était aussi enthousiasmé de sa personne que de son système d’enseignement. Mais il est probable que je parlerai de cela un peu plus tard.

Ma mère entendant qu’il était question de m’envoyer chez un clergyman, pensa immédiatement à son beau-frère, le révérend monsieur Brounlow, pasteur de Leeds, dans le Kent, un petit village près du château de ce nom. C’était un monsieur qui avait pris tous ses grades à Cambridge et avait l’habitude de prendre un, deux et même trois pensionnaires, jamais plus, pour les préparer aux Universités. Elle savait par une lettre de sa sœur, qu’il y avait en ce moment une place de libre. Il était un excellent professeur, comme pouvait s’en informer monsieur Nixon, et comme Charles n’était jamais sorti de la maison, ce serait une grande satisfaction pour elle de savoir que sa propre sœur pourrait en avoir soin. Monsieur Nixon répondit qu’il était tout à fait consentant, ce dont il ne doutait pas, que les renseignements qu’il allait prendre fussent tels qu’il les désirait.

Il nous quitta en nous promettant une prompte décision, et en effet, une semaine après, maman reçut de lui une lettre où il approuvait absolument mon envoi chez mon oncle.

On écrivit à ma tante, et comme c’était le moment des vacances, on pria monsieur et madame Brawnlow de venir passer une semaine avec nous et que je m’en irais avec eux.

Nous n’avions pas vu notre oncle ni notre tante depuis que nous étions tout petits, et je me rappelais seulement ma tante comme une grande et grosse femme. La distance nous avait empêchés de nous réunir plus souvent, et nos relations se bornaient à des échanges de jambon d’York et d’huîtres, à l’occasion de la Noël. Comme ils répondirent par retour du courrier qu’ils seraient au milieu de nous deux ou trois jours après la réception de leur lettre, on peut être assuré que miss Frankland et nous tous, fîmes de notre mieux pour profiter de nos dernières orgies. Nous n’eûmes aucune retenue, et chaque nuit fut consacrée aux déesses de la volupté et de la luxure.

Le jour fatal arriva enfin ; ma mère et mes deux sœurs allèrent à la ville à la rencontre de mon oncle et de ma tante, laissant miss Frankland et moi à nos études. On peut bien supposer que ce qui nous occupa fut l’amour et non la grammaire ; elle me témoigna une grande tendresse dont je ne l’aurais pas crue capable. M’embrassant tendrement et me pressant sur son sein, elle fondit en larmes, on aurait dit que son cœur était brisé, et elle laissa tomber sa tête sur mon épaule. J’essayai de la consoler du mieux que je pus, mais, ainsi qu’on le sait déjà, comme les pleurs d’une femme font un effet extraordinaire sur ma pine, je la plaçai dans sa main. Elle sourit au milieu de ses larmes, et instantanément abaissa sa tête vers le cher objet, l’embrassa, le suça et le branla jusqu’à ce qu’il déchargeât un flot de foutre dans sa bouche qu’elle avala avec bonheur, continuant de sucer jusqu’à ce qu’il ne restât plus une goutte. Se relevant alors pour me caresser encore, elle me dit :

— Oui, mon cher adoré, c’était le véritable moyen d’arrêter mes larmes, non seulement j’adore ta grosse pine, mais j’en suis arrivé à t’aimer, mon bien-aimé, plus que je n’ai jamais aimé dans ma vie. Tu es mon élève à moi, mentalement et corporellement. Tu vas bien me manquer et je regrette amèrement ton départ ; mais nous nous retrouverons encore, quoique jamais avec autant de facilité et de liberté que maintenant. Tu viendras passer tes vacances ici et nous en profiterons le plus possible. Je sens que le cher objet veut encore me faire jouir, donnons-lui satisfaction et mettons-le dans son nid habituel.

Ces dernières paroles s’adressaient à ma pine, qui, toute raide encore, attirait l’attention. Nous nous mîmes en batterie et jouâmes de la langue et du cul. Nous ne fûmes pas raisonnables, car il avait été décidé la nuit précédente, que j’attendrais de connaître les habitudes du nouveau couple avant de quitter ma chambre pour aller dans celle de mes sœurs ; aussi, j’avais donc devant moi toute une nuit pour me remettre.

À cinq heures, la voiture arriva, et mon oncle et ma tante furent les bienvenus dans la maison. Mon oncle était grand, fort, avec des manières onctueuses de clergyman et une très agréable voix. Ma tante, de quinze années plus jeune que mon oncle, était très grande pour une femme ; elle avait une jolie corpulence, de larges épaules, de gros tétons bien séparés, une taille assez petite pour sa grosseur, des hanches immenses et des fesses comme il est impossible d’en trouver de pareilles. Elle était très grosse, mais elle se tenait très droite et marchait avec une grande légèreté, montrant qu’il y avait quelque chose en elle ou plutôt qu’elle pouvait prendre pas mal de choses d’un autre. Elle avait de magnifiques cheveux blonds, des sourcils très épais, ce qui promettait une certaine abondance par ailleurs. Ses yeux étaient d’un bleu profond et pouvaient regarder jusqu’au fond de vous-même. Elle avait une charmante expression de visage, une petite bouche et des dents très blanches. Son teint était extraordinairement blanc et rose, ses bras énormes, mais bien faits, des pieds et des mains petits, gras et ronds. Elle avait près de quarante ans, mais en paraissait à peine trente-cinq. En un mot, c’était une belle femme à voir et à désirer. Elle m’embrassa tendrement, je lui rendis la pareille avec plaisir, et elle nous félicita tous sur notre fortune inattendue. La première introduction fut des plus agréables et je commençai à croire qu’en définitif je ne serais pas trop mal avec eux.

On nous permit de rester levés un peu plus tard que d’habitude et, comme ma tante était fatiguée par un jour et une nuit de voyage, ils furent heureux de suivre notre exemple presque immédiatement. J’avais à peine eu le temps de me déshabiller lorsque je les entendis entrer dans la chambre que miss Frankland leur avait cédée la veille. Cela avait ainsi été arrangé, et maintenant elle couchait comme auparavant dans la chambre de mes sœurs jusqu’au moment de notre départ. J’éteignis rapidement ma lumière, dans la crainte qu’ils ne l’aperçurent filtrer au travers de la fente que j’avais faite. Me mettant à genoux, je me mis à surveiller leurs actions.

La première chose que fit ma tante fut de se baisser sur le pot, juste en face de ma fente, et comme elle avait relevé ses jupes très haut, je pus voir qu’elle avait un mont de Vénus très proéminent, tout couvert de poils blonds et épais. Le jet de son urine était incroyable, on aurait dit une cataracte comme force et quantité, et ma pine se mit de suite à bander affreusement en entendant bien distinctement le bruit de cette eau chaude. Comme elle se levait et avant qu’elle n’eût laissé retomber ses jupes, je pus voir les splendides proportions de ses cuisses, comme je n’en avais jamais vues jusqu’à ce jour. Hélas ! ce ne fut qu’un éclair.

Cependant, j’étais résolu à continuer à regarder, espérant voir quelque chose pendant le déshabillé. Elle quitta tous ses vêtements de dessus, ne conservant que son corset et sa chemise. Je pouvais maintenant remarquer la grosseur réelle de ses proportions ; le corset qui ne maintenait que la taille, laissait les hanches et les fesses se développer dans toute leur gloire. Jamais de ma vie je n’avais vu un aussi beau derrière que celui de ma tante ; je parle maintenant de la grande quantité que j’ai pu voir et inspecter dans ma vie.

Il est vrai de dire que sa grosseur ajoutait beaucoup à sa proéminence, mais quoique grosse, même très grosse, ce n’était pas une grosseur qu’on pouvait appeler graisse : car dans notre intimité qui arriva d’une manière des plus voluptueuses, je n’ai jamais pu arriver à la pincer dans ses parties musclées. Elle avait le derrière le plus gros et le plus dur que j’aie jamais rencontré. Je suis certain que lorsqu’elle se tenait bien droite, un enfant aurait pu se tenir sur les immenses projections de ses fesses. Ses cuisses étaient positivement monstrueuses dans leurs ravissantes proportions ; aussi dures que du fer, admirablement moulées, d’une fraîcheur et d’une blancheur qui pouvaient rivaliser avec l’ivoire auquel elles ressemblaient de plusieurs manières, car elles étaient toujours fraîches au toucher. Les jambes étaient dignes des cuisses, se terminant par des chevilles minces et charmantes et des pieds très petits pour sa taille. Comme sa chemise avait des manches courtes, elle montrait entièrement à ma vue les magnifiques beautés de formes de ses splendides bras et de son cou, ainsi que des tétons énormes et excessivement blancs. Comme on peut le supposer, on ne voyait aucun os percer au bas de son cou, ce qui est un signe de grande beauté chez une femme. Quand une femme montre les os de sa poitrine, c’est le signe d’une naissance commune.

Les énormes tétons de ma tante se dressaient superbement au-dessus de son corset, qui devait les soutenir comme je le croyais à ce moment, mais cette superbe femme n’avait pas besoin de cela, ses charmants tétons se tenaient d’eux-mêmes très droits, pointant en avant leurs bouts roses. Son ventre seul était un peu trop proéminent, quand elle était debout, il ne tombait pas en formant tablier ; au bas se trouvait le plus large et le plus proéminent mont de Vénus que j’aie jamais rencontré, abondamment couvert de poils blonds, qui n’empêchaient pas de voir au travers sa peau aussi blanche que du lait.

Elle était bien fournie de poils dans cette partie, mais après la fourrure extraordinaire que possédait miss Frankland, avec laquelle j’avais si souvent joué, toutes les autres femmes paraissaient ne rien avoir dans ce genre. Ma tante, après avoir enfilé sa chemise de nuit, s’assit pour faire sa toilette et laissa tomber sur ses épaules la masse de ses cheveux tressés. Pour cela, elle était richement partagée, tous ces cheveux étaient à elle dans une profusion incroyable, et, quoique fort grande, ils lui tombaient au-dessous des fesses et étaient si épais qu’elle pouvait les éparpiller devant et derrière et couvrir avec eux sa nudité. Titien devait avoir eu une aussi magnifique tête pour un de ses modèles, car elle ressemblait absolument, quoiqu’étant un peu plus blonde, à la célèbre Madeleine du Palais Pitti à Florence, où elle est représentée simplement couverte de ses cheveux.

Telle était ma tante, et souvent, très souvent ensuite, comme elle faisait tous mes caprices, se montrant dans toutes les attitudes voluptueuses que je voulais, elle se mettait nue et voilait ses charmes avec ses cheveux seulement.

Cependant, le pasteur s’était déshabillé, sans que j’eus attaché à lui la moindre attention, j’avais mieux à voir. Lui aussi avait endossé une robe de chambre et s’était assis près de sa femme pour causer sur les événements du jour. Naturellement, j’étais le sujet de leur conversation.

Ils commencèrent à se féliciter de ce que notre nouvelle situation de fortune nous permettait de me donner comme pensionnaire chez eux. La femme fit observer que c’était doublement heureux, car le petit scandale qui était arrivé, leur avait empêché d’avoir un seul pensionnaire. Le pasteur dit :

— Ça ne fait rien, mon amour, ce petit garçon en amènera bientôt d’autres ; il me paraît un gentil et joli garçon, mais je vais essayer de l’entretenir un peu demain et de voir ce qu’il faut en penser ; les garçons élevés par des femmes sont généralement doux comme du lait.

— Je ne crois pas qu’il en sera ainsi avec lui, répondit ma tante, je suis un bon juge au sujet des caractères et je suis certaine que miss Frankland est trop ferme et sévère pour ne pas forcer, même les garçons, à se plier à ses volontés.

Je croirais qu’elle a été plutôt trop sévère avec lui, car ma sœur m’a dit qu’elle avait plein pouvoir pour se servir des verges, mais qu’après une ou deux fessées, elle les avait tout à fait domptés et que leurs progrès étaient vraiment très grands et des plus satisfaisants, car monsieur Nixon, le tuteur de Charles, qui l’avait interrogé, avait été on ne peut plus satisfait ; mais il paraît être bien insignifiant, peu formé, mince, pâle, avec un air maladif, il semble être bien plus jeune qu’il n’est réellement et n’a pas l’air d’être capable de ce que nous désirons tous deux, n’est-ce pas cher pasteur !

Je ne comprenais pas alors à quoi elle faisait allusion, mais à ce moment le pasteur se baissa, l’embrassa et certainement lui enfonça sa langue dans la bouche. Il passa une main au-dessous de ses superbes tétons, releva sa chemise et commença à fourrager entre ses cuisses. Elle posa ses brosses à cheveux et s’empara de sa pine, mais elle dit aussitôt :

— Ne m’excite pas, mon cher, tu vois que ce pauvre ami ne peut rien faire sans la verge et nous n’en avons pas ici, aussi reste tranquille, vas te coucher, tu seras un sage garçon.

Il lui obéit, se leva, enleva sa robe de chambre, mit sa chemise de nuit et se jeta sur le lit où il s’endormit bientôt profondément avant que sa magnifique femme n’eût terminé sa toilette de nuit. Quand elle fut finie, elle enleva son corset et passa sa chemise par-dessus sa tête ; je faillis tomber à la renverse en voyant ses énormes fesses. J’étais positivement stupéfié. Je m’imaginai voir Junon dans toute sa gloire devant Jupiter, et certainement il pouvait bien être tenté si Junon avait un derrière aussi beau et aussi énorme que celui de ma tante.

Elle se baissa encore toute nue et fit couler un nouveau torrent dans le vase de nuit. Je ne pus résister à cette vue, je me dirigeai vers mon lit et pour la première fois de ma vie je fus obligé de soulager moi-même, par la masturbation, l’excitement de ma luxure, qu’avait engendré la vue de ces beautés surnaturelles. Je pus à peine m’empêcher de pousser des cris de bonheur quand arriva la crise, surtout quand je déchargeai un jet de foutre qui jaillit du lit jusque vers la porte, vers laquelle j’avais dirigé ma pine, tout en la branlant avec fureur et l’enfonçant, en imagination n’importe où ; car si le proverbe : « On peut foutre une femme de tous côtés » était applicable à quelqu’un, c’était certainement à ma ravissante tante. On pouvait approcher sa pine de n’importe quelle partie de son corps et décharger de suite dans un excès de volupté, rien que par la beauté de ses formes et la blancheur de sa peau. Jamais, non jamais je n’ai rencontré sa pareille. Sa manière de foutre était aussi en rapport avec l’immensité de ses formes et capable de satisfaire l’homme le plus voluptueux et le plus libertin.

Telles furent mes premières expériences avec la personne de ma tante et le lecteur ou la lectrice deviendra, à mesure que mon histoire se poursuit, plus intime avec sa personne et ses actions. Je tombais de sommeil, je rêvai que je la possédais de toutes les manières, rivalisant avec Jupiter et Junon, Mars et Vénus, pures visions pendant cette nuit, mais qui se transformèrent ensuite en douces réalités de la plus voluptueuse et lubrique nature.

Le lendemain, pendant l’heure de la récréation, miss Frankland se promena avec nous, et me retirant avec elle dans un endroit écarté, pendant que les filles s’amusaient entre elles, je lui racontai tout ce que j’avais vu et entendu la veille ; elle arriva de suite à cette conclusion que j’étais destiné à tomber dans les bras de ma tante.

— J’en suis d’autant plus heureuse, mon cher Charles, que ce sera dans les bras d’une femme extraordinairement belle ; après tes expériences avec nous, il faut que tu aies quelqu’un et tu ne pouvais pas trouver mieux. Cela te sera évidemment facile, car tu as toutes les dispositions pour cela. Il y a un point sur lequel j’appelle toute ton attention : ta prudence habituelle et ton bon sens en général t’en feront connaître toute l’importance. Ta tante a certainement une grande expérience des plaisirs érotiques. Si elle s’aperçoit de suite de ton expérience à ce sujet, elle te tourmentera jusqu’à ce que tu lui aies fait connaître celle qui t’a servi de professeur. Maintenant, il te semblera évident que si elle apprend l’intimité qui existe entre toi et moi dans ce genre, elle pensera que j’ai pu aussi initier tes sœurs, ou si elle ne va pas aussi loin, de croire que nous les avons corrompues, il est probable qu’elle fera son possible pour m’éloigner d’elles. Aussi tu vois, mon bien cher garçon, quelle que soit la difficulté que tu éprouveras, pour notre salut à tous, il faut que tu paraisses tout à fait innocent et ignorant des plaisirs amoureux. Il faut ne pas avoir l’air excité et lui laisser faire les premiers pas de l’initiation ; et je ne crois pas me tromper en pensant qu’elle est toute prête à agir ainsi, mais il n’en vaudra alors que mieux si elle te trouve tout à fait innocent.

Quoique tu sois très savant sur les procédés amoureux, il faudra surmonter tes sensations, de manière à ne pas paraître le moins du monde connaître ce qu’elle désire. Elle sera doublement plus heureuse si elle s’imagine être la première à cueillir ton pucelage. Avant ton départ, je te donnerai plusieurs conseils sur ta future conduite.

Pendant tout ce temps je bandais, aussi la priant de se baisser contre un arbre, je relevai ses jupons et chemise par-dessus sa tête et je la foutis par derrière, branlant son clitoris et la faisant décharger en même temps que moi.

Ce fut un coup rapide, mais cependant délicieux, car nous sentions tous deux que nous devions profiter le mieux possible du peu de temps que je devais rester à la maison. Je lui parlais de la remarque qu’avait faite ma tante qu’elle n’avait pas de verges sous la main et il fut convenu que miss Frankland en mettrait sur le rayon de son armoire à laquelle elle laisserait la clef comme par hasard. Comme cette armoire se trouvait dans la chambre où couchaient mon oncle et ma tante, cette dernière, excitée par la curiosité, voudraient certainement voir son contenu.

Ceci répondait à un double but, car miss Frankland s’était arrangée pour mettre quelques bons livres, marqués avec des morceaux de papier aux endroits moraux et pieux, de manière à donner à mon oncle et à ma tante une haute idée de l’honorabilité de son caractère, car assurément ces livres ne devaient servir qu’à ses lectures particulières.

Les verges furent placées et devaient servir d’amorce pour la nuit suivante. Pendant l’après-midi, mon oncle me prit à part et me fit passer un assez sévère examen. J’étais assez studieux, mais étant bien dirigé par l’admirable système d’enseignement de miss Frankland sur la manière remarquable dont elle m’avait préparé. Je m’imaginai, pendant qu’il continuait avec elle la conversation, qu’il devenait plus doux et plus onctueux, comme si l’effet de la luxure s’infusait dans ses veines.

Cette nuit, je surveillai comme la veille leurs préparatifs pour se mettre au lit et entendis toute leur conversation. Cette fois le pasteur faisait sur moi beaucoup de louanges, mais ma tante répondait que j’étais timide et sans vie ; je ne paraissais pas avoir le sang vif, ajoutait-elle, comme j’aurais dû l’être à mon âge, mais cette éducation faite par des femmes faisait des garçons des filles.

Je pensais en moi-même : « Je suis sûr, ma chère tante, que bientôt je te ferai penser autrement. » Le pasteur se coucha tranquillement ; ma tante se mit toute nue, se servit du bidet, me donnant la plus délicieuse et la plus excitante vue de tous ses charmes entièrement déployés.

Aussitôt qu’elle eut éteint sa lumière et se fut mise au lit, je me glissai dans la chambre de mes sœurs où trois cons avides attendaient impatiemment ma pine enflammée.

Nous nous livrâmes à toutes les jouissances de la volupté et de la luxure, et nous ne cessâmes qu’au jour, moment où je devais regagner ma chambre. Avant de les quitter, il fut convenu entre nous ce qui suit :

Comme on devait laisser la clef à la porte de l’armoire où on avait enfermé les verges, la nuit suivante miss Frankland et mes sœurs devaient monter se coucher de bonne heure et s’endormir de suite très profondément avant mon arrivée ; car si notre stratagème devait réussir, je resterais pour voir le résultat, ce qui me prendrait au moins une heure ou deux et je les réveillerais alors en leur appliquant la verge de Moïse dans leurs sources d’eau chaude, car sans doute elle serait tendue à éclater si mon oncle et ma tante se livraient à des ébats amoureux.

Je me tins réveillé jusqu’à ce que mon oncle et ma tante vinssent se coucher, et je me plaçai immédiatement en vedette. Ils ne firent d’abord aucune attention à la clef laissée sur la porte de l’armoire. Ma tante continuait ses opérations et mon oncle était plus excité que d’habitude. Mais quand ma tante ayant empoigné sa pine s’aperçut qu’il n’y avait rien à en attendre, elle se leva en le grondant. Il devint plus pressant et se mit à la suivre voulant lui caresser son con superbe. Il arriva qu’elle s’était retirée à reculons du côté de l’armoire et elle fut arrêtée par la clef qui lui heurta le dos.

— Ah ! Qu’est-ce qu’il y a ? s’écria-t-elle, et se retournant elle dit que du moment que la clef avait été laissée dans la serrure, il ne devait pas y avoir de mal à regarder dedans. Son mari devint aussi curieux qu’elle.

Naturellement, la première chose qu’ils virent ce furent les livres rangés en conséquence. Ils les saisirent avec avidité, espérant sans doute trouver des choses obscènes, mais à leur grande surprise, surtout pour le pasteur, c’était tout le contraire.

— Eh bien ! Je n’aurais jamais cru cela ; croirais-tu, ma chère, que je commençais à soupçonner que son air sainte-Nitouche cachait un tempérament des plus ardents, mais ces livres prouvent tout le contraire. C’est dommage, car elle est faite pour la jouissance de toutes les passions.

— Oh ! Tu as déjà travaillé à cela, n’est-ce pas, vieux polisson ?

— Eh bien, tu sais bien que nous avons tous deux toute liberté pour nous amuser de temps en temps, et toi-même tu as assez souvent fait usage de notre entente.

— Non, pasteur, tu es trop méchant : est-ce que je m’occupe de toutes les polissonneries que tu fais avec tes jeunes élèves de ton propre sexe ! Est-ce que je ne me suis pas souvent prêtée à toutes tes fantaisies dans ce sens, quand tu n’avais pas occasion de te livrer à ton plaisir favori, la pédérasterie ?

— C’est bien, c’est bien, mon amour, je ne te fais pas de reproche, tu m’es trop chère et trop bonne pour moi, pour ne pas voir que je faisais une simple plaisanterie ; mais qu’est-ce qu’il y a là ? un paquet de verges ? Voilà qui est heureux.

Se levant jusqu’au rayon du haut, il attira les verges. D’abord ils soupçonnaient miss Frankland de s’en servir pour elle-même, mais l’état absolument neuf dans lequel se trouvaient les verges prouvaient le contraire, qu’elles n’avaient pas encore servi.

— Quelle heureuse chance ! s’écria ma tante, je vais pouvoir te fouetter suffisamment pour te rendre capable de me foutre. Tu me fouetteras ensuite, ce qui amènera une deuxième fouterie, devant ou derrière, comme tu aimeras le mieux.

— Tu es un ange, ma femme chérie, et je ferai mon possible pour satisfaire tes deux orifices, il est vraiment honteux qu’ayant une femme aussi magnifiquement belle de formes, je soie obligé d’avoir recours à un autre stimulant que celui de simplement regarder tes admirables proportions ; mais je suppose que c’est l’âge qui affaiblit ma vigueur.

— Tu es dans le vrai, mon cher John, car moi qui avais l’habitude de croire que ta vieille pine était suffisante pour moi, je suis obligée d’avoir recours à de jeunes pines pour satisfaire mes désirs, réclamés par mon amoureuse constitution ; ce serait honteux si je ne me prêtais pas à tous tes petits caprices, quand tu fais tout ton possible pour chercher les occasions de me satisfaire. J’aurais seulement désiré que mon neveu fût plus digne de nous, nous en aurions fait une bonne bouche entre nous deux, aussi bien pour sa satisfaction personnelle que pour la nôtre.

— Mais, ma chérie, l’air de Kent et une éducation plus virile peuvent le développer beaucoup, et sous ton éducation, il peut devenir un sujet pas aussi à dédaigner que tu ne le penses ; quoi qu’il en soit, il nous servira toujours de pis-aller, jusqu’à ce que nous trouvions mieux ; mais tu devras procéder avec précaution, car il paraît aussi timide qu’une jeune fille.

— Mon cher John, les plus timides deviennent les meilleurs quand une fois ils sont lancés. J’aurais désiré que son physique fût plus en rapport avec mes goûts, mais nous verrons, nous verrons : maintenant, mettons-nous tous deux entièrement nus, et mettons, le mieux que nous pourrons, à profit, la découverte de ces verges, la seule chose que nous désirions et dont nous avions besoin.

Ma tante releva rapidement ses magnifiques tresses de cheveux et fut bientôt entièrement nue, le pasteur aussi. Je puis vous assurer qu’il avait un très beau corps d’homme, bien musclé, nerveux, avec une grosse paire de couilles bien rondes. Sa pine baissait encore la tête, mais était cependant assez grosse, bandant à moitié, excitée sans doute par leur conversation et leurs souvenirs. Sa peau et sa pine étaient excessivement blanches et ses couilles écarlates. Je sentis à ce moment que si j’avais osé, je me serais précipité dans la chambre, et que je l’aurais sucée jusqu’à ce qu’elle fût devenue aussi raide pour satisfaire l’insatiable con de ma tante. C’était là un plaisir pour plus tard, quand je permis au pasteur de me supplier de lui faire ce que j’avais moi-même un brûlant désir d’accomplir. Mais j’anticipe. Aussitôt qu’ils furent prêts, ma tante ordonna d’une voix dure :

— Venez ici, monsieur, je vais vous fouetter, vous n’avez pas fait dernièrement votre devoir comme vous devriez le faire, vous êtes un petit polisson.

Le pasteur, prenant l’air d’un jeune écolier, pria de l’excuser pour cette fois, mais son inexorable maîtresse fut insensible, et, le saisissant par le bras, elle le coucha sur ses larges et fermes cuisses, et, passant son bras autour de sa taille, elle saisit sa pine dans la main, elle commença à le fouetter si vigoureusement, avec toute la force de son bras que je commençai à croire que le pasteur allait hurler de douleur. Mais il reçut les coups sans un seul murmure, se contentant de remuer son derrière de tous côtés d’une manière qui indiquait qu’il éprouvait plus de plaisir que de peine. Alors ma tante qui, sans doute, sentait dans sa main que sa pine était arrivée au point voulu pour satisfaire ses passions, le releva en disant :

— Maintenant, je vais vous faire mariner, mais comme vos grosses fesses rouges sont trop larges pour être marinées, ce sera votre pine que je vais faire mariner. Aussi, venez ici, monsieur, et laissez-moi mettre ce morceau tout raide dans mon pot à cornichons, où, je vous assure, la saumure lui enlèvera bientôt toute sa fierté.

Je suppose que c’était cette sorte de langage enfantin qui leur faisait le plus plaisir à tous deux, car mon oncle, qui s’était levé et qui présentait un saucisson bien plus gros que je n’aurais cru, prétendait craindre sa future punition et suppliait qu’on le laisse tranquille, qu’il avait été assez puni, etc., etc.

Cependant, ma tante, le menant par la pine vers le lit, se coucha sur le bord, étendue sur le dos, ramena ses énormes cuisses presque sur son ventre, et montra à mes yeux avides, sa fente effroyablement large et couleur de saumon, entièrement pleine de foutre, car la flagellation l’avait fait décharger copieusement. Je n’ai jamais vu un con aussi large, ni un triangle aussi étendu, partant de chaque côté des lèvres et finissant aux fesses, le tout couvert de poils du plus beau blond.

— Voilà, monsieur, la prison où vous subirez votre punition, baissez-vous et embrassez-la avant que j’emprisonne dedans votre indécente pine.

Le pasteur, sans hésitation, se baissa et la gamahucha si bien, que son derrière se tortillait sous sa tête et faisait tout trembler dans la chambre ; ses mains pressaient tellement la tête de mon oncle, qu’on aurait dit qu’elle voulait la faire entrer dans son con. Elle déchargea enfin en poussant des cris de volupté. Il avala rapidement tout, puis, se levant, il engloutit sa pine jusqu’aux poils d’un seul coup, je pourrais presque dire ses couilles avec, dans ce con avide et magnifique. Il se reposa alors quelques minutes, et je pouvais voir par les frétillements de ses fesses, combien ma tante jouissait. Ils exécutèrent bientôt des mouvements plus actifs, car, passant ses jambes sur son dos, elle commença à pousser de bas en haut, avec une activité beaucoup plus grande que je ne l’en aurais crue capable. Ils manœuvrèrent beaucoup plus longtemps que je ne m’y attendais ; mais lorsque vint la crise finale, ce fut avec une énergie et des mouvements convulsifs que les deux amoureux déchargèrent. Je pouvais voir son con humide serrer par le bas la pine de mon oncle dont la grosseur s’était beaucoup augmentée ; ils demeurèrent ainsi insensibles et immobiles pendant plus de vingt minutes, mais on pouvait voir, par les frémissements de leurs corps, quelles voluptueuses jouissances ils éprouvaient. Mon oncle se releva le premier, mais pour se baisser aussitôt et lécher avec avidité tout le foutre fumant qui sortait de l’immense ouverture de ma tante. Cela fait, elle se leva aussi et, jetant ses bras autour du cou du pasteur, elle, colla ses lèvres aux siennes et sembla sucer le foutre dont elles étaient encore couvertes. Cela dura quelques minutes. Ma tante alors le fit s’étendre sûr le lit et se mit à lui sucer longuement la pine, toute molle maintenant, mais cependant encore assez grosse. Elle le remercia alors pour la grande satisfaction qu’il lui avait donnée, déclarant que c’était aussi bon que les premières fois de leur union. Puis, après avoir joué et s’être pelotés dans le lit, elle dit qu’ils devaient procéder à une nouvelle flagellation, sur son derrière à elle cette fois-ci, car il lui avait promis de lui donner une double ration.

— Certainement, mon amour, mais tu sais que tu m’as promis que je pourrai choisir le temple où je veux consommer le sacrifice.

— Mon John aimé, tu sais bien que lorsque j’ai été bien foutue par devant, je préfère être enculée, ainsi c’est bien entendu.

L’accord étant parfait, ils se levèrent ; mon oncle s’étant emparé des verges, fit agenouiller ma tante sur le bord du lit, présentant ainsi ses immenses fesses pour être fouettées. Elle se trouvait juste en face de moi, j’avais ainsi devant mes yeux son large con excessivement ouvert ainsi que son trou du cul avec une large auréole brune, sur laquelle ses petits poils blonds et frisés faisaient Un effet charmant.

Je n’ai pas besoin de dire que ma pine était dans un état d’excitement extraordinaire et prête à éclater. Mon oncle prit les verges d’une main aussitôt que ma tante fut en position, et, se plaçant de côté, il passa sa main gauche sous son ventre pour lui branler le clitoris, ayant la droite libre pour lui infliger sa punition. Je dois dire que ni l’un ni l’autre ne ménagèrent les verges ; il la fouetta avec fureur, mais elle ne manifesta aucun signe de douleur et ne dit pas un mot. Ma tante commença bientôt à tortiller ses énormes fesses, en indiquant par là combien les verges lui faisaient plaisir. Sa peau, d’une blancheur éclatante, se colora bientôt d’une teinte écarlate amenée par les coups de verges. Plus ses fesses devenaient rouges, plus les mouvements de ses deux demi-globes devenaient palpitants, si bien que mon oncle aussi montra que cette vue stimulait son système, cependant moins facilement excitable, en montrant une pine qui relevait sa tête rouge et enflammée. La main de ma tante se glissa vers elle, et connaissant sans doute ses habitudes, elle déclara qu’elle était aussi prête qu’elle-même. Tournant alors son corps de côté sur le lit, mais toujours sur ses genoux, elle dit au pasteur de s’agenouiller derrière elle ; se baissant d’abord, il lécha le foutre brûlant dont son con était couvert, car elle avait déjà déchargé une fois ; puis, roulant sa langue autour de son trou du cul, il l’enfonça dedans aussi loin qu’il put.

Il se mit ensuite sur ses genoux, plongea d’abord sa pine deux ou trois fois dans son con, puis la retirant bien lubrifiée, il présenta la pointe à son trou du cul et l’engloutit d’un seul coup jusqu’aux couilles. Ma tante poussa un cri de plaisir, quand elle se sentit pénétrée jusqu’aux entrailles. Le pasteur, satisfait pour le moment, resta immobile, jouissant des pressions exquises que ma tante opérait sur sa pine avec son sphincter. Il regardait ses magnifiques fesses, qu’il maniait et tripotait avec un plaisir évident. Je vis ma tante glisser sa main vers son con et je pus remarquer qu’elle se branlait le clitoris avec rage. Elle cria bientôt à mon oncle de ne pas être aussi paresseux et de commencer les délicieux mouvements qu’elle attendait de lui.

Il fit comme elle demandait ; mais je ne pus résister à la vue du superbe derrière de cette magnifique femme, se trémoussant de jouissance, et empoignant ma pine en feu, je la branlai deux ou trois fois, ce qui amena de suite les plaisirs voluptueux d’une copieuse décharge si délicieuse que je perdis connaissance et tombai lourdement sur le sol. Il était fort heureux que mon oncle et ma tante fussent si tendrement occupés, car on aurait pu démolir la maison qu’ils ne s’en seraient pas aperçus. Comme je n’étais tombé que de mes genoux, cela ne troubla en rien leur plaisir.

Je dus rester quelques minutes sans connaissance, car quand je repris mes sens et fus à même de regarder à nouveau, je m’aperçus que leur crise finale était terminée, mais que mon oncle occupait encore l’étroite cellule où il avait eu tant de plaisir. Il contemplait avec un intérêt évident le derrière divin qui palpitait encore de volupté sous ses yeux.

Ni l’un ni l’autre n’avaient hâte de se désunir, et ils restèrent un temps considérable dans ce repos voluptueux. À la fin, sa pine débandée sortit elle-même de son étroite cellule. Se levant alors et aidant ma tante à descendre du lit, ils s’étreignirent tendrement l’un l’autre, s’embrassant, se caressant, et ma tante le remerciant de cette délicieuse fouterie.

Ma tante se mit alors à cheval sur le bidet et mon oncle se servit de la cuvette.

Après s’être purifiés, ils enfilèrent leurs chemises de nuit, éteignirent la lumière et se couchèrent dans le lit. Je me hâtai de gagner la chambre de mes sœurs, ayant la pine plus raide que jamais. J’entrai bien doucement, tout le monde dormait profondément. Mes deux sœurs étaient renversées l’une sur l’autre avec chacune la tête entre les cuisses de l’autre ; évidemment, elles s’étaient gamahuchées et endormies dans la position dans laquelle elles avaient déchargé. Miss Frankland les avait sans doute entendues, mais s’étant assoupie, elle avait mis hors du lit son joli derrière tout couvert de poils noirs, afin d’attirer mon attention aussitôt que j’entrerais dans la chambre. M’avançant donc doucement et approchant la lumière afin de bien jouir de ce ravissant coup d’œil, je crachai sur la tête de ma pine pour la bien lubrifier et je la lui introduisis tout doucement dans son con délicieux. Je m’arrangeai pour l’engloutir complètement avant de lui introduire un doigt dans le derrière et de lui branler le clitoris avec un autre.

Involontairement, tout en dormant, elle me pressait déjà avec sa force habituelle. Faisant subitement appel à toute mon énergie, je commençai un mouvement si actif qu’elle se réveilla instantanément. Elle était aussi disposée que moi à jouir et en un instant nous courûmes une course des plus voluptueuses et déchargeâmes avec une énergie qui prouvait l’excès d’excitement dans lequel nous nous trouvions. Comme j’étais debout près du lit sur lequel elle était couchée, ayant approché son derrière du bord, nous ne pouvions rester longtemps dans cette position ; de plus, j’étais encore tout habillé. Aussi, je déconnai et me déshabillai entièrement. Mes sœurs avaient continué de dormir pendant toute cette scène ; après avoir préparé tout ce qu’il fallait pour une orgie générale, godmichés et verges de bouleau, nous réveillâmes les deux chéries qui se mirent de suite à poils.

Ces trois divines créatures étaient avides de savoir ce qui m’avait retenu si longtemps, plus de deux heures et demie, et ce qui s’était passé.

Je leur racontai tout ce qui s’était passé, mais je gardai le silence sur leur intention de m’initier car ni miss Frankland ni moi ne voulions laisser mes sœurs connaître ce détail.

Elles rirent de bon cœur et la petite Elise voulut faire comme sa tante, d’abord me fouetter et se faire foutre ensuite ; puis se faire fouetter et recevoir dans son trou du cul ma pine adorée. Nous nous mîmes à rire et la plaisantâmes, et cette scène s’exécuta avec un éclat considérable.

Miss Frankland enfila Marie, pour laquelle elle avait un grand penchant, d’abord dans le con, puis ensuite dans le derrière, suivant mon exemple avec Elise. Elise et moi nous nous lavâmes et nous préparâmes pour de nouvelles rencontres et nous commençâmes à tirer un coup des plus délicieux, dans lequel les godmichés et les verges jouèrent un grand rôle, car tous deux étaient devenus nécessaires par suite des excès voluptueux de ces deux dernières nuits.

Je regagnai ma chambre longtemps après le lever du soleil et m’endormis profondément pendant environ deux heures.

On peut bien s’imaginer que nos études étaient pas mal négligées pendant ces derniers jours, aussi il me fut permis de sommeiller pendant les heures de classe.

Miss Frankland se promena encore seule avec moi dans le jardin, pour me donner, comme elle le pensait, ses dernières instructions sur la conduite à tenir avec ma tante, qui, elle en était maintenant plus persuadée que jamais, essayerait de me posséder aussitôt que je serais arrivé chez elle, où elle aurait tout le temps et les facilités voulues pour arriver à un rapide résultat. J’écoutais avec une grande attention apparente, mais comme on le sait déjà, j’étais déjà un élève savant dans l’art qu’elle voulait d’enseigner, grâce aux admirables conseils de ma toujours aimée et réellement première initiatrice, la charmante madame Benson.

Mais je ne pouvais m’empêcher de reconnaître combien ces deux admirables femmes connaissaient bien le monde avec lequel elles étaient aussi désireuses que je me familiarise.

La nuit suivante, mon oncle et ma tante se couchèrent tranquillement, le pasteur déclarant que ses excès de la nuit précédente l’empêchaient de recommencer cette nuit. De sorte que je ne pus jouir que de la vue des magnifiques beautés de ma tante qui produisaient toujours un effet merveilleux sur mon vit si excitable ; aussi, lorsqu’elle eut éteint sa lumière, je grimpai dans la chambre de mes sœurs où je savais pouvoir éteindre le feu dont ma pine était embrasée.

J’arrivai plus tôt qu’elles ne m’attendaient et les trouvai toutes trois ne formant qu’un seul corps, mes deux sœurs se gamahuchaient mutuellement pendant que miss Frankland enculait Marie avec son clitoris. Par hasard, elles ne m’entendirent pas ouvrir la porte, et j’attendis patiemment jusqu’à ce que la crise finale eût amené une délicieuse et générale décharge. Frappant alors mes mains l’une contre l’autre, j’applaudis en disant :

— Bravo ! Bravo ! Encore ! Bis !

J’étais très heureux, pour dire toute la vérité, de voir notre intimité toucher à sa fin, car je commençais à avoir de plus en plus besoin de la verge. Cependant, nous avions encore cette nuit et la suivante à notre disposition, et l’idée que nous devions bientôt cesser nos délicieuses orgies, nous rendait plus nerveux pour augmenter nos efforts.

Nos passions étaient furieusement excitées et ne s’éteignirent que dans des torrents de foutre ; nous nous livrâmes à tous les excès possibles et imaginables pour renouveler nos forces épuisées jusqu’au moment de nous séparer.

Le lendemain, il n’y eut pas de classe, et le temps fut employé à faire les préparatifs de départ. Ma pauvre mère avait le cœur serré, c’était une créature affectueuse aussi innocente qu’un bébé. Je me suis souvent demandé d’où nous tenions tous trois ce tempérament ardent et passionné, car maman était tout le contraire de nous. Je crois que nous devions tenir cela de nos grands parents, car ma tante était lubrique au dernier point, et sous ce rapport, pouvait rivaliser avec l’adorable miss Frankland qui ne l’égalait que parce qu’elle avait du sang grec dans les veines, ce qui, sans doute, était la cause de son excessive lubricité. Je raconterai un jour les principaux événements de sa romanesque histoire, qu’elle me raconta elle-même entièrement plus tard.

Ce fut un jour triste pour nous tous, plus triste que le suivant, qui était cependant le jour du départ. Comme cela arrive souvent, l’attente d’un événement malheureux fait plus souffrir que l’événement lui-même.

Cette nuit, mon oncle et ma tante jouèrent encore une fois au petit jeu des verges, mais cette fois-ci elle ne parvint à avoir qu’un seul enfilage du pasteur. Comme d’habitude, quand tout le monde fut couché, je me glissai pour aller passer la dernière délicieuse nuit avec les chères créatures avec lesquelles nous avions fait de si exquises orgies pendant les deux dernières années. Mes sœurs étaient rapidement devenues de jeunes femmes remarquablement belles, surtout Marie qui, ayant une année et demie de plus qu’Elise, était naturellement mieux formée, quoique Elise promît de devenir par la suite une femme des plus superbes, ce qu’elle devint réellement, et était aussi la plus lubrique des deux.

Nous passâmes la nuit dans les jouissances les plus raffinées, entrecoupées de larmes versées au sujet de mon départ, si bien que j’étais anéanti d’épuisement. Nous nous arrachâmes des bras des uns et des autres avec beaucoup de difficulté, et les trois créatures angéliques laissèrent leur porte ouverte afin de me voir plus longtemps ; deux fois m’étant retourné, je ne pus m’empêcher de revenir me jeter encore et encore dans leurs bras pour la dernière étreinte amoureuse ; mais comme toute chose humaine, cela eut une fin ; je regagnai mon lit et m’endormis profondément.

Il est inutile de raconter les larmes du départ le lendemain. Ma mère nous accompagna à la ville où nous devions prendre la voiture. Elle arriva ; ma pauvre mère put à peine me souhaiter bon voyage, et je vis les larmes couler sur ses joues vénérables pendant qu’elle agitait son mouchoir avant que la voiture ne tournât à un coude du chemin, ce qui nous empêcha de la voir davantage.

Naturellement, j’avais le cœur gros ; comment aurait-il pu en être autrement, quitter mon foyer pour la première fois. Ma tante passa son bras autour de ma taille et courba ma tête sur son énorme poitrine, essayant de me consoler le mieux possible ; mais le cœur doit se dégonfler de lui-même. Heureusement, nous étions seuls dans l’intérieur de la voiture ; ma tante était très affectueuse, ainsi que le pasteur. Je m’endormis bientôt, et même dans ce moment de tristesse, j’avais un certain plaisir à presser avec ma tête ces magnifiques tétons. Ma tante m’embrassait souvent, je lui rendais ses baisers à pleines lèvres, ce qui paraissait lui faire grand plaisir. Je dormis jusqu’au moment où la voiture s’arrêta pour l’heure du souper ; je mangeai avec grand appétit, et, comme on peut le supposer, après les travaux extraordinaires de la dernière semaine, je me rendormis bientôt et ronflai comme une toupie.

Je ne me réveillai qu’au grand jour, et, comme tous ceux qui ont dormi profondément, j’étais éveillé et sentais ce qui se passait avait de pouvoir ouvrir les yeux. Je sentis qu’une main pressait et paraissait prendre la mesure de ma pine toute raide, raideur qui était produite par mon envie de pisser. Je demeurai bien tranquille, continuant à respirer avec force, mais sans pouvoir empêcher les palpitations de ma pine, occasionnées par la douce main de ma tante qui se rendait gentiment compte de ses proportions par-dessus mon pantalon. Il paraît qu’elle venait seulement de commencer ses manipulations, n’ayant pas encore remarqué la grosseur énorme qu’elle faisait faire à mon pantalon. Elle pressa ses genoux contre ceux du pasteur qui était en face d’elle et qui s’était un peu assoupi, et je l’entendis lui murmurer de regarder le développement extraordinaire de ma pine.

— Touche-la, mon ami, mais bien doucement, afin de ne pas l’éveiller, c’est la plus grosse pine que j’aie jamais touchée et qui surpasse celle du capitaine de grenadiers dont tu étais si jaloux.

Le pasteur toucha, et je crois que ma tante aurait ouvert mon pantalon, si la voiture ne s’était arrêtée subitement devant une auberge où nous devions déjeuner, aussi ils furent obligés de me réveiller. Je jouai très bien le rôle de l’homme que l’on réveille subitement. Aussitôt que nous fûmes descendus de la voiture, je dis tout bas au pasteur :

— Mon oncle, j’ai une grande envie d’uriner.

— Viens ici, mon cher garçon.

Il me mena derrière quelques chariots qui se trouvaient dans la cour de l’auberge et me dit :

— Ici, nous pouvons pisser tous deux sans être vus.

Et sans doute pour m’encourager, il sortit sa propre pine qui était à moitié raide. Je vis ce qu’il voulait et je montrai la mienne, dans toute sa longueur et toute sa grosseur.

— Dieu du ciel ! Charles, quelle énorme bitte tu as, est-ce qu’elle est souvent raide comme cela ?

— Oui, mon oncle, tous les matins elle me fait ainsi mal jusqu’à ce que j’aie uriné, c’est de pire en pire et elle est de plus en plus grosse ; elle n’était pas la moitié aussi grosse il y a un an. Je ne sais pas ce qu’il faut faire pour empêcher cette raideur qui me fait souffrir.

— Ah ! Alors il faut que j’en parle à ta tante, peut-être qu’elle pourra te soulager. En as-tu déjà parlé à quelqu’un ?

— Oh ! sûrement non ! J’aurais eu trop honte ; mais quand j’ai vu que la vôtre était raide aussi, j’étais très heureux de vous demander conseil, mon cher oncle.

— Tu as bien fait ; il faut toujours me consulter sur cette partie de ton corps, quelles que soient les sensations que tu éprouves.

Nous déjeunâmes, et je pus remarquer, en regagnant la voiture, que mon oncle et ma tante avaient eu à ce sujet une conversation satisfaisante.

Nous arrivâmes au presbytère pour l’heure du dîner, pendant lequel je fus l’objet d’une attention dévouée de la part de tous deux, mais plus spécialement de ma tante.

Notre long voyage nous obligea à nous coucher tous de bonne heure. Ils me conduisirent tous deux avec empressement à ma chambre à coucher, très confortable, communiquant d’un côté avec un corridor et d’un autre côté avec le cabinet de toilette et la salle de bains de mon oncle, qui était contiguë à un boudoir semblable où se trouvaient des vêtements de femme à l’usage seul de ma tante.

On me laissa bien reposer toute la nuit, ce qui me fit beaucoup de bien ; je dormis profondément et ne me réveillai que fort tard dans la matinée. Je fus réveillé par mon oncle qui m’enlevait draps et couverture. Naturellement, je bandais comme d’habitude. Il regarda pendant un certain temps sans pouvoir parler, mon énorme pine en pleine érection. Il me dit alors qu’il était neuf heures et que le déjeuner était prêt, qu’il n’avait pas voulu me déranger plus tôt, car je dormais trop profondément, mais qu’il était maintenant l’heure de me lever.

— Je vois, ajouta-t-il, que ta quéquette, comme tu l’appelles, a encore la raideur dont tu m’as parlé hier.

Il s’en empara alors et la pressa gentiment, elle remplissait sa main. Il avait assurément du plaisir à la manier, mais il se contenta de me dire que ma tante verrait le lendemain si elle n’avait pas un remède pour me soulager, qu’elle viendrait le matin se rendre compte combien elle était dure et combien je souffrais.

Je répondis que ce serait une grande bonté de la part de ma tante, mais qu’est-ce qu’elle penserait de me voir lui montrer ma quéquette ; maman m’avait toujours dit, quand je couchais dans sa chambre, de toujours uriner dans un coin et de ne laisser jamais personne la voir.

Il rit de mon apparente innocence et dit :

— Ta mère avait, en effet, raison pour le monde en général, mais c’est tout à fait différent avec ta tante, dont la proche parenté lui permet de faire le nécessaire pour soulager son neveu, auquel nous prenons tous deux tant d’intérêt ; de plus, je suis sûr que ta mère n’a jamais vu ces dimensions et cette raideur.

Il la maniait gentiment pendant tout le temps de cette conversation.

— Oh ! non, maman ne l’a jamais vue que la nuit, quand elle était tout à fait molle, et voilà plus d’un an de cela, quand je couchais dans sa chambre ; c’est depuis qu’elle est devenue si grosse et qu’elle me faisait tant souffrir en palpitant violemment comme elle le fait maintenant dans votre main. Cela me fait un drôle d’effet, mon cher oncle, et je serais si obligé à ma chère tante si elle peut me donner un remède pour soulager ma souffrance.

— Je parlerai à ta tante et nous verrons, nous verrons ; mais lève-toi maintenant, nous allons retrouver ta tante qui nous attend. Aussi habille-toi rapidement, tu descendras nous rejoindre dans la salle à manger où nous t’attendons.

Il me laissa et je l’entendis rire en lui-même en s’allant, sans doute de mon apparente innocence. Je compris de suite que le lendemain je serais appelé à faire voir que j’étais un homme ; mais je sentais déjà les avantages des sages conseils que m’avaient donnés mes deux admirables maîtresses : pour faire de nouvelles conquêtes, je devais laisser croire que j’avais encore mon pucelage. Je résolus de continuer à jouer ce rôle d’innocent et je prévis le plaisir qu’éprouverait ma tante à l’idée qu’elle était la première à s’enfiler une aussi monstrueuse pine.

Je fus bientôt en bas pour déjeuner et je fut bien tendrement embrassé par ma ravissante tante, qui, dans un gracieux déshabillé, paraissait plus charmante que jamais. Elle me tint plus d’une minute dans ses bras et me dévora de baisers.

Je suis certain que le pasteur lui avait raconté notre entrevue et par le brillant de ses yeux et la rougeur de sa figure, pendant qu’elle m’étreignait fortement, elle montrait que ses passions étaient déjà allumées et qu’elle désirait voir venir l’heure où elle pourrait les satisfaire. Cependant, elle eut à les contenir pendant toute cette journée.

Le pasteur avait à régler quelques affaires de sa paroisse, ma tante me laissa pendant une heure après le déjeuner, pour s’occuper de ses affaires de maîtresse de maison, puis ensuite elle me fit visiter la maison et le jardin et enfin nous allâmes faire une promenade à travers le village.

La maison était un de ces presbytères agréables, bâtie sur son propre terrain, ce qui est commun en Angleterre ; mais peu ont une situation aussi charmante que celle-ci, qui se trouvait sur une colline dont la vue dominait tous les champs fertiles de Kent.

La maison était bien bâtie et très confortable. La façade située au sud formait un large demi-cercle, ayant trois fenêtres de front et une de chaque côté, ce qui formait en bas le salon et au-dessus la chambre à coucher de mon oncle avec deux cabinets de toilette. Sur la droite de la maison se trouvait une aile de bâtiment composé en bas du fruitier et du cellier, au-dessus desquels se trouvaient trois chambres ayant chacune une grande fenêtre donnant sur le jardin ; ces trois chambres étaient destinées aux trois jeunes gens que le pasteur pouvait prendre en pension, jamais plus de trois, pour les préparer aux Universités. Pour le moment, j’étais le seul occupant. Elles étaient construites de manière à pouvoir être isolées du restant de la maison par un corridor au bout duquel se trouvait une porte donnant sur la campagne ; une autre porte communiquait du corridor dans un des cabinets de toilette du pasteur. Au bout se trouvait un water-closet pour tout le monde.

J’ai déjà fait observer que la chambre que j’occupais avait aussi une porte de communication dans le cabinet de toilette du pasteur. Au-dessous de ces chambres, mais avec vue au nord, se trouvait la salle d’étude qui n’occupait que la moitié de l’espace des chambres au-dessus ; devant se trouvait un petit jardin carré sur lequel donnait également le cabinet de travail du pasteur. Ce cabinet était séparé de la salle d’étude par un passage et avait deux entrées, une pour la maison d’habitation et l’autre pour le côté occupé par les pensionnaires. En réalité, c’était le sanctum sanctorum du pasteur sur lequel je reviendrai plusieurs fois dans le cours de ce récit. Revenons donc à l’habitation.

Sur le côté ouest se trouvait une petite bibliothèque, ouvrant sur le salon, et derrière une salle à manger confortable, communiquant avec l’office et la cuisine, qui donnaient sur la cour de la maison, au-dessus se trouvaient les chambres des domestiques, etc. C’était une maison bien aménagée pour un pasteur voulant joindre à ses autres occupations l’enseignement supérieur à quelques pensionnaires. J’ai oublié de dire que la première chambre à coucher dans l’aile ouest avait une porte de communication avec le cabinet de toilette de ma tante, qui servait souvent, comme je le remarquai plus tard, à ses plaisirs amoureux, car elle en faisait la chambre à coucher de quelque amant favori. Les prairies étaient ravissantes et toutes couvertes de fleurs. Il y avait une allée couverte qui conduisait de la maison à un charmant pavillon d’été dont la vue était magnifique et où on se trouvait bien à l’abri des regards indiscrets. Il était meublé spécialement en vue des combats amoureux, les sièges étaient bas, larges, avec des coussins moelleux et des ressorts en acier brevetés. Ce lieu fut l’endroit où, dans la suite, se passèrent de nombreuses orgies lubriques.

Ma tante me fit visiter tout ce que je viens de décrire ; nous arrivâmes alors au pavillon ; je voyais que ce n’était qu’avec une grande difficulté qu’elle s’empêchait de me posséder ; j’aurais voulu me jeter dans ses bras et la foutre tout son content, mais j’étais obligé d’être prudent ; ma tante sans doute éprouvait les mêmes raisons ; ils avaient convenu avec mon oncle qu’on ne ferait rien pouvant alarmer ma modestie avant le lendemain matin. Aussi ce fut avec un profond soupir qu’elle m’emmena du pavillon pour aller faire un tour dans le village, où nous rencontrâmes le pasteur avec lequel nous rentrâmes déjeuner.

Après le déjeuner, le pasteur me mena avec lui faire une promenade et visiter les ruines des environs. Après une longue et agréable promenade, nous revînmes à la maison juste à temps pour nous habiller avant le dîner. Je trouvai qu’une des habitudes de la maison était de toujours se mettre en habit de soirée, qu’on fût seul ou qu’il y eût des invités. Ceci avait plusieurs avantages. D’abord cela vous occupait environ une demi-heure, ce qui est à considérer pour des gens qui habitent la campagne, puis cela donne un certain cachet ou chic au dîner, quelque modeste qu’il soit.

Le dîner et la soirée se passèrent sans rien de remarquable, si ce n’est l’attention extraordinaire dont ils m’entourèrent tous deux. J’étais certainement en grande faveur, probablement pour la raison qu’ils sentaient tous deux que je servirais à leurs desseins de toutes manières. Nous nous retirâmes de bonne heure pour nous reposer, et j’obtins de cette manière trois nuits complètes de repos, récupérant les forces que j’avais perdues dans les excès faits avant mon départ de la maison. Ce fut fort heureux que je fusse prêt à satisfaire les fortes passions de ma tante, qui était insatiable une fois que sa luxure était enflammée.

Je me réveillai de meilleure heure que la veille et j’entendis peu après du bruit dans le cabinet de toilette de mon oncle, je feignis alors de dormir. Ainsi que je m’y attendais, le pasteur, accompagné de ma tante, entra dans ma chambre ; ils approchèrent de mon lit. Je m’étais mis sur le dos afin de pouvoir soulever avec ma pine bien raide les légères couvertures du lit. J’entendis le pasteur attirer, à voix basse, l’attention de ma tante sur cet endroit. Elle glissa doucement sa main sous les couvertures et la serra entre ses doigts doux et gras, ce qui la fit palpiter si violemment, que je jugeai à propos de me réveiller de suite. Ma tante ne fut nullement intimidée, mais continua de la presser gentiment dans sa main en disant :

— Mon cher neveu, ton oncle m’a amenée pour voir si je ne trouverais pas un remède pour te soulager de la grande raideur que tu éprouves dans cette immense affaire ; laisse-moi voir.

Elle rejeta alors les couvertures et laissa voir en pleine lumière mon énorme pine dans toute la gloire de sa raideur.

— Ma parole ! Quel monstre ! s’écria-t-elle.

Ses yeux brillèrent, sa figure s’enflamma aussitôt qu’elle l’aperçut. Le pasteur s’approcha et la mania aussi avec un plaisir évident.

— Ma chère, pourras-tu la mettre dans ton bain chaud naturel ! Elle est tellement grosse !

— Oh ! je n’ai pas le moindre doute à ce sujet, et je suis sûre de pouvoir le soulager de la peine qu’il éprouve ; pauvre garçon ! Comme elle palpite ! Est-ce que cela te fait bien mal, Charles ?

— Oh ! oui. Votre main semble la faire devenir encore plus dure qu’avant, mais en même temps me fait éprouver une sensation si étrange, qu’il me semble que je vais m’évanouir. Soulagez-moi, chère tante, le pasteur dit que vous le pouvez si vous le voulez.

— Je veux bien certainement, mon cher enfant, mais c’est par un moyen connu seulement de ton oncle et de moi, et qui doit être tenu très secret, et il faut me jurer de ne jamais dire à personne comment je t’aurai guéri. C’est à cause de ma profonde affection pour toi que je me décide à faire tout mon possible pour te soulager. Me promets-tu d’être discret ?

— Ma chère tante, vous pouvez être assurée que je vous serai trop reconnaissant de me soulager pour jamais révéler à personne votre bonté pour moi. Mais, je vous prie, soulagez-moi de suite ; je suis brûlant de souffrance.

— Eh bien, alors, fais-moi une petite place à côté de toi, et je vais me coucher ; le pasteur va nous couvrir et j’aurai bientôt réduit ta raideur.

Elle entra dans le lit, se coucha sur le dos, nous couvrit avec les couvertures, montra son magnifique ventre nu, et en même temps, écartant ses énormes cuisses, elle me dit de monter sur elle, me disant qu’elle avait une fente dans son corps qui réduirait de suite la raideur de ma quéquette si je voulais la mettre dedans. Je me mis sur elle très maladroitement. Elle s’empara de ma pine toute raide, et plaçant la tête entre les lèvres de son con déjà tout mouillé, me dit de l’enfoncer aussi loin que je pourrais. Elle glissa dans sa délicieuse fente jusqu’aux couilles en un moment.

— Oh, ciel ! criai-je, comme c’est bon ! Chère, chère tante, que faut-il faire maintenant ? Il me semble que je vais mourir.

Mon apparente innocence semblait ajouter à son plaisir. Elle jeta de côté les couvertures qui nous couvraient, et, entourant mon corps de ses bras et de ses jambes, elle me pria de faire aller et venir mon derrière, de manière à faire entrer et sortir ma quéquette. Je suivis ses instructions et elle me seconda avec un art incroyable, pressant mon instrument par des serrements merveilleux quand je le sortais ou l’enfonçais, et se soulevant pour rencontrer mes coups avec la plus lubrique volupté. Je sentis la main du pasteur qui empoigna mes couilles et les pressa doucement. Je sentis que la crise approchait ; j’enfonçai jusqu’au fond en poussant un cri de jouissance ; mais me souvenant du rôle que je devais jouer, je m’écriai :

— Oh ! je meurs, ma chère tante ; oh ! oh ! arrêtez ! assez ! je n’en… peux… plus…

Et je retombai anéanti par l’extase de la décharge, inondant son con délicieux au moment précis où elle-même laissait couler un foutre copieux et abondant. Ma tête reposait sur ses larges et magnifiques tétons qui palpitaient du bonheur donné et reçu. Dans ma jouissance amoureuse, je ne savais plus ce qui se passait autour de moi. Quand je repris mes sens, je ne remuai pas, mais restai englouti dans les replis veloutés de ce con superbe, ma propre pine rendant palpitation pour palpitation, ayant à peine perdu un peu de sa première raideur. J’entendais ma tante se dire tout bas à elle-même :

— Cher bien-aimé et délicieux garçon, jamais de ma vie je n’ai possédé une pareille pine et n’ai été aussi bien foutue. J’ai peur que le cher enfant ne se soit évanoui de plaisir et par la nouveauté de la sensation, mais son immense pine palpite encore délicieusement dans moi ; sent, pasteur, comme elle est encore raide dans le bas.

Je sentis le pasteur l’empoigner, la faisant, par cet attouchement, palpiter violemment.

— Le cher enfant est aussi raide que jamais. Aussitôt qu’il va revenir à lui, tu vas être foutue à nouveau. J’en suis heureux, car c’est délicieux de vous voir foutre, surtout de te voir opérée par une aussi énorme pine. C’est le plus grand plaisir que tu m’aies donné dans ce genre.

— Cela ne m’étonne pas, mon cher, car je n’ai jamais rencontré dans ma vie une aussi belle pine, et je n’aurais jamais cru que mon neveu, la première fois que je l’ai vu, puisse en avoir un aussi splendide morceau dans son pantalon. Oh ! je bande plus que jamais et je dé…char…ge… Oh !… oh !… »

Et elle laissa couler un nouveau torrent de foutre sur ma pine ravie. Je la laissai jouir de l’extase de cette seconde décharge jusqu’au moment où je m’aperçus que ses passions lubriques étaient excitées à nouveau et avaient besoin d’opérations plus actives. Je fis semblant de ne pas savoir où j’étais et commençai à bégayer :

— Oh ! Où suis-je ? Qu’est-ce qui est arrivé ? J’ai été au paradis !

Levant alors la tête, j’eus l’air surpris de reconnaître ma tante.

— Oh ! chère tante, comment suis-je ici ? Oh ! je me rappelle, vous aviez promis de soulager ma raideur, cela m’a paru si bon, mais je la sens aussi rai de que jamais ; vous essayerez de me soulager encore, n’est-ce pas, ma chère tante ?

— Certainement, mon cher neveu, il faut que tu fasses comme tu as fait tout à l’heure, aller et venir dedans et je t’aiderai ; et peut-être que cette fois-ci nous réussirons mieux que la première.

Naturellement, je fus un peu moins gauche et elle plus énergique. Je sentis le pasteur enfoncer un doigt mouillé dans mon fondement et le faire aller en unisson avec nos coups. Ma tante me cria d’aller de plus en plus vite et nous arrivâmes bientôt à la grande crise, mourant tous deux dans les délices de la volupté et de la jouissance.

Je tombai encore sur son sein palpitant, anéanti réellement par les délices éprouvées dans ce con incomparable, je levai mes yeux humides d’amour vers la figure de ma tante, qui saisit ma tête entre ses deux mains et approcha mes lèvres des siennes dans un long, très long et voluptueux baiser de plaisir satisfait et enfonça sa langue dans ma bouche, je me mis de suite à la sucer.

Elle me demanda alors de lui donner la mienne. Après avoir fait langue fourrée tous deux pendant une ou deux minutes, elle me demanda si ma quéquette avait moins de peine et si ma raideur avait diminué.

— Un peu, chère tante, mais je sens qu’elle devient encore raide, vous devriez essayer encore une fois ; je vous en prie, c’est si bon !

Et ma pine palpitait et se raidissait pour prouver la vérité de mes paroles. Mais ici le pasteur nous interrompit en nous disant qu’il avait besoin de soulager sa propre raideur, présentant à nos yeux en même temps sa pine, vraiment très belle et toute raide.

— Il faut te lever, mon cher garçon, et ta tante soulagera ta raideur d’une autre manière, par laquelle elle pourra nous soulager tous deux en même temps.

Je me relevai avec peine, retirant ma pine à moitié bandée. Regardant, en me levant, la large et magnifique fente d’où je venais de sortir, je m’écriai :

— Oh ! chère tante, quel merveilleux coup d’œil ! il faut que je l’embrasse pour tous les efforts qu’elle a fait pour me soulager.

Je précipitai ma tête en bas, je suçai, je léchai ses lèvres largement ouvertes et toutes couvertes de foutre, enfonçant ma langue aussi loin qu’elle pouvait aller. Cela fit évidemment beaucoup jouir ma tante. Mais le pasteur me retira, me dit de m’étendre sur le dos et fit monter ma tante sur moi. Elle s’empara de ma pine maintenant toute raide, la ramena en arrière et la dirigeant en face de son trou, elle se laissa tomber dessus jusqu’à ce que ses poils frisés se mêlassent avec les miens. Elle se leva et s’abaissa dessus deux ou trois fois avec des mouvements doux et lents, puis se baissant en avant, elle colla ses lèvres aux miennes pendant que j’entourais de mes bras son corps ravissant.

Je sentis le pasteur se mettre à genoux entre mes jambes et sa pine se frotter contre les lèvres du con, entièrement distendu autour de ma grosse pine, sans doute pour la lubrifier avant de l’enfoncer dans le derrière de ma tante. Je sentis le frottement de sa pine contre la mienne à travers la légère séparation, quand il l’entra doucement dans ses entrailles. Nous commençâmes alors les mouvements, mais ma tante nous battit tous deux, car elle déchargea deux fois avant de nous rejoindre pour la crise finale qui arriva avec des cris de volupté poussés par nous trois quand l’extase nous saisit et nous tombâmes dans cet état à moitié insensible, provoqué par la suprême jouissance.

Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, p. 122

Nous fûmes quelque temps sans pouvoir proférer une parole. Le pasteur se releva le premier, et sans retirer sa pine du délicieux orifice où elle était engloutie, il nous fit voir par la manière dont pendait sa tête, que ma tante lui avait enlevé toute sa raideur. Il fit aussi lever ma tante, mais je sentis par les palpitations et les pressions de son con, quand elle se leva, qu’elle n’aurait pas demandé mieux que de soulager encore une fois la raideur qui pourrait arriver encore. Ma pine sortit en faisant un bruit semblable à celui d’un bouchon tiré d’une bouteille bien bouchée. Cependant elle était bien plus molle qu’avant, quoique encore pas mal grosse.

Quand ma tante fut debout, elle se baissa en avant, l’embrassa, la prit dans sa bouche et la suça des plus amoureusement, disant combien elle serait ravie de me soulager chaque fois que je serais gêné par sa raideur.

Ils me dirent de me lever et de m’habiller afin de les rejoindre pour déjeuner. Ils se retirèrent alors pour achever leur toilette.

Je restai quelques minutes à rêver aux délicieux événements qui venaient de se passer et fus amusé par la dernière remarque de ma tante, qui semblait persuadée que j’étais ignorant des véritables faits de ce qui avait eu lieu. Je résolus d’agir comme s’il en était vraiment ainsi.

Nous nous retrouvâmes au déjeuner, ma tante m’embrassa très amoureusement. Je la remerciai pour m’avoir soulagé de ma peine d’une manière aussi délicieuse et je ne pus m’empêcher de lui dire que je l’aimais plus que je n’avais jamais aimé personne jusqu’à ce jour et lui dis que j’espérais qu’elle me soulagerait ainsi tous les matins, car c’était toujours à ce moment que je souffrais de ma raideur, quoique je ne regretterai jamais cette souffrance aussi longtemps qu’elle voudra bien la soulager.

Je posai mes mains sur chaque sein d’une manière tout à fait enfantine, et avançai ma bouche pour un baiser, qui me fut donné de la manière la plus lascive. Elle m’appela son cher enfant, me disant qu’elle m’aiderait toujours comme elle l’avait fait le matin, aussi longtemps que je serais discret et que je ne dirais jamais ce que nous faisions. On peut être assuré que je réitérai énergiquement mes précédentes promesses. Nous nous embrassâmes encore et nous assîmes devant un excellent déjeuner, avec un fort appétit dû à nos exercices du matin et nous fîmes honneur aux viandes qui se trouvaient devant nous.

Le pasteur me donna un livre d’histoire et me dit de lire pendant deux heures environ, disant qu’au moment du lunch nous causerions sur le sujet de ma lecture. J’étudiai très attentivement pendant le temps prescrit et ma tante vint alors me prier de l’accompagner dans une promenade dans les champs.

Volontairement ou non, elle me conduisit vers le pavillon d’été et s’assit sur une ottomane très basse. Je m’assis à côté d’elle. Elle m’attira vers elle, m’embrassa, me pressa sur son sein en murmurant des paroles de tendresse. Naturellement, ma pine s’enflamma aussitôt ; mais pour l’empêcher de croire que c’était la luxure qui me faisait bander, je lui dis :

— Oh ! ma chère tante, j’ai bien besoin d’uriner, ma quéquette devient aussi dure que du bois quand je me retiens d’uriner ; touchez comme elle est devenue raide, voulez-vous me laisser aller me soulager ?

— Mon cher enfant, je vais aller avec toi et je déboutonnerai moi-même ton pantalon.

Nous nous dirigeâmes au milieu des arbres. De ses doigts agiles elle déboutonna mon pantalon et sortit mon énorme pine dans toute sa gloire. Heureusement, j’avais envie de pisser ; ma tante la tint pendant tout le temps que je me soulageais, et sa figure était toute rouge de désirs. Elle me fit remarquer comme elle était étonnamment grosse tout en la branlant doucement ; naturellement je bandais plus que jamais. Jetant mes bras autour de son cou, je lui demandai si elle ne voulait pas me soulager de la peine que me faisait éprouver cette excessive raideur.

— Certainement, mon cher garçon, viens avec moi dans le pavillon où personne ne pourra nous voir.

Nous entrâmes. Elle mit un coussin par terre pour mes genoux, s’étendit par terre sur le dos, releva ses jupons au-dessus de son ventre, faisant voir son con bien touffu et sa splendide fente rose, toute mouillée déjà d’excitement. Je me mis à genoux et dis en me baissant :

— Il faut que j’embrasse le cher objet qui me soulage si bien.

Je l’embrassai et gamahuchai jusqu’à ce que ma tante me dise de me relever et de me mettre sur elle, afin qu’elle puisse me soulager le plus vite possible. Je me relevai et enfonçai jusqu’aux couilles ma pine toute raide dans son con brûlant, lui coupant presque la respiration par mon attaque soudaine et impétueuse. Elle m’entoura presque immédiatement de ses bras et de ses jambes, et nous opérâmes tous deux avec une telle ardeur, que nous déchargeâmes rapidement en poussant des cris de volupté ; pendant un instant nous perdîmes connaissance, mais pour recouvrer bientôt nos sens et recommencer une nouvelle course furieuse. Cette fois ma tante laissa couler son foutre brûlant avant moi, ce qui ne l’empêcha pas de décharger encore lorsque je l’inondai d’un torrent de sperme que je lançai au fin fond de sa matrice. La crise finale fut encore plus ravissante que la première, et nous restâmes plus longtemps à savourer la langueur des sens satisfaits. La nature si excessivement voluptueuse de ses pressions intérieures réenflamma mes désirs libertins et redonna à ma pine une vigueur nouvelle. Nous restâmes cependant immobiles pendant quelque temps, jouissant tous deux de nos mutuelles palpitations, jusqu’à ce qu’enfin, n’y pouvant plus tenir, nous nous mîmes à opérer avec une rage folle. Ma tante si lubrique paya deux tributs au dieu Priape pendant que j’en payai un seulement. Cette fois-ci nos sensations furent si violentes quand nous déchargeâmes, que nous nous évanouîmes tout à fait, nous tenant embrassés dans une étreinte amoureuse. Je ressentis que nous devenions tous deux excités à nouveau, mais ma tante me fit lever, disant que c’était assez pour le moment, que ma raideur avait bien diminué et qu’elle ne pouvait pas supporter plus longtemps le poids de mon corps.

Je me relevai, mais enfonçai encore une fois ma tête dans la rouge fente de ce con superbe, et avant de me relever tout à fait, je léchai la délicieuse liqueur et m’aventurai à lécher comme par accident son petit clitoris, car elle n’avait rien de remarquable sous ce rapport. Elle se trémoussa de plaisir quand je le touchai et même me pressa la tête dessus quand elle sentit le léchage ravissant.

— Mon cher enfant, dit-elle, quel plaisir exquis tu me donnes ! Continue à faire aller ta langue sur ce petit bouton dur.

C’est ce que je fis ; son magnifique derrière se trémoussait en dessous de plaisir ; elle arriva bientôt à la crise finale, faisant presque entrer toute ma figure dans sa large fente et faisant jaillir un torrent de foutre sur toute ma figure et mon cou qu’elle inonda. Elle me prit par les épaules, m’approcha de sa bouche et me couvrit de baisers. Ma pine avait repris toute sa vigueur et ne put s’empêcher de se glisser toute seule elle-même dans ce con avide et lubrique dont elle avait trouvé l’entrée.

Ma tante fut saisie d’un pareil résultat, mais elle en était trop heureuse pour hésiter un seul instant. Croisant ses bras et ses jambes sur moi, elle fit de suite manœuvrer ses reins. J’étais moi-même fou de luxure, de sorte que notre course fut encore plus rapide que la première, et nous déchargeâmes avec une telle jouissance, que nous tombâmes tous deux tout à fait anéantis. Ma tante, qui ne pouvait moins faire que d’être grandement satisfaite, voulait encore avoir l’air de m’avoir soulagé ; elle me fit lever, disant que nous devions nous en aller, car il était l’heure du lunch.

— Mais, mon cher neveu, il faut que tu fasses aussi des efforts pour refréner ta raideur et ne pas devenir dur aussi souvent, tu me feras du mal avec ta violence.

— Oh ! ma chère tante, vous me soulagez en me procurant un bonheur si grand, que ma quéquette semble se raidir spécialement pour être soulagée par vous ; regardez comme elle est encore raide au travers de mon pantalon.

Elle mit sa main dessus, la pressa, et dit avec un profond soupir :

— Viens, viens, sans cela, je ne sais pas ce qui va arriver.

Elle m’emmena, mais de la manière dont elle me pressait le bras, je sentais qu’elle était encore très excitée. Sa prudence seule l’empêchait de se livrer à de plus longs ébats, car elle paraissait encore croire que j’étais ignorant sur la nature réelle de nos procédés.

Nous trouvâmes le pasteur qui nous attendait pour luncher ; il devina, à la figure enflammée de ma tante, quel avait été notre dernier passe-temps, et demanda si j’avais encore été troublé par mon étrange raideur.

— Hélas ! oui, le pauvre garçon ! répondit ma tante. Il paraît que lorsqu’il a envie de pisser et qu’il ne peut pas le faire de suite, cela le fait aussitôt raidir et j’ai eu de la peine à le soulager. À la fin, j’ai réussi ; mais j’ai dit à mon cher neveu de faire son possible pour se retenir pendant le jour, car je ne pourrai pas toujours le soulager.

— Tu as parfaitement raison, mon amour ; mon cher Charles, il faut faire en sorte de suivre les conseils de ta tante.

Naturellement, je promis avec un tel air d’innocence, que je les vis échanger un sourire. Nous nous assîmes pour déjeuner. Le pasteur s’assit ensuite près de moi et m’interrogea sur l’histoire qu’il m’avait donnée à apprendre. Notre conversation devint vraiment très intéressante. Le pasteur était un savant en toutes choses et avait une manière d’enseigner des plus intéressantes. Les heures s’envolèrent rapidement et ce ne fut que lorsque ma tante entra vers cinq heures pour nous faire prendre le thé, que nous nous aperçûmes combien le temps avait vite passé. Le pasteur me complimenta sur mes connaissances en histoire ainsi que sur la justesse des questions que je lui posais, ce qui le flatta beaucoup, et je pus voir que je m’étais élevé dans son estime, toutes influences érotiques à part.

Il me proposa une promenade instructive avant le dîner pendant laquelle il m’intéressa beaucoup par sa conversation scientifique. Notre dîner fut des plus agréables. Au salon, ma tante qui était une excellente exécutante sur le piano, nous enchanta par son talent et son habileté. Le pasteur me provoqua aux échecs ; il était naturellement bien plus fort que moi, mais il loua mes combinaisons et le style de mon jeu, disant que je deviendrais, avec le temps et la pratique, un joueur émérite.

Comme d’habitude, nous nous retirâmes à dix heures et demie ; le pasteur m’accompagna jusqu’à ma chambre et me promit de venir avec ma tante le lendemain matin voir si je souffrais encore de ma raideur. Je le remerciai chaudement, mais avec une grande simplicité, comme si j’ignorais réellement la véritable nature du remède ; il me laissa me coucher. Cette nuit de profond sommeil fit que je ne me ressentis nullement de mes excès de la journée, et je sentis au matin ma vigueur érotique augmenter avec force.

J’avais dormi si profondément et si longtemps, que lorsque je me réveillai, je sentis la main de ma tante qui caressait ma pine déjà toute raide. Ils avaient doucement enlevé toutes les couvertures, et j’étais entièrement exposé à leur vue et à leurs attouchements.

— Oh ! ma tante chérie, comme vous êtes bonne de venir d’aussi bonne heure soulager ma raideur !

J’ouvris mes bras et elle se baissa pour m’embrasser ; je la serrai sur mon cœur ; nos lèvres se rencontrèrent et nos langues s’enfoncèrent avec fureur dans nos bouches mutuellement. Elle se coucha à mon côté, je fus sur elle immédiatement. Le pasteur s’empara de ma pine et la guida dans le trou délicieux de sa femme. Ma chère tante me dit de manœuvrer comme la veille si je voulais être soulagé. Nos mouvements devinrent rapides et furieux ; ses bras et ses jambes croisés sur mon dos me pressaient amoureusement ; elle tortillait son derrière de plaisir. Le pasteur avait introduit d’abord un doigt, puis deux dans mon fondement, ce qui ajoutait beaucoup à la fureur de ma luxure, de sorte que je déchargeai rapidement dans une agonie de plaisir, aussi rapidement que ma tante qui déchargea elle aussi copieusement. Je tombai sur son sein charmant, palpitant encore de la vigueur et de la fureur de notre course ; comme dans toutes les courses rapides, mon membre viril avait à peine perdu de sa primitive vigueur, et quelques pressions intérieures et exquises suffirent pour ramener rapidement toute sa raideur. Nous allions encore nous plonger avec une nouvelle ardeur dans les plaisirs sauvages de la volupté, mais le pasteur insista pour que nous changions de position, afin de lui permettre de soulager aussi sa raideur.

Le changement de position s’accomplit instantanément, et ma chère tante, après s’être empalée elle-même sur ma pine bien raide, se coucha sur mon corps et je la pris dans mes bras. Le pasteur s’agenouilla derrière elle et ne perdit pas de temps pour s’enfoncer dans son joli et immense derrière ; nous courûmes alors une course doublement délicieuse, ma chère tante donnant le mouvement comme d’habitude et nous inondant par une chaude et délicieuse décharge avant que nous ne fussions prêts à faire couler dans son corps un double torrent de foutre, ce qui la fit décharger encore avec fureur et en poussant des cris de jouissance auxquels nous mêlâmes aussi les nôtres, et tous trois nous tombâmes anéantis par l’excès de volupté.

Quand nous reprîmes connaissance, le pasteur se retira, mais ma pine était aussi raide qu’auparavant. Ma tante commença alors un mouvement des plus délicieux au-dessus de moi, qui amena rapidement une nouvelle crise finale dans laquelle nous mourûmes de bonheur. Je sentais que le pasteur maniait gentiment mes couilles, pendant et après notre dernière course.

Lorsque par nos palpitations mutuelles il s’aperçut que nous étions prêts à recommencer, il pria sa femme de se lever de dessus de moi. Mais l’idée de me séparer d’elle et de n’avoir plus ses délicieuses pressions, me fit immédiatement bander affreusement, de sorte que lorsqu’elle se leva, on put voir mon énorme vit dans toute sa beauté.

— Quoi ! Encore, Charles ? dit le pasteur, ton membre est vraiment mal élevé. Ma chère, tu dois encore essayer de le soulager, mais place-toi cette fois-ci sur tes genoux et nous verrons si cette position est meilleure pour soulager cette monstrueuse affaire.

Pendant tout ce temps-là, il me manipulait gentiment la pine. Sa femme n’ignorait pas ce qu’il voulait, ni moi non plus du reste. Notre dernière course avait fait rebander sa pine, et quoique n’étant pas encore assez raide, il était évident que la vue de mon derrière, placé dans une position aussi avantageuse pour y pénétrer, le ferait bander suffisamment pour ce qu’il se proposait. Quand sa femme se fût agenouillée en baissant sa tête, la vue de cet immense derrière, comme il ne m’avait encore été donné d’en rencontrer de pareil, fit bondir ma pine de plaisir.

Le pasteur qui s’en était emparé, vit, à la manière dont elle frémissait, que son dessein allait réussir. Il me fit remarquer les beautés du petit orifice de ma tante, le second temple de l’amour, et me dit que c’était là qu’il soulageait toujours sa raideur, et comme l’autre orifice n’avait pu me soulager tout à fait, il me recommanda d’entrer dans cet étroit sentier du plaisir. Je ne parus nullement étonné et fis semblant de croire que c’était une chose des plus naturelles.

Mon oncle continua de tenir ma pine pendant que je m’installais derrière ma tante. Guidant d’abord le monstre dans son con, pour le lubrifier, il me dit de le retirer ; il le dirigea lui-même vers le petit orifice et me dit de pousser doucement en avant. Ma pine entra doucement sans effort jusqu’à ce que mon ventre rencontrât les immenses fesses de ce magnifique derrière. Je restai alors immobile pendant une ou deux minutes. Ma tante avait poussé ses fesses en arrière et avait facilité l’introduction en faisant des efforts comme si elle avait voulu se soulager. Elle se recula une fois ou deux, mais en somme, comme elle me le raconta ensuite, elle reçut mon énorme pine avec moins de difficulté qu’elle n’aurait cru.

Après quelques lents mouvements, pendant lesquels je caressai et admirai les superbes rondeurs au-dessous de mes yeux, mon oncle me dit de me baisser en avant et de caresser les superbes tétons de ma tante. Aussitôt que je fis ce qu’il m’avait dit et que je commençai à aller et venir lentement dans la délicieuse entrée où j’étais si délicieusement englouti, je sentis les mains de mon oncle se promener sur mes fesses et ensuite l’introduction de deux doigts dans mon anus. La manière dont je les serrai lui prouva combien cela me faisait plaisir. Il me demanda si cela ajoutait à la volupté que je ressentais.

— Oh ! oui, cher oncle, immensément.

— Alors, dit-il, comme moi aussi je souffre de ma raideur, je vais essayer de la soulager dans ton derrière, comme tu le fais en ce moment dans ma femme ; ne sois pas effrayé, je m’arrêterai si je te fais mal.

— Faites comme vous voudrez, mon cher oncle, vous êtes tous deux si bons pour me soulager de ma peine, que je serais un ingrat si je ne faisais pas tout mon possible pour vous soulager.

— Tu es un enfant adorable et je t’aimerai beaucoup.

Il s’agenouilla derrière moi, cracha sur sa pine, l’approcha de mon trou du cul, et poussant doucement en avant, il l’enfonça bientôt aussi loin qu’elle pouvait aller. Il ne me fit nullement mal, car cet endroit avait été trop souvent visité par les godmichés, pour que l’approche n’en fût pas des plus faciles ; mais je crus de bonne politique de lui dire de temps en temps d’aller doucement comme s’il me prenait ma virginité. Il se l’imagina, ce qui valait tout autant. Quand il fut tout à fait englouti, après quelques palpitations, qu’il ressentit avec le plus grand plaisir sur sa pine ravie, nous nous livrâmes à un travail plus actif.

Pendant ce temps, ma tante exerçait des pressions sur ma pine et se branlait le clitoris, ce dont je m’apercevais parfaitement, ce qui la fit décharger copieusement ; et, ainsi que cela arrive avec les membranes muqueuses qui sympathisent avec les décharges du con, son trou du cul devint tout à fait brûlant et tout mouillé. Le pasteur et moi nous manœuvrâmes avec fureur et payâmes rapidement notre tribut à la nature en faisant couler des torrents de foutre dans les entrailles où nous nous trouvions respectivement engloutis.

Nous restâmes quelque temps à jouir de ce plaisir délicieux ; mais il débanda de suite et se retira de mon derrière. Je bandais à nouveau et me retirant un peu, je posai une main sur le derrière de ma tante et dévorai avec mes yeux enflammés les immenses fesses qui se trouvaient au-dessous. Excité par une aussi séduisante vue, je déchargeai à nouveau dans une agonie de plaisirs et dans l’extase de ma lubricité satisfaite et je m’affaissai insensible sur le dos large et magnifique de ma tante, qui avait elle-même déchargé plusieurs fois, criant comme un lapin, tombant elle-même sur son ventre, anéantie par le plaisir, m’entraînant avec elle, car elle gardait encore ma pine prisonnière dans son magnifique et délicieux trou du cul.

Nous restâmes ainsi pendant quelque temps, jusqu’à ce que le pasteur qui s’était purifié, pendant notre dernière course, nous dit de nous lever. Je m’arrachai avec difficulté de cette délicieuse prison et retirai ma pine qui était enfin devenue toute molle et pendante.

Le pasteur me complimenta sur le succès de cette dernière opération ; sa femme était encore toute frémissante des jouissances qu’elle avait éprouvées et nous fûmes obligés de l’aider à se relever. Elle se jeta dans mes bras, me serra étroitement sur son sein, m’embrassa tendrement, espérant qu’elle m’avait à la fin soulagé de ma peine. J’étais son enfant bien-aimé et elle serait toujours heureuse de me soulager chaque fois que cela sera nécessaire.

J’étais en moi-même très amusé de voir qu’elle continuait à st servir de cette raison, mais je fis semblant de croire, comme eux, et passai pour le garçon le plus innocent du monde, malgré tout ce qui venait de se passer.

La journée se passa à peu près comme la précédente. Après une lecture de deux heures, ma tante me proposa une promenade de deux heures qui, naturellement, finit au pavillon d’été, où l’envie de pisser ramena ma raideur habituelle, que ma tante finit par faire disparaître après quatre combats amoureux, avec un intermède d’un double gamahuchage entre les deux derniers actes. Ma tante avait déchargé au moins dix fois ; elle paraissait excessivement contente, mais elle continuait à me faire croire que c’était simplement pour soulager la raideur de ma pine.

Je passai plusieurs heures dans une conversation instructive avec mon oncle, et après une soirée semblable à celle de la veille, nous nous retirâmes à l’heure habituelle.

Le lendemain, je fus réveillé par mon oncle tout seul qui me dit que ma tante, n’étant pas très bien, n’avait pu l’accompagner.

— C’est bien dommage, car ce cher objet est aussi raide que d’habitude.

— Oh ! je suis si contrarié que ma tante soit malade, pour elle d’abord et ensuite pour moi. Que vais-je devenir, mon oncle ? Je l’ai tellement raide qu’elle me fait souffrir.

— Eh bien, mon cher enfant, je vais essayer de te soulager moi-même. Je t’aime trop pour te laisser dans cet état ; je ne suis pas aussi bien pourvu qu’elle pour te soulager, mais tu sais que tu as été soulagé avec succès dans son derrière et moi dans le tien hier, aussi nous allons essayer si je puis m’introduire cet énorme morceau, mais j’en doute beaucoup. Enlève, comme moi, ta chemise de nuit, ce sera bien plus commode.

En un instant, nous fûmes tous deux entièrement nus ; nous nous jetâmes dans les bras l’un de l’autre et nous embrassâmes mutuellement avec amour. Nos langues se rencontrèrent, chacune de nos mains s’empara de nos pines, et nous nous caressâmes de la façon la plus délicieuse et la plus excitante. Le pasteur prit alors ma pine dans sa bouche, la suça un peu et la lubrifia entièrement avec sa salive, crachant sur la partie inférieure, et frottant, pour étendre la salive avec son doigt tout autour. Il s’agenouilla alors et me présenta un fort joli derrière rond et ferme qu’il avança en arrière, me laissant apercevoir un trou du cul tout plissé et de couleur brun clair. Il me pria de le mouiller avec ma salive. Je me baissai et, approchant ma bouche et ma langue de l’endroit tentateur, j’y enfonçai ma langue aussi loin que je pus, le laissant bien lubrifié à la grande joie de mon oncle. J’approchai ma pine de l’entrée, il souleva bien son derrière et agit comme s’il voulait se vider. Par une poussée ferme, mais lente, je logeai bientôt la tête. Le pasteur me pria de me reposer un instant et de cracher un peu sur la partie inférieure. Je poussai encore fortement en avant, et graduellement j’arrivai à faire toucher mon ventre aux fesses du pasteur sans beaucoup de souffrance de sa part. Après être resté un peu immobile, il me pria de me baisser en avant et d’empoigner sa pine, pendant que j’irais et viendrais dans son derrière jusqu’à ce que je sois soulagé. Je tirai un coup délicieux. Le trou du cul du pasteur était brûlant à l’intérieur. Ses pressions du sphincter étaient vraiment délicieuses, et il avait une grande expérience pour tortiller le derrière, qualité très appréciée des enculeurs. Naturellement, c’était là un de ses plaisirs favoris, que sa position de maître de pension mettait à même de pouvoir satisfaire, et il était encore plus heureux de pouvoir l’enseigner aux autres. En ce moment, il était ravi d’être arrivé à son but avec moi ; naturellement, je ne le détrompai jamais et il eut toujours un plaisir extra à cette idée. Mes passions plus jeunes et plus chaudes m’avaient fait décharger avant lui ; aussi, après m’avoir laissé savourer les voluptés qui suivent les extases de la décharge, il me fit voir la raideur de son propre membre que je devais lui permettre de soulager à son tour.

— Certainement, mon cher oncle, je suis trop sensible à la manière dont vous m’avez soulagé pour hésiter une seule minute à vous rendre le même service.

Je déculai alors. Il se leva et, après nous être caressés mutuellement, je me baissai, et, prenant dans ma bouche sa magnifique vieille pine à la tête vermeille, je la suçai délicieusement, chatouillant avec ma langue l’entrée du canal, à sa grande jouissance. Il murmura quelques mots de volupté, puis, devenant trop excité, il me pria de m’agenouiller comme il l’avait fait. Il embrassa et gamahucha mon trou du cul, faisant à nouveau bander ma pine et frémir de plaisir. Crachant alors sur la sienne, il l’enfonça rapidement jusqu’aux poils dans mon derrière enchanté. Après s’être un peu reposé pour jouir du bonheur de l’insertion complète, il se baissa en avant et, passant une main autour de mon ventre, il s’empara de ma pine toute raide pendant qu’avec l’autre main il me caressait les fesses. Il commença ensuite des mouvements plus actifs. Il me fit rapidement décharger en poussant des cris de volupté, lui procurant les plus exquises jouissances par les pressions intérieures que l’action de ma décharge fit opérer sur sa pine délicieusement ravie. Il recommença bientôt ses poussées, et peu après, nous déchargeâmes tous deux dans le plus grand ravissement. Je m’affaissai sur le lit, entraînant avec moi le pasteur encore englouti dans mon derrière. Nous restâmes ainsi quelque temps à savourer notre bonheur ; à la fin, il retira sa pine tout à fait molle, mais fut extraordinairement surpris de voir la mienne encore toute raide. Quand je fus relevé, il prit ma pine dans sa main, s’extasia sur ses proportions incroyables, et, se baissant encore, il la prit dans sa bouche, branlant la partie inférieure avec la main ; il introduisit aussi deux doigts dans mon derrière et continua à branler et à sucer ma pine en unisson avec le mouvement de ses doigts dans mon trou du cul, et produisit rapidement une délicieuse décharge dans sa bouche. J’avais machinalement placé mes mains sur sa tête et je faillis l’étouffer en enfonçant la moitié de ma pine dans sa gorge au moment de la décharge. Il avala chaque goutte avec bonheur ; se levant alors, il m’embrassa avec amour, me disant que je lui avais donné une de ses plus grandes jouissances et qu’il m’aimait bien tendrement. Il m’invita ensuite à passer dans son cabinet de toilette, où nous entrâmes ensemble dans le même bain et nous nous fîmes mutuellement notre toilette. Nous habillant alors, nous rejoignîmes ma tante dans la salle à manger. Elle n’avait nullement l’air d’une malade, mais elle dit en souriant malicieusement qu’elle espérait que le pasteur l’avait suffisamment remplacée.

— Oh ! oui, ma chère tante, et je vous suis bien reconnaissant à tous deux de votre sollicitude à me soulager de la raideur dont je souffre le matin ; mais il me semble que cette raideur se produit plus fréquemment depuis quelque temps. J’espère que je ne lasserai pas votre bonté en faisant si souvent appel à votre bonté.

— Oh ! mon cher neveu, ne t’imagine rien de la sorte ; nous sommes trop heureux de te rendre service.

Ceci fut accompagné d’un sourire malin entre eux deux, causé par mon apparente simplicité, mais qu’ils étaient heureux de voir. Nous nous assîmes et mangeâmes un très bon déjeuner.

La journée se passa comme les deux précédentes. Ma tante me demanda de l’accompagner dans sa promenade qui se termina comme toujours au pavillon d’été où, après avoir soulagé trois fois mes symptômes alarmants, comme elle les appelait, et trouvant ce remède insuffisant, elle me proposa d’essayer si nous aurions plus de succès dans la position de mon oncle. S’agenouillant alors sur la basse ottomane et relevant ses jupons sur son dos, elle exposa son magnifique derrière dans toute sa gloire et m’éblouit par sa blancheur que l’on apercevait à travers la forêt de poils blonds dont elle était couverte entre les fesses et qui venaient se perdre tout autour du trou délicieux où j’allais pénétrer, me demandant comment un aussi petit orifice pouvait recevoir un aussi formidable morceau. Je me jetai moi-même à genoux et, léchant d’abord les lèvres ouvertes de son joli con, sans oublier de payer mes respects à son petit bout de clitoris, j’appliquai toute mon attention au charmant petit orifice. Après l’avoir embrassé amoureusement, j’y enfonçai ma langue aussi loin que je pus, pendant qu’avec une main en dessous, je branlais et chatouillais son clitoris enflammé. Elle tortillait son gros derrière de plaisir et déchargea copieusement, me faisant presque mal à la langue de la manière dont elle la serra avec son sphincter au moment où elle m’inonda de son foutre tout le menton et le cou.

Dans la fureur de sa jouissance, elle me cria :

— Oh ! pine-moi, mon chéri, enfonce ta magnifique pine dans le trou de mon cul ; oh ! fous, fous, fous-moi immédiatement !

Énormément heureux de lui voir, dans un moment de passion, nommer les choses par leur véritable nom, je répondis par des actes, sans prononcer une seule parole. On peut s’imaginer que j’étais moi-même fou de désirs ; approchant alors ma pine de son immense et magnifique con, tout couvert encore de foutre de sa précédente décharge, je l’y plongeai d’un seul coup violent jusqu’aux couilles. Elle répondit à mon coup en avant par une poussée en arrière et poussa un cri de satisfaction. Je fis deux ou trois mouvements de va-et-vient, de sorte que ma pine fut entièrement blanche du foutre dont son con l’avait couverte. La retirant soudainement, je la présentai à l’entrée du temple le plus secret de Vénus et l’enfonçai avec plus de douceur ; elle m’aida en élargissant le plus ses fesses avec ses deux mains, de sorte que j’entrai tout doucement dans cette fournaise avide d’engloutir et de dévorer mon énorme pine ; car, ainsi que je l’ai déjà fait observer, ma tante adorait l’enculage, après avoir été bien foutue par le con, comme je venais de le faire. C’était si délicieusement chaud et étroit que je restai quelques minutes sans bouger. J’avais vu remuer le bras de ma tante de telle sorte que j’étais convaincu qu’elle se branlait le clitoris et même ma pine ressentait très bien le mouvement qu’elle faisait en se branlant le bouton. Je la laissai continuer, jusqu’au moment où, sentant par les tortillements involontaires de son derrière qu’elle allait décharger, je l’aidai avec ma pine et j’eus à peine le temps de faire quelques mouvements qu’elle paya un nouveau tribut à la volupté, avec une telle jouissance et en pressant tellement ma pine qu’elle faillit me faire décharger moi-même en même temps qu’elle.

Je fis de mon mieux et réussis à me retenir. Ma tante était insatiable et j’étais content de la laisser décharger le plus souvent possible, aussi je m’arrangeai pour la faire décharger encore une fois avant de me rejoindre dans la crise finale, qui nous saisit tous deux en même temps, et nous mourûmes de plaisir, ayant pour le moment seulement, satisfait nos désirs voluptueux. Je tombai sur ce magnifique derrière au moment où je fus saisis par la langueur qui suit la décharge, mais ce fut seulement pendant un instant très court. Les exquis serrements intérieurs que mon amoureuse tante exerçait sur ma pine ravie étaient trop excitants pour ne pas produire bientôt une réaction.

J’étais étendu sur son large derrière, aussi passant une main autour de ses larges tétons, je pris les bouts entre mes doigts ; avec l’autre main, je chatouillai son petit bout de clitoris ; je les excitais tous deux tout en faisant aller et venir doucement ma pine plus raide que jamais. Je sentis de suite combien cela la faisait jouir ; en effet, elle m’assura plus tard qu’un tel branlage, ajouté au mouvement lent et doux d’une pine dans son corps devant ou derrière, était des plus excitants et même meilleur que lorsqu’on manœuvre plus vigoureusement. Je la fis bientôt décharger encore.

Une autre de ses grandes jouissances était de s’enfoncer d’un seul coup une grosse pine dans le con dès qu’elle venait de décharger, moment où elle était elle-même incapable de faire aucun mouvement. Plus tard, elle me montra que son plus grand plaisir était d’avoir une pine bien raide prête à remplacer celle qui venait de la faire décharger ; à ce moment, comme je n’avais pas encore déchargé, c’était la contre-partie exacte de ce que son imagination aurait désiré. Je la foutis et la branlai jusqu’à ce que nous payâmes tous deux notre tribut à Vénus en poussant des cris de luxure. Nous tombâmes tous deux cette fois-ci anéantis sur le canapé, oubliant tout excepté la jouissance dans laquelle nous étions plongés. Elle me pria à la fin de me retirer, quoiqu’elle sentit que j’allais rebander par suite des exquis serrements que donnait son derrière à ma pine toujours engloutie. J’aurais bien voulu recommencer.

— C’est assez, mon cher garçon, c’est plus que la nature ne peut en supporter, je dois ménager ta jeunesse ; tu m’as fait jouir plus que je n’aurais pu me l’imaginer ; lève-toi, mon amour, et laisse-moi t’embrasser, te remercier et t’aimer comme je le ferai toujours.

Je me levai et nous nous jetâmes dans les bras l’un de l’autre, nous embrassant avec amour et nous faisant langue fourrée. Ma tante me boutonna après avoir embrassé et pris la tête de ma pine entre ses lèvres, l’appelant sa « chère et jolie quéquette ». Je saisis cette occasion de lui dire :

— Chère tante, vous l’avez appelée pine tout à l’heure et vous me disiez de vous foutre et de bien l’enfoncer dans votre con. Est-ce que ce sont là les véritables noms de ma quéquette et de votre fente ? Que veut dire foutre, ma chère tante ? Dites-le moi, ma tante chérie ! Enseignez-moi le langage que je dois tenir quand vous me soulagez si délicieusement de ma raideur qui est si fréquente maintenant. Je ne sais si vous l’avez remarqué, ma chère tante, mais dès que j’entre avec vous dans ce pavillon d’été, je suis tout de suite aussi raide que possible ; il est vrai que vous me procurez de telles jouissances en me soulageant, que je voudrais toujours être raide quand vous êtes près de moi. Est-ce naturel, ma chère tante, ou une maladie ? Je vous en prie, dites-le moi et enseignez-moi tous les termes voluptueux dont vous vous êtes servie pendant que vous me soulagiez de ma raideur.

Mon ignorance apparente lui plut beaucoup. Elle pensa aussi probablement que, comme tôt ou tard, je devais connaître la nature de nos amusements, il valait mieux me dire la vérité et m’attacher plus sûrement à elle. Elle me pria de m’asseoir et m’expliqua tout bien en détails. Naturellement, je savais aussi bien qu’elle tout ce qu’elle me communiqua, mais je la confirmai dans l’idée qu’elle était vraiment ma première institutrice, en lui faisant des remarques naïves sur ce qu’elle me racontait. Je lui parus aussi bon élève et par mes questions serrées, je lui fis dire tout ce qu’elle savait et je n’avais plus rien à apprendre. À la fin, je lui dis :

— Est-ce que toutes les femmes ont une aussi délicieuse fente, je veux dire con, entre leurs jambes, que le vôtre ?

— Oui, mon chéri, mais il ne faut jamais essayer avec d’autres ; tu ne trouveras personne pour t’aimer autant, et je puis même ajouter, aussi capable de satisfaire ce cher ami ; mais viens, car ce serait dangereux de le laisser rester plus longtemps ici.

Elle se leva, mais je me déboutonnai rapidement et lui montrai ma pine dans un état de grosseur plus grande que jamais. Je la priai de me laisser avoir seulement « une fouterie », maintenant que je savais ce que cela voulait réellement dire. Je la lui mis dans la main. Ses propres descriptions précédentes avaient enflammé sa luxure. Elle s’en empara avec bonheur, et, se baissant, elle l’embrassa en disant qu’elle ne pouvait résister à une pareille vue. S’étendant sur le dos sur le sopha, les jupes relevées, ses pieds sur le bord, ses cuisses bien écartées, elle me montra la magnificence de son con dans toute sa gloire. Je me jetai à genoux et la gamahuchai jusqu’à la décharge ; connaissant maintenant son plaisir favori, j’approchai instantanément ma pine brûlante de son con gluant de foutre, l’y plongeai et commençai un mouvement furieux, l’accompagnant de phrases des plus cochonnes qu’elle venait justement de m’apprendre, du moins à ce qu’elle croyait.

— Oh ! ma tante chérie, qui a un si beau con, est-ce que je te pine bien ? Remue le cul plus vite. Comme cela, c’est ça ! Sens-tu ma pine jusqu’aux couilles de ton con délicieux ? Oh ! quel plaisir tu me donnes !

Elle répondit dans le même style. Passant sa main en dessous, elle pressa mes couilles et me demanda si de les serrer ainsi, cela me faisait du bien.

— Oh ! oui, mon amour, ton con, ton cul, tes tétons, tout est délicieux. Oh ! je n’aurais pas cru qu’on pouvait ainsi augmenter les plaisirs de la fouterie en prononçant des mots cochons.

Nous étions tous deux tellement excités par ces expressions ordurières et obscènes, que nous déchargeâmes dans un excès de la plus grande jouissance et nous tombâmes anéantis et entièrement rassasiés par ce dernier coup si délicieux et si adorablement voluptueux. Il était temps de finir. Me glissant encore entre ses cuisses, j’enfonçai ma figure contre son con gluant, couvrant de foutre ma bouche, mes lèvres, mon nez et mes joues. Elle m’attira alors vers ses lèvres et me lécha comme un chien.

Réparant alors le désordre de notre toilette, nous retournâmes à la maison et trouvâmes le pasteur qui nous attendait avec impatience. Nos figures rouges et enflammées lui démontrèrent que nous nous étions livrés aux plus grands excès. Il plaisanta ma tante sur son habileté à soulager mes attaques de raideur si fréquentes maintenant.

Ma tante l’informa que, sans le vouloir, dans un moment de jouissance, elle s’était servie d’expressions qui m’avaient tellement étonné, qu’elle avait cru nécessaire de ne rien me laisser ignorer et que je savais complètement maintenant la nature de nos intimités ; après le lunch, il pouvait lui-même compléter mon éducation, car elle était certaine qu’une entière confiance était la meilleure politique à suivre ; comme cela devait arriver tôt ou tard, il valait mieux que je l’apprenne d’eux plutôt que de toute autre personne.

Il répondit qu’elle avait parfaitement raison et qu’il m’instruirait davantage après le lunch ; nous nous mîmes alors à engloutir les viandes qui se trouvaient devant nous et auxquelles je fis honneur.

Je fus ainsi initié, comme ils le supposaient, aux mystères de l’accouplement des sexes. Je réserve de plus amples détails sur nos expériences intimes et expansives pour la suite de ce véritable roman de luxure, ce sont encore des expériences du premier âge.

FIN