« Mon cœur s’ébat en odorant la rose »

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« Mon cœur s’ébat en odorant la rose »
(p. 213).

Mon cœur s’ébat en odorant la rose
Et s’éjouit en regardant ma dame :
Trop mieux ne vaut l’une que l’autre chose.
Mon cœur s’ébat en odorant la rose
L’odeur m’est bon, mais du regard je n’ose
Jouer trop fort, je vous le jure par m’âme,
Mon cœur s’ébat en odorant la rose
Et s’éjouit en regardant ma dame.