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Version du 23 juillet 2009 à 20:21
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CHAPITRE IV
Tout d’abord, le reporter dit au marin de l’attendre en cet endroit même, où il le rejoindrait, et, sans perdre un instant, il remonta le littoral, dans la direction qu’avait suivie, quelques heures auparavant, le nègre Nab. Puis il disparut rapidement derrière un angle de la côte, tant il lui tardait d’avoir des nouvelles de l’ingénieur.
Harbert avait voulu l’accompagner.
« Restez, mon garçon, lui avait dit le marin. Nous avons à préparer un campement et à voir s’il est possible de trouver à se mettre sous la dent quelque chose de plus solide que des coquillages. Nos amis auront besoin de se refaire à leur retour. À chacun sa tâche.
— Je suis prêt, Pencroff, répondit Harbert.
— Bon ! reprit le marin, cela ira. Procédons avec méthode. Nous sommes fatigués, nous avons froid, nous avons faim. Il s’agit donc de trouver abri, feu et nourriture. La forêt a du bois, les nids ont des œufs : il reste à chercher la maison.
— Eh bien, répondit Harbert, je chercherai une grotte dans ces roches, et je finirai bien par découvrir quelque trou dans lequel nous pourrons nous fourrer ! Modèle:PageNum embarquer pour le diriger. Mais un marin n’est jamais embarrassé, quand il s’agit de câbles ou de cordages, et Pencroff tressa rapidement une corde longue de plusieurs brasses au moyen de lianes sèches. Ce câble végétal fut attaché à l’arrière du radeau, et le marin le tint à la main, tandis que Harbert, repoussant le train avec une longue perche, le maintenait dans le courant.
Le procédé réussit à souhait. L’énorme charge de bois, que le marin retenait en marchant sur la rive, suivit le fil de l’eau. La berge était très-accore, il n’y avait pas à craindre que le train ne s’échouât, et, avant deux heures, il arrivait à l’embouchure, à quelques pas des Cheminées.
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