Le Turc lubrique (The Lustful Turk)

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The Lustful Turk (Le truc lubrique)
1828



Dans le harem d’un potentat oriental, une série de lettres d’une jeune et belle Anglaise adressées à son amie restée en Angleterre relatent fidèlement et vivement les détails de son enlèvement et de son abandon total aux goûts salaces des Turcs, le tout étant décrit avec un piquant et une simplicité qui en garantissent l’authenticité.


PREMIÈRE LETTRE

Emily Barlow à Sylvia Carey

Portsmouth, Crown Hotel

18 juin 1814

Très chère Sylvia,

Nous sommes arrivées ici tôt ce matin après un voyage très triste. Seul le temps pourra effacer l’impression douloureuse laissée par l’apparition de ce pauvre Henry lors de notre départ. Jamais je n’oublierai son air désespéré. Faites tout ce que vous pouvez pour le réconforter, dites-lui que bien que j’obéisse aux désirs de ma mère et de mon oncle, mon cœur lui sera toujours fidèle sous tous les cieux. La pauvre Eliza a fait tout ce qui était en son pouvoir sur le chemin jusqu’ici pour distraire mes sentiments blessés, mais c’était bien insuffisant pour ôter le poids qui me pesait sur le cœur. Oh, Sylvia ! combien est cruel le sacrifice qu’exige l’obéissance à nos parents ; comme j’aurais été heureuse si cet oncle n’avait jamais existé ! Ma mère, mon amie, mon amoureux, - tout, tout ce que je chéris, - sacrifié à la perspective d’entrer en possession de la fortune de cet oncle. Dieu sait avec quelle tendresse j’espérais devenir bientôt l’heureuse femme de ton frère ; tu devines (mais je prie pour que tu ne la ressentes jamais) l’angoisse causée par une telle séparation. Mais c’est décidé. Je ne peux maintenant que supplier le ciel de revenir rapidement. À notre arrivée, nous avons trouvé le capitaine de l’Indiaman qui nous attendait anxieusement. Comme le vent avait été favorable pendant quelques heures, il aurait appareillé sans nous si nous n’étions pas arrivées ; j’aurais été vraiment heureuse qu’il en eût été ainsi ; et si j’avais su qu’un léger retard sur la route eût empêché notre départ, je l’aurais certainement provoqué. Adieu, ma chère Sylvia, un grand adieu. Le bateau nous attend pour embarquer sur le Momerbank, comme l’appelle le capitaine. Adieu, Sylvia, réconforte le pauvre Henry, il est impossible de décrire ce que je ressens quand je pense à lui. Ta malheureuse amie,

Emily Barlow  


LETTRE 2

Ali, Dey d’Alger, à Muzra, Dey de Tunis

20 septembre 1814.

Muzra, ton ami te salue, et t'envoie ses remerciements pour ton cadeau. Je fais allusion à la jeune fille grecque (car elle l’était), que tu m’as envoyée avec le trésor. Le porteur de cette missive a la charge d’une paire de beaux étalons que j’ai récemment capturés à une tribu d’Askulites ; ils avaient fait une incursion depuis le désert dans une partie de mes territoires, mais je les ai attaqués par surprise, et je les ai proprement châtiés pour leur prétention : sur deux mille, pas plus de cent en ont réchappé ; je n’étais en effet pas d’humeur à les épargner, car ils m’avaient dérangé dans une partie de plaisir, et pour cela il ne pouvait y avoir aucun pardon, mais je t’en dirai plus ci-après. L’esclave grecque, je me plais à le répéter, était vierge ; j’ai sacrifié sa virginité pour la fête de l’Aïd-el-Kebir de notre Saint Prophète. Pour cueillir sa douce fleur, j’ai été obligé de mettre un opiacé dans son café. A nouveau, je te remercie pour ce présent — ses charmes sont vraiment parfaits ; dans ses douces étreintes, je trouve un certain apaisement à mes angoisses, mais comme il est étrange, Muzra, que ces esclaves, dont la destinée dépend de notre volonté, manifestent rarement du plaisir en retour, ce qui est si absolument nécessaire à la volupté de la jouissance. Il est vrai que la nature exercera toujours son pouvoir sur le sexe faible, et elles cèdent souvent à l’excitation, mais le plaisir qu’elles éprouvent est purement animal. Il en va ainsi avec Zena (c’est comme cela que j’appelle ton cadeau) : même au sommet de l’extase, un nuage semble obscurcir son beau visage, ce qui montre clairement que c’est la nature, et non l’amour, qui provoque son plaisir. Cette certitude diminue considérablement la jouissance que me procure sa beauté, et pourtant elle est devenue indispensable à mon plaisir. Bien que la nouveauté de ses charmes soit passée, la certitude d’avoir cueilli sa fleur virginale a créé un attachement durable en mon sein, que l’éclat fascinant de ses yeux et leur expression pudique et timide augmentent chaque jour — en effet ses charmes m’arrachent souvent des bras d’une autre beauté, dont je puis dire que je jouis sans cesse depuis deux mois sans que mon ardeur diminue le moins du monde, au contraire mon appétit semble augmenter avec ce dont je me nourris. Il est vrai que quand je pense aux charmes songeurs de Zena, je lui consacre plusieurs heures, mais elle n’est que la pierre à aiguiser sur le couteau et elle me renvoie dans les bras de mon esclave anglaise, empli d’une vigueur et d’un entrain redoublés. Dans mon prochain envoi, je te conterai comment je suis devenu envoûté par cette fille qui a tellement enchanté les désirs de ton ami. Que notre Prophète t’ait en sa sainte garde.

Ali 


LETTRE 3

Sylvia Carey à Emily Barlow

Londres, le 19 juin

Porte-toi bien, chère Emily, ton amie maintenant solitaire te souhaite un bon voyage dans sa prière du soir. J’ai reçu ta lettre d’hier, et j’espère que tu recevras celle-ci avant ton départ. Le pauvre Henry n’est sorti de sa chambre qu’une seule fois depuis ton départ. Je ne te surprendrai pas en te racontant sa misère, mais sois assurée que rien ne sera négligé pour soulager ses souffrances, bien que je tremble pour le résultat ; ta mère l’a vue aujourd’hui et elle a été très choquée par son abattement ; mais je crois que le temps fera beaucoup, et que vous serez peut-être encore heureux de vous posséder l’un l’autre. La providence qui sépare peut rapprocher de nouveau. Il est inutile de se décourager. Saisis toutes les occasions de nous écrire, par tous les navires que tu croiseras sur ton chemin ! Que Dieu te bénisse.

Sylvia Carey

(Emily n’a jamais reçu cette lettre, le navire ayant appareillé avant qu’elle n’arrive à Portsmouth.)

LETTRE 4

Emily Barlow à Sylvia Carey

Alger, le 24 juillet 1814

Très chère Sylvia,

J’imagine ton expression de surprise à réception d’une lettre de moi datée de cet endroit. Mon Dieu, Sylvia, à quel sort épouvantable la gentille intention de mon oncle a-t-elle livré ta misérable et malheureuse amie. Plains-moi, Sylvia; et plains ma détresse. Tu as sans aucun doute entendu parler du traitement cruel subi par des femmes assez infortunées pour tomber aux mains de ces Turcs barbares, en particulier celles qui peuvent prétendre à une certaine beauté; mais il est tout à fait impossible pour toi, Sylvia, d’imaginer rien de semblable à ce que j’endure depuis que nous sommes partis. Je frémis d’angoisse quand je regarde ce que j’ai été obligée de subir. Plains-moi, ma chère amie. Mes larmes effacent ces mots presqu’aussi vite que je les écris. Mon Dieu, Sylvia, Je n’ai plus aucune revendication de chasteté. Jamais assurément une pauvre jeune fille n’a été aussi impitoyablement privée de sa vertu. Le jour même où ce maudit pirate m’a amenée à cet endroit, le Dey, s’est emparé de ma virginité avec une force cruelle en dépit de mes supplications. J’ai résisté en vain de toute la force que la nature m’a accordée. Sans effet. En vain j’ai fait résonner le harem de mes cris, mais aucune aide, aucune assistance n’est venue finalement au secours de ta pauvre amie, à la fin, épuisée de lutter pour défendre mon innocence, mes forces m’ont complètement abandonnée et mon puissant ravisseur a implacablement réussi à me perdre. Oh, Sylvia, ta pauvre amie est maintenant la concubine souillée de ce Turc sans valeur.

Tu es sans doute anxieuse de savoir comment je suis tombée en son pouvoir. L’histoire de ma ruine est courte. Le lendemain du jour où je t’ai écrit de Portsmouth, nous avons navigué sur la Manche par un temps tout à fait agréable, mais une fois loin de la côte, j’ai souffert du mal de mer au point de ne même pas pouvoir ramper sur le pont… Je suis restée dans cet état pendant trois semaines. Un jour j’entendis un bruit tout à fait inhabituel sur le pont ; et à Eliza que j’avais envoyée pour en savoir la cause, le second a dit que le bateau allait être attaqué par des pirates Mauresques. Tu peux aisément imaginer notre terreur en recevant cette information, qui ne s’avéra que trop vraie, car bientôt les coups de feu et les cris des combattants nous apprirent que l’œuvre de destruction avait commencé. La fusillade ininterrompue dura un temps considérable, et quand les tirs de nos fusils s’arrêtèrent, le tumulte, les cris et les grognements venant du pont se firent indescriptibles. Soudain tout devint calme, mais nous entendimes une bousculade venant vers la cabine qui nous informa avec trop de certitude que notre captivité approchait. En un instant la porte fut défoncée et une horde de Turcs en armes couverts de sang se précipita à l’intérieur. Incapable de supporter plus longtemps les diverses émotions qui m’avaient agitée pendant les deux dernières heures et souffrant encore des séquelles de ma maladie, je m’évanouis dans les bras d’Eliza. Lorsque je repris mes esprits, j’étais allongée sur ma couchette sous la garde d’Eliza ; elle m’apprit que nous avions été capturées par un corsaire algérien qui avait ordonné qu’on me donne toute l’attention possible. Elle pensait que le corsaire faisait route vers le détroit de Gibraltar.

Bref, environ une semaine après avoir doublé Gibraltar, un coup de canon salua notre arrivée sous les murs d’Alger. Durant le trajet vers ce lieu, je ne fus dérangée par aucune visite du capitaine, mais une fois le navire amarré, il vint à la cabine et nous ordonna, en bon anglais, de nous préparer à débarquer dans la demi-heure. A l’entendre parler si bien anglais, je profitai de l’occasion pour lui demander quelles étaient ses intentions nous concernant, mais je restai sans voix lorsqu’il répondit que son intention était de nous offrir en cadeau au Dey ! Il ajouta qu’il pensait que j’étais particulièrement digne de cet honneur. Cette information me fit si profondément horreur que j’essayai en vain de parler pendant plusieurs minutes, et si je ne m’étais pas soulagée par un flot de larmes, cette émotion m’aurait très certainement été fatale. Cette brute de capitaine me regarda pleurer et remarqua froidement : « Oh ! Oh ! les grandes eaux ! Ah ! Ah ! » et il poursuivit en riant bien fort : « Si jamais tu es encore fille, le Dey te fera pleurer d’une autre façon, je crois ». Puis il retourna sur le pont. J’ai appris depuis que ce barbare était un renégat anglais.

La pauvre Eliza semblait aussi abattue que moi, car en ce qui concerne son attrait physique, peu de filles pouvaient être mieux dotées. Un fort pressentiment de mon destin imminent avait pris possession de mon esprit. Tout ce qu’Eliza pouvait faire ou dire n’aurait su calmer mes appréhensions. Au bout de quelque temps, le capitaine revint à la cabine, nous recouvrit d’épais voiles et nous conduisit toutes deux sur le pont. Quelques minutes après nous franchîmes le portail du harem du Dey. Il était environ six heures et demie du soir le 12 de ce mois lorsque j’entrai dans ce palais, qui s’avéra si funeste pour ma pudeur. J’y étais depuis à peine une demi-heure que ma vertu reçut une atteinte si grave que seule la perte totale de ma virginité pouvait excéder ce que j’endurai. En moins de cinq heures, le cruel Dey m’avait complètement privée de toute revendication de virginité. Mais tu sauras comment tout cela s’est passé. Aussitôt dans le harem, nous fûmes plus traînées que conduites dans une chambre des plus somptueuses, à l’extrémité de laquelle était assis le Dey ; apparemment âgé d’environ quarante-cinq ans, il fumait un genre de pipe spéciale. Le capitaine se prosterna aussitôt et lui parla en langue turque, en nous désignant en même temps, Eliza et moi. Le Dey nous observa pendant quelques instants sans se lever. Il dit alors quelque chose au capitaine, qui se releva, prit Eliza par la main et la conduisit hors de la pièce. J’allais la suivre, mais le capitaine m’ordonna de rester. Tremblante de terreur, je fus forcée d’obéir.

A peine le capitaine et Eliza se furent-ils retirés que le Dey se leva du divan, s’approcha tranquillement de moi et se saisit de ma main, qui se mit à trembler. Après avoir réfléchi quelques instants, il me prit par le menton et dit en bon anglais que Mahomet était bon de lui accorder une esclave aussi belle. Je ne fus pas très surprise d’entendre le Dey me parler anglais, car le capitaine le parlait aussi très bien, mais cela me terrorisa d’une façon indescriptible et de fait, j’avais de bonnes raisons d’appréhender. Aussitôt après avoir parlé, il commença à me mener vers le divan ; je reculai immédiatement, mais sans autre cérémonie, il m’attrapa par la taille et malgré ma résistance, me força à m’en approcher ; puis tout en s’asseyant il m’attira vers lui et me força à m’asseoir sur ses genoux. Si j’avais été en mesure de résister, rien que l’excès de confusion m’aurait empêché de faire obstacle à sa manœuvre. Dès qu’il m’eut saisie ainsi, il lança un de ses bras autour de mon cou, et attira mes lèvres vers les siennes, me clouant la bouche de ses baisers audacieux. Alors que ses lèvres étaient comme collées aux miennes, il força sa langue dans ma bouche en provoquant une sensation qu’il est tout à fait impossible de décrire. C’était la première fois qu’on prenait avec moi une telle liberté.



Vous pouvez deviner le choc qu’il m’a donné d’abord, mais vous ne le croirez guère quand je le reconnaîtrai que mon indignation n’était pas de longue durée. La Nature, nature trop puissante, s’était éveillée et assistait à ses démarches lascives, transportant ses baisers, si brutaux qu’ils fussent, jusque dans les replis les plus profonds de mon cœur. Soudain, de nouvelles et sauvages sensations se mêlaient à ma honte et à ma rage. faiblement ; En effet, Sylvia, en quelques instants, ses baisers et sa langue jetaient mes sens dans un tumulte complet et un feu inconnu se précipitait à travers moi, pressé par un plaisir étrange. Tous mes cris retentissaient en de doux soupirs, et malgré ma rage intérieure et mon chagrin, je ne pus résister ; voulant la force pour l’auto-défense, je ne pouvais que pleurer ma situation. Je vous ai dit qu’il me tenait à genoux, un de ses bras autour du cou. Constatant à quel point je résistais peu, et m’avoir ainsi avec nos lèvres étroitement jointes, son autre main il a soudainement jeté sous mes jupons. Irrité par cette insulte vitale, je m’efforçais de rompre avec ses bras, mais cela ne servait à rien. Il m’a tenu ferme, mes cris et mes reproches il n’a pas tenu compte ! Si par mes luttes je me suis arrangé pour libérer mes lèvres, elles ont été rapidement retrouvées ; ainsi, de sa main et de ses lèvres, il me tenait dans le plus grand désordre, tandis que, à mesure qu’augmentait, je sentais diminuer ma fureur et ma force. Enfin, une sensation de vertige s’empare de tous les sens. Je sentis sa main rapidement diviser mes cuisses, et rapidement l’un de ses doigts pénétra dans cet endroit que, Dieu sait, aucune main masculine n’avait jamais touché auparavant. Si quelque chose manquait à ma confusion, c’était la sensation excitante que je ressentais, causée par le contact de son doigt. Quel moment terrible était-ce pour ma vertu ! avec toutes les notions les plus élevées des charmes de cette chère innocence que j’étais condamné à perdre si vite, ne redoutant même pas dans le désordre de mon âme de le perdre, comme il était étrange que le plaisir ne fût pas vaincu par de telles craintes . Pourquoi ne m’ont-ils pas instantanément arraché au plaisir ? J’aurais voulu que quelque secours vînt me sauver du danger, mais je n’eus pas plus tôt fait le désir qu’un baiser et son doigt créa une émotion contraire, et chaque baiser suivant devint de plus en plus plaisant, jusqu’à ce que je regrette enfin que rien ne s’opposât. ma défaite absolue. En rougissant de ce que je ressentais, je rougis d’écrire, j’avais envie de sentir plus. Sans idée de ce que pouvait être ce que j’espérais, j’attendais avec impatience l’instruction, jusqu’à ce que l’ardeur impétueuse commence à être trop puissante pour les sens.

Constatant que je n’essayais pas de retirer mes lèvres de sa pression exaspérante, son bras qui était autour de mon cou, il m’enleva à ma taille, m’attirant ainsi plus fortement à son sein ; son bras droit est devenu étroitement confiné entre son corps et le mien, ma main étant placée et tenue fermement entre ses cuisses. Dans cette position, je sentis quelque chose sous ses vêtements s’agrandir et se déplacer contre ma main ; de la longueur je l’ai senti contre mon bras, je l’ai jugé pour être très long et épais aussi. Si j’avais voulu retirer ma main de sa position, je ne pouvais pas ; et si merveilleuse était la fascination que je ressentais du simple contact de cet objet inconnu, je crois que je n’aurais pas pu me retirer la main si elle avait été parfaitement libre. Sans savoir ce que c’était, chaque battement créait en moi un tremblement inexplicable. Je rêvais peu l’affreuse angoisse que je devais éprouver par ce que ma main réchauffait et élevait à la vie.

À cette époque, le Dey s’était satisfait de mon être vierge. En dépit d’une léthargie sensuelle, je n’avais pas réussi à faire taire dans ma poitrine un malheureux moniteur qui, quoique sans succès jusqu’alors, me reprochait encore ma faiblesse. Le Dey, percevant pleinement l’impression qu’il avait faite, résolut d’en tirer un avantage immédiat. Mais comment décrirais-je ce que je rougis encore de penser, mais cela doit être fait. Il retira sa main d’entre mes cuisses, me força à me mettre sur le canapé et, en un instant, il remonta mes vêtements au-dessus de mon nombril. Ainsi tous mes charmes secrets sont exposés à sa vue. Épuisé comme j’étais et perdu dans le désir, je ne pouvais plus résister. Ses mains ont rapidement divisé mes cuisses et il s’est mis entre eux. Pendant mes luttes, mon foulard était devenu lâche et désordonné. Il l’a maintenant complètement enlevé, laissant mon cou et ma poitrine tout à fait nus.

Bien que je puisse à peine garder mes yeux ouverts du tumulte de mes sens, je ne pus m’empêcher d’observer comme il était à genoux entre mes cuisses qu’il se dépouillait de ses vêtements inférieurs. Pour la première fois de ma vie, j’aperçus ce terrible instrument, cet ennemi fatal de la virginité. Avec des sensations inexprimables, je sentis son corps rayonnant nu rejoindre le mien, de nouveau mes lèvres étaient collées au sien, m’attirant à la ruine avec ses aspirations enflammées. Dans un délire à court de plaisir, haletant de désir, j’attendais mon destin. (Je pense vraiment qu’en ce moment il avait achevé ma séduction, je n’aurais pas regretté ma perte de vertu, mais non, il fut décrété qu’en étant privé de mon innocence je serais entièrement libre de tous ces doux désirs qu’il avait puissamment excité, et que je souffrirais pendant ma défloration de toutes les angoisses qu’une servante peut ressentir, aussi bien personnelles que mentales … Mais à mon malheureux récit.) Le Dey s’était convenablement fixé à faire ce que je devais mais certainement à ce moment-là crainte. Même si sa main audacieuse fixait la tête de son instrument terrible où ses doigts lascifs avaient si puissamment contribué à me réduire à mon état passif d’alors, je le sentais même avec plaisir distendre avec raideur jusqu’à ce moment ma pudeur intacte. Mais à l’instant même où j’avais volontairement tout résigné à ce que je considérais alors comme mon destin fixe, ses yeux, dont je pouvais à peine soutenir l’éclat et l’expression, étaient tout à coup remplis de langueur. Il semblait si confus, et m’embrassant avec moins de violence, il grandissait peu à peu, encore plus que moi. Soudainement je sentis mes cuisses débordées par quelque chose de chaud qui jaillissait à torrents de son instrument. Enfin il s’est enfoncé dans mes bras dans une sorte de transe.

La faiblesse du jour continuant, ma confusion commença à se dissiper tellement qu’en faisant un effort je ne trouvai aucune difficulté à me dégager de ses bras. Je suis sorti du canapé. À mesure que je devenais plus calme et plus capable de me souvenir, plus je devins sensible à ma honte, et au choc terrible que ma pudeur avait éprouvé. Une mélancolie m’a saisi. Je frissonnais de ce que je risquais de rencontrer à en juger par ce que j’avais déjà vécu. Cependant, je suis retourné grâce au ciel pour mon évasion actuelle. À ce moment-là j’avais ajusté ma robe et le Dey avait fait la même chose et, s’approchant de moi, il posa de nouveau son bras autour de ma taille. À peine remis de ma première confusion, je tremblais de peur que la même scène recommençait, mais heureusement j’étais trompé. Il a seulement embrassé ma joue d’une manière qui n’avait rien de déplaisant, et a dit, aussi bien que je peux me rappeler, « Beau chrétien, ce n’est pas le plaisir de notre saint prophète que je devrais être actuellement dans la jouissance de votre des beautés, mais quand je reviendrai d’un voyage que je vais faire, je serai sans doute capable de rendre justice à vos charmes. Jusqu’à mon retour, je commanderai tout pour votre plaisir et votre amusement. Mais viens, continua-t-il, je te conduirai dans l’appartement que je compte occuper. Je me suis alors levé le courage de l’adresser, bien que je puisse à peine regarder en face de lui. Je lui dis ma situation exacte, mon affection pour Henri, que mon oncle payerait sans doute une rançon très élevée si j’étais relâché sans autre tentative contre ma vertu. Je jetai cela pour tenter sa cupidité, en supposant, comme je comprenais toujours les Algériens comme un groupe d’hommes les plus rapaces, que l’espoir de gagner une grosse somme l’amènerait à m’épargner. Il a écouté très patiemment tout ce que j’ai avancé. Encouragé par son attention, je procédai à des supplications et à des supplications soutenues par des larmes, mais tout à coup il m’attira dans son sein et embrassa mes larmes en répondant par ces mots décisifs : « Cela ne peut pas être ; c’est en vain que tu plaides ; votre destin est fixé. Je ne me séparerais pas de vous pour tous les trésors du monde combiné, sans parler de ce qu’un individu pourrait produire. Ne vous permettez pas, belle, avec de vains espoirs de rançon, car si le Commandeur des Croyants devait l’ordonner, je ne me séparerais pas de vous. L’odeur délicieuse de votre fleur vierge est réservé pour ma jouissance Dans quelques jours je reviendrai, et puis, houri, tu dois te résigner sans répugnance ni pudeur à mes désirs féroces, et en retour je t’apprendrai un si doux plaisir que tu ne cesseras bientôt de regretter d’avoir été jeté dans mon pouvoir. Comment imaginez-vous un instant que je sois assez folle pour donner aussi des beautés comme la tienne aux bras d’une rivale ? laisser un chrétien favorisé cueillir votre jeune fille rose. Non, douce vierge, le doux plaisir m’est réservé, et il attira mes lèvres aux siennes ; c’est moi qui suis condamné à abattre la fleur. À moi appartient la délicieuse tâche de vous transformer en une femme finie, et de cultiver ce délicat trésor, si recherché, mais si rarement trouvé. Mon cœur me manqua complètement au refus décidé, et il me conduisit tremblant dans les appartements que j’allais occuper. Ils consistaient en une suite de trois pièces, située au bout d’une longue galerie. Comme nous sommes entrés, il m’a expliqué l’utilisation de chaque pièce.

Le premier était l’appartement général pour manger ou recevoir la compagnie, le second pour s’habiller, tandis que le troisième et le plus intime était la chambre à coucher ; ce dernier ne pouvait être approché que par les deux autres pièces, du moins il me semblait. Dans la chambre étaient trois grandes fenêtres. À l’examen, je les ai trouvés à regarder vers la mer, qui battait les murs en dessous à une grande profondeur. Il n’y avait aucune possibilité d’approche ou d’évasion de ce côté. Tandis que je regardais l’expédition dans le port, le Dey me saisit la main et m’attira doucement vers le lit qui était dans un des coins de la pièce, fait de grands coussins de velours dans le plus magnifique style, après la mode orientale. . Les deux côtés du mur qui formaient l’angle dans lequel le lit était placé étaient entièrement couverts de glace, comme le plafond au-dessus. Un tremblement soudain me saisit en voyant le lit fatal que le Dey observait, il me prit dans ses bras et m’embrassa en disant : « À mon retour, je vous délivrerai bientôt de tous ces tremblements et de toutes ces craintes. Il a tenu sa parole, mais c’était beaucoup plus tôt que je ne l’espérais ou qu’il ne l’avait promis. Après avoir indiqué toutes les commodités de la pièce, ainsi que leurs diverses utilisations, il m’a donné une clé, m’informant que c’était la clé de mon appartement. Il me prit alors dans ses bras, couvrant mes lèvres et mon cou de baisers, et m’ordonna de m’attendre à son retour dans une semaine, date à laquelle, dit-il, il ne doutait pas de ma soumission entière à ses désirs. La façon dont ces avertissements étaient donnés était si particulière et si nouvelle pour moi, combinant une si grande part de moi l’autorité d’un maître, qu’il était entièrement hors de mon pouvoir de répondre, et il me quitta. La première chose que j’ai faite quand il était parti était de m’inspecter la porte de la chambre. À ma grande joie, j’ai trouvé que la serrure était à l’intérieur et que la clé étant en ma possession, je me sentais relativement en sécurité.

J’examinai ensuite attentivement la pièce et, après une recherche rigoureuse, je fus convaincu qu’il n’y avait pas d’autre entrée que la porte, personne ne pouvant s’approcher des fenêtres. J’étais très soulagé après cette inspection.

Au moment où j’avais fini mon examen, venaient quatre femmes esclaves que le Dey avait désignées pour m’assister. L’un d’entre eux parlait anglais. Je lui ai demandé si je pouvais avoir Eliza, mais m’a informé que Dey la considérait trop belle pour être une assistante. À l’heure actuelle, elle était considérée comme l’une de ses maîtresses, et le resterait si elle était jugée digne de cet honneur en étant encore une femme de chambre. Cette information m’a fait soupirer pour la pauvre Eliza. Les esclaves apportaient maintenant toutes sortes de rafraîchissements, dont j’avais beaucoup besoin.

Après le dîner, je me retirai dans la chambre et m’installai sur un canapé dans l’un des recoins des fenêtres ; la perspective était belle ; le soleil venait de couler sur l’horizon occidental derrière les terrasses blanches de la ville, mais il y avait encore assez de lumière pour discerner tout ce qui se passait dans le port et sur la taupe ; Pendant quelques instants, mon malheureux état fut oublié. J’ai été dérangé par l’esclave qui parlait anglais en apportant un paquet de livres en anglais, avec une cloche d’argent pour sonner si je voulais quelque chose. Pendant qu’elle était dans la pièce, une décharge de fusils eut lieu du château et des batteries, et elle m’informa que chaque fois que le Dey partait ou retournait à la ville, il était toujours salué de cette façon. Elle a ajouté qu’il n’était pas censé revenir pendant une quinzaine de jours. Je me sentais rassuré de ne pas être troublé par le Dey pendant un certain temps, et me trouvant bien dépassé par ce que j’avais subi, je sonnai pour les lumières, décidé à me coucher. Directement ils ont compris mes intentions, les esclaves sont venus autour de moi dans le but de me déshabiller, mais je leur ai ordonné de se retirer, ce qu’ils ont fait, après avoir placé tout pour mon service. J’ai ensuite verrouillé la porte, déterminé à nouveau à fouiller la pièce ; ne trouvant toujours rien pour faire peur, je me déshabillai, mais au moment même où j’avais enlevé ma chemise, préparant le linge de nuit, vous devinez ma terreur en entendant un bruit sur le bord du lit. Avant que j’aie pu tourner la tête, je me suis retrouvé dans les bras du Dey, qui était aussi nu que moi-même. Oh mon Dieu ! vous ne pouvez pas imaginer ma terreur et mon désespoir en ce moment. Vous voyez comment j’ai été bercé dans la sécurité que je pourrais devenir une victime facile. Je me sentais assuré que le Dey était parti d’Alger ; le tir des canons, le récit de l’esclave, tout était forgé pour me bercer dans ma ruine, tout inventé pour me jeter hors de ma garde ; bref, il ne m’a pas laissé le temps de réfléchir. Sans défense et nu dans ses bras, j’ai été porté au lit et jeté dessus. Mes cris ont dû être entendus à travers le palais mais aucune aide n’était proche pour empêcher ma ruine. Que pourrait faire une faible fille comme moi contre un antagoniste si puissant ? rien, car en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire, il étendit de force mes cuisses et se plaça entre elles. Oh mon Dieu ! même maintenant, quand tout est fini, et récompensé comme je l’ai certainement été pour ma Je frémis au souvenir naïf de l’angoisse terrible que j’ai éprouvée quand il a réduit ma chasteté à une ruine sanglante. Je me suis bientôt rendu compte qu’il était inutile de lutter ou de résister, j’étais un simple enfant dans ses bras ; quant à la force, il bougea et me plaça comme il convenait à son plaisir. Je sentis rapidement son doigt introduire à nouveau la tête de ce terrible moteur que j’avais ressenti auparavant, et qui ressemblait maintenant à un pilier d’ivoire qui m’entrait. Directement il avait retenu sa tête en moi, il retira sa main, plaça son bras autour de mon cou et attira mes lèvres aux siennes. En ce moment, j’étais presque insensible à tout ce qu’il faisait, tant mes sentiments étaient vaincus par la peur et la honte. Mais je n’étais pas condamné à rester longtemps dans cet état, car je le sentis rapidement pénétrer à l’intérieur de moi, avec une fureur qui me fit crier d’angoisse. Mes pétitions, supplications et larmes ne servaient à rien. J’étais sur l’autel, et, comme un boucher, il était résolu à achever le sacrifice ; en effet, mes cris semblaient seulement l’exciter à l’achèvement de ma ruine, et sucer mes lèvres et mes seins de fureur, il arracha sans relâche tous les obstacles que ma virginité offrait, me déchirant et me coupant en morceaux, jusqu’à la jonction complète de nos corps annoncés que tout son corps terrible était enseveli en moi. Je ne pouvais plus supporter l’effroyable tourment : poussant un cri perçant, je m’enfonçais insensible dans les bras de mon ravisseur cruel. Combien de temps j’ai continué dans cet heureux état d’insensibilité, je ne sais pas, mais j’ai été ramené à la vie en ressentant la même agonie palpitante qui a causé mon évanouissement. Toujours saisi dans ses bras, je le sentais monter et descendre sur moi avec une force et une énergie qui me faisaient sentir chaque mouvement de l’instrument sur lequel j’étais empalé comme la coupe d’un couteau. Chaque poussée qu’il faisait était suivie d’une éjaculation, telle que « créature délicieuse, comme elle est serrée ! Saint Mahomet, je vous remercie. Oh ! Ah ! qui serait sans. Voilà un doux infidèle, comme il se conduisait jusqu’à moi, avec beaucoup d’autres mots dans la langue turque que je n’ai pas compris, jusqu’à ce que la fureur de ses coups devînt si cruellement sauvage que je m’évanouis une seconde fois., comme je peux le dire, par l’instrument de mon martyre avant mon deuxième évanouissement, je ne pouvais pas, malgré ma souffrance, être considérablement surpris de la très grande altération que j’éprouvais, bien que je l’eût senti le plus avait perdu la plus grande partie de cette raideur féroce avec laquelle il m’avait d’abord déchiré. Tandis que mon esprit était ainsi occupé de réflexions sur ce changement nouveau, mon étonnement augmenta en le sentant comme il était, peu à peu, assumant toute sa force et son érection en moi, tandis que le Dey s’amusait à sucer mes lèvres, mes mamelons,mes seins, et arrangeant mes cheveux sur mes épaules et mon sein, de diverses manières pour plaire à son imagination, déplaçant aussi mon visage dans différentes positions, comme il l’a dit, pour voir de quelle façon il est apparu le plus charmant — jusqu’au retour du même la distension cruelle des parties m’a douloureusement informé que son instrument avait retrouvé son état féroce. Le Dey retira alors tout sauf la tête qu’il laissa entre les lèvres de la gaine qu’il venait de se former, et ayant, de sa main, satisfait de sa force pour accomplir le troisième assaut, il retira sa main. et me tenant fermement à son sein, à une poussée énorme l’a poussée en moi, distendant les parties tendres, blessées et déchirées, jusqu’à ce que le mélange mutuel de nos cheveux ait arrêté son progrès supplémentaire. Il resta quelque temps tranquille dans mes bras, en apparence de ses diverses exclamations nageant dans une mer de plaisir, suçant ma poitrine et mon cou, jusqu’à ce qu’ils deviennent très douloureux ; tout le temps je gisais haletant et étiré au-delà du roulement. Bientôt, je me sentis commencer ses attaques redoutables. Tout d’abord, bien sûr, ils n’étaient pas si féroces ; mais comme ses sentiments étaient excités par la jouissance, la fureur de ses mouvements augmentait aussi. Je ne pouvais pas retenir mes cris, et juste au moment où ses fentes créaient une angoisse intolérable, un fort coup à sa porte fit sauter le Dey de mes bras. L’angoisse de la manière soudaine dont la cause de mes souffrances m’était retirée était si terrible, que je m’évanouis à nouveau. Quand j’ai récupéré, je me suis retrouvé à attacher dans les bras du Dey, qui veillait anxieusement sur moi. Il m’informa alors que le trouble qui l’avait forcé à quitter mes étreintes était occasionné par un de ses eunuques qui venait l’informer de l’invasion soudaine d’une partie de ses territoires par des Arabes, ce qui le rendit nécessaire. ses troupes ; mais il a juré par son Prophète sévèrement de les châtier pour le déranger dans une scène de plaisir si vraiment délicieux — ainsi il a appelé ma ruine et honte. Après m’avoir embrassé maintes et maintes fois, et donné diverses autres caresses, il se leva et se retira à travers un panneau coulissant au chevet du lit, me laissant dans le théâtre de ma défaite nourri d’angoisse, plus mort que vif. Mes souffrances, ma faiblesse et mon agitation me jetèrent bientôt au sommeil, où ma ruine et ma misère furent un moment oubliées. Effroyable, en effet, étaient mes souffrances en étant déflorée. Jamais la pauvre servante n’a été si débauchée sans ménagement, et personne ne peut souffrir une angoisse plus cruelle que celle que j’ai éprouvée en recevant ma première leçon de ce puissant Turc. Je ne me suis pas réveillée du sommeil rafraîchissant auquel je me suis laissé tomber jusqu’au matin. . En tentant de me lever, je m’aperçus que j’étais incapable, à cause de la raideur affreuse des parties qui avaient été si terriblement et impitoyablement tendues. Incapable de se lever, j’ai été obligé de rester dans la scène de ma défaite jusqu’à ce que les esclaves soient venus me réveiller. Avec leur aide, je me suis levé. Si tu avais vu les draps, tu aurais vraiment pitié de ton pauvre ami. Je trouvai, par le soin, la tendresse et le respect avec lesquels j’étais traité, que les ordres du Dey à propos de moi devaient être très particuliers.

J’ai appris qu’on ne s’attendait pas à ce qu’il revienne avant un certain temps. Cette nouvelle, inattendue de ma part, agissait comme un sursis à un criminel condamné. Cela, bien sûr, a contribué considérablement à apaiser mes sentiments blessés ; mais au bout d’une semaine, de même que l’agitation de mes esprits s’était calmée dans une certaine mesure, je fus à nouveau dans l’état d’alarme en étant informé de son retour, ainsi que de son intention de passer très nuit avec moi. Je venais de me coucher quand la communication m’était faite, et ses ordres étaient à peine livrés avant qu’il fût dans ma chambre. La nouvelle de son arrivée m’avait jeté dans une sorte de stupeur dont je ne me relevais que lorsque ses baisers féroces m’amenaient à un sentiment de collection, quand je vis arriver mon second martyre. Vous pouvez être assuré, d’après ce que j’ai déjà décrit de lui, que je n’avais rien à attendre de supplications ou de supplications ; cependant je ne manquai pas de les utiliser, soutenus par des torrents de larmes. Il ne tenait aucun compte de cela, mais il me prit dans ses bras, m’attirant dans son sein et m’appelant stupide et stupide de faire une telle opposition à ses plaisirs. — Raisonnons un peu, dit-il en attirant mes lèvres vers les siennes, considérez l’indispensable nécessité que toutes les créatures aimantes comme vous-même perdent la douce fleur que je vous ai si récemment acquise, et qui vous semble si chère ; Considérez la grande fin pour laquelle la nature vous a créé, donnez ces larmes inutiles, qui ne font que retarder votre dégustation des joies les plus douces. Alors tu parles de ta vertu — prie, peux-tu me dire en quoi consiste-t-elle ? s’écria-t-il en suçant mes lèvres. Je pouvais seulement répondre avec des larmes. « Pensez-vous, me dit-il, que si je vous aime contre votre volonté, vous êtes un peu moins vertueux ? Ou est-il possible, continua-t-il, que vous soyez si simple que de croire que la vertu dépend de ce qu’une partie quelconque de votre beau corps soit un peu plus grande ou un peu moins. De quelle considération peut-il être à Ali si cette partie est ouverte ou non ouverte par l’homme ? et, pour me faire comprendre le rôle qu’il voulait dire, il me passa la main entre les cuisses, où ses touches ardentes ne me laissaient aucun doute sur le rôle auquel il faisait allusion. Il allait alors me placer dans une situation convenable pour satisfaire ses désirs, mais comme je résistais à ses tentatives, il vola sur moi comme un tigre, me retourna de force sur le dos et me fendit les cuisses ; en effet, j’ai trouvé la résistance sans succès.

Les quelques jours qu’il avait été absent semblaient avoir augmenté ses désirs dans une sorte de frénésie. Je ne peux pas vous donner quelque chose comme une description de mes souffrances comme il a de nouveau forcé son moteur terrible en moi. La douleur que j’ai ressentie était aussi cruelle que quand il m’a d’abord déflorée. La chambre retentit de mes cris. Mais il ne les a pas écoutés ; au contraire, il augmenta la fureur de ses coups. Trois fois en un quart d’heure je m’évanouis dans ses bras à cause de l’angoisse affreuse. En me rétablissant j’ai trouvé, pendant ma dernière insensibilité, il m’avait quitté. Je ne puis dire si mes pleurs et mes pleurs l’avaient impressionné, ou ce qui l’avait poussé à sortir du lit. mais il alla dans un cabinet de la chambre, où je le vis clairement, pointer son instrument du contenu d’un petit pot. Après avoir nettoyé ses mains, il retourna se coucher. Il ne lui fallut pas longtemps avant de se remettre entre mes cuisses. Je tremblais, attendant le tourment cruel ; mais devinez mon étonnement quand, au lieu d’éprouver la douleur palpitante qui avait toujours accompagné sa pénétration, je le sentis l’enfoncer jusqu’à la garde contre la douleur, sans plus de douleur que de me faire crier deux ou trois « Oh » ; mais je sentais toujours une étanchéité extrême accompagnée d’étirements chauffés. Quand je l’avais reçu très rapidement, il m’embrassa tendrement et me demanda s’il souffrait autant qu’avant. Je ne pouvais pas répondre à une telle question, mais je crois que mes rougissements devaient l’avoir satisfait sur ce point. En effet, la différence que je sentais maintenant était si grande que je soutenais cet assaut avec très peu de souffrance, jusqu’à ce que la nature, incapable de supporter le tumulte du plaisir avec lequel le Dey semblait agité, l’aidait, et je sentais pour la première fois avec indescriptible quelque chose de chaud lui coulait à flots rapides, qui refroidissait délicieusement les parties qu’il avait si puissamment réchauffées. En sentant la dernière goutte éjectée de lui, il s’affaissa sur mon sein, sans le moindre signe d’animation, s’étendant à son maximum, ce qui était le moyen de tirer son instrument de l’intérieur de moi. Il pendait entre mes cuisses, dépourvu de toute sa puissance et de son érection, apparemment aussi sans vie que son propriétaire.

La raison de mon évasion de sa première attaque, la nuit où j’ai été amené au harem, m’était maintenant suffisamment expliquée. Il ne tarda pas à se remettre de sa transe. J’ai maintenant perçu une attention merveilleuse dans son comportement. Tous ses regards impérieux et impérieux avaient cédé la place à des égards respectueux et passionnés, bien qu’il fît encore ce qu’il voulait ; mais il y avait un certain changement dans sa façon d’agir que je ne tiens aucun compte de cela. Remarquable car j’ai trouvé son attention, elle a été dépassée par ce que j’ai bientôt connu. Malgré mon amour pour le pauvre Henry ou la répugnance que je ressentais naturellement contre le Dey en tant que violateur de ma chasteté — malgré mes souffrances dans ses furieux embrassements de la différence de notre religion et de nos âges — pouvez-vous croire ce que j’ai ressenti ? Au début de ma défaite ? Je rougis d’écrire et de confesser, mais je suis obligé de posséder, je sentis une douceur voluptueuse dans ses baisers, qui agit comme un baume, apaisant pour les douleurs que j’avais subies. Il est vrai que mes lèvres ne lui rendaient pas encore ses pressions, mais elles les recevaient docilement, respirant à chaque instant un poison dissolvant qui se répandait rapidement dans mes veines. Cette fois, j’étais conscient de la dureté excessive de son instrument, qui était maintenant étendu sur mon ventre, qu’il avait retrouvé sa vie et sa vigueur sans vie, et bientôt le mouvement de sa main droite me fit savoir que j’étais sur le point de le recevoir. Mais comment décrirais-je mon émotion quand, pour la première fois, je la sentis pénétrer sans la plus petite parcelle de douleur, sans plus de peine que le simple élargissement, en pénétrant et étirant chaque sillon mou, jusqu’à ce que le tout fût entièrement gainé ? et nous atteignîmes l’union la plus complète sans que j’eusse poussé plus de quelques soupirs tremblants, que je ne pus m’empêcher de contempler le ravissement inexprimable que créait l’aspiration féroce, sensation qui, d’être entièrement nouvelle, était si délirement indéfinissable. . Ne me croyez pas indigne de dire ainsi ce que j’ai vécu. Croyez-moi, je n’avais pas le pouvoir de résister au doux plaisir qu’il me faisait maintenant éprouver par le doux frottement de son moteur voluptueux. Vous, Sylvia, qui êtes encore, je crois, une servante inexpérimentée, vous pouvez avoir aucune idée des forces séductrices de ce merveilleux instrument de la nature, cette terreur des vierges, mais le ravissement des femmes. En effet, il ne peut y avoir aucune description donnée du pur plaisir, je peux même dire l’agonie de la jouissance, excitée par la friction excessive que la rapidité de ses poussées a causée. On m’a vite appris que c’était la clé maîtresse incontrôlée de mes sentiments. Mon tremblement il a rapidement banni ; ma confusion devint un étonnement haletant qui, avec la rapidité de l’éclair, changea en un respect pour mon jouisseur si soumis dans sa nature que je le regardais déjà comme le maître de mon destin futur, et mon âme se résigna complètement et solidement à lui comme il apprécié mon corps mou et m’a instruit dans le plus doux plaisir auquel la nature peut participer. Mon cœur, mon âme, mon être même a été fondu par ses poussées passionnantes, jusqu’à ce que finalement mon souvenir m’a échoué. Je perdis la vue, puis je m’abîmai de nouveau dans ses bras, mais d’une cause très différente de mon autre faiblesse. Je me remis de cette léthargie du plaisir pour être à nouveau plongé dans le même état dissolvant, pour le Dey, charmé de tout mon être soumis, semblait déterminé que rien ne devait manquer de sa part pour rendre mon bonheur complet..Étant entièrement soulagé de la douleur, j’ai nagé dans la mer de la joie et de la jouissance passionnantes seulement connues aux jeunes filles juste libérées des douleurs de la virginité expirante. Toutes ces douleurs et toutes mes craintes disparurent, avec les restes de ma pudeur virginale, la seule chose qui pouvait faire obstacle à cette luxueuse nouveauté qui remplissait si ravissante mon âme d’extase et d’étonnement. Quoique j’avais à peine résumé le courage de regarder mon jouisseur en face, la chaleur de mes caresses et la tendresse de mes baisers, l’agitation voluptueuse de tout mon corps, suffisaient à lui suffire pour que le plaisir eût fixé son influence séduisante sur mon cœur et au milieu de notre jouissance, au moment même où il avait mis mes sentiments dans un état de délire indescriptible, il arrêta brusquement ses mouvements ravissants et luxueux, et m’embrassa avec une douceur qui se précipitait à mon cœur, dit : houri, veux-tu me pardonner le peu de respect que je t’ai fait en t’enseignant les mystères de l’amour ? Presque évanouie de la joie que je possédais, je languissais, pour la première fois, je me risquais à lever les yeux au visage de mon séducteur, mais, incapable de supporter le brillant éclat de ses yeux, je cachai mes rougeurs dans son sein, où il sentit son pardon scellé par un baiser brûlant. Cette reconnaissance sans équivoque et tendre de son pouvoir sur moi ranima tous ses désirs presque satisfaits, et, attachant mes lèvres aux siennes avec un coup de passion, le temps ne peut jamais effacer le souvenir, il me le fit toucher d’une manière si délicieusement touchante des degrés si beaux et opportuns, que j’ai béni la chance heureuse qui m’avait jeté dans ses bras puissants. De cette manière était une grande partie de la nuit passée, jusqu’à ce que la nature épuisée exigeant une trêve à nos conflits, nous nous sommes inconsciemment endormis dans l’autre. bras. Au matin je me suis réveillé d’abord ; le Dey était attaché sur son dos, l’un de ses bras sous la tête, l’autre à ses côtés. Il y avait pas la moindre particule de draps sur l’un de nous. Dans mon sommeil, l’oreiller venait de dessous ma tête ; en me levant pour le remplacer, j’aperçus cette terrible machine qui m’avait si furieusement agitée de douleur et de plaisir. Je vous assure, Sylvia, je ne pouvais pas la regarder sans des restes considérables de terreur, mais mon inquiétude était fortement mélangée avec des sentiments de tendresse et de respect. Je pensais que mes yeux seraient maintenant satisfaits de l’inspecter, mais elle était très déçue de son présent. apparence. Il pendait sur sa cuisse rétrécie en une petite taille, apparemment parfaitement incapable d’exciter les diverses sensations que j’avais ressenties si puissamment. Cependant, réduite en apparence, elle avait le même pouvoir de fascination sur moi qui est attribué à l’œil du serpent. sur l’oiseau. Je ne pouvais pas en retirer le mien, et mon enquête fut si intense que je n’observai pas que le Dey s’était réveillé et jouissait de mon abstraction d’esprit.

Son rire me brisa le charme que la vue dans laquelle j’étais engagé avait travaillé autour de mes sens. Pour être pris dans cette occupation, vous pouvez être sûr, m’a jeté dans une confusion infinie ; chaque partie de moi était couverte de rougissements, que je me suis efforcé de cacher dans les couvertures ; mais il me prit dans ses bras, riant encore, me couvrant de baisers, et me disant que j’avais tout vu avec un grand désavantage, mais je serais bientôt satisfait d’une vue qui me plairait. Ce genre de discours, au lieu de diminuer, ajoutait à ma confusion. Mais, pour couronner le tout, il saisit ma main droite et, avec une douce contrainte, y força ce qu’on peut appeler le grand chef-d’œuvre de la nature. J’ai lutté faiblement comme je l’ai reçu, mais il était déterminé que je devrais observer l’effet de ma main sur sa partie sensible. Au début, il était aussi mou qu’un morceau d’éponge, mais aussitôt il sentit la chaleur de ma pression, il se mit à palpiter, puis à se dilater, et en quelques instants ce qui d’abord me tenait à l’aise devint une colonne d’ivoire, que je déclare que je ne pouvais même pas saisir. En tirant la main de haut en bas, chaque instant semblait augmenter de force et de longueur, jusqu’à ce qu’il atteigne une érection si magnifique que je ne pouvais guère croire à ma vue. Est-il possible, disais-je à moi-même, qu’un pilier aussi énorme ait pu être enterré en moi ? Mon autre main, gouvernée par mes pensées, s’égara entre mes cuisses pour examiner la possibilité de recevoir un tel invité. Ce mouvement de ma main en un instant découvrit mes pensées au Dey : « Quoi, me dit-il en m’attirant dans son sein, en doutez-vous ? Venez, venez, je vais bientôt enlever vos doutes ; d’ailleurs c’est juste que vous devriez récolter la récolte que votre main a soulevée. En disant cela, il me tourna doucement sur le dos et se mit entre mes cuisses, que je tendais maintenant volontiers pour le recevoir. Voyant que mes cheveux étaient dans une confusion considérable à cause du conflit de notre nuit, il les mit tranquillement en ordre, posant les boucles sur mon cou et mes seins de la manière qu’il jugeait la plus tentante. Ayant terminé cet emploi, de la main droite, il saisit ma gauche et, la plaçant entre ses cuisses, il me dit de piloter le navire, comme il l’appelait, en sûreté dans le port. Vous pouvez deviner à quel point il avait subjugué et maîtrisé mes sentiments quand je vous dis, Sylvia, que j’ai immédiatement obéi à ses instructions. Quand il sentit que je l’avais logé entre les lèvres, il retira ma main et je sentis rapidement l’insertion féroce jusqu’au plus vite. L’étroitesse n’était plus que ce qui augmentait le plaisir du Dey dans les étreintes strictes de cette gaine tendre et chaude autour de l’instrument qui l’avait fait correspondre à ce qu’il était si luxueusement adapté. Après trois ou quatre coups qu’il fit, pour ainsi dire, me convaincre qu’il était entièrement englouti, il m’ordonna de placer mes jambes sur son dos. J’ai immédiatement fait comme il l’avait demandé. En guise de récompense pour mon obéissance, il tira sa hampe, à l’exception de la tête, puis me la ramena huit ou neuf fois en succession rapide, jusqu’à ce que je sois agité au-delà de l’agitation furieuse qu’il me causait. Je restai haletant, gorgé et entassé de suffocation avec ravissement, jusqu’à ce que ses respirations courtes, ses accents hésitants, ses yeux scintillants de feux humides, et ses mouvements plus furieux avec une raideur accrue me fissent prendre conscience de l’approche de la période de dissolution. Il est venu, il est mort sur mon sein, distillant un flot en moi qui a tiré dans les recoins les plus secrets de mon corps, dont chaque conduit était sur le flux de se rencontrer et de mélanger voluptueusement avec son essence fondante. Au fur et à mesure que nos sucs se rencontraient et devenaient un fluide, je coulais insensible, noyé dans une mer de délices dont les mots ne peuvent donner aucune description.

Ainsi a passé la deuxième nuit de ma défaite. Après qu’il m’eût quitté le matin, et que la raison eût repris son empire, j’étais pleinement conscient de ma déviation de la stricte vertu dans le retour que j’avais fait à son plaisir. Cela me remplit un moment de pensées mélancoliques, mais je réfléchis que c’était la volonté du Ciel que ma virginité fût réservée au Dey. C’était une chose fixée par le sort, qu’il le possédât, et bientôt je devins entièrement résigné, cessant de me reprocher ce que je ne contrôlais pas. Le jour suivant, j’ai été présenté à trois de ses autres dames : une française, une italienne et une grecque. Ils étaient tous adorables. La Grécque s’appelle Zena, et je pense que je n’ai jamais rien vu d’aussi beau. Elle paraissait âgée d’environ dix-sept ans, blonde comme un lys, avec tous les charmes et la fraîcheur de son âge, tandis que la modeste langueur de ses beaux yeux noirs, combinée à une mélancolie sereine, donnait à son visage un aspect intéressant qui lui donnait l’air particulièrement attrayant. J’ai senti un grand intérêt pour cette jeune fille, et je vais vous donner un aperçu de son histoire, et aussi celle des dames françaises et italiennes. Je commencerai par l’Italien, qui parlait français également, ainsi que la Française elle-même, et qui me racontait la courte histoire de sa prise de possession du Dey. Je vais rapporter juste comme elle me l’a répété. C’était une très jolie femme, gracieusement formée, avec de beaux yeux noirs et languissants, capables de créer le plus grand intérêt ; mais elle paraissait d’une santé délicate ; sa voix était tendre, sa bouche était plutôt grande, mais ses lèvres admirablement faites avec les dents régulières, ont caché tout le défaut ; si belle et si belle, je crois que je n’ai jamais vu de cheveux ; en fait, sa personne suffisait entièrement pour créer le désir dans le sein de l’âge lui-même. Elle raconta son histoire en ces termes : « La ville de Gênes, où je suis née, a toujours été célèbre au-dessus de toute ville d’Europe pour le raffinement de sa galanterie. Il est commun pour un gentleman de se déclarer l’humble serviteur d’une belle femme et de l’attendre à servir dans tous les lieux publics pendant vingt ans ensemble sans jamais la voir en privé ou avoir droit à une plus grande faveur qu’un regard aimable ou un contact de sa main juste. De tous ces soupirants, le plus constant et le plus respectueux de tous ceux que je connaissais était le signataire Ludovico, mon amant. Je m’appelle Honoria Grimaldi, je suis la fille unique d’un sénateur de ce nom, et j’ai été considéré comme une très grande beauté à Gênes, mais en même temps assez prude et très réservé. Cette remarque me fit rire, car elle avait l’air d’un très grand libertin. « Vous pouvez sourire, mais si grande était la gentillesse alors, au point de l’amour, que bien que je ne pouvais pas être insensible à l’adresse de Signer Ludovico, pourtant je ne pouvais pas penser à épouser mon amant, qui l’aurait admis des libertés que je pensais totalement incompatibles avec les vraies libertés de la pudeur qui, je vous l’assure, me faisaient frémir. Je demandai ici si le Dey n’avait pas rectifié ses idées sur ce point. Elle rougit et soupira. En effet, madame, il ne tarda pas à faire ce changement d’opinion. En vain, madame, Ludovico a-t-il parlé de la violence de sa passion pour moi ? J’ai répondu que la mienne n’était pas moins pour lui. Mais c’était son esprit que j’aimais ; J’appréciais cela sans avoir à aller au lit avec lui, la pensée même de ce qui m’a choqué et alarmé. Mon amant était prêt à désespérer de ces discours ; il ne pouvait qu’admirer de si beaux sentiments, et pourtant il aurait voulu que je n’eusse pas été si parfait. Il m’a écrit une longue lettre mélancolique. Je lui ai renvoyé un pour la réponse dans les vers, pleins d’expressions sublimes au sujet de mon amour, mais pas un mot qui a tendu à satisfaire l’impatience du pauvre. Enfin il s’appliqua à mon père, et, pour l’engager à user de son autorité, il m’offrit de me prendre sans partage. Mon père, qui était un homme simple, était fort satisfait de cette proposition, et n’a fait aucune difficulté pour lui promettre le succès. En conséquence, il m’a très grossièrement dit que je devais être marié le lendemain ou aller dans un couvent. Ce dilemme m’a beaucoup surpris. Malgré toute ma répugnance pour le lit conjugal, j’ai trouvé chez moi quelque chose d’extrêmement hostile à un cloître. Une séparation absolue de Ludovico était ce que je ne pouvais supporter ; c’était même pire que la conjonction absolue. Dans cette détresse, ne sachant que faire, j’ai retourné une centaine de romans à la recherche de précédents. Après de nombreuses luttes avec moi-même, j’ai résolu de me soumettre à des conditions ; donc, j’ai dit à mon amant que je consentais à être sa femme, pourvu que je le sois peu à peu, et qu’après la cérémonie, il ne doive pas prétendre à tous les droits et privilèges d’un mari, mais permettez à ma pudeur de faire une capitulation décente et progressive. Ludovico n’aimait pas beaucoup cette capitulation, mais plutôt que de ne pas l’avoir, il se contentait de faire le dernier compliment à ma délicatesse. Nous étions unis, et à la fin du premier mois il était heureux de se trouver à la pleine jouissance de mes lèvres. « Alors qu’il gagnait du terrain, pouce par pouce, son père mourut et lui laissa une grande propriété en Corse. Sa présence était nécessaire là-bas, mais il ne pouvait songer à se séparer de moi ; nous nous embarquâmes donc, et Ludovic eut bon espoir de ne pas s’emparer de sa propriété, mais de ma virginité à son arrivée. Si Vénus, qui est née de la mer, était plus puissante que la terre, ou si elle était de la liberté habituelle à bord d’un navire, mais quelle que soit la raison, elle est sûre Au cours du voyage, je lui accordai plus de libertés qu’il n’en avait jamais cru, car mon cou et mes seins étaient moulés par sa main hardie. Mais tandis qu’il était ainsi peu à peu réduit à mes désirs, la fortune, qui prenait plaisir à le persécuter, apportait sur notre chemin un corsaire africain qui mit rapidement fin à notre badinage en nous faisant tous les deux esclaves. Qui peut exprimer notre affliction et notre désespoir à une captivité si soudaine et si inopportune ?Ludovico se voyait privé de sa vierge épouse sur le point même d’obtenir tous ses vœux, et j’avais des raisons d’appréhender les mains rudes dans lesquelles j’étais tombé, que ma virginité allait m’être enlevée, que j’eusse résisté ou non. Mais le martyre que je cherchais à l’instant était défendu de façon inattendue Pour le corsaire, voyant que j’étais beau, je me trouvais digne des embrassements du Dey, et on me le présentait à notre arrivée ici, fin malheureuse à tous mes sentiments purs et héroïques ! Le temps était maintenant arrivé où j’étais condamné à être courtisé d’une manière opposée à celle adoptée par Ludovic. Ma femme mariée était connue de mon ravisseur, et c’était un fait que, bien sûr, il communiquait au Dey. Il a naturellement supposé que je suis une femme finie. Quand on m’avait amené à lui, il paraissait très frappé de mon apparence et ordonnait à tout le monde de sortir de l’appartement ; puis, se levant du canapé sur lequel il était assis, il me prit la main et me conduisit vers elle. En l’approchant à mon grand étonnement, il me demanda en bonne langue d’être assis. J’obéis tremblant, et il s’assit à mes côtés. Directement, il s’était assis, il tenait une de mes mains et demandait de quelle partie de l’Italie je venais. De la douceur de ses paroles et de ses manières, je pensais pouvoir assumer avec lui la même autorité que celle de Ludovico, et je ne répondrais donc à aucune de ses questions, et le Dey, voyant le plus tendre et le plus respectueux de son comportement, plus je présumai de son indulgence, me saisit tout à coup par la taille, et, attachant mes lèvres à la sienne, continuai à les sucer avec une telle force qu’il faillit me faire défaillir. La soudaineté de l’attaque m’a plongé dans une extrême confusion. Quand j’en avais récupéré, le Dey avait découvert mes seins et les maniait à sa guise, s’écriant à chaque instant, en les pressant et en les maniant : « Par Mahomet, comme ils sont délicieusement formés, fermes, délicieusement mamelons ! !  »

Cette fois, je m’étais un peu remis de ma confusion, en remarquant que le Dey, se levant de la voiture, dit, d’un ton bas et déterminé : « Comment maintenant, esclave audacieux ? Supposez-vous contrarier la volonté de votre maître ? … Montrez encore une fois la moindre opposition à mes désirs, et en un instant je vous aurai flagellé proprement pour votre présomption : marquez-moi, esclave ! Après cette menace, il se rassit et m’attira à genoux, les bras autour de la taille. Sa manière déterminée de me traiter produisit un tel effet que je n’osai pas résister à ce qu’il renfonçait sa main dans mes seins ; mais, après s’être assez contenté de les sentir et de les mouler, il tourna brusquement les mains sous mes jupons. Ses menaces étaient maintenant oubliées. Je résistai de nouveau vigoureusement et me débattis. Il cessa aussitôt et, sortant du canapé, avec un petit sifflet qui pendait à sa ceinture, il appela ses eunuques noirs, à l’un desquels il donna quelques ordres dans la langue turque ; le gars sortit, mais revint rapidement avec un fouet, qui avait environ une douzaine de queues. J’étais maintenant saisi par les deux eunuques, qui m’ont forcé à travers le canapé avec mon visage vers le bas ; chacun des eunuques me tenait par le bras au-dessus du divan, de sorte que je ne pouvais pas m’enfuir. Ayant ainsi l’assurance et l’indifférence de mes larmes ou de mes supplications, le Dey a soulevé mes vêtements et les a jetés sur mes épaules, laissant tout nu sous ma taille aussi nue qu’à ma naissance. Croiriez-vous cela, madame, il a commencé à me fouetter d’une manière si impitoyable que je n’ai pas pu retenir mes cris, dont il n’a pas tenu compte jusqu’à ce qu’il ait cru avoir suffisamment puni ma première offense. Il s’est alors arrêté, et a exigé si j’oserais s’opposer à ses souhaits encore. Je ne pouvais pas lui répondre pour le moment, même si la mort en était la conséquence. Cependant, il me laissa très peu de temps, mais recommença sa flagellation en disant : « Oh, vous êtes maussade, n’est-ce pas, mais je vous subjuguerai bientôt. En effet, si douloureusement je sentais ses cils que je pouvais enfin pleurer que je serais soumis à ses désirs. « J’étais directement soulagé de la position dans laquelle j’étais, et les eunuques furent congédiés, quand le Dey, tout comme si rien ne s’était passé, se plaçait à mes côtés ; mais, voyant que je me trouvais extrêmement inquiet de la douleur du rôle qu’il avait si impitoyablement fouetté, il me fit coucher à côté de moi, se mettant à côté de moi. Il m’attira alors dans son sein et après avoir embrassé mes larmes, suçant mes lèvres et forçant sa langue dans ma bouche (ce qui créa un grand dégoût en moi), présentement exigé si je n’étais pas marié, je frissonnai d’une affirmative. « Des malédictions sur le chien chrétien, dis-je, qui ont arraché votre virginité ! » il a répondu ; « par Ali, je l’aurais possédé. » Vous pouvez être sûr, madame, cela m’a fait rougir, ce qui lui a fait remarquer à quel point mes rougeurs augmentaient ma beauté. Encore une fois mes lèvres sont devenues sa proie. « Depuis combien de temps êtes-vous lié au chien chrétien ? » demanda-t-il en retirant ses lèvres pour me laisser répondre. J’ai bégayé, « Seulement un mois. » « Un mois, alors tes rougissements ont été pollués … Eh bien, il faut que je sois content de toi comme tu es … En effet, tu es un festin digne d’un monarque … Quelle douce et délicieuse langueur de tes yeux ! « Je n’osais pas désobéir, et, rempli de rougir, joint mes lèvres aux siennes. Il semblait très content de mon obéissance, et continua quelque temps à m’embrasser passionnément. Tandis qu’il était ainsi occupé, il glissa de nouveau sa main droite sous mes jupons et se décala. Un effroyable tremblement me saisit, mais mes craintes empêchèrent la moindre résistance, tandis que sa main brûlante voyageait sur mes charmes les plus secrets. Voilà un changement, madame, du respect du pauvre Ludovico ! La plus petite faveur ne lui fut accordée qu’après les persuasions les plus pressantes, tandis que le Dey prit toute liberté qu’il jugeait convenable, et je crois qu’il me faisait un honneur. Il avait maintenant sa main entre mes cuisses et, en rapprochant mes lèvres de la sienne, il m’invita à les ouvrir un peu plus large, afin qu’il puisse avoir pleinement le commandement du lieu de plaisir où il disait qu’il voulait dire sacrifier. Je ne lui obéis pas pour le moment. « Comment maintenant, » il a pleuré, changeant son ton du sollicitant au commandant, « darest tu négliges mes ordres ? Oh ! Madame, le prolongement progressif de mes cuisses a clairement exprimé mes craintes. Mes larmes coulaient à torrents ; mes seins se soulevaient dans une agonie convulsive. Pendant un moment, le Dey joua avec le doux duvet qui couronne la montagne du plaisir, puis glissa son doigt entre les lèvres de la route qui jusque-là n’avait jamais été parcourue, rêvant peu de la découverte qu’il allait faire. En effet, en poussant son doigt le plus loin qu’il pouvait en moi, avec un grand étonnement il trouva quelque difficulté à entrer, ses efforts me faisant pleurer qu’il me faisait mal. Surpris de mes cris, il se mit immédiatement en marche et, me forçant sur le dos, il étendit mes cuisses à leur plus grande largeur : « Pourquoi, Mahomet, tu es une femme de chambre ! s’écria-t-il en m’examinant minutieusement. « Quelle punition croyez-vous mériter pour me tromper ainsi sur votre virginité ? Tremblant et haletant de honte et de peur, je répondis que je ne l’avais pas trompé, puisqu’il n’avait demandé que depuis combien de temps j’étais marié, et que je lui avais dit la vérité. « Alors, comment va-t-il, demanda-t-il, que votre mari n’ait pas récolté ses droits ? J’ai enfin avoué ma pudeur de jeune fille avait été la raison. Le Dey rit de bon cœur, en disant : « Quelle que soit la cause, saint Mahomet, je vous remercie pour ce trésor inattendu, mais il ne restera pas longtemps en réserve, faute de cueillette. Il est alors descendu du canapé, m’assistant aussi pour me lever de mon dos ; puis, appliquant le sifflet à sa bouche, il convoqua les mêmes eunuques, auxquels il donna quelques directions comme auparavant. En obéissance à ses instructions, ils me conduisirent dans une petite pièce dont tous les côtés étaient couverts de verre : même la porte à laquelle je suis entré ne pouvait pas être découverte quand elle était fermée. Au centre de la pièce se trouvait un petit canapé de velours à coussins noirs, avec un grand coussin à la tête ; ce n’était qu’un simple et large lit, au centre duquel était attaché, bien tendu, une belle étoffe de damas blanc. Je fus dépouillé en un instant par les eunuques de toutes les parcelles de ma robe ; ils ont même dénoué les filets qui retenaient mes cheveux ; puis, m’ayant réduit à un état de nature complet, ils se retirèrent, emportant mes vêtements. Tant de sentiments ont été vaincus, que j’ai été obligé de m’asseoir sur le canapé, sinon je suis tombé. Je n’étais pas condamné à attendre longtemps, car, en quelques secondes, le Dey entra aussi nu que moi. Vous savez, madame, sans doute, combien peu de cérémonie, dans les cas de ce genre, il utilise. Il m’a pris dans ses bras, après m’avoir embrassé, et m’a dit qu’il était venu maintenant pour réparer les torts que j’avais subis dans la négligence cruelle de mon mari. « Mais, » dit-il, « il sera bientôt réparé, vous goûterez rapidement les joies que méritent vos beautés, mais pourquoi ces larmes et ces soupirs, est-ce ainsi que vous rencontrez mes caresses et votre gentillesse ? c’est le retour que tu fais ma générosité en te préparant à t’apprendre les plaisirs que ton mari a négligés : Viens, viens, laisse-moi ne plus avoir de cette folie ! Alors m’attirant dans son sein, il m’a doucement forcé sur le dos. « Là, dit-il, repose-toi, non, pas comme ça, voyant que je me plaçais sur le côté, c’est sur ton dos que tu dois recevoir tes premières instructions. les cuisses ! » En un instant, il était entre eux. J’ai trouvé que je ne pouvais pas oser désobéir. Trouvant mes cuisses n’étaient pas assez étendues, il les a bientôt élargies à son souhait. Je n’ai pas besoin de vous dire à quel point le Dey est énorme ; Je ne pouvais pas m’empêcher de voir dans le verre le terrible pilier avec lequel il se préparait à m’embrasser ; découvrant rapidement la cause de mon inquiétude excessive, tandis qu’il fixait sa tête entre les lèvres de ma gaine vierge, il essayait par toutes sortes d’affection de me calmer, m’assurant que la douleur ne serait rien, que mes craintes n’étaient pas fondées ; d’ailleurs c’était un sacrifice que la nature avait décrété, et une fois sur les joies les plus douces serait ma récompense ; alors pourquoi ces peurs folles ? Ainsi m’a-t-il adouci à ses désirs. La tête de son instrument n’était pas plus tôt dans l’ouverture, par quatre ou cinq poussées soudaines, il parvint à l’insérer entièrement, de sorte que je ne pus en voir aucune partie tandis que mon visage se tournait vers le verre. En ce moment, sa pénétration n’était pas assez profonde pour me faire éprouver une grande douleur, mais lui, sachant bien ce qui allait arriver, attacha de force un de ses bras autour de mon corps. Tout était maintenant préparé et favorable. Mes jambes étaient collées aux siennes, et je restais dans ses bras comme insensible au désespoir, à la honte et à la confusion. Il commençait maintenant à améliorer son avantage en approfondissant de force sa pénétration ; sa rigidité et sa taille prodigieuses me donnaient une angoisse si terrible, de la séparation des côtés du passage mou par une substance si dure, que je ne pouvais pas m’abstenir de crier. Délicat comme j’étais, il a trouvé beaucoup de difficulté ; mais sa force herculéenne à la fin a brisé toutes mes défenses vierges. Mes cris perçants parlaient de mes souffrances. Dans mon agonie, je m’efforçai de m’échapper, mais le Dey, parfaitement habitué à de telles tentatives, les déjoua facilement par ses poussées capables, et enfouit rapidement son instrument immense trop loin en moi pour me laisser la moindre chance de m’échapper. Il ne faisait plus attention à mes souffrances, mais il suivait ses mouvements avec fureur, jusqu’à ce que la texture tendre cède complètement à ses déchirures et à ses déchirures féroces, et qu’une poussée impitoyable et violente se soit brisée et ait tout emporté, envoyant son arme, imprégné et empreint du sang de ma virginité, jusqu’à sa plus grande longueur dans mon corps. Le cri perçant que j’ai donné a proclamé que je l’ai senti jusqu’au très rapide ; Bref, sa victoire était complète. « Quelles ont été mes premières souffrances, je n’ai pas besoin de m’attarder, comme vous l’avez sans doute éprouvé aussi douloureusement que moi, à cause de sa taille extraordinaire. Il a également été augmenté du manque de délicatesse qu’il a utilisé en me subjuguant. Mais mes souffrances ne semblaient pas avoir de considération pour lui, car il ne me laissait pas de répit dans ses démarches, mais par plaisir après jouissance, très vite émoussé la douleur aiguë, et avant de me retirer, j’avais subi quatre assauts, de leur fureur amoureuse m’avait tellement étiré et ouvert que je n’avais plus besoin de me plaindre de la souffrance.Satisfait sur ce point, il retira sa hampe, et, s’étant couché quelques instants à côté de moi, il me couvrit de baisers brûlants et de caresses, m’assurant que mes souffrances étaient terminées, et que j’aurais bientôt le plaisir de un mélange pur et sans mélange d’une manière qui me récompenserait de toute l’angoisse que j’avais éprouvée dans ses étreintes féroces. Après avoir reposé un peu de temps sur ma poitrine, il se leva et m’aida à descendre du canapé, ce qui montrait une preuve cramoisie de ma perte tardive. « Regarde, s’écria-t-il, ma douce esclave, me serrant tendrement dans ses bras, je vais avoir votre nom écrit en lettres d’or, et il sera ensuite déposé avec un certain nombre d’autres qui ornent une pièce dans En vertu de cela, vous avez droit à de nombreux privilèges, qui vous seront expliqués, entre autres vous êtes à jamais exempté de toute forme de participation à mes épouses ou sultanes en chef, à moins que vous ne choisissiez de vous amuser. J’assisterai à vous expliquera toutes les choses que le témoignage rougissant de votre chasteté vous autorise à faire. Il a alors placé un tel baiser passionnant sur mes lèvres qu’il m’a jetée dans la plus grande confusion. Il a maintenant appelé quelques esclaves turcs, qui ont apporté toutes sortes de vêtements féminins. Ils ne tardèrent pas à terminer mes toilettes. Cela fini, il me conduisit dans une pièce magnifique, où des rafraîchissements étaient disposés. Pendant le repas, le Dey, par l’attention la plus assidue, s’efforça de se rendre agréable, mais je ne pouvais même pas oser le regarder. Il était encore tôt le matin. Quand nous eûmes fini notre repas, il me demanda tendrement si j’avais envie de me rafraîchir en me reposant seul. Il ne pouvait rien proposer de plus agréable, ce qui devait être évident par l’assentiment immédiat que j’avais donné à son offre. J’étais directement soutenu par lui dans un appartement où, après m’avoir tendrement embrassé, il me laissa avec une esclave qui me déshabilla bientôt ; et dans un doux sommeil auquel je suis tombé bientôt, mes malheurs ont été oubliés. Mon sommeil était long et bien sûr rafraîchissant. J’ai été réveillé par l’esclave, qui m’a informé que le dîner était presque prêt, je me suis levé et a été aidé par elle pour s’habiller. J’ai ensuite pris le dîner. Après le dîner, l’esclave attira mon attention sur une grande quantité de livres, dans ma propre langue, que le Dey m’avait fait parvenir. Je les ai trouvés constitués de nos meilleurs auteurs. Dans mon salon, il avait fait placer un grand piano, aussi un excellent luth, avec beaucoup de musique, pour ne pas me distraire. J’ai bientôt trouvé plusieurs grands portefeuilles de toutes sortes de copies, qui ont été une accumulation inépuisable d’amusement.Le temps passa imperceptiblement en inspectant les diverses choses qui étaient placées pour mes loisirs, jusqu’à ce que l’esclave me rappe Je me suis retiré, car c’était l’intention du Dey de passer la nuit avec moi. « Que pouvais-je faire ? » La résistance était hors de question ; ma vertu et ma modestie avaient reçu leurs blessures mortelles. J’avais, même si je le souhaitais, aucune ressource ; en effet, il ne me restait plus qu’à me soumettre à mon sort. À peine sachant où j’allais, on me conduisit à la chambre à coucher, et bientôt je fus réduit à un état convenable pour répondre aux désirs du Dey, étant mis au lit dans un état d’haletant, de confusion rougissante, très peu différent de l’état dans lequel j’étais le matin, quand il m’a débauché. Je n’étais pas longtemps en suspens. Je me suis bientôt retrouvé dans ses bras forts. Mais, oh, comment changé je l’ai maintenant trouvé ! Toute l’autorité d’un maître qu’il avait si fortement assumé le matin était maintenant perdue dans les regards les plus passionnés et les plus tendres d’un amant très dévoué et même soumis — même le pauvre Ludovico ne pouvait pas être plus. Je trouvai bientôt ses procédés plus funestes à ma moralité que toutes les faveurs qu’il m’avait ravies par la force sous l’influence de la punition. En effet, je ne peux pas expliquer le sentiment qu’il a bientôt créé. Comme je m’étendais sur son sein, il m’embrassa d’une manière toute nouvelle, gardant ma bouche à ses quelques minutes, de temps en temps fourrant sa langue et aspirant la mienne. Tout le temps qu’il faisait cela, sa main parcourait chaque partie de mon corps avec des touches brûlantes, créant le plus grand désordre. La jouissance sans opposition de mes lèvres, et le sentiment de toute beauté secrète que je possédais avait maintenant tellement chauffé ses esprits, que pour empêcher que le liquide qui bouillait en lui soit indûment perdu, il était absolument nécessaire de ne pas tarder à me démissionner. possession des portes du plaisir. Ainsi, si ses pressions et ses coups m’avaient chauffé et enflammé, il n’avait trouvé aucun obstacle à me retourner sur le dos et à se placer entre mes cuisses allongées. Je me souviens à peine de ce que c’était, mais je sentais bien en ce moment qu’il fixait son instrument, le doux prélude du plaisir qui illuminait en moi. De tremblement et de peur j’ai déjà commencé à désirer ; et, bon Dieu ! comment puis-je décrire la surprise que j’ai ressenti quand, avec une poussée énergique, il s’est hissé jusqu’à moi sans la moindre sensation de douleur. Jamais, oh n’oublierai jamais les transports délicieux qui ont suivi l’insertion raide ; et puis, ah moi ! par quels degrés passionnants, par ses mouvements luxueux, ses baisers enflammés et ses étranges touches de main dans les parties les plus intimes de mon corps, il me réduisait à un état d’insensibilité voluptueuse. Je rougis de dire si puissamment que son ravissant instrument réveillait la nature en moi, que par instinct je lui renvoyais baiser pour baiser, répondant à ses coups féroces, jusqu’à ce que la fureur du plaisir et du ravissement devînt si impérieuse que, incapable de supporter l’excitation que je sentais si luxueusement, je m’évanouis dans ses bras avec plaisir, Ludovico, la flagellation, et tout le reste était entièrement chassé de ma tête. Si vives, si répétées, étaient les joies que le Dey m’avait fait participer avec lui, je me demandais comment la nature pouvait s’être endormie si longtemps en moi. J’étais étonné que, dans toutes les caresses que je recevais de Ludovic, il n’eût pas réussi à donner la moindre alarme ou le moindre sentiment à la nature. Je ne pouvais m’empêcher de sourire à mon ignorance quand je considérais les airs ridicules que j’avais pris à Ludovico à propos de ma chasteté. Le Dey, en effet, avait bientôt découvert ma folie, et comme un homme de sens, a pris la bonne méthode pour me subjuguer. Ainsi, dans une courte nuit, voyez-vous, il a mis à la déroute tous mes scrupules purs et pudiques, m’enseignant avec ravissement la nature des mystères sacrés de l’amour, et la grande fin pour laquelle nous, pauvres femmes pauvres, sommes créées. Le premier mois de ma captivité, mes sens étaient maintenus dans un flot de ravissement si continuel que je n’avais plus guère d’autre choix que de soutenir ses étreintes la nuit et me rafraîchir de sommeil pendant la journée. Mais peu à peu ses visites à mon appartement devinrent de moins en moins fréquentes, de toutes les beautés qui se trouvaient en sa possession il ne pouvait en être autrement, mais quand je suis honoré d’embrassements si tendres, si doux sont ses caresses, que je me sens suffisamment Remboursé pour sa longue absence, bien que je ne puisse que souhaiter que ses visites soient plus fréquentes. Mais je suis content de mon sort. Je suis maintenant dans le harem depuis près de deux ans. C’est ma courte histoire. De Ludovic, je n’ai jamais rien entendu depuis que nous nous sommes quittés, et en toutes circonstances je le pense aussi, je ne devrais pas, car il me serait impossible de revenir à lui avec quelque satisfaction que ce soit. dans mes affections. J’ai maintenant, chère Sylvia, l’histoire de la beauté italienne. Je dois avouer que la dernière partie de son histoire, liée à la diminution graduelle des visites du Dey, m’a donné une sensation très inconfortable au début ; mais j’étais ensuite en colère contre moi-même pour le divertir un moment, quand je considérais pendant tout le temps que je ont été en sa possession, trois nuits par semaine ont encore été passées dans ses bras. Je n’ai pas non plus observé le moindre relâchement dans ses attentions ou ses désirs. Mais j’ai été alarmé avec la plus grande terreur par quelque chose que cet Italien a communiqué et auquel je n’ai pas prêté le moindre crédit. Lorsque nous nous sommes raconté nos histoires, nous sommes bien sûr devenus beaucoup plus intimes et familiers dans notre conversation. Elle m’a demandé si je ressentais du plaisir quand le Dey m’appréciait. Je lui ai dit que je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire par derrière. Elle riait de mon ignorance, et ne croyait guère à ce que j’avais affirmé, d’autant plus qu’elle savait que le Dey aimait tant l’autre route. Je lui ai demandé de s’expliquer. « Ne savez-vous pas, dit-elle, qu’une femme a deux demoiselles à prendre ? Sur ma réponse dans la négative, elle a répondu : « Vous avez, cependant. Sous l’autel de Vénus est une autre grotte, un peu plus obscure, pour être sûr ; mais là, le Dey offrira ses sacrifices avec une énergie caractéristique. J’étais tout tremblant à ce discours, et exigé d’elle si le Dey l’avait jamais appréciée dans cette position. « Très certainement, plusieurs fois » fut sa réponse. Si vous doutez de ce que je dis, la prochaine fois que je serai favorisé par une visite matinale du Dey, vous jugerez de vos propres yeux le fait ; on peut le gérer facilement, car nos suites sont contiguës. — Est-il possible, m’écriai-je, que vous receviez quelque plaisir d’une conjonction si bestiale et si peu naturelle ? — Quelle innocence, mon cher, quel enfantillage ! répondit le libertin. Ne savez-vous pas que les hommes considèrent chaque partie de nous comme entièrement formée pour leurs plaisirs ? on nous apprécie dans un sens, dans l’autre, chacun selon sa lubricité. Vous pouvez compter sur lui un de ces jours, le Dey vous instruira de cette manière et rectifiera vos idées sur le sujet. » Cette conversation, et d’autres sujets dont cet Italien m’a informé et que je ne pouvais pas chasser de mes pensées, ont jeté un une tristesse considérable sur mes sentiments. Le soir, le Dey me rendit visite et vit immédiatement par ma physionomie que quelque chose m’avait dérangé. Après une persuasion considérable, il parvint à extraire ce qui avait causé ma détresse. Et pourquoi cela, mon cher Zulima, vous donnerait-il un malaise ? dit-il en me prenant tendrement dans ses bras et en m’embrassant. Je ne vois pas pourquoi il aurait dû lever un nuage sur ce joli visage ; et je n’aurais pas pu supposer un seul instant, si j’avais demandé à ma douce esclave d’avoir administré de la sorte à mes joies, il y aurait eu déni. Je me cachais la figure dans son sein, et je lui dis dans notre pays que c’était le crime le plus dégradant qui pouvait être commis, qu’il était puni de mort. « Je sais, répondit-il, que la nation anglaise la considère comme une crime, mais je ne connaissais pas l’ampleur de la punition. Mais, Zulima (j’ai oublié de mentionner auparavant que j’ai reçu un nouveau nom du Dey, comme d’habitude avec tous les captifs), votre pays est le seul au monde qui le considère comme un crime ou le punit. En plus, Zulima, tu n’es pas en Angleterre maintenant, et tu ne vas probablement jamais y retourner. Vous êtes à moi jusqu’à ce que l’un de nous se débarrasse de cette forme mortelle ; par conséquent, vous devez vous soumettre à tout ce que je conçois comme un ajout à mes plaisirs. La loi anglaise n’ordonne-t-elle pas que la femme obéisse au mari dans tous les désirs légitimes ? — Oui, répondis-je. Eh bien, bien que vous ne soyez pas ma femme, vous l’êtes encore, selon nos lois., considéré comme le même. Pour devenir ma femme mariée, vous devez changer de religion. Mais vous êtes toujours considérée comme ma femme et vous devez donc vous soumettre à mes désirs légitimes. Par nos lois, nous sommes autorisés à jouir de nos épouses ou de nos concubines de quelque manière que ce soit qui ajoute à nos luxes ; en d’autres termes, il est permis que je jouisse, et vous devez renoncer à votre seconde virginité chaque fois que je vous demande de le faire. Après tout, cher Zulima, comment peut-on l’interpréter comme un crime ? Il est vrai que la graine que j’ai si souvent distillée en toi avec un tel plaisir dissolvant est donnée par la nature pour multiplier notre espèce, ainsi détourner son cours naturel peut dans une certaine mesure être interprété comme une offense à la nature par ceux qui ne donnent pas il n’importe quelle considération. Mettez le cas ainsi : détourner et rejeter la graine est un crime. Or il est clair que la graine, même déposée dans son réceptacle naturel, est entièrement perdue quarante-neuf fois sur cinquante. Par exemple, une graine immédiatement suffisante est injectée dans l’utérus, la femelle conçoit ; alors la bouche de l’utérus se ferme, et jusqu’à ce que la délivrance de l’enfant ne s’ouvre plus. Si la femelle est féconde et bien appréciée, elle concevra avec certitude dans trois mois ; au moins six mois au moins avant qu’elle soit libérée de son fardeau ; par conséquent, à chaque étreinte, la femelle soutient après la conception, la graine qui est tirée en elle est entièrement perdue ou mal utilisée. Maintenant, quelle différence peut-il y avoir quant à l’endroit où la graine est perdue si elle est perdu ?Où est l’infraction ou le crime ? Quelle différence si la graine est inutilement déposée dans la grotte de Vénus, ou injectée dans le temple en dessous ? Aucun dans le monde, bel esclave ! Mes esclaves grecs et corses se soumettent à toute sorte de plaisir par devoir et par soumission, dans lequel ils sont instruits dès leur enfance. J’ai deux Italiens qui ne pensent pas que ce soit un crime ; à mon esclave français c’est une simple bagatelle. J’étais conscient des préjugés de votre nation, et des joies que je trouvais dans vos étreintes n’aimait même pas à vous aborder le sujet. — Alors, m’écriai-je en lui jetant les bras autour du cou et en l’embrassant affectueusement. que les plaisirs que vous avouez m’avoir permis de me sauver de ce que je considère comme la plus grande disgrâce que j’aie pu éprouver : « C’est de la folie, s’écria le Dey, je ne peux rien faire de semblable. faut, répondis-je. Comment ? demanda-t-il. Vous avez juré par votre saint Prophète de m’accorder toute faveur que je choisirais de demander ; vous vous souvenez de votre serment sacré ? »Je le fais bien. » Eh bien, la faveur que je demande est que je puisse être épargné de la pollution dont nous avons parlé. »Zulima peut-elle penser que tout acte d’Ali la polluerait ? ’ s’écria-t-il en se levant du canapé avec beaucoup de chaleur et d’indignation. C’était le premier mot méchant qu’il m’ait utilisé depuis qu’il m’avait eu. Mon cœur s’est effondré en moi pendant qu’il continuait : ’Il est vrai que j’ai fait le serment et que je dois l’observer religieusement. Je vous laisserai réfléchir, folle esclave, sur votre puérilité en essayant ainsi de lier mes plaisirs par un serment fait dans un moment où vos flatteries mensongères m’avaient ramolli en une croyance que votre amour et votre dévouement pour moi étaient aussi sincères que votre personne. est beau. Lorsque vous avez modifié votre opinion, vous pouvez informer le chef eunuque. Je puis peut-être pardonner cette insulte et vous rendre la grâce. Il me quitta alors, marmonnant le mot « pollution », oublieux de mes larmes, qui commença rapidement à couler à ses regards fâchés. Comme il sortait de la pièce, mes esprits me manquèrent complètement. Je me laissai tomber sur le canapé accablé de chagrin, balançant contre les malheurs qui m’apportaient la connaissance de cet Italien, que je considérais comme la cause de ma rupture avec le Dey. Mes larmes ont continué pendant près d’une heure après son départ, ce qui m’a sans doute considérablement soulagé. Cependant, j’ai commencé à me consoler avec l’espoir que sa colère ne durerait pas. Mais, en effet, je n’ai pas estimé correctement son caractère. Le jour suivant est passé sans que je le voie ; un second, un troisième, un quatrième, anxieux, je puis dire presque anxieux, regardaient et écoutaient l’approche de son pas bien connu. Devinez le suspense cruel que j’ai souffert. Habitué au doux plaisir de ses étreintes, mes désirs commencèrent rapidement à dominer les scrupules que m’avait inculqués les premiers préceptes. Mes sentiments insatisfaits devinrent chaque heure de plus en plus forts, jusqu’au cinquième jour où je reçus la visite d’Honoria, l’Italienne, qui m’expliqua longuement son bonheur, après avoir passé deux nuits à courir avec le Dey ; ses transports allaient comme des poignards dans mon cœur, mais donnaient le tournant décisif à mon indécision vacillante. Je résolus immédiatement de me soumettre aux désirs de Dey, et lui écrivit une lettre en conséquence.


LETTRE 5

Emily au Dey

Ah, Ali, est-il possible que vous, qui avez tant de fois juré que cela vous rende malheureuse d’être un jour absent de votre Zulima, peut-on croire que pendant une semaine entière vous la déserteriez ainsi ? Votre cruauté me fait souffrir plus que les mots ne peuvent parler. Vous savez que je n’avais aucune intention de m’offusquer de ce que j’ai dit lors de notre dernière interview. Comment peux-tu me laisser comme tu l’as fait ? Oh, Ali, je suis avec un enfant ; hâtez-vous de réconforter votre esclave misérable. Tu ne peux pas douter de mon amour. Depuis le jour où tu as dominé mon innocence (le jour que je considère comme le plus heureux de mon existence, bien que ce soit vraiment pénible), combien de preuves as-tu reçues de mon amour et de mon dévouement ? Hâte-toi donc de me rendre justice, je te conjure. Je n’ai pas besoin de vous rappeler ce que j’ai perdu en devenant le vôtre, mon pays natal, mes innombrables amis, ma vertu. Oh, Ali, ne me punis plus ; Je suis toute dévotion à chacun de tes désirs, ton esclave soumis,

ZULIMA


LETTRE 6

Ali à son esclave Zulima

J’ai reçu ta lettre. J’étais conscient de votre présence avec un enfant. S’il était possible d’augmenter mon amour pour vous, ce serait la cause, mais si belle que vous soyez, et si je vous aime, je suis déterminé à m’arracher à vos bras tentateurs jusqu’à ce que je trouve votre soumission parfaite. de la vertu, du pays et des amis en tombant en mon pouvoir. Souvenez-vous du plaisir que je vous ai enseigné et que vous avez éprouvé : ne vous a t-il pas suffisamment récompensé pour la virginité que vous m’avez apportée ? Vous dites que vous êtes tout dévouement et soumission à tous mes désirs - soyez plus explicites. Avez-vous décidé de m’absoudre de mon serment ? Notez moi ! jamais plus ces bras ne t’enfermeront jusqu’à ce qu’en démissionnant de ta seconde virginie je t’ai mis de ton pouvoir pour me disputer sur ce point. Écris-moi plus explicitement — dis que tu voulais absoudre et te soumettre à mes embrassements comme je souhaite, et alors vous rencontrerez avec un retour de mon affection la plus ardente.

ALI

Mes veines étaient en feu, je ne pouvais rien lui refuser, et j’écrivais la note suivante :


LETTRE 7

Emily au Dey

Je vous soumets — Je vous absous de votre serment de voler aux bras de votre désir

ZULIMA

Directement assuré de mon désir de l’absoudre de son serment, il a nommé le même jour pour recevoir la dernière preuve de ma soumission entière. Le soir, quand il entra dans ma chambre, je ne pus m’empêcher de voler dans ses bras. Inconsciemment mes yeux étaient remplis de larmes ; mais je ne les considérais pas comme des larmes de tristesse, mais plutôt comme un plaisir de me sentir à nouveau pressé dans ses bras. Il m’a donné un long baiser passionnant, mais voyant que j’étais sur le point de lui reprocher sa négligence, il a arrêté ma bouche en m’informant qu’il ne pourrait pas avoir ses joies humilié par des rebuffades stupides, mais devrait procéder immédiatement, pour éviter une répétition de notre querelle, en enlevant aussitôt sa cause ; et il commença immédiatement à me déshabiller, ce qui, d’après la nature de ma tenue turque, fut bientôt accompli. Des ardentes caresses qu’il mettait sur mon cou et sur mes seins, et même sur toutes les parties exposées, je me sentais assuré que la puissance de mes attraits n’avait pas diminué. Quand il m’avait déshabillé, il se déshabillait, me prenait dans ses bras, me plaçait sur le canapé, le ventre en dessous, sur deux oreillers ronds, l’un contre la partie inférieure de mon ventre, pour élever mon fond. considérablement.

M’ayant placé ainsi, il a divisé mes cuisses à leur plus grande extension, laissant la route qu’il avait l’intention de pénétrer assez ouverte à son attaque. Il m’atteignit, et, comme il pensait, il se plaça solidement, il entoura de mes deux bras mon corps autour de mes reins, et lutta pour pénétrer l’obstacle que la nature avait placé sur son chemin ; mais il est si largement proportionné que ses efforts furent d’abord sans effet. Il essaya de nouveau, mais échoua de nouveau et, faisant une fente désespérée, sa flèche, au lieu de percer là où il le voulait, se glissa dans le sanctuaire de Vénus et, avant qu’il découvre son erreur, il fut presque enterré dans son ineffable son sanctuaire approprié. Mais il ne devait pas être déjoué de cette façon ; il le retira aussitôt et, fixant de nouveau sa tête, il procéda avec beaucoup de prudence et de férocité ; en un mot, il obtint bientôt la tête entièrement fixée. Ses efforts devinrent alors de plus en plus énergiques. Mais il était aussi heureux que le satisfaisant de sa volonté bestiale pouvait le faire. Il ne me regarda pas, mais, profitant de son succès, il acheva bientôt ma seconde défaite ; et puis, en effet, avec des émotions mêlées de dégoût et de douleur, je ressentis sensiblement la déchéance d’être l’esclave d’un luxueux Turc.

J’étais maintenant, en effet, misérable et opprimé avec l’angoisse mentale, jusqu’à ce qu’enfin mon sentiment indigné ne puisse plus supporter le choc. Une fièvre délirante m’a saisi. Privé de mes sens, je ne sais plus ce qui s’est passé à ce moment-là. Depuis, le Dey m’a appris qu’il s’était écoulé un temps considérable avant qu’il eût découvert ma perte de raison, mais aussitôt il a constaté l’état dans lequel j’étais, il a été obligé de renoncer à sa religion, car il sacrilège de toucher ou de blesser toute personne, turque ou chrétienne, qui est dérangé. Tous les conseils et l’assistance médicale ont été immédiatement procurés pour restaurer mes sens, qui ont été bientôt effectués ; et quand ma santé fut de nouveau suffisamment rétablie pour me permettre de recevoir ses visites, je fus de nouveau contraint en silence de me résigner à ses désirs infâmes, jusqu’à ce que, par des engagements répétés, je m’habituai à ses démarches. Mais le seul résultat est, au mieux, une augmentation de mon dégoût et de mon horreur. Par ma soumission j’ai été réintégré dans ses affections, et tout continue comme d’habitude. Mais le charme est brisé. Il est vrai qu’il peut, quand il lui plaît, égarer mes sens dans la plus douce confusion ; mais quand le tumulte est fini, et que mon sang se refroidit de la fermentation qu’il provoque, quand la raison reprend son cours, je sens que les liens d’affection soyeuse qui m’attachaient si solidement à lui ont été si relâchés qu’il ne pourra plus jamais les rapprocher autant qu’ils étaient avant de me soumettre à ses abominables désirs.

Ma dépression des esprits me faisait tout à fait la risée de l’Italienne et de la Française, qui connaissaient parfaitement la cause. Ils affectaient de mépriser mes sentiments. La seule consolation que je recevais venait de la Grecque, avec laquelle j’étais devenu extrêmement intime et auquel j’étais très attaché. C’était une belle fille, grande et mince ; son visage était plutôt pâle et languissant, couvert d’une résignation mélancolique, mais ses yeux bleu clair étaient doux et expressifs comme le doux rayon d’une lune d’automne teintant un ciel du soir déclinant. Avec l’aide de livres, j’avais pu lui apprendre la langue anglaise, et ses progrès pour la réaliser étaient presque incroyables. Nous pourrions maintenant converser librement ensemble, et pleurer sur nos malheurs et notre captivité. Je raconterai son histoire affligeante dans presque les mêmes mots qu’elle me l’a dit.

Histoire d’Adianti l’Esclave Grec

Mon nom est Adianti. Je suis né dans l’île charmante de Macaria, où mon père était marchand, appelé Théodoricus. Je suis son seul enfant. Comme tous les Grecs ou les chrétiens qui résident sous le pouvoir des Turcs, mon père a été obligé de vivre dans un style de la plus grande simplicité. Ce n’était que furtivement qu’il s’aventurait sur une petite indulgence luxueuse, sachant bien que le gouverneur du district était sur le qui-vive pour se jeter sur lui au moment où il faisait une démonstration de propriété. L’esclavage, l’agent le plus puissant dans la dégradation de l’humanité, a donné aux Grecs modernes une propension mélancolique à se livrer à toutes sortes de présages et de présages sombres. Je n’étais pas exempté des sentiments de mes compatriotes, et mon nom même, étant celui d’un des Danaïdes, chaque fois que je l’entendais parler, portait toujours un sentiment sinistre à mon cœur.

Dans notre voisinage résidait une jeunesse nommée Demetrius, la seule fils d’une veuve âgée et infirme. Il était né pour une terre de liberté, et l’on aurait pu prédire par son apparence qu’il était destiné à s’irriter et à lutter, non pas un peu sous les contraintes et les mortifications qui tombent jamais au sort de ceux qui montrent le moindre esprit d’indépendance. Sa taille était grande ; il portait sa tête plus haut qu’un Bashaw ; il était facile à porter, et son corps droit comme une palme ; actif et gracieux dans sa marche, clair dans ses yeux, et impatient d’insulte au dernier degré. Il était éloquent, poétique, romantique, entreprenant et un amoureux des arts — il aurait pu accomplir de grandes choses si son sort avait été jeté dans un âge et un pays plus heureux. S’il vivait maintenant, il serait le premier parmi les héros qui défendent notre religion.

Une intimité ancienne avait subsisté entre nos familles, et nous étions beaucoup ensemble. Démétrius ne m’avait jamais montré de marques particulières d’affection, mais je ne puis nier que je chérissais depuis quelque temps une préférence croissante pour le beau compagnon de bonne humeur de ma jeunesse. C’est le sentiment superstitieux que j’ai mentionné précédemment qui m’a amené à consulter l’Oracle des eaux douces pour savoir comment ma jeune passion pour Demetrius allait prospérer ; et je suis revenu de ma recherche désolé et accablé, comme toutes les réponses de l’oracle se sont avérées défavorables à mes espoirs. Sous la domination d’une superstition longtemps chérie, transmise de génération en génération et sanctionnée par les exemples du monde entier, j’aurais tout aussi bien songé à contrecarrer les décrets de providence déclarés que de chérir un espoir contre l’oracle. Vous pouvez supposer que mon agitation a été informée par mon père qu’il se rendait au gouverneur pour demander la permission pour notre mariage. Avec une anxiété tremblante j’ai attendu le résultat. Notre gouverneur était un Bashaw de trois queues qui, bien qu’étant originaire de Stampalier et originairement chrétien latin, avait depuis longtemps changé la croix pour le croissant Ali Ozman était le nom turc qu’il a assumé. Il est habituel, en demandant une faveur à nos gouverneurs, de l’accompagner d’un présent. Celui que mon père portait avec lui à l’appui de sa pétition n’a pas exactement Ozman (car, naturellement, mon père craignait d’exciter les soupçons de sa richesse en étant trop libéral), et Ozman le reçut avec une indifférence méprisante. Bien qu’il soit devenu Turc, il avait assez de chrétiens latins pour haïr l’une des églises grecques. Mon père s’est prosterné trois fois en présentant son offrande. Est-ce que ta fille est belle, chien chrétien ? demanda Ozman. À ceci, un renégat français, qui s’était insinué dans la confiance d’Ozman, lui murmura que j’étais la plus belle vierge de l’île. Ozman réfléchit quelques instants, et dit avec un sourire : « J’accepte ton cadeau, et permets à ta fille d’épouser le jeune Grec à condition que tu donnes un festin avant le mariage, et que je sois invité. Mon père rentra chez lui d’un air mélancolique et donna des directives pour la préparation de la fête et la réception du cruel Ozman. D’un souvenir soudain du présage désastreux de l’oracle, les pensées plus sombres et plus mornes devinrent mes pensées depuis l’heure où je fus convaincu que Demetrius m’aimait. Lui aussi semblait travailler toute la journée dans une dépression et partit tôt le soir, oppressé par de vagues pressentiments qu’il ne pouvait définir. La fête fut cependant préparée, la compagnie invitée et, après avoir attendu longtemps l’arrivée d’Ozman, qui ne parut pas, la cérémonie se déroula avec Démétrius et moi-même, chacun choisissant un parrain pour nous accompagner. À l’autel, nous rencontrâmes le vieux papa, ou prêtre grec, qui, après avoir béni deux couronnes de feuillage entrelacées de rubans et de dentelles, les mit sur nos têtes. Il bénit ensuite deux anneaux, l’un d’argent, l’autre d’or, plaçant le premier sur mon doigt, le second sur celui de Démétrius. Après que ces anneaux eurent été échangés et que nous aurions prononcé nos vœux, le vieux prêtre se préparait à distribuer le pain et le vin qui devaient conclure la cérémonie lorsqu’une légère lueur de musique turque à distance retint notre attention. En peu de temps, on vit Ozman s’avancer à la tête de vingt ou trente de ses gardes. Demetrius pria instamment le prêtre d’achever la cérémonie avant que les barbares n’arrivent pour l’interrompre, mais le vieillard trembla pour que le vin fût renversé et que le pain consacré tombât de ses mains. En quelques instants, Ozman et sa traînée entrèrent dans l’église avec leurs cimeterres étirés et dispersèrent le train nuptial, laissant mon père, Démétrius et le prêtre seul à l’autel.

« Arrête, chien ! a pleuré Ozman. J’interdis le mariage au nom du prophète.

— Il est trop tard, répondit humblement le vieux prêtre.

Tais-toi, chien chrétien ! ou je vais arrêter tes hurlements, cria Ozman. Mais qu’est-ce que je sens, le vin ? Tu as fait la beuverie, espèce de porc ! Vous avez fait l’expiation de cette boisson maudite abhorrée par Allah et dénoncée par son Prophète. C’est assez ; saisis la vierge et écrase en poussière tous ceux qui s’opposent à nous. Pendant toute la procédure fatidique, mon pauvre père se soutint contre le côté de l’autel fumant, dans une horreur muette. Je ne pouvais pas parler, mais mes yeux étaient fixés sur Démétrius, dont je comprenais trop bien le silence inflexible. Le jeune homme était trop indigné pour parler, mais les mains crispées, les lèvres frémissantes et l’œil flamboyant parlaient un prologue à l’opposition et à la vengeance.

« Choisissez la vierge ! répéta Ozman, elle ne sera que trop honorée et heureuse d’échapper à la pollution de ce bibelot de vin blasphématoire. Ozman s’avança en poussant ces mots insultants. En cet instant, Démétrius s’élança comme l’éclair sur le premier des ravisseurs, et arracha le cimeterre de sa main avant qu’il fût conscient de son dessein. Il s’élança sur Ozman : le premier coup fit sonner sa cimeterre en l’air, le second fut arrêté par un des gardes, qui sauva la vie du tyran, qui s’écria presque étouffant avec passion : « Il a frappé un musulman ; il a outragé la loi du Prophète ; il a pollué la personne du représentant du Commandeur des Croyants. Frappe-le à la terre ! coupe-le en atomes ! disperser sa chair aux bêtes des champs ! que les chiens se nourrissent du reptile chrétien ! La crise était venue ; mon pauvre père prit son courage au désespoir, et, saisissant le cimeterre d’Ozman, qui se trouvait encore sur le sol, il se plaça à côté de Démétrius, résolu à partager son sort et le sien avec lui. Devinez mon angoisse indescriptible. J’ai été saisi par plusieurs gardes, tandis que d’autres ont attaqué mon père et mon amant. Un conflit désespéré s’ensuivit. Mon père combattit courageusement, mais il tomba bientôt mort aux côtés de Démétrius, qui s’était précipité vers le tyran, croyant l’avoir en sa possession, mais un cimeterre par derrière avait ouvert la tête. Il a coulé par terre plus jamais à se lever. À cette vue affreuse, mes sens m’abandonnèrent, et je ne sais combien de temps je demeurai insensible, car lorsque je fus ramené à la vie, j’étais dans un état de délire délirant, où l’on m’a informé que je continuais pendant plusieurs semaines. Quand j’ai finalement récupéré, je me suis retrouvé le prola propriété d’un marchand d’esclaves à bord d’un navire turc qui se dirigeait vers Tunis. En arrivant là j’ai été vendu au Dey. C’est à Tunis que j’ai appris comment j’échappais au désir brutal du méchant Ozman. Après le massacre de mon père et de mon amant, il me fit transporter à son harem, sans doute dans le but de sacrifier ma chasteté à ses abominables désirs ; mais de l’état dans lequel j’étais il devint nécessaire de faire appel à un médecin, et lui, après avoir administré les médicaments qui m’avaient amené à moi, me déclara immédiatement dans un état de complète folie. Par les lois de Mahomet, personne, sous peine de mort, ne peut abuser ou prendre la liberté avec la personne d’un esprit aliéné. Ainsi pour le moment j’ai échappé au ravissement. Peu de temps après, à la suite d’un acte de péculation commis par le misérable, le sultan le fit étrangler et vendre ses effets ; étant trouvé parmi ses esclaves je suis devenu la propriété du marchand d’esclaves, qui m’a rapidement transporté de mon pays, maison et amis, sachant bien où ma personne trouverait un bon marché.

Il apparaît tel que je suis je n’ai pas exactement frappé le goût du Dey, car il m’a envoyé peu après comme cadeau à notre maître actuel, qui semble avoir reçu l’ordre de jouir des trésors vierges que le méchant Ozman n’osait me priver et que le Dey de Tunis négligeait ou ne pensait pas valoir le temps de me prendre. Après ma première entrevue avec le Dey, j’ai clairement vu que ma chasteté était considérablement plus dangereuse qu’elle ne l’avait été pendant que j’étais au pouvoir d’Ozman, et que j’étais maintenant sans la protection dont je jouissais alors. Après mon rétablissement de l’affreuse maladie dont je fus saisi à la cruelle boucherie de mon amant et de mon père, une mélancolie fixe s’installa sur moi à la place du désordre. C’est ce que le Dey, en me voyant, s’aperçut, et il eut hâte de connaître la cause pour laquelle un si jeune et si beau (comme il se plaisait à me décrire) devait être affligé d’une telle bassesse d’esprits. Conformément à ses vœux urgents, j’ai raconté l’histoire de mes malheurs. Pendant mon récit, il s’est assis à mes côtés et a pris une de mes mains dans les siennes. Je pouvais clairement sentir et voir par son agitation combien mon histoire l’affectait ; La larme de la sensibilité tremblait dans ses yeux sur le rapport de mes souffrances.

Quand j’eus fini, il m’entraîna tremblant dans son sein, et embrassant tendrement mon front, il me dit qu’il rougissait qu’un méchant comme Ozman disgracât le nom de musulman. N’avez-vous aucune relation à laquelle je puisse vous renvoyer ? il a ordonné. Je lui ai dit que je ne connaissais d’autre parent que mon père, et lui et Demetrius étaient morts. « Pas étonnant, continua-t-il, vos beautés sont embrumées ; les malheurs ressentis par un si jeune ont suffi à vous enfoncer dans la terre même. Mais rassurez-vous, douce demoiselle, vous serez libre de toute importunité. Il est vrai que vous êtes mon esclave, et, d’après nos lois, je peux, si je le crois, violer vos beautés ; mais non. Jusqu’à présent, vous n’avez éprouvé que de l’oppression entre nos mains. Je vais essayer par gentillesse de mériter la jouissance de vos charmes. »

De nouveau il me serra affectueusement contre son sein, mais au lieu de m’embrasser comme auparavant, mes lèvres reçurent ses pressions jusqu’à ce que leur férocité me jette dans une confusion indescriptible ; mais, en me voyant en larmes, il cessa aussitôt, m’assurant que ma pudeur n’avait rien à craindre de lui. Mais si jeune et inexpérimentée que j’étais, la nature m’assura que j’avais plus à craindre de la douce pitié et de l’apparente sensibilité de l’Ali amoureux que des procédés crapuleux du féroce Ozman. Ozman aurait pu me débaucher par la force c’est vrai, mais avec Ali j’avais plus que de la force pour me protéger — je veux dire la nature, que le persuasif Ali, même sur ma première entrevue, avait réussi à alarmer par ses baisers, je n’ai pas osé le lui refuser, d’autant plus qu’il s’est toujours désisté quand la ferveur de ses démarches a donné à ma pudeur raison de se plaindre. Mais je me rendis bientôt compte qu’à chaque nouvelle entrevue, les libertés qu’il prenait devenaient plus audacieuses, au point que j’avais décidé de demander qu’il m’envoie chez moi dans mon île natale comme il m’avait offert de le faire.

Le soir même, j’étais venu cette résolution il a envoyé un mot par un de ses eunuques qu’il prendrait son café avec moi. Il est venu en conséquence. Après avoir servi le café (comme c’était sa coutume habituelle), il s’allongea sur le canapé, me demandant de me placer à ses côtés. J’obéis, comme il n’avait jamais refusé de se lever quand la peur de ses démarches m’avait alarmé. Ce soir, je pensais qu’il semblait particulièrement tendre, mais quelque peu réfléchi. Comme d’habitude, mes lèvres devinrent sa proie. À mon insu, il parvint à déboutonner mon corsage au sein de la poitrine, et avant que je pusse m’y opposer, sa main brûlante avait envahi et moulait un de mes seins. Cette nouvelle procédure me jeta dans une agitation considérable. Je lui ai demandé de renoncer ; pour enlever sa main. Il s’est immédiatement plié, demandant simplement si ses caresses me donnaient du malaise. En effet, il était très gentil quand il apparaissait ce soir-là, j’ai enfin convoqué courage de faire ma demande d’être renvoyé à la maison. Sa gentillesse, je l’avoue, je ne devrais jamais oublier, j’ai soutenu ma pétition avec tous les sophismes naïfs dont j’étais capable. Ah, je connaissais peu la valeur de la faveur que je sollicitais.

Au début, il paraissait très étonné, et je pensais que cela affectait, mais avec plaisir je vis le froncement de sourcils s’effacer de son front. Il m’appelait peu aimable, peu généreux, de vouloir l’abandonner au moment même où il s’était presque persuadé que son attention et son indulgence avaient créé dans mon sein un sentiment favorable à ses espérances. — Dis, ma bonne, s’écria-t-il en m’embrassant tendrement, tu ne peux pas m’abandonner. Je ne sais pas comment j’ai résisté à ses pressions et à ses importunités, mais je l’ai fait, et enfin j’ai reçu de lui la joyeuse assurance que je retournerais dans ma maison de campagne. Je n’en avais pas. Mais sa promesse était toute tromperie, car même au moment même où il l’a fait, ses plans pour ma ruine prenaient effet. Déterminé à ma jouissance, il avait fait infuser dans le café qui m’avait été remis, un fort courant d’air. Ainsi, au moment même où je sollicitais pour la sûreté de ma vertu, mon heure vierge expirait rapidement, et mes yeux devenaient lourds de l’effet de l’opium. En effet, le sommeil me prenait dans ses bras, et je ne me remettais pas de la stupéfiante qualité de la drogue narcotique avant que ma virginité et tous mes espoirs d’évasion aient été détruits. Je n’étais pas plus tôt endormi que le Dey m’a fait déshabiller et transporté au lit, sur quoi il a rapidement suivi. Je suis devenu sa proie sans résistance. L’acuité des douloureuses sensations qui accompagnent toujours la transformation de la femme de chambre en femme finie me sont inconnues, car la médecine a été si puissante que j’ai continué à m’enterrer toute la nuit dans la plus profonde insensibilité — en fait, pendant tout le temps. le temps où le Dey était en possession incontrôlée de ma personne ; en effet, il m’avait préparé à rencontrer ses plaisirs quand je retrouvais mes sens, que, pendant sa première jouissance de moi, parfaitement éveillé, je ne sentais pas la moindre sensation qu’on eût pu appeler douloureuse. Vous devinez mon étonnement et mon chagrin, en me réveillant de ma stupeur mortelle, pour me trouver nu dans les bras du Dey, qui dormait profondément, la tête inclinée sur mon sein. À partir d’une certaine raideur que j’ai ressentie dans une partie particulière, la vérité s’est brisée sur mon esprit instantanément. Je ne pouvais pas m’empêcher de pleurer à haute voix, ce qui réveilla le Dey. Il ne tarda pas à s’excuser pour ce qu’il avait fait, affirmant que, brûlant pour mon plaisir, et voyant clairement que ma modestie invincible s’opposerait à la résistance la plus acharnée à l’accomplissement de ses désirs, il décida de me rendre insensible à mes désirs.

— Comment pourrais-tu supposer, belle créature, s’écria-t-il passionnément, qu’il était possible que je puisse me séparer de charmes comme le tien ? Où iriez-vous à ? personne pour te protéger, pas de maison ! tes beautés sont trop grandes pour te laisser long-temps échapper aux embûches qu’un renégat brutal comme Ozman mettrait au piège. Alors, douce esclave, pardonne mon offense ; en moi tu trouveras toujours un protecteur gentil et fidèle. Viens, fais sécher ces beaux yeux, continua-t-il ; Je ne déchire plus mon cœur avec ces regards agonisants. De cette manière, jointe aux caresses les plus douces, Ali s’efforça de me calmer après avoir donné libre cours à ma première passion. Ce qu’il a dit était très vrai. Je n’avais pas de maison ni d’ami. Où devais-je voler ? Mon état de misère était trop apparent. Il a fallu très peu de réflexion pour me convaincre que la grande épreuve était passée, ma virginité étant la sienne. En un mot, il m’adoucissait des douces invraisemblances de l’amour le plus tendre, donnant ses persuasions aux caresses les plus vives, jusqu’à ce qu’enfin il arrêtât peu à peu le flot de douleur qui coulait sur mes sentiments. Voyant que mon chagrin était quelque peu apaisé, il considérait que c’était une bonne occasion de commencer à me préparer à me soumettre à ses désirs. J’étais complètement inconscient de ses intentions. Il me tourna brusquement sur le dos, étendit de force mes cuisses avec un de ses genoux et se trouva en un instant à l’abri entre elles ; sans autre cérémonie, il se fixa en moi, et, faisant vigoureusement le jeu, ses rapides coups de reins l’envoyèrent bientôt en érection féroce au plus profond de moi ; en effet, je le sentais très vite ; J’étais littéralement gorgé par lui. Vous pouvez supposer mon étonnement de trouver l’insertion de son instrument sans la moindre particule de douleur. Je l’ai interrompue en lui demandant si elle ne se sentait pas le moins souffrante. Rien du tout, et je ne peux l’attribuer qu’au nombre de fois où il a dû m’apprécier sous l’influence de l’opiacé, car je vous assure les douleurs. accompagner la perte de la virginité me sont entièrement inconnus. Au contraire, je ne sentais pas le moindre inconvénient. Ainsi vous pouvez deviner mes émotions au moment terrible où il s’était enfoncé dans moi, rejoignant pour ainsi dire nos corps en un par la jonction étroite des parties. Mes mains étaient serrées — mon corps entier immobile — mes dents, fixes. J’étais complètement perdu à l’exception du merveilleux instrument qui était gainé en moi. Je l’appelle merveilleux, et je ne pense pas incorrectement ; car il faut que cette chose, au milieu de la douleur la plus poignante, puisse si rapidement dissoudre nos sens avec les sensations les plus douces, malgré l’inclination, nous faire si vite oublier nos premières impressions, nos premières affections, et des moments misérables de notre existence nous font goûter un tel plaisir voluptueux et un plaisir lubrique ! C’était mon cas. Au moment même où je me croyais le plus misérable de tous les êtres humains, le Dey, par ses mouvements luxueux, me faisait éprouver la plus sensuelle de toutes les jouissances, devenant chaque instant de plus en plus poignantes et dissolues, jusqu’à être complètement ravi avec un ravissement inépuisable. Je le saisis inconsciemment dans mes bras, incapable de cacher les joies avec lesquelles j’étais convulsé ; et bientôt dans mon agonie de béatitude, qui ne fut pas moins que du délire, je sentis jaillir de lui le lait de la vie qui se précipitait dans des flots délicieux dans mon ventre, et m’arrachait rapidement avec une extase frémissante mon premier hommage de la fonte. essence. Après la première extase, couché dans mes bras, tandis que je languissais encore de la joie que j’avais éprouvée, il m’excusa un baiser de pardon sans réserve pour sa tromperie et sa perfidie, et sur mes lèvres il scella un serment de Allah ne m’a jamais abandonné. Je suis devenu passif si je ne suis pas résigné à mon destin. Puisant sa hampe hors de moi et se retirant d’entre mes cuisses, il m’apprit que le soir, quand ses forces étaient suffisamment recrutées, il avait l’intention de me donner mes instructions de finition dans les mystères de l’amour ; car, même s’il était évident pour lui que j’avais apprécié le plaisir, j’avais pourtant beaucoup à apprendre et à faire avant (comme il l’a dit) je pourrais apprécier l’extase correctement. Il m’a ensuite quitté. Je ne vais pas vous fatiguer avec un compte de comment j’ai passé le jour ; il suffit de dire que vers le soir les femmes esclaves, après m’avoir conduit au bain, et bien orné mes cheveux, et que toutes les voies me préparaient, m’avaient aidé à me coucher pour attendre la venue du Dey. Il est venu couvert seulement par une robe, qui a jeté laissé complètement nu, et il est venu se coucher à moi. Si j’avais de la répugnance, cela aurait certainement pu l’éliminer complètement. Directement il a été couché à côté de moi, il a d’abord jeté les couvertures, puis délié les rubans qui fermaient ma robe en avant, il l’a ouvert, laissant ma personne nue à sa vue. Il a ensuite examiné chaque partie de moi, me couvrant comme il l’a fait avec d’innombrables baisers. Ayant satisfait sa curiosité de ma personne, il m’attira dans son sein et me pria de placer mes lèvres aux siennes. Il m’a ensuite appris plusieurs façons de m’embrasser. Le premier dessinait simplement mes lèvres en travers de la sienne, qu’il appelait « embrasser ». La seconde était de garder mes lèvres collées aux siennes, ramenant son aspiration jusqu’à ce qu’il retire ses lèvres : c’est ce qu’il appelle le baiser de la jouissance ; et le troisième était le même avec la différence de fourrer sa langue dans ma bouche — ceci a été décrit par lui comme le baiser de désir.

Quand il a pensé qu’il m’avait suffisamment enseigné la manière de baiser qui lui a plu, il m’a particulièrement que chaque fois qu’il se mettait entre mes cuisses, je devais les étendre immédiatement à leur plus grande largeur, et quand je m’aperçus qu’il était complètement entré, alors, et jusque-là, je devais embrasser son corps avec mes bras, et passer mes lèvres doucement son quand je le sentais commencer à pousser ; comme il se retirait de moi, je devais aussi me retirer de lui, mais pas assez pour le jeter dehors ; et comme il rentrait à la maison, je devais aussi le rencontrer de toutes mes forces, les bras tout le temps l’encerclant fermement — tous mes baisers pour être entièrement régis par sa manière de s’embrasser, et immédiatement je le sentais commencer à se décharger moi, je devais immédiatement jeter mes jambes sur son dos et me tenir immobile dans la jonction la plus proche avec lui, jusqu’à ce que la dernière goutte ait été éjectée de lui ; mais, par-dessus tout, il me pressait particulièrement de lui obéir dans tout ce qu’il dirigeait implicitement, m’assurant que je trouverais ma récompense dans l’obéissance. Avec des rougissements j’ai promis d’obéir à ses désirs dans chaque détail. Il a ensuite pris entre mes cuisses, que j’ai étendu à ses souhaits ; cela je l’ai vu gratifié ; puis, à genoux entre eux, il me demanda de saisir son instrument, et de passer ma main de haut en bas deux ou trois fois. J’ai fait comme il l’a fait, mais je n’ai pas pu le regarder en face. Ah, je pouvais à peine saisir le pilier majestueux ! Comme ma main a glissé de haut en bas, je l’ai senti palpiter et sauter librement. Je fus frappé d’étonnement de voir comment j’aurais pu recevoir un arbre si superbe et si magnifique ! Je n’ai pas eu longtemps à considérer à ce sujet. Il s’est couché sur moi ; de sa main gauche, il dévoila les lèvres pulpeuses de la bouche de la nature, tandis que de la droite il courbait son puissant instrument, si raide était son érection qu’il apparaissait avec peine pour le forcer à descendre il ouvrit, et bientôt je sentis sa large tête d’étagère entrer entre les lèvres que les doigts maintenaient étendues. Quand il entra, comme s’il voulait faire tourner son plaisir et lui donner plus de jeu, il passa son instrument si lentement qu’il me sembla un âge jusqu’à ce que je l’aie reçu dans le doux laboratoire de l’amour. Enfin nos montures moussues se frottaient assez l’une contre l’autre. Mais ah ! que les directions qu’il m’avait données ne l’avaient pas embrassé jusqu’à ce moment ! il était hors de mon pouvoir de résister à l’impulsion que je ressentais. Si ma vie en dépendait, je n’aurais pas pu m’abstenir de le saisir à mon sein. Quant à ses autres directions, je crois que je lui ai donné une parfaite satisfaction. Au début, j’étais passif par la force, mais au fur et à mesure qu’il jouait, la friction intermittente se réveillait, me touchait et m’éveillait au vif, de sorte que, incapable de me contenir, je ne pouvais pas me contenter de ses mouvements aussi rapidement. comme la délicatesse de ma marque et mon inexpérience le permettaient, jusqu’à ce que le plaisir s’élevât à une hauteur telle qu’il me rendait sauvage avec des sensations ravissantes, en effet je jetais mes jambes au hasard, entièrement perdues dans la douce agitation. Quant au Dey, son extase se manifestait par la rapidité croissante et la fureur de ses coups, sa saisie rude de mon corps, ses baisers brûlants et ses yeux qui lançaient des feux humides. Au dernier moment, le moment critique est venu, j’avais à peine le souvenir suffisant de suivre mes instructions. J’ai instantanément entrelacé mes jambes sur ses reins, chaque partie de nous était strictement jointe, et, oh mon Dieu ! il me distillait un flot de ravissement que je rencontrais, je le sais à peine, car le transport était si grand que je m’évanouissais réellement dans ses bras.

Quand je me relevai, le langage attachant et les tendres caresses du Dey parlaient tout entier. satisfaction, et à partir de ce moment je suis devenu son esclave préféré ; Alors j’ai continué jusqu’à ce que tu sois introduit dans le harem. Mais priez, madame, dit-elle en se jetant tendrement dans mes bras et en m’embrassant, ne me croyez pas jalouse de vos attraits supérieurs, car quoique dans nos malheureuses situations les plaisirs des étreintes du Dey soient une source extrême de consolation aussi bien que la gratification, pourtant je vous assure [que ses beaux yeux étaient remplis de larmes quand elle parlait] que personne d’autre que Demetrius ne pourrait jamais me rendre jaloux. Démétrius était mon vrai, mon seul amour.

LETTRE 8

Emily Barlow à Sylvia Carey (suite)

J’avais oublié de parler avant le sort malheureux de ma compagne Eliza, que je n’ai jamais vue après ma première introduction au Dey ; elle était présentée par le Dey au Dey de Tunis, dont la barbarie choquante pour ses esclaves féminines était le commérage commun de notre harem. Un jour, le Dey entra dans ma chambre et, jetant une lettre, il me dit qu’elle contenait tous les détails du ravissement de mon ami, ajoutant : « Elle a eu un traitement un peu pire que mes esclaves en général. lettre, et vous pouvez juger mes sentiments en lisant ce qui suit :

LETTRE 9

Le Dey de Tunis au Dey d’Alger

Une jolie astuce tu m’as joué. Par la barbe de Mahomet, c’est abominable ! la regarder, qui l’aurait crédité ? une chose si timide et si timide ! Par Allah, Ali, simplement pour avoir fourré mes mains dans ses seins, elle a volé à moi comme un tigre, et mon visage a été immédiatement sillonné par ses ongles maudits comme un champ neuf labouré. Mais je te fais tort de supposer que tu aurais pu savoir quel terme elle était ; si vous l’aviez fait, vous auriez certainement communiqué le caractère de votre présent. Je peux dire à juste titre qu’elle était une termagante car elle est maintenant apprivoisée. Quand elle fut un peu rétablie de la surprise que sa soudaine attaque créa, j’appelai quelques-uns des eunuques sous les soins desquels je l’avais livrée, décidés à différer ma vengeance jusqu’à ce que les blessures de mon visage soient guéries.

Dans quelques jours, mon visage allait bien ; mes instructions de la traiter avec tous les égards possibles l’avaient tout à fait mise en garde. Un matin, les eunuques la conduisirent dans ma chambre d’expérimentation, où, avant qu’elle pût savoir de quoi il s’agissait, ses mains étaient solidement attachées et dessinées au-dessus de sa tête, à travers une poulie fixée au plafond. Je lui ai ordonné d’être arraché pour ne pas la soulever du sol, mais elle ne devrait pas pouvoir se jeter. Quand cela fut fait, j’entrai dans la pièce et renvoya les eunuques. Elle était là, tremblante de rage, mais incapable de s’aider elle-même. Je m’approchai d’elle d’un lit, et, m’étant assise près d’elle, lui passai un bras autour de la taille et, de l’autre, je levai ses vêtements.

Il est impossible de décrire les efforts qu’elle a faits pour empêcher mes démarches, elle s’est tordue et s’est tordue et a donné des coups de pied jusqu’à ce que je sois obligée d’abandonner ma tentative et d’appeler les eunuques qui, rapidement (malgré ses coups de pied) de ses pieds à un anneau placé dans le sol, à environ deux pieds et demi l’un de l’autre. Ceci, bien sûr, considérablement étendu ses jambes et ses cuisses. Elle était alors en sécurité dans tous les sens. Après avoir renvoyé les eunuques, je rapprochai le lit près d’elle et, sans autre cérémonie, levai ses vêtements. Ah ! Ali, quel délicieux transport a traversé mes veines aux charmes voluptueux exposés à mon regard ardent ! Qu’elle était belle sa monture ronde d’amour, juste au-dessus du temple de Vénus, superbement couverte de beaux cheveux noirs, aussi douce et lisse que son ventre en ivoire et ses cuisses gonflées et délicatement formées ! Le cygnet a immédiatement révélé qu’elle était une femme de chambre, car là où les corps ont été correctement réunis dans la rencontre féroce, les cheveux (en particulier de la femme) perdent cet aspect duveteux élégant, et par le frottement constant les cheveux lisses deviennent adorables petites boucles. Mais, pour mettre le fait au défi, je fourre mon index dans le petit trou en dessous. Ses cris forts, et la difficulté d’entrer qui a été trouvée, ont établi le fait indiscutable. Immédiatement tombant sur mes genoux, saisissant dans chaque main une de ses fesses, je posai sur son jouet vierge un baiser des plus délicieux. Je me suis alors levé et j’ai commencé à la déshabiller. Elle paraissait presque étranglée de passion ; ses larmes coulaient sur son beau visage à torrents. Mais sa rage n’était d’aucune utilité. En procédant tranquillement, d’abord enlever une chose, puis une autre, et avec l’aide de ciseaux, je l’ai rapidement débarrassée de chaque couverture.

Saint Mahomet ! Quel beau spectacle elle exhibait : de beaux seins finement placés, assez fermes pour se soutenir, épaules, ventre, cuisses, jambes, tout était délicieusement voluptueux ! Mais ce qui me frappait le plus, c’était la belle blancheur, la rondeur et le gonflement voluptueux de la chair ferme de ses jolies fesses et cuisses. « Bientôt, me dis-je en maniant son délicieux derrière, bientôt cette belle blancheur sera mêlée d’une rougeur cramoisie ! J’ai placé des baisers brûlants sur chaque partie d’elle ; partout où mes lèvres voyageaient instantanément, la partie était couverte de rougeurs écarlates. Ayant dirigé deux tiges à placer sur le canapé, aussi un fouet de cuir à larges cils, je pris une des tiges et (repoussant le canapé) commença doucement à le poser sur la belle postérieure de mon captif sanglotant. Au début, je l’ai fait avec douceur, cela ne pouvait avoir d’autre effet que de la chatouiller ; mais peu de temps après, je commençais à m’habituer à un coup de fouet qui la faisait grimacer et crier. Ce chatouillement et cette coupe que je conservais pendant quelque temps — jusqu’à ce que les joues d’albâtre de ses fesses soient devenues imprégnées d’un léger rougissement — puis tout à coup je commençai à donner la verge de toutes mes forces ; puis, en effet, chaque fouet était suivi d’un cri, ou d’une exclamation de pitié, telle que « Oh ! épargnez-moi, pour l’amour de Dieu ! aie pitié de moi ! tu m’as coupé en morceaux !

Ah, je ne peux pas le supporter ! Je mourrai ! Ses grimaces et les délicieuses ondulations de son derrière augmentaient proportionnellement à l’augmentation de la force de mes cils et ceux-ci continuaient, insouciants de ses cris, de ses supplications et de ses plaintes, jusqu’à ce que les deux bâtons et moi-même fussent

Épuisé. Pour reprendre son souffle, j’attirai le canapé près d’elle et m’assis ; toute la surface de ses belles fesses était couverte de trépointes ; chaque çà et là, où la tige des feuilles l’avait attrapée, paraissait une petite tache de sang cramoisi qui coulait le long des cuisses de lys. Encore et encore, j’ai glissé ma main sur ses nombreuses beautés. Mon index ne cessait de s’introduire dans son délicat petit trou de plaisir. Elle ne pouvait pas éviter tout ce que je jugeais à propos de faire. Ses cuisses étaient assez larges pour que je puisse l’apprécier si j’avais jugé bon, mais ce n’était pas mon intention immédiate. Je m’étais arrangée pour recevoir la quantité de punition qui lui était allouée avant qu’elle ne soit dépucelée. Ayant repris mon souffle, je me déshabillai et, saisissant le fouet de cuir, commençai à la fouetter avec un tel effet que le sang suivait chaque fouet. Vain était ses cris et ses supplications — encore des coups de fouet suivirent rapidement. J’étais maintenant dans un état d’érection si princier que j’aurais pu faire un trou là où il n’y en avait pas eu auparavant, et encore moins me mettre dans un endroit où la nature avait été si abondante pour former des étoffes. En convoquant rapidement les eunuques, je leur ai ordonné de la mettre sur le dos sur le canapé, en attachant correctement un bras de chaque côté à l’une des jambes du canapé. Il a été accompli aussi rapidement que commandé. Ils se sont retirés, me laissant avec ma victime épuisée pour compléter le sacrifice. Je ne tardai pas à enraciner sa pudeur, privée de l’usage de ses bras et épuisée par ses souffrances. Un oreiller ayant été placé sous elle assez pour soulever son fond afin de laisser une marque juste pour mon moteur, j’ai jeté ses jambes sur mes épaules, et doucement (comme une mère tendre jouant avec son bébé) a ouvert les lèvres du paradis et de l’amour pour révéler sa couleur de corail et sa petite grotte moussue — et chaque pli fermé sur le doigt intrusif, repoussant l’invité importun. Inconcevable, c’est le plaisir que l’on ressent dans ces situations de transport ! Il n’y a rien sur la terre qui augmente la joie avec moi de connaître l’objet qui m’offre le plaisir, mais qui ne peut m’empêcher de satisfaire mes désirs ; ses larmes et ses regards d’angoisse sont pour moi une source de joie inexprimable ! Satisfait de toutes les manières, de la vue, du toucher, de tous les sens, que j’étais le premier possesseur, je plaçai la tête de mon instrument entre les lèvres distendues, saisissant ses cuisses avec ses jambes sur mes épaules, puis faisant une formidable poussée, a entièrement logé la tête en elle ; elle tournait ses beaux yeux vers le ciel comme si elle cherchait de l’aide, son épuisement empêchait toute opposition ; une autre poussée féroce approfondit l’insertion ; des larmes à torrents suivaient mes efforts, mais elle dédaignait de parler ; je poussais toujours, mais je ne me plaignais pas ; mais de plus en plus féroce, un plongeon formidable s’est avéré trop puissant pour son indulgence — elle a non seulement crié, mais a lutté. Cependant, j’étais en sécurité avec elle. Une autre poussée a fini le travail ; cela a été fait, et noblement fait, par Mahomet ! L’Europe n’était jamais à moitié moins invraisemblable, bien que l’amour eût pu avoir la force d’un taureau. Après avoir refroidi ma brûlante passion par une décharge abondante, je me suis retiré. Des larmes cramoisies suivaient ma sortie ; avec un mouchoir, j’essuyai les gouttes précieuses, et, tombant à genoux entre ses cuisses, posai sur les lèvres déchirées et blessées un délicieux baiser, délicieux au delà de toute mesure. Considérez seulement, Ali, de savoir, sans contredit, que personne d’autre que moi n’avait partagé ces grimaces boudeuses, fraîches, chaudes, étreintes et béantes ! En effet, il était ravi au-delà de la description. Je pensais qu’il était temps de délier la corde de soie qui retenait les bras de cette jeune renarde. En sentant ses bras lâchés, son seul mouvement était de se couvrir les yeux avec ses mains ; elle était là, immobile, mais, pour ses sanglots, je n’aurais pu dire si elle existait. Je la quittai, mais j’ordonnai aux eunuques de la conduire dans ses appartements, en lui ordonnant d’en prendre le plus grand soin, jusqu’à mon retour d’une excursion que j’allais faire à Bona.

J’étais parti douze jours. Au cours de mon voyage, je me suis abstenu de femmes, par conséquent à mon retour, je me suis senti dans une humeur extrêmement amoureuse. Ne voulant pas lui donner de la pudeur (s’il en restait) une excuse de résistance, je lui ordonnai d’être à nouveau en sécurité, mais cette fois je vis son visage attaché à un curieux canapé fait exprès, à la fin duquel, par Moyens d’une poignée, les positions peuvent être élevées ou abaissées à n’importe quelle hauteur commode. En soulevant ses vêtements, à ma grande joie, je trouvai qu’il n’y avait pas le moindre reste de la flagellation si généreusement administrée à elle. Ses cuisses gonflées d’ivoire et ses fesses voluptueuses et fermes avaient parfaitement retrouvé leur belle fraîcheur. Je pense qu’il est absolument impossible à qui que ce soit de posséder des charmes dépassant en beauté l’embonpoint naissant de ses beaux membres ! Comme c’est délicieux le contact et la pression de ses fesses ! Après avoir rangé ses vêtements solidement aussi haut que le bas de son dos, de sorte que sa torsion Je ne pouvais pas les desserrer, je me déshabillai et, m’armant d’une magnifique baguette, je lui donnai une seconde leçon de discipline de bouleau. N’ayant pas l’intention de lui faire souffrir beaucoup, ayant (comme je l’ai dit) complètement brisé son esprit quand je l’ai déflorée, tout ce que je voulais maintenant était de jouir des luxueux gigotements, plongeant et donnant des coups de pied. Des larmes qui remplissaient déjà ses beaux yeux, je vis clairement qu’elle s’attendait au même traitement qu’elle avait éprouvé auparavant ; mais elle fut trompée, car cette fois-ci je ne m’étais pas étendu avec plus de force qu’il n’en fallait pour couvrir son postérieur d’une légère rougeur d’œillet. Mais les délicieuses luttes et les torsions, comme le chat attendu tombait sur ses fesses rondes, me jetaient dans une frénésie si luxueuse qu’elle me fit bientôt abandonner la verge. Au moyen de la roue et de la poignée, je soulevai ses fesses jusqu’à ce que son délicat petit trou de plaisir fût correctement placé pour me recevoir. Je me suis dirigé vers l’entrée. Après l’avoir complètement étirée lors de ma première attaque, trois ou quatre coups suffisaient à engloutir toute ma longueur en elle ; en fait, elle soutint l’insertion sans se plaindre, seulement un peu. Rien n’augmente autant la jouissance que la réciprocité active de la femelle quand elle rend le transport ; lorsque ce retour n’est pas donné volontairement, sa place doit être fournie de la meilleure façon possible. On ne pouvait guère s’attendre à ce que mon captif rende un quelconque retour, par conséquent j’étais obligé de faire le meilleur substitut possible ; Alors, la saisissant autour des reins comme je me conduisais en elle, la serrant contre moi et l’attirant vers moi, je lui fis faire face aux poussées à venir, fournissant ainsi le défaut de son libre arbitre dans l’exercice de mes plaisirs. Maître du lieu, je cédais de toute mon énergie aux joies voluptueuses dont mes sens étaient entourés. À chaque insertion féroce, mes pierres giflaient contre les lèvres douces de sa délicate fente. Tout concourait à exciter, à gratifier mes sens. Je m’approchai d’elle et, pendant un moment, je m’arrêtai à mes furieuses chevauchements pour jouer avec les doux cheveux ridicules qui couvraient sa monture d’amour ; Puis, glissant ma main sur son ventre d’ivoire jusqu’à ses seins, je fis de mes mamelons roses ma prochaine proie. Alors, Ali, j’ai recommencé mes ravissants coups de va-et-vient. Oh ! Que ma vue dans le miroir était belle à mes côtés, tandis que je m’extirpais d’elle, des lèvres roses de son fourreau qui s’enroulaient autour de mon instrument comme si je craignais de le perdre ! puis de nouveau, tandis que la colonne revenait au vif, de voir la bordure cramoisie qui m’entourait se retirer peu à peu vers l’intérieur, jusqu’à ce qu’elle fût entièrement perdue dans les cercles noirs de ses cheveux moussus ! Bref, Ali, submergé de sensations voluptueuses, la crise m’a saisi. J’ai distillé, pour ainsi dire, mon âme même en elle ! Satisfaite, je me retirai alors, puis, libérant ses mains, je la dépouillai de ses vêtements (tout sauf son quart) et la portai sur un canapé plus commode, sur lequel je la jetai et me plaçai à ses côtés. Elle n’avait plus rien à perdre. La peur, sans doute, l’empêchait de s’opposer à mes démarches. La vue et le contact de tant de beautés ont encore tiré mon sang. Je l’ai saisie, je me suis jetée sur elle, je lui ai divisé les cuisses, je me suis vite enfouie dans elle, et je me suis noyé dans une mer de plaisirs sensuels, où il faut avouer que la gentille fille n’a pas participé. Mais dans mon prochain, j’espère rendre mieux compte d’elle. La lettre que vous m’avez adressée me rendait très malheureuse.

Tandis que sur ce sujet je vais vous donner le contenu de la lettre suivante, écrite environ une semaine après.

LETTRE 10

Muzra à Ali

Ah, Ali, l’esclave anglais a en effet été un cadeau fatal à votre ami. Vous ne croirez pas la récompense terrible qu’elle a prise pour sa virginité perdue.

Oui, Ali, rien que ma vie la satisferait. Sans doute ses désirs seront-ils comblés, car je sens la vie s’éloigner rapidement de moi. Comme je vous l’ai dit dans mon dernier, j’ai supposé que son esprit était tout à fait subjugué ; mais je connaissais peu l’esprit avec lequel je devais faire face, ou quelle terrible rétribution elle exigerait pour mon offense sur ses charmes ! Mais je dois terminer rapidement. Plusieurs fois, je l’avais appréciée pendant la journée, mais je n’avais pas couché avec elle. Une nuit, vraiment fatale pour moi, j’ai ordonné aux eunuques de l’emmener dans mon appartement. Oh, Ali, rien ne pouvait dépasser la docilité, mêlée à la timide timidité de son comportement. Au milieu de mes joies, elle me serra dans ses bras, rendit mes baisers aussi ardemment qu’on me les donnait, et paraissait recevoir autant de plaisir extatique qu’elle-même. Mais c’était une tromperie, pour me bercer à ma perte. Fatigué de félicité, je m’enfonçai à ses côtés dans un sommeil délicieux dont je fus réveillé par le coup de couteau dans mon sein. C’était la lumière du jour ; elle se penchait sur moi avec une joie sauvage, brandissant l’instrument fatal qui m’avait déjà percé. Encore une fois il est tombé sur mon sein sans défense. C’est pour ma vertu perdue ! elle a pleuré. Elle me frappa de nouveau : « C’est pour ma cruelle flagellation ! Et, de nouveau, elle s’épanouit devant mes yeux, elle s’écria : « Recevez cela pour les nombreuses fois où vous avez forcé mon pauvre corps à se soumettre à vos immondes pollutions. De nouveau, il tomba infailliblement sur ma poitrine. J’ai crié à haute voix pour obtenir de l’aide. Deux des eunuques accoururent. Elle était sortie du lit. La première (qui a tenté de la saisir) a payé de sa vie le forfait de témérité, mais l’autre l’a maîtrisée. Faible de la perte de sang, j’avais encore assez de force pour ordonner qu’elle ne soit pas blessée. Mes ordres ont été obéis. Pour lui éviter tout mauvais usage au cas où je ne devrais pas guérir, je vous l’ai renvoyée. Je ne peux plus dicter pour le moment. Si je devais partir au Paradis, comme vous respectez votre ami, que personne ne la blesse. Adieu. Que le bonheur vous accompagne.

MUZRA

Je peux difficilement décrire mes sentiments en lisant cette dernière lettre. Je suis heureux de penser qu’Eliza est de retour, car j’espère maintenant avoir une partie de sa compagnie. J’ai demandé au Dey de lui permettre de me rendre visite, et il m’a promis que je serais heureux. Le Dey de Tunis se remet de ses blessures, mais ne voudra pas, je présume, d’Eliza, de peur qu’elle ne se venge de lui. Adieu, ma chère Sylvia.

EMILY BARLOW


LETTRE 11

Sylvia Carey à Emily Barlow

Toulon, France

Emily — Il est impossible de se débarrasser de notre première connaissance ; si cela avait été, vous n’auriez pas dû m’attendre à ce que j’eusse remarqué vos lettres dégoûtantes. Quelle offense ai-je jamais donnée que tu m’insultes en écrivant dans la langue que tu as ? Pourquoi m’embêter avec un récit des scènes libidineuses entre vous et la bête dont vous décrivez les actes infâmes et lubriques ? Si je ne connaissais pas bien le caractère de votre écriture, je serais dans l’espoir d’être trompé par un misérable. Mais non, chaque partie de votre écriture porte la conviction. Je dois remercier Dieu que les lettres soient tombées entre mes mains, sinon votre infamie aurait traîné un autre crime sur votre tête coupable par la mort de mon frère infortuné qui certainement serait tombé sous la découverte terrible s’il avait accidentellement disparu (qu’il le plus souvent) au bureau de poste pour nos lettres. Bien que les lettres m’étaient adressées, il les aurait certainement ouvertes s’il avait vu votre écriture. Mais Dieu merci, cette douleur lui a été épargnée. Après avoir quitté Portsmouth, la santé d’Henry s’est aggravée chaque jour, et les médecins ont déclaré que rien, sauf un climat plus chaud, lui sauverait la vie. J’étais donc décidé à passer l’été dans le sud de la France et le voisinage de cet endroit était fixé pour notre résidence. Ta mère a décidé de nous accompagner. Nous avons fait le voyage par étapes, et en arrivant ici a loué un chalet délicieux, une promenade courte à l’extérieur des fortifications de la ville, en face de la mer. Ici, la santé de Henry s’est améliorée chaque jour, et nos deux parents espèrent de son rétablissement complet. Le moment où il s’attend à avoir de vos nouvelles en Inde n’est pas encore expiré, donc à présent il est facile sur ce point. Dieu sait quel sera le résultat quand il entendra parler de votre situation dégradée, et de l’infâme satisfaction qu’elle vous donne ! Ta mère est la seule personne à qui j’ai osé communiquer la triste nouvelle, et nous avons donné des instructions particulières au maître de poste de Toulon pour qu’il ne permette pas à Henry d’envoyer des lettres à l’un ou à l’autre. Nous sommes donc sûrs qu’aucune de vos lettres ne peut tomber entre ses mains. Je ne peux pas décrire le chagrin de votre mère, qu’elle est obligée de cacher à mon frère ; il fait évidemment des incursions rapides sur sa constitution. Je suis autorisé à écrire à vous directement comme un navire part maintenant pour le port d’Alger avec quelques missionnaires à bord pour la rédemption des esclaves ; mais la nature de vos lettres a tellement distrait votre mère qu’elle ne sait pas comment procéder, ou si vous souhaitez être libérée de la sujétion infâme dans laquelle votre ravisseur bestial semble tenir à la fois votre personne et vos sens. S’il y a une étincelle de sentiment sur le compte de votre mère (ou de votre modestie), ne tardez pas à me faire savoir si vous voulez échapper au misérable qui vous tient ainsi dans sa servitude. Je m’inscris encore à ton ami (si tu le mérites), SYLVIA CAREY Cette lettre a été écrite avant la réception de la dernière lettre d’Emily.

LETTRE 12

Le Dey à Abdallah

Abdallah — Il y a peu de temps, plusieurs missionnaires sont arrivés du sud de la France depuis leur arrivée. été employé pour racheter plusieurs vieux esclaves usés, principalement des Français. Ils m’ont demandé de leur accorder un passage chez eux dans le premier navire qui part pour le port de Toulon.

Pour la raison que je viens de vous expliquer, je vous ai désigné pour les porter en France. Comme ces saints hypocrites ont une grande influence dans leur propre pays, prenez soin de les traiter avec le respect et l’attention nécessaires pendant leur voyage, car leur visage peut être utile, en particulier le Père Angelo, qui vous fournira toutes les informations que vous souhaitez. famille résidant maintenant dans le quartier de Toulon. Dans cette famille est une jeune femme nommée Sylvia Carey. Cette fille, Abdallah, vous devez vous arranger pour la ramener avec vous à Alger.

L’eunuque qui livre cela vous donnera un cachet privé, que vous pourrez montrer dès que vous jugerez convenable au père Angelo ; il commandera ses services, et vous pouvez compter implicitement sur tout ce que le chien chrétien dit ou fait. Esprit, Abdallah, je me suis mis en tête d’avoir la possession de la fille ; ne reviens pas sans elle. Nomme ta propre récompense, mais sois prudente, elle est mienne. ALI

LETTRE 13

Pedro à Angelo Angelo

— Tu te souviens que je t’ai informé que la jeune et charmante fille du marquis de Mezzia avait été forcée de prendre le voile dans notre couvent des Ursulines voisin. Il apparaît maintenant que cette belle créature est devenue un sacrifice à l’orgueil de la famille ; son revenu étant comparativement mendiant, aucune fortune ne pouvait être donnée avec elle dans le mariage, donc il n’y avait aucun choix. Soit le frère a dû être réduit à la nécessité de chercher un appui par quelque profession (ou d’autres moyens aussi dégoûtants à l’orgueil du vieux marquis), soit ce jeune innocent doit être sacrifié. Je n’ai pas besoin de vous expliquer, qui fut si longtemps le confesseur du défunt marquis, la pauvreté et la fierté de lui et de la jeune Mezzia. Le sentiment paternel ou tout autre lien social qui aurait dû protéger et soutenir la fleur belle, tout a coulé devant la tache imaginaire qui pourrait être infligée à l’honneur de la maison en réduisant les moyens d’un de ses descendants. Cela décida rapidement le père fier et impitoyable et le frère cruel, alors à l’âge de dix-sept ans, toutes ses jeunes beautés arrivant à la perfection, Julia Mezzia, presque brisée, fut forcée de prononcer des serments son cœur abhorré, consacrant ses charmes voluptueux à Angelina, le service de la religion, ne convient qu’au service de l’homme vigoureux.

Comme je vous l’ai déjà dit en détail, je n’ai pas besoin d’y revenir. Mais si la beauté peut être strictement confinée par des murs et des bars, la nature assumera encore son puissant empire. Cette adorable vierge a été capturée dans le but d’échapper aux horreurs d’une cellule pour la vie. Elle fut prise en train de descendre le mur, trahie par une sœur du couvent, à qui, dans la confiance de sa jeunesse, elle avait donné son dessein. La peine est la mort, à moins que la pitié ne puisse être achetée pour elle ; mais je ne crois pas que la famille Mezzia puisse commander de tels moyens, et s’ils le pouvaient, je veillerais avec Sa Sainteté à ce que cela n’ait aucun effet.

Vous voyez, Angelo, cette rose rougissante doit être la mienne. Elle sera bientôt amenée à son procès et condamnée par l’abbesse à être enterrée vivante. Un rapport sera ensuite transmis au grand vicaire, qui se procurera le fiat de sa sainteté. Il sera de mon devoir d’empêcher que des pétitions en sa faveur soient entendues. Adieu ! vous entendrez bientôt parler de mon succès.PEDRO, ABBOT DE ST FRANCIS

LETTRE 14

Pedro à Angelo

Elle est mienne, l’âme et le corps à moi. J’ai l’ange délicieux en sécurité dans mes appartements secrets au couvent, où je me délecte et je me nourris de ses beautés palpitantes. Elle est venue à mon étreinte féroce une domestique rougissante et timide.

Oh, Angelo, comme les moments passés à démêler le nœud gardien de sa chasteté de coy étaient délicieux ! Comme il était doux à l’oreille le doux cri qui annonçait l’expiration de sa virginité. Angelo (crois-moi quand je l’écris), le moment même où j’ai vu le parloir râler sur la belle Mezzia l’après-midi elle a reçu le voile, un esprit prophétique chuchoté dans mon oreille : « Elle est à moi. Elle est a moi entièrement à moi. Presque toute la nuit dernière, je fus voluptueusement encerclé par ses membres méfiants, ses jeunes seins naissants battant avec ravissement contre mon sein viril, sa joue rougeoyante tendrement pressée contre la mienne, et seulement enlevés pour résigner ses lèvres douces à mes baisers brûlants. Nuit de ravissement exquis ! Qu’il ne soit jamais affaibli dans la tablette de la mémoire ! Comme je l’avais prédit, Angelo, pour sa tentative d’évasion du couvent, l’abbesse austère de Sainte-Ursuline a immédiatement appelé un chapitre pour essayer cette belle disgrâce à notre sainte religion. Ses amis ont été informés de sa tentative infâme, et en temps voulu le procès a eu lieu, en présence de son père, frère et amis. Sœur Sophie, la religieuse dans laquelle ma jeune élève avait égaré sa confiance, était la preuve principale contre elle. Apparemment avant d’être exclue du monde, une liaison avait subsisté entre elle et un jeune noble, dont le nom était la seule chose que Julia ne connaissait pas avec sœur Sophia. Comme il a heureusement échappé dans la confusion de sécuriser Julia, il n’a rien à craindre. La pauvre fille n’avait aucune défense. La détection était trop publique. Ce qu’elle demandait en atténuant sa faute non seulement irritait de plus en plus l’abbesse contre elle, mais poussait absolument son père et son frère à la nier et à l’abandonner complètement à son sort.

Elle déclara publiquement qu’elle était obligée de prendre le voile par son père. et frère, et a appelé le ciel à témoigner de la vérité de son affirmation et de la protéger dans sa détresse. Son père et son frère ont fui le couvent en lançant des malédictions sur elle, et elle a été condamnée par le chapitre pour être enterrée vivante. Oh, Angelo, quelle a été ma joie d’entendre cette phrase. Vous êtes le seul de l’ordre à qui j’ai communiqué le fait de l’existence d’un passage souterrain de mon dortoir au tombeau de la mort au couvent de Sainte-Ursuline. Devinez avec quelle impatience j’ai attendu le résultat de l’affaire de Rome. La phrase du chapitre étant confirmée, le jour suivant fut désigné pour déposer la victime dans l’épouvantable sépulcre. Entre-temps, je descendis et acheminai par notre entrée souterraine un matelas confortable et d’autres commodités, et je nettoyai aussi le cachot de la saleté et de la vermine, afin que la tendre fille puisse au moins dormir sans interruption pendant le temps que je prévu qu’elle devrait rester là ; que vous soyez sûrs que ce ne serait plus que de la rendre reconnaissante d’abandonner sa personne à mes désirs quand je lui ai donné l’occasion d’échapper à la mort par la famine. Je ne vous dégoûterai pas d’un récit de la cérémonie de forcer cette jeune créature à descendre les mâchoires de marbre de la tombe ouverte dans l’église des Ursulines. Il suffit de dire qu’une corde de longueur suffisante était solidement fixée autour de sa taille, et, malgré ses luttes et ses cris, elle fut portée et maintenue sur l’ouverture redoutable, puis graduellement descendue dans l’abîme effrayant, ses cris faisant l’église écho, jusqu’à ce que la dalle de marbre l’ait enfermée, comme on le supposait, du monde pour toujours. J’avais placé à côté du matelas des provisions suffisantes pour la durer un jour, avec l’intention de la laisser réfléchir pendant deux ou trois jours ; à ce moment-là, je n’avais aucun doute que la faim et la peur l’auraient tellement réduite que, pour échapper à son horrible prison, elle se soumettrait rapidement aux conditions que je proposerais. Le troisième jour de l’incarcération, après les vêpres, je pris ma lanterne noire. encore foulé le passage souterrain. En arrivant à l’entrée secrète du tombeau, j’attendis longtemps avant de savoir si elle était réveillée. Enfin, j’étais assuré qu’elle dormait. Avec précaution, j’ouvris la porte et m’approchai silencieusement du dormeur inconscient. Enlevant l’ombre de la lumière par degrés, je l’ai tournée sur son visage, craignant de la réveiller en la laissant instantanément flotter sur elle. Pauvre fille ! combien évidente était l’incursion de soin et de désespoir sur sa belle figure. Elle s’étendait sur le matelas, la tête appuyée sur son bras droit, ses belles tresses jouant sur son cou d’ivoire en confusion, tandis que le désordre de son voile ne cachait qu’à demi sa jeune poitrine délicieuse. Ses joues gardaient encore les traces de larmes récentes, et son sommeil était troublé par les horreurs de sa situation, car, sans le savoir, elle disait : « Oh, mon père, sauve-moi ! tout son cadre se convulsait avec l’agonie même dans son rêve. Je ne pouvais plus supporter cela, mais, ombrageant ma lumière, je toussais assez fort pour rompre les liens du sommeil.

— Quel bruit était-ce ? s’exclama la pauvre victime. Je pensais avoir entendu quelqu’un bouger. Oh, non, c’était la tromperie de mon cerveau étourdi. Hélas, il n’y a pas d’espoir pour un misérable comme moi !

» Je saisis cette occasion et prononçai lentement le mot« espoir ».

Un léger cri, évidemment mêlé de plaisir, suivit ma réponse. Au bout de quelques secondes de silence, elle s’écria : « Oh ! Ne jouez pas avec ma misère ! S’il y a quelqu’un de proche, ne désespérez pas une malheureuse !

— L’aide est proche, répondit ma réponse. « Mais ne laissez pas la joie decei Si vous avez des espérances qui peuvent ne pas s’accomplir, votre libération de la mort dépend entièrement de votre soumission à certaines conditions. »

« Oh, pour l’amour du ciel, nommez-les, »elle a pleuré ; ne me garde pas ainsi dans un suspens angoissant ! dis ce que je dois faire pour me sauver de l’affreuse angoisse de la famine que je ressens maintenant si puissamment.

— Écoutez, répondis-je, les seuls termes sur lesquels vous pouvez être délivré de ce repaire d’horreurs et de certaines morts persistantes sont la soumission entière de votre personne à la jouissance ; c’est la seule façon de pouvoir être sauvé. À ce moment, j’ai détaché ma lampe et je l’ai laissée se refléter sur mon visage. Elle a couvert ses yeux avec ses mains, mais elle n’a pas répondu. « Viens, m’écriai-je, le temps s’épuise, tu dois être rapide dans ta résolution, si je quitte ce cachot, ton sort est fixé pour toujours. Il n’y avait toujours pas de réponse. Je recouvre la lampe et je lui dis solennellement : « Eh bien, adieu ! » Et je m’éloignai d’elle comme si je sortais de la tombe.

« Oh, sauve-moi ! » S’écria-t-elle, croyant que j’allais.

Eh bien, tu consens à Soumettez-vous à mes désirs, à tous les désirs ou à toutes les demandes que je choisis de faire ?

Oh, oui, tout ; sauve-moi de la mort, je me soumettrai à tout.

— Alors tu es sauvé, répondis-je en m’approchant et en la prenant dans mes bras. Ses lèvres douces que je dessinais à la mienne, et suçant son souffle parfumé, j’ai scellé notre contrat. Je lui dis maintenant qu’il arrivait que l’abbesse fasse enlever la couverture de marbre du tombeau pour signaler à des religieuses désobéissantes le châtiment qui pourrait les attendre, aussi ses vêtements doivent-ils être posés immédiatement sous l’ouverture qu’ils pourraient avoir. être vu. Si un tel événement se produisait, la profondeur de la tombe empêcherait toute possibilité de vérifier si elle était dans eux, sinon une recherche immédiate pourrait être faite dans la tombe, et peut-être sa retraite a finalement découvert, auquel cas le pouvoir de l’église traînait elle revient à sa punition. Je découvris de nouveau ma lanterne et pouvais clairement voir sa pudeur lutter avec ses peurs. Je lui ai donc dit qu’il ne devait y avoir aucun retard. Viens, viens, m’écriai-je. il nous faut quitter ce moment, vous devez céder à la nécessité de vous arracher à votre habitude. Elle tremblait, et disait qu’elle ne pouvait penser à être nue, avec une confusion qui lui faisait regarder la fuite comme une récompense à peine pour la honte qu’elle devait subir. Sans doute, elle en aurait débattu la propriété, mais je lui ai péremptoirement coupé la parole en commençant à se débarrasser peu à peu de sa robe, à en sortir une chose, puis une autre, jusqu’à ce qu’elle fût entièrement dépouillée de tout. Pour les ennuis que j’ai pris dans sa toilette, je me suis récompensé pendant que je procédais. Je posai sa robe tout entière sur le sol immédiatement sous l’ouverture de la voûte, de sorte que l’on pût la voir de dessus en ayant l’air de couvrir un corps. Je fixai alors un mouchoir sur les yeux de Julia et, la prenant par la taille, la conduisis hors de la voûte. En quelques minutes elle était en sécurité dans mes appartements privés, où une table bien disposée avec toutes sortes de rafraîchissements l’attendait. La portant sur le canapé à côté de la table, je l’ai gentiment posée dessus, et lui ôtant le pansement de ses yeux, avec un baiser d’amour l’a assurée de sa sécurité. Bien que je sois bien conscient qu’elle devait souffrir beaucoup de la faim à cette époque, je ne pouvais pas m’empêcher de me livrer à quelques instants avec ses jeunes beautés avant de la laisser satisfaire les besoins de la nature. Il est vrai que je la conduisis à travers le passage souterrain, chaque partie de son corps délicat avait été sentie par mes mains avides, mais que vous savez, Angelo, était dans l’obscurité. Maintenant je l’avais dans mes bras, chaque charme était exposé à la large lumière du jour. La blancheur inégalée de sa peau était soulignée par le velours noir du canapé sur lequel elle était posée. Rapidement ma main hardie s’empara de son trésor le plus secret, malgré ses plaintes douces, que mes baisers brûlants réduisaient à de simples murmures, tandis que mes doigts pénétraient dans la voie couverte de l’amour. Comment le transport est le combat entre la pudeur de la coy et le plaisir du nouveau-né. Comme il paraît délicieux les premiers rougissements de la honte sur la pureté neigeuse du sein de la vierge. Ah ! Angelo, n’envies-tu pas mes joies ? Devinez comment je me suis dissous pendant que mes lèvres erraient sur son corps doux ! Comme ses cris de « Ah ! et ’Fie !’ Je discernais une larme qui tombait, mais c’était la déchirure du plaisir. Puis elle essaya (mais en vain) de retirer ma main, tandis que ses yeux fermés indiquaient clairement que la douce langueur rampait doucement sur ses sens. Je ne sais à peu près comment expliquer pourquoi, en ce moment, je ne demande pas ma récompense pour l’avoir sauvée des griffes de la mort. Mais je ne l’ai pas fait. Je me désistai brusquement, et, l’élevant de la position où je la tenais, tirai la table vers le divan, voulant qu’elle s’aidât de ce qu’elle jugeait à propos et quitta l’appartement. Dans ma chambre, j’avais de belles chemises, dont je l’avais amenée et l’avait aidée à se mettre ; c’était assez grand, mais bien sûr ce n’était pas une défense pour mes mains curieuses, que je pouvais facilement glisser vers un Une partie d’elle me plaisait. Cependant, je ne l’ai pas interrompue pendant son repas, mais j’ai suivi ses besoins avec le plus grand soin, l’obligeant à prendre deux ou trois verres de vin chaud, qui étaient déjà préparés. Comme les appétits de son appétit étaient apaisés, le mien devenait chaque minute plus furieux. Voyant qu’elle avait fini, quoiqu’elle feignît encore de manger, j’entourai doucement mon bras autour de son cou ; J’ai dessiné sur mon sein cette beauté douce, languissante, soupirante et presque évanouie, puis, fixant sur ses lèvres humides un long baiser brûlant, j’ai presque sucé sa vie. Tandis que je m’occupais de ce doux travail, je détachais la corde qui tenait ma robe serrée autour de moi, et je lui dis que j’avais l’intention de récolter la récompense du service que je lui avais rendu. La pauvre servante effrayée supplia un instant de s’arrêter. Je m’efforçai de me persuader d’épargner son innocence, défense symbolique des lois de la vertu. Mais je l’ai prise dans mes bras, puis j’ai commencé la douce dispute préparatoire au combat plus féroce. Comme la lueur sur son beau cou et ses épaules nues en ivoire était délicieuse, alors que je la forçais à dos sur le canapé ! Avec quelle pudeur voluptueuse elle penchait la tête comme dans la pleine vigueur de la force, je partageais ses cuisses enflées. Rapidement, la femme de chambre non assortie fut placée dans cette position, ce que je ne lui permirent pas de faire valoir avant d’avoir renoncé à toute réclamation portant sur ce nom. Avec quelle luxure ses monticules neigeux se dressaient contre ma poitrine dans une confusion sauvage. Heureusement, elle ne savait pas ce qu’elle allait souffrir. La confusion qui la saisit à nouveau sur mes doigts, entrant dans la cellule de Vénus pour me présenter, favorisa considérablement mes démarches. Je sentis la tête de mon arme entre ses lèvres et, avec une poussée vigoureuse, je m’efforçai de pénétrer, mais si cruellement déchirai sa délicate petite entrée qu’elle poussa un cri, tenta de s’échapper et me jeta effectivement dehors. Enflammée de rancune et de rage à cette révolte, je jurai par le ciel si elle résistait encore, je la ramènerais au tombeau. De nouveau, je me fixai de force entre les lèvres de ses premiers fruits encore intacts. J’ai vu qu’elle était très inquiète de ma rage et de mes menaces. Cela a eu un bon effet : ses peurs ont diminué sa défense. Je pris alors soin de rendre mon attaque assez certaine, et je commençai le combat d’une joie féroce, d’un plaisir mêlé de douleur. Si énorme que fût la disproportion entre l’endroit assailli et l’instrument attaquant, je le trouvai bientôt perçant intérieurement ; ses grands cris annonçaient ses progrès victorieux. Rien maintenant ne pouvait apaiser ma fureur ; plus elle implorait la grâce, plus je pressais avec vigueur. Mais jamais la conquête n’a été plus difficile. Oh, comme j’ai été obligé de l’arracher pour forcer ses défenses vierges ! Avec quelle serrure délicieuse elle serra ma verge d’Aaron, comme elle entrait dans les replis les plus intimes de son sanctuaire vierge jusque-là. Quelle volupté était la chaleur de son jeune corps ! J’étais fou de joie ! Ses jeunes seins qui montaient et descendaient dans une confusion sauvage attiraient mes caresses. Devinez mon état d’excitation. Je les ai sucés, et enfin les ai mordus avec plaisir. Bien que Julia soit très accablée par ses souffrances, elle continuait à me regarder d’un air de reproche, nageant de douleur et de langueur. En ce moment, avec une dernière poussée énergique, je me suis enfoncé jusqu’aux cheveux en elle. Un cri annonça le changement de son état ; l’extase m’a saisi et j’ai tiré dans les recoins les plus intimes de l’utérus de cet enfant innocent et beau comme un flot abondant de sperme brûlant comme jamais a été fermenté sous le manteau d’un moine ; sur quoi, oh ! des effets merveilleux de la nature, la belle Mezzia, malgré ses cruelles souffrances, céda à mes vigoureuses impressions. Le plaisir surmontait la douleur, et l’étirement de ses membres d’ivoire, le tremblement de son corps, l’étreinte avide de ses bras délicats, indiquaient clairement que le premier épanchement de la nature se distillait en elle. Quand je fus un peu guéri de mon extase, sans renoncer à mon prix, je m’étendis sur sa douce poitrine en contemplant les nombreuses beautés que le sort m’avait jetées. Une profusion de tresses brunes foncées coulait négligemment dans de luxueuses boucles au-dessous de sa taille élancée ; sous ses sourcils finement formés rayonnaient les yeux les plus brillants du bleu éthéré jamais créé ; son nez est romain ; ses douces joues rougissantes imitent la rose ; ses dents sont comme des perles orientales, tandis que ses lèvres boudeuses et malléables sont admirablement tournées. Mais en ce moment, ces délicieux inhalateurs de nos plus belles félicitations étaient terriblement blessés, et ma joie en avait été si bruyante. Son visage est décidément grec, sa poitrine, ses épaules et son cou ressemblent à l’ivoire le plus pur. En baissant les yeux, sur ses petites buttes enneigées, je rougis de voir les marques cramoisies que mes dents avaient laissées sur ces beaux orbes. J’insinuai doucement mes bras autour de son cou, j’attirai son visage rougissant sur le mien et, après avoir imprimé quelques doux baisers sur ses lèvres saignantes, suppliai anxieusement la gentille fille de pardonner ma cruauté, l’assurant des serments les plus tendres Je ne savais pas de quoi je parlais, tant les transports affolants m’avaient dominé. Elle n’a pas répondu. J’ai placé un de ses beaux bras autour de mon cou. Elle a souffert de rester. De mes lèvres bouffantes, j’inspirais des bonbons luxueux. Bien que je pensais avoir distillé mon existence même en elle, l’aspiration inspirant la vie a complètement ranimé mon corps entier. Je me sentais dans un état d’érection aussi fier en elle que lorsque je commençais sa défloration ; ses jeunes seins se soulevant rapidement, de doux soupirs, des rougeurs et des tremblements, assez pour que ma proie sentît aussi le retour de ma vigueur. Je déterminai que la seconde jouissance devait bien la rembourser pour tout ce qu’elle avait souffert, et commença mes mouvements avec une prudence et une lenteur qui la faisaient soupirer d’extase voluptueuse. Il était maintenant en effet que je jouissais tranquillement de la félicité persistante, comme par des degrés tendres et ravissants je me suis forcé à la très rapide en elle. À peine maîtresse de ses sentiments, ses lèvres cédantes aux baisers délicieux s’unissaient de plus en plus près des miennes, rougissaient de plus en plus profondément son cou et ses joues fleuries, ses bras me saisissaient de près. Peu à peu, mes coups devinrent plus rapides, mais aucune plainte n’interrompit mes joies. Elle haletait d’extase ; ses membres m’ont encerclé ; elle a voluptueusement soulevé à mes poussées, pendant que les mouvements sans pièces de son corps et de ses membres, ses transports ardents, ses baisers doux, ont témoigné amplement de la transition rapide de la chasteté de coy au plaisir luxueux effréné. En bref, j’étais aussi béni que la jeunesse et la beauté voluptueuse pourraient me faire, jusqu’à ce que forcé de se retirer de ses bras pour assister à mes devoirs de monastère. Ils ont été rapidement dépêchés, et après m’être rafraîchi avec quelques heures de repos, je suis revenu à mon captif avec la force recrutée pour le plaisir doux de la nuit. Un sourire d’accueil était sur sa belle figure ; elle était vêtue d’une armoire que je lui avais montrée, contenant tout ce qui convenait à son sexe, avec un plaisir reconnaissant, je m’aperçus aussitôt que sa toilette n’avait pas été faite dans le seul but de la couvrir, mais on avait prêté attention de ses nombreux charmes. Le plus grand soin avait été donné à la disposition de ses cheveux, tandis que la pelouse qui couvrait ses larges seins voluptueux était si tentante qu’il était impossible de la regarder sans ardeur. Elle a sauté du canapé pour me rencontrer ; un instant je la pris dans un extase d’étonnement, puis l’attirant sur mon sein, plantant sur ses lèvres un baiser si long et si palpitant, que nous en ressentions quelques instants. Mes passions étaient instantanément en flammes. Je la portai sur le côté du canapé, la plaçai dessus et, tout en suçant ses délicieuses lèvres, lui découvrit le cou et les seins, puis, saisissant ses jambes, les souleva et jeta ses vêtements. Un sentiment dissolvant luttait avec mes désirs plus amoureux. Je me suis penché pour examiner la vue voluptueuse et glorieuse. Quelle était la vue ! Chaque partie de son corps était la blancheur, la fermeté et la délicatesse d’ivoire ; le tout était parfait, tout charmant ; le blanc entrecoupé de petites veines bleues montrait la transparence de la peau, tandis que l’obscurité des cheveux, plus douce que le velours, formait les plus belles nuances, faisant un délicieux contraste avec les lèvres vermeilles de sa gaine d’amour étirée, le vermillon brillant de la coquille augmentait évidemment du sang de sa virginité défunte. Fatigué d’admirer sans plaisir, je portais ma bouche et ma main à tout ce qui était devant moi, jusqu’à ce que je ne puisse plus me supporter. Me relevant de ma position baissée, j’étendis les cuisses au maximum, et me plaçai entre elles, puis je détachai ma verge d’Aaron, qui n’était pas plutôt en liberté mais qui s’envola avec la même impétuosité avec laquelle un arbre se redresse quand la corde qui le tient plié vers le sol vient à être coupée, avec ma main droite je l’ai dirigé vers la fente boudeuse de sorte que la tête fût bientôt dedans. S’étendant sur elle, j’ai dessiné ses lèvres au mien ; encore je poussais, je suis entré. Une autre poussée l’enfouit plus profondément ; elle ferma les yeux, mais me serra tendrement dans son sein ; encore j’ai poussé ; ses lèvres douces m’ont récompensé. Une autre poussée l’obligea à soupirer délicieusement, une autre poussée acheva notre jonction. Je savais à peine de quoi je parlais ; tout était maintenant dans l’effort actif : langues, lèvres, ventre, bras, cuisses, jambes, fonds, chaque mouvement voluptueux jusqu’à ce que nos esprits abandonnent complètement chaque partie de notre corps pour se transporter dans le lieu où les plaisirs régnaient avec tant de fureur, mais toujours avec un sentiment si délicieux. Je me suis dissous dans elle au moment même où la nature lui avait fait rendre son tribut à la joie enivrante. Ma belle proie ne tarda pas à venir à elle, mais ce fut seulement pour m’inviter par ses charmes innombrables à la plonger dans le même état. Elle passa ses bras autour de mon cou et suça mes lèvres avec des baisers ressemblant à des bouquets. J’ai ouvert mes yeux et les ai fixés sur les siens ; ils étaient remplis de langeurs amoureuses ; Je bougeais en elle, ses yeux se fermèrent instantanément. La pression tendre de sa gaine d’amour autour de mon instrument me satisfaisait quant à l’état dans lequel elle était. Encore une fois, je poussais. Ah ! soupira-t-elle, le plaisir me suffoque. Je poussais furieusement ; ses membres se raidirent peu à peu, elle donna un mouvement de plus en réponse aux poussées féroces faites dans son organe ; Angelo, il ne sert à rien de vous donner une description plus détaillée de ma jouissance de cet enfant adorable, mais le reflet déchirant que je dois partager avec ma délicieuse récompense me pousse à la distraction. Pendant les moments plus frais, je lui ai expliqué la nécessité d’une séparation et je lui ai signalé le danger de rester dans ce pays. L’assurance solennelle que je lui ai donnée de sa sécurité contre les crocs de l’église a tendu à la réconforter. Mais alors, Angelo, comment puis-je me forcer à me séparer d’une créature si voluptueuse ? Conseillez et conseillez votre ami. PEDRO

LETTRE 15

Angelo à Pedro Saint Pierre

épargnez-moi ! Qu’est-ce qui, au nom de Beelzebub, a pris possession de vous ? Comment peux-tu te forcer à te séparer de cette créature voluptueuse ? Comment votre révérence a-t-elle réussi à vous forcer des bras de Camille, de Rosa St Pierre, de Bianca, la fille du pauvre pêcheur, et de la demi-douzaine de jeunes beautés que j’ai transportées sur la mer à Alger et à Tunis ?, mais à la plus grande satisfaction de nous-mêmes, en doublant bien nos propres poches avec de l’or africain ? Ecrivez-moi encore dans une quinzaine de jours ; faites moi savoir si la fièvre est encore chaude sur vous. Je suppose qu’à ce moment-là, vous serez un peu plus frais ; Quoi qu’il en soit, un mois est le meilleur moment que je puisse vous offrir pour votre amusement avec votre charmeur. Dans six semaines, je serai prêt à partir avec le cartel pour Alger. Vous savez que, d’après notre accord, je devrais avoir au moins quinze jours de plaisir pour la fille à terre. Le temps passé sur le voyage à Alger est si court que ces jeunes créatures, par maladie, ne me procurent que très rarement du plaisir. Je voudrais que tu puisses trouver une fille ou deux pour le Dey d’Alger. Je pourrais obtenir presque n’importe quel prix pour un, tellement il aime couper les demoiselles. Mais je m’oublie, vous êtes aussi mauvais que le Dey lui-même à cet égard, donc je dois essayer de m’en procurer un moi-même. Faites-moi savoir dès que je pourrai m’attendre à la jeune Mezzia.

LETTRE 16

À PEDRO À ANGELO

Vous avez raison dans votre observation, la possession incontrôlée d’Angelo, avec le temps, abat sûrement les passions les plus féroces. Il y a maintenant trois semaines que j’ai soulagé la jeune Mezzia de sa virginité, toutes les nuits suivantes ayant été passées dans ses bras délicieux, la nouveauté de ses beautés commence à perdre son effet vivifiant. Mais encore, Angelo, je redoute l’arrivée du jour où je dois me séparer d’elle. Elle a été particulièrement curieuse quant à l’endroit où elle doit être envoyée. Je l’ai pacifiée en disant qu’elle irait en Irlande, une partie du royaume de Grande-Bretagne, où la grande masse de la population est catholique. Quand elle a appris qu’ils étaient catholiques, ses craintes ont d’abord repris leur cours, mais ont été retirées quand elle a été solennellement assurée qu’il était hors de la portée du clergé de contester ou punir quiconque, les couvents et l’incarcération des femmes ne faisant pas partie de la loi de ce royaume. Cette semaine est désignée pour notre séparation. Elle a commencé à s’amuser en triant les vêtements que je lui ai donnés en malles avant son départ. J’ai été extrêmement libéral dans mes dons, en particulier dans les anciens bijoux et ornements que vous savez avoir servis maintes fois dans le même but. Elle est très belle, Angelo, et va chercher un prix magnifique, femme de chambre ou pas de femme de ménage. Je suppose qu’il ne servirait à rien de la faire passer pour vierge à Alger ? J’ai bien peur que les eunuques appartenant au sérail de Dey aient trop d’expérience en ces matières. Adieu. Mais j’ai oublié que je l’ai informée qu’elle sera confiée à ma sœur, la dame abbesse au couvent de Sainte Thérèse. Vous devez donc, pendant quelques heures, assumer votre vieux déguisement de l’abbesse, qui la livrera à votre plaisir sans difficulté.

LETTRE 17

Angelo à Pedro

Je ne m’étonne pas de votre regret de vous séparer de la jeune et belle Mezzia. Elle est en effet un bijou. Joyeux Pedro ! je t’envie en effet les joies suprêmes que tu dois avoir goûtées dans ses bras quand, avec une fureur amoureuse, tu cueillis la vierge rose. Elle est arrivée ici en sécurité. Je l’ai fait passer dans notre retraite inconnue et privée. Bien sûr, j’ai assumé le déguisement de la dame abbesse, votre sœur, que je pense avoir très bien agi. La pauvre innocente ne se doutait pas de la tromperie, bien que le baiser que je lui ai donné en la recevant de votre messager était assez chaud. Je lui ai fait comprendre que je savais qu’elle s’était échappée du tombeau, mais je n’avais aucune idée de ce qui s’était passé entre vous et moi. Elle est apparue extrêmement basse et de jeté. J’ai tout fait pour la réconforter. Mais je dois partir jusqu’à demain, quand vous entendrez comment je m’entends avec elle. Après le souper, je lui dis que, comme c’était une partie très solitaire du couvent, nous passerions la nuit ensemble, mais que, pendant quelque temps, je la laisserais chercher la clef du couvent à la sœur portière ; pendant mon absence, elle pourrait se coucher, ce qui, vous le savez, est assez grand pour deux. En sept ou huit minutes, je suis revenu avec une clé dans la main, que j’ai posée sur la table. Elle était presque déshabillée. Je me suis assise en faisant semblant de lire un missel, mais en fait je me promenais sur les nombreux charmes qu’elle révélait à chaque tour de mon regard ardent (mais invisible). Enfin, elle se mit au lit, sur lequel je tirai les rideaux et me déshabillai moi-même. Ce que j’expédiais ainsi que la maladresse de la robe me laissaient, et ayant mis une chemise de nuit féminine, je me mis au lit, avec l’intention de rester immobile jusqu’à ce qu’elle dorme, puis de me rendre maître de sa personne pendant qu’elle était inconscient de ce que j’étais. Mais l’accident l’a rendue à ma jouissance plus tôt que je m’attendais. Vous pouvez supposer l’état dans lequel j’étais, placé à côté d’une telle créature délicieuse. En fait j’étais dans l’érection la plus féroce possible quand, en se tournant, la fille sans méfiance posa sa main sur mon instrument palpitant. Tu l’avais trop bien cultivée pour la laisser dans le doute sur ce qu’elle avait ressenti. Un léger cri me rassura quant à la découverte. Il ne servait à rien de poursuivre la tromperie avec elle. Je la saisis donc dans mes bras et arrêtai ses cris de mes baisers ; en fait elle a crié tellement fort d’être soudainement saisi par moi que j’avais presque peur qu’elle puisse être entendue par quelqu’un. Je lui rappelai rapidement à quel point cela dépendait de son silence — sa vie pouvait être la perte de sa folie, vous pouvez compter sur elle que, tout en essayant de calmer ses cris, je n’étais pas oisif. Je me suis jeté sur elle — ses cuisses ont été rapidement divisées. Ses cris se sont calmés mais les larmes coulaient. Je lui ai donné très peu de temps pour réfléchir s’il valait mieux alarmer le couvent ou souffrir en paix. Il ne s’écoulait pas plus de quatorze ou quinze secondes entre le moment où elle avait découvert mon sexe et celui où elle avait posé sa main, qu’elle avait été logée en toute sécurité dans son réceptacle naturel. Il ne fait aucun doute qu’elle a gagné par sa découverte. Comme c’est magique l’influence de la distinction de notre sexe sur les sentiments du plus doux. Des cris, des pleurs, des larmes et de la résistance accompagnèrent la découverte et ma prise d’elle, mais directement elle sentit sa tête se diviser ses lèvres de vie sa résistance cessa, et ses cris se turent ; en pénétrant, ses larmes se desséchaient ; mais quand elle l’a percée jusqu’au rapide, les exclamations molles, les soupirs tremblants et un tremblement général des membres et du corps ont seulement accompagné notre jonction complète. La nature avait déjà pris son essor : quelques coups rapides donnaient un coup de fouet au plaisir et, à mesure que mes mouvements devenaient plus rapides, la séduction l’emportait sur les petits restes de modestie que vous lui aviez laissés. Bref, elle a vite reçu autant de plaisir qu’elle a accordé, si j’en juge par la douceur de ses baisers, l’ardeur de ses pressions, avec mille autres petites choses qui ne peuvent être décrites et qui ne se font sentir que dans la jouissance. Bref, si l’extase nous avait mutuellement opérés, le moment de dissolution nous saisit en même temps. Oh, Pedro, comme sa joie était extatique, car l’essence de la vie a été tirée jusqu’à ses organes vitaux ! Ses bras délicats entouraient étroitement mon corps, ses jambes étaient croisées sur mes reins et me tenaient aussi fort que si elle était saisie par un étau, et elle ne relâchait pas sa prise jusqu’à ce qu’elle m’ait extrait la dernière goutte. Puis, le détachement progressif de ses bras et de ses jambes, l’étirement décisif de son corps, le frisson tremblant délicieux, tous ont parlé avec émotion combien ses sens avaient été gratifiés. C’était en effet une nuit de joie pour moi ! Pendant un mois, je m’étais abstenu d’avoir des relations sexuelles et j’étais donc en état de donner et de goûter moi-même les transports les plus luxueux. Si la beauté est nécessaire pour renouveler la vigueur après des plaisirs répétés, Mezzia possède tous les charmes pour exciter les désirs que la jouissance a refroidis. Nous n’avons pas fermé les yeux pendant la nuit, qui s’est déroulée dans une ronde continue de plaisir varié de la nature la plus délicieuse. Le soleil s’était levé à l’est avant que Morphée ne pose son gros doigt sur nos paupières. Elle m’a demandé pourquoi vous l’avez trompée au sujet de votre sœur. J’y ai mis le meilleur visage, et je l’ai informée que votre souhait était de ne pas l’effrayer en lui faisant savoir qu’elle devait être confiée à un frère. Je lui ai aussi fait comprendre que j’étais parfaitement au courant de tout ce qui s’était passé entre vous et elle, et comme une excuse pour moi, je lui ai hardiment dit qu’il était absolument impossible de résister à la tentation de me rendre heureux avec elle comme tu l’avais été. J’ai seulement regretté que le temps qu’elle était condamnée à être mienne était si court. Après trois ou quatre jours passés avec son elle est devenue extrêmement curieuse dans ses enquêtes quant à ce genre de place Irlande. J’ai paré ses enquêtes en l’informant que tant de ses charmes m’avaient affecté que j’avais décidé d’abandonner complètement l’Italie, et que je devrais l’épouser quand nous serions arrivés en Irlande (quand nous le ferons peut-être). L’enfant m’a cru. En effet, ses charmes me provoquent excessivement. Bien que chaque nuit se passe dans ses doux bras, il n’y a pas un jour qui passe mais je gratifie mes sens de voir, sentir et jouir avec chaque excitation que la vue et le toucher sont capables de donner. En fait, je ne me souviens pas d’une femme qui avait le pouvoir d’exciter mes passions, et je ne crois pas non plus avoir aimé une fille avec la moitié de l’assiduité et de la rapidité que je lui ai laissées. Je la considère supérieure dans ses mouvements à n’importe quelle femme que j’ai jamais appréciée, et la chaleur et l’étroitesse de sa gaine d’amour donnent une volupté indescriptible à l’enlèvement. Adieu, Pedro. Si je ne vous écris pas encore avant de partir pour Alger, vous ne pouvez vous attendre à avoir de mes nouvelles avant mon retour.

ANGELO

LETTRE 18

Emily Barlow à Maria Williams Londres, le 8 mai 1816

Très chère Maria — Vous m’avez demandé dans votre dernière lettre de vous écrire un compte de ma vie à Alger. Je pensais que je ne pouvais pas faire mieux que de vous envoyer une copie de ma lettre à Sylvia Carey. J’ai aussi envoyé avec eux un paquet de lettres appartenant au père Angelo, prêtre catholique, qui les a laissées par accident à bord du navire d’Abdallah à Toulon. Ce prêtre a été employé par le Dey de concert avec Abdallah pour sécuriser mon amie Sylvia, comme vous le verrez par la lettre du Dey à Abdallah. Je vais maintenant continuer mon histoire depuis le moment où j’ai reçu la dernière lettre de Sylvia. J’avais été avec l’enfant environ six mois, quand la négligence du Dey m’a assuré quelque frais digne engagé ses moments amoureux. Une rumeur a couru que c’était une paysanne à moi. Le Dey était inamovible ; ni moi ni aucun de mes compagnons ne pouvions en tirer le secret, jusqu’à ce qu’un jour le chef eunuque me dise confidentiellement que si je le voulais, je pourrais voir mon rival. Bien que je la détestais dans mon cœur pour m’avoir volé ce qui m’était cher, ma curiosité l’emporta sur mes sentiments et j’acceptai son offre. Il me conduisit à travers plusieurs pièces où je n’avais jamais été auparavant, jusqu’à ce que nous arrivions dans une grande chambre séparée au milieu par un rideau. Mon guide m’a fait signe de regarder alors qu’il séparait le rideau. Le premier objet qui a rencontré mes yeux était une femme nue appuyée sur un canapé, le visage vers le bas, et le Dey avec son noble arbre a plongé jusqu’à la garde en elle. En ce moment, le Dey tourna la tête et me découvrit. La surprise m’a cloué sur place. Il joignit ses mains autour de sa femme, la releva de son couché, gardant toujours son arme en elle, tourna en rond et la ramena à ma vue. Imaginez-vous, ma chère Maria, quelles ont dû être mes émotions en voyant dans mes bras mon amie Sylvia, elle qui avait ajouté à mon inquiétude par sa lettre insensible. Je poussai une exclamation précipitée et m’évanouis. À mon rétablissement, je me retrouvai au lit et Sylvia se pencha sur moi. — Pardonnez-moi, ma chère Emily, s’écria-t-elle, pour la lettre sévère que je vous ai écrite. Je ne pensais pas alors que moi aussi je devais faire un sacrifice au cher méchant Dey. Je me demande maintenant comment vous auriez pu décrire si éloquemment ce qui m’est arrivé. Mais calmez-vous, ma chère, le Dey m’a défendu de vous rendre compte de moi-même, comme il veut le raconter lui-même. Le lendemain, j’étais assis sur le canapé quand le Dey entra dans mon appartement. J’essayai de le désapprouver, mais je ne le pouvais pas, car il tirait sa robe d’un côté et révélait cet instrument délicieux qui harmonise mon cœur à l’harmonie. Je me suis jeté sur mon dos, et dans un instant son altesse était dans le summum de la félicité. Trois fois il rendit mes embrassades avant de se retirer ; puis, s’asseyant à côté de moi sur le canapé, il commença comme suit. — Vous mourez sans doute avec curiosité de savoir comment votre ami est entré en ma possession, mais quel enfant stupide vous deviez supposer que je vous aurais permis écrire des lettres et recevoir des réponses sans en connaître le contenu. J’ai bien ri de ce que vous avez dit à votre ami, et je vous assure que j’appréciais également la réponse que vous lui aviez donnée, mais j’étais déterminé à payer le minx pour m’avoir traité de bête si c’était en mon pouvoir. Vous vous rappelez qu’elle a dit qu’elle était à Toulon. Un de mes navires était sur le point de naviguer pour ce port. J’ai envoyé chercher le capitaine Abdallah et lui ai offert une récompense libérale pour enlever la jeune femme. Il a trouvé peu de difficulté à réaliser son but, et environ un mois depuis son retour avec cette dame coy à Alger. Pendant qu’il était parti, j’étais très perplexe de savoir comment procéder avec elle. Après avoir interrogé vingt manières différentes de la soumettre à mon plaisir, je déterminai ce qui me semblait le plus susceptible d’ajouter à ma satisfaction en la débauchant. J’ai décidé à son arrivée de représenter un médecin français, et de la faire voler dans mes bras dans ce personnage pour m’éviter dans mon vrai. »En vertu de C’est un projet que j’ai fait monter dans la maison du conducteur d’esclaves, au fond des jardins du palais, de manière à représenter la maison d’un médecin éminent. Dans un but que j’expliquerai et que j’expliquerai, je fis faire dans le salon principal un renfoncement ou un placard secret, si bien arrangé que personne ne pouvait le découvrir, bien qu’en même temps ceux qui étaient à l’intérieur pussent voir et entendre distinctement. tout passe dans la pièce. Mes arrangements étaient assez finis avant qu’elle n’arrive. J’ai eu une interview avec Abdallah avant qu’elle ne soit amenée à terre. Quand il avait reçu ses instructions pour sa petite part dans le drame de la tromperie, sa description d’elle m’a gratifié beaucoup. Il me tardait d’arriver quand ses beautés nues devaient être offertes à mon inspection. S’il y a quelque chose qui tende à la sujétion d’une femme hautaine, c’est l’attaque de sa pudeur à la fois dans la partie la plus sensible. Rien ne tend à humilier la chasteté autant que notre système du marché des esclaves où les captifs sont exposés, nus, et laissés sans réserve à la vue et à la sensation de celui qui choisit de soumissionner pour eux. La beauté la plus têtue tombera inévitablement sous son influence subtile. Le lendemain matin, elle fut amenée sur le rivage et placée dans l’un des bazars d’esclaves, sous la direction d’Abdallah. Elle a été entièrement déshabillée, puis un manteau de soie lui a été donné pour s’envelopper, jusqu’à ce que mon eunuque vienne examiner si elle était digne d’être envoyée à mon serail, car j’avais le premier choix. Cet Abdallah l’a informée dans sa propre langue. Vous pouvez deviner son état d’alarme. Au cours de la matinée, un de mes eunuques, accompagné de quatre esclaves noirs, se rendit au bazar en l’état. Abdallah lui a demandé de se débarrasser de son manteau ; c’est ce qu’elle a refusé de faire ; par conséquent, ils étaient obligés de le lui enlever par la force, comme ils étaient également obligés de la mettre sur son dos sur un divan pour que l’eunuque puisse l’examiner correctement quant à sa virginité. Les quatre esclaves avec difficulté l’ont tenue pendant que l’eunuque remplissait son devoir. Elle se débattait et criait sans interruption pendant que Hassan, l’eunuque, faisait son levé. Quand il eut fini, il demanda à Abdallah, en français, ce qui lui était demandé ; il a répondu (dans la même langue), douze bourses. Hassan a répondu qu’il doutait si elle était vierge, et qu’il ne pensait pas qu’elle conviendrait au Dey. « Mais, demanda-t-il, de quel pays est-elle ? » En apprenant qu’elle était anglaise, « Oh, » il a répondu, « le Dey a juré de ne jamais avoir une autre Anglais, puisqu’il a été obligé d’étrangler Zulima Il ya quelques jours. » Théodora (le nom que j’avais commandé pour elle), qui comprenait parfaitement chaque mot qui était prononcé, en entendant parler de votre supposée mort, oublia ses propres ennuis et feinta. Grâce aux remèdes appropriés, elle fut rapidement rendue à ses sens, mais toutes les précautions furent prises pour lui faire croire que personne ne se souciait de son évanouissement. Hassan refusa de l’acheter et quitta le bazar. Cette farce a été répétée par plusieurs de mes eunuques pendant la journée, certains objectant au prix, certains trouvant le défaut de sa personne — tous refusant de l’acheter, mais tous examinant et sentant ses parts quant à son aptitude pour la station elle a été condamnée Il était évident à Abdallah qu’elle commençait à se soumettre à son destin, elle voyait clairement, même si cela pouvait indigner sa modestie, il n’y avait pas à se soustraire aux examens qui étaient scrupuleusement respectés dans cette partie la plus secrète pour laquelle touché par l’homme est presque un coup mortel à la chasteté. Bien sûr, je ne lui permettais d’être vue que par mes propres esclaves, sous divers déguisements ; Pendant ce temps, la pauvre fille pensait qu’elle était dans le marché public pour la vente. Abdallah maintenant, dans sa propre langue, a commencé à abuser d’elle par manque d’attraction en ne trouvant pas une vente rapide. C’était le moment désigné pour l’exécution de ma partie de la pièce. Je suis donc entré dans la chambre comme les autres et lui ai fait subir les examens nécessaires, sentant d’abord ses beaux seins d’ivoire, puis glissant ma main sur son ventre de satin lisse, descendant, mes doigts mêlés au doux duvet qui couvrait et magnifiquement ombragé sa pauvre grotte d’amour. La pauvre fille que je croyais tombée à terre pendant cette cérémonie touchante, elle l’aurait fait si je ne l’avais pas soutenue ; mais je procédai à ma recherche, insouciante de ses larmes. Doucement, je saisis les délicieuses lèvres de son ouverture virginale, et j’y enfonçai mon index. Je finis ma recherche et demandai à Abdallah son prix. Il me traitait comme si j’avais été une personne sans conséquence, et abaissait sa demande de douze à huit bourses. Je lui ai proposé sept bourses, qu’il a refusé de prendre. Je lui ai dit que je ne pouvais pas me permettre d’en donner plus, puis j’ai demandé de quel pays elle venait. Il m’informa alors de la France, où, feignant d’être fort étonnée, je lui demandai en français (où nous avions parlé depuis longtemps) si elle avait compris ce que nous disions si elle était française. Aussi bien que son sentiment lui permettrait elle a répondu en bon français qu’elle était anglaise. Presque étouffée de larmes, elle m’apprend la manière dont elle a été arrachée à ses amis et me supplie docilement de donner le prix demandé pour elle, m’assurant que je l’aurais et beaucoup plus pour la rançon. J’ai fait semblant de m’intéresser beaucoup à ce qu’elle a dit ; Elle lui posa de nombreuses questions sur le rang et la propriété de ses amis qu’elle représentait, sans doute, sous leur vrai jour. Sur mes doutes si je devais récupérer la somme si je l’achetais, elle m’assura encore et encore qu’il n’y avait pas moyen de se méfier le moins du monde, et encore et encore me supplia pitoyablement de la sauver de la honte. J’ai enfin fait semblant d’être submergé par ses larmes et ses supplications et j’ai donc dit à Abdallah qu’il devrait avoir sa demande. Il paraissait bien content de se débarrasser d’elle. Sous prétexte de commander un palanquin pour la transporter chez moi et d’acheter des robes, je suis sorti. Pendant mon absence, Abdallah l’informa que j’étais Français et premier médecin à Alger, également vice-consul de cette nation, et qu’elle n’aurait pas pu tomber entre de bonnes mains. En revenant, j’observai avec plaisir une altération considérable pour le mieux dans ses regards. Quand elle s’était vêtue de la robe et du voile que je lui avais apportés, elle était conduite au palanquin, et la femme de chambre était bientôt dans la maison au fond du jardin. La grande pièce avait été aménagée dans un très beau style, adapté à un homme de mon rang supposé. Parmi les nécessités, vous pouvez supposer des canapés commodes n’ont pas été omis. Attenant était une pièce plus petite, seulement séparée par un rideau de soie fine ; ceci a été arrangé pour dormir ou (plus proprement parlant) dans le but de la jouissance. En l’introduisant au boudoir, je sentis que la main de Théodora tremblait ; sans doute l’apparence du lieu indiquait fortement son usage. Cependant, je n’ai pas tenu compte de ses craintes, mais lui ai dit qu’à présent ils étaient les appartements qu’elle devait occuper. Je lui indiquai où elle trouverait tous les vêtements, et je l’informai aussi que j’allais envoyer une de mes femmes pour l’aider à sa toilette, car elle avait peut-être des difficultés à porter les vêtements. Elle m’a timidement demandé ce que je voulais dire par une de mes femmes. Je lui expliquai la coutume du pays, qu’il était habituel d’avoir autant de femmes que nous pouvions supporter, achetées de la même manière que je l’avais achetée, que j’avais deux esclaves de ce genre, dont l’un devrait assister et l’aider ; qu’il m’était impossible d’épouser un mahométan, étant moi-même un chrétien protestant. Elle me regarda avec effroi, et dit qu’elle espérait qu’aucun avantage ne serait retiré de sa condition malheureuse et attendait avec une anxiété à bout de souffle ma réponse. Je m’approchai d’elle, et prenant une de ses mains dans la mienne et lui entourant la taille de l’autre, je lui assurai solennellement que sa modestie ou sa vertu n’avaient rien à craindre de moi. « Je t’ai acheté pour te rendre à ton pays et à tes amis, et par ce baiser d’amitié, dis-je en tirant ses douces lèvres vers les miennes, tu n’as rien à craindre. Elle a soumis mes lèvres à ma pression. Je n’empiétais pas sur sa bonne nature, mais demandai qu’elle se rendît le plus heureux possible et l’assura qu’il ne fallait pas perdre de temps à communiquer avec ses amis. Je la quittai et envoyai une belle Circassienne pour l’aider à s’habiller. Comme l’esclave ne pouvait pas parler un mot sauf dans sa langue maternelle, il n’y avait aucune crainte qu’elle trahisse qui j’étais. Je lui ai dit ce qu’elle devait faire et revenir quand elle aurait fini. Au bout d’une heure, l’esclave revint et je retournai dans l’appartement de Théodora. J’étais en effet frappée par le flamboiement de la beauté qu’elle exhibait lorsqu’elle était vêtue à notre façon, ses cheveux noirs de charbon, joliment séparés sur son noble front d’ivoire, qui jaillissaient de sa coiffe. « Mon Dieu, m’écriai-je, comment est-il possible que l’eunuque en chef du Dey ait pu passer outre les charmes que vous possédez ? Le nom du Dey lui rappela le souvenir de la jeune fille, et elle tomba sur un divan envahi par ses sentiments. Elle m’a supplié avec des larmes de ne plus lui nommer le Dey. Bien sûr, j’ai promis de me conformer à ses souhaits, mais j’ai demandé comment c’était le nom du Dey qui l’affectait tellement, une personne dont elle ne pouvait rien savoir. « Ah, » répondit-elle, « je sais plus de lui que vous ne le savez. » En m’exprimant ma surprise et mon incrédulité, elle a été amenée à entrer dans l’histoire de votre chute dans mes mains. De temps à autre, j’interrompais ses révélations avec des expressions d’étonnement, mais elle ne mentionnait pas la dernière lettre qu’elle vous avait écrite. Puis elle raconta ce qu’elle avait entendu entre Abdallah et Hassan dans la matinée, et demanda si je croyais qu’il y avait de la vérité là-dedans. Je lui assurai que c’était impossible à dire, mais le Dey était si particulier. Ce n’était pas à lui de commander une femme à étrangler par suite de la moindre offense. La pauvre fille était très affectée J’ai corroboré ma confirmation de l’affirmation de Hassan. Mon comportement respectueux était évidemment chaque instant établissant moi dans sa confiance. Après avoir dîné, je l’informai que la plus grande partie de la matinée était consacrée à la visite de mes patients, mais que demain après-midi il faudrait passer à préparer la correspondance nécessaire avec ses amis en France. Vers le soir je lui ai demandé si elle marcherait dans le jardin vers la mer. J’avais pris soin de donner des ordres très particuliers pour que personne ne soit autorisé là-bas, ou sur la plage de la mer à l’arrière du harem. Elle m’a pris le bras pendant notre promenade, et a semblé gagner le courage et les esprits pendant que ses craintes ont évidemment diminué à mon respect semblant. Après avoir marché jusqu’à ce que nous soyons fatigués, nous retournâmes à la maison — une adorable rouquine, elle y entra. Mais avant son départ, c’était autre chose. Je ne l’accompagnai pas dans ses appartements, mais je pris congé en lui baisant respectueusement la main. et l’assurant que le lendemain je retournerais de mes affaires professionnelles le plus tôt possible, et que le reste de la journée serait consacré à son service. Elle a peu rêvé du service que je voulais dire. J’avais choisi une esclave pour s’occuper d’elle qui parlait français, donc il n’y avait aucune difficulté à tout ce qu’elle pouvait désirer. Le lendemain, dans l’après-midi, en l’annonçant, je la trouvai relativement facile dans son esprit. Après les compliments habituels j’ai procédé aux affaires. Les matériaux d’écriture ont été apportés et nous nous sommes mis au travail en face de la fenêtre qui donnait sur le jardin et la longue promenade mais qui nous laissait entièrement masqués. Pendant que j’étais occupé sur la lettre, sur un signal donné par un de mes serviteurs, qui n’était que l’imitation du chant d’un oiseau, je feignis de regarder accidentellement par la fenêtre, et je commençai avec étonnement en disant : veux-tu ici ? Le fait de se lever si soudainement alarma Théodora, qui, avec horreur, reconnut immédiatement Hassan à la longue marche. « Mon Dieu, » me dis-je tout haut, sans faire attention à elle, mais vivant de son état d’esprit. Ses peurs ont immédiatement agi comme je le souhaitais. Elle a bondi en avant et s’est accrochée à mon cou en disant : « Oh, sauve-moi, sauve-moi, c’est moi qu’il veut, je le crains, je le sens … Oh, au nom de Dieu sauve-moi. « Je n’ose pas — ma vie, tout est en jeu », répondis-je. « Mais arrêtez, peut-être vous êtes alarmé sans cause. » J’ai sonné la cloche. Le serviteur qui a répondu a été dirigé pour rencontrer Hassan, et s’il m’a demandé de dire que j’étais allé à ma maison de campagne avec une esclave. Les papiers ont été rapidement portés à la récréation privée prête prévue, dans laquelle nous nous sommes cachés aussi. Nous n’avions pas été cachés longtemps avant qu’un bruit considérable ait été entendu entre Hassan et mon domestique. Ils entrèrent tous les deux dans la salle en train de se débattre. Le serviteur a dit : « Vous voyez, il n’est pas là. » Hassan répliqua : — Mais mes ordres sont péremptoires, je vais chercher l’esclave anglais, je l’emmènerai au harem du Dey, j’ai presque perdu la vie pour ne pas l’avoir achetée hier. — Ici, Théodora s’était enfoncée sur mon sein ; c’était seulement avec la plus grande difficulté que je pouvais arrêter ses sanglots. Mais Hassan ne craignait pas de l’entendre, même si elle avait fait plus de bruit qu’elle. Cependant, j’en ai profité pour fermer la bouche avec mes lèvres, l’encourageant doucement à ne pas céder à ses peurs, l’assurant qu’elle serait protégée au péril de ma vie. Hassan a procédé à fouiller les appartements de sommeil, mais n’a pas trouvé ce qu’il a cherché. Il a dit à mon serviteur qu’il devait aller après moi à mon pays, car sa vie dépendait de son succès. Quand il était parti, nous avons émergé de notre confinement. Il était maintenant nécessaire que quelque chose soit fait. S’enfuir d’Alger était absolument impossible. Au bout de cinq ou six heures, Hassan reviendrait sûrement. Pendant quelque temps, je suis apparu complètement perdu. Comment agir je ne savais pas. Elle s’accrochait encore à moi, me baignant de larmes, me suppliant de la tuer plutôt que de la livrer au Cruel Dey. Le temps s’écoula rapidement — trois heures s’étaient déjà écoulées — rien de décidé. À chaque instant son désespoir devenait plus fort. Elle était dans mes bras, sa tête appuyée sur mon sein, mon gilet humecté de ses larmes. Soudainement, en démarrant, j’ai convoqué le préposé et lui ai demandé s’il était un vrai croyant. Il a répondu qu’il était. « Est-il écrit, dis-je avec anxiété, dans votre Coran, et expressément interdit par Mahomet, qu’aucun vrai croyant ne se mêle de la femme d’un autre, musulman ou non ? C’était sa réponse, « Ainsi a écrit le Prophète. » « Va me chercher un Coran. » Il a été apporté. L’assistante a montré un vers que je prétendais lui traduire. « C’est votre seule chance d’évasion, » j’ai pleuré. « Devenez ma femme et vous échapper à la pollution, et peut-être quelque chose de plus, il n’y a pas d’autre moyen d’éviter le tyran. » Ses craintes du Dey ont rapidement décidé son destin ; elle a consenti. J’ai immédiatement fait semblant d’écrire une lettre au ministre protestant de la famille du consul d’Angleterre, que nous avons tous deux signée. Je lui ai dit qu’il n’y assisterait que si nous le demandions tous les deux. Tout avait été entièrement préparé. Elle m’a vu diriger la lettre au consul anglais. Ben Izacks, le marchand de diamants juif anglais que j’avais ordonné de perfectionner dans le rôle d’un prêtre anglais pour l’achèvement de mon projet, arriva avec toute l’assurance de sa secte., habilement déguisé pour effectuer la cérémonie. L’anneau était prêt, le contrat conclu, quand ma mariée a demandé à parler quelques mots au clergyman en privé. Je me suis immédiatement retiré avec les témoins qui étaient bien sûr mes propres esclaves, dans quelques minutes, j’ai été convoqué par le Juif. J’ai ensuite appris de lui que la seule question qu’elle lui posait était de savoir s’il était certain d’être chrétien. Vous pouvez supposer qu’il l’a parfaitement satisfaite sur ce point. Sans plus attendre, la cérémonie s’est déroulée. Izacks a joué son rôle avec la solennité appropriée. Elle avait juste assez de force pour prononcer le serment mystique, et à l’instant même où la cérémonie était finie, elle tomba évanouie dans mes bras, incapable de supporter plus longtemps le flot et le désordre de ses sentiments. J’ai immédiatement renvoyé Izacks et les préposés. Seule, je la soutenais dans le boudoir, où j’avais l’intention de la consommer directement. »Ayant maintenant les privilèges d’un mari, je la plaçai sur le divan et, la serrant tendrement contre ma poitrine, récoltai bientôt une riche moisson de doux baisers. . Avec un soupir tremblant, la femme de chambre languissante ouvrit ses yeux noirs célestes, mais incapable de supporter mon regard, elle les referma rapidement. Je lui expliquai hardiment la nécessité absolue et immédiate de me remettre la bénédiction que je méritais dans la jouissance de sa personne, car dans ce pays le mariage est nul jusqu’à ce que le mari l’ait consommé. Si le misérable Hassan revenait et constatait que nous avions omis une partie quelconque de la cérémonie, nous en tirerions un avantage instantané, donc tout ce que nous aurions fait ne serait d’aucune utilité. Pendant que je m’expliquais ainsi, j’étais aussi en train de déboutonner le corsage qui couvrait les beautés de son sein, et de temps en temps il posait sur ses doux lèvres roses les baisers les plus délicieux. Elle a résisté faiblement. Comment décrirais-je sa délicieuse confusion quand ma main glissa hardiment sur ses globes haletants ? C’est impossible ; les mots ne peuvent pas rendre justice à la situation. Bien que j’utilisais l’autorité absolue d’un mari sur elle, vous vous rappellerez que sa soumission à mes démarches était entièrement due à la crainte créée par la crainte de moi-même, mais sous une autre forme. La nôtre n’était pas une union d’amour, mais elle avait hâtivement été soumise par elle pour se sauver des embrassements d’un monstre brutal imaginaire créé par ses seules peurs et ses fausses informations. Dans de telles circonstances, il pouvait naturellement y avoir très peu d’amour de son côté, bien qu’il y eût un peu de respect pour le service que je lui avais rendu — dans le risque supposé que j’encourageais le Dey en l’épousant. Ainsi, bien qu’il ne lui restât aucun prétexte pour s’opposer à toute liberté que je prenais maintenant avec sa belle personne, je pouvais encore voir, comme je cédais son corps voluptueux de ses couvertures, combien le choc de sa pudeur était affreux. se résigner même à un mari. La modestie peut se débattre, mais elle lutte très rarement avec moi avec succès. Il était évident de son agitation que sa timidité aurait lutté contre mes démarches si elle n’avait pas été enchaînée par le serment d’obéissance qu’elle venait de jurer sur l’autel de Dieu. Si elle avait même découvert la tromperie qui avait été pratiquée sur elle, toute opposition aurait maintenant été infructueuse. Son heure d’instruction était arrivée. J’avais déterminé qu’elle devrait recevoir sa leçon. Bien que n’ayant aucun lien avec son affection, je savais parfaitement à quel point l’influence du plaisir sur le sexe mou était rapide. Si la terre est correctement cultivée, elle produira toujours ses récoltes. Donc c’est avec des femmes adorables. Débarrassez-les de leur virginité, jouissez-en bien, et il est merveilleux d’observer la rapidité avec laquelle la graine du plaisir prospérera et donnera une riche récolte à l’heureux cultivateur. Vous pouvez deviner que je ne me préparais pas longtemps ou ma victime tremblante pour l’affaire puissante. Enlaçant ma belle beauté dans mes bras je l’ai facilement posée sur le coussin et moi-même à ses côtés. Ses seins gonflés de neige se soulevaient avec sa respiration laborieuse, un bras autour du cou, l’autre main traversait sans répit toutes ses beautés, et, tout à coup, me glissant la main entre ses cuisses lisses et polies, je pris possession du port de l’amour. Ses tremblements, ses soupirs augmentaient rapidement ; avec une modestie timide qu’elle suppliait, elle me pria d’enlever ma main. J’ai tout promis pour un baiser. Cependant, le baiser pris, je n’ai pas tenu parole. Mes raisons étaient bonnes. Il n’a pas été convenu s’il devrait être donné ou pris. À force de marchander, nous nous sommes entendus sur une seconde, qui devait être reçue par moi. Puis avec ma main inoccupée guidant ses bras délicats autour de mon cou et, se penchant sur elle pour la recevoir, le baiser doux, palpitant, délicieux, fut non seulement reçu, mais parfaitement donné, de telle sorte que l’amour n’aurait pu le faire mieux. Tant de bonne foi méritait d’être récompensée. J’ai immédiatement retiré ma main, mais je ne sais pas par quel accident un de mes genoux occupait l’endroit que je venais de quitter. Une douce lutte s’ensuivit, au cours de laquelle des mots et des soupirs à moitié respirés lui échappèrent — de temps en temps, « Ah » et « tu ne dois pas », « prie pas », et ainsi de suite jusqu’à ce que je me sois gonflement des cuisses. Ceci effectué, je ne trouvais pas la moindre difficulté à les étirer à plaisir jusqu’à leur plus grande diffusion. La honte et la surprise avaient maintenant accablé mon prix charmant, haletant et rougissant. Je n’étais pas très impatient ou avais hâte de finir ma tâche. Je me réjouis de retards lorsque je suis certain de venir à la fin du voyage. Je voyais clairement, malgré sa modestie, que mes baisers et mes touches avaient considérablement enflammé ses sens, et, saisissant sa main gauche de ma main droite, je la portai avec une force douce à la clef que je lui dis d’ouvrir la route au plaisirs les plus doux. Je l’ai suppliée de la prendre dans sa main. Elle n’a pas répondu, mais m’a demandé d’épargner sa modestie. « Au nom de Dieu, s’écria-t-elle, ayez pitié de moi. Ses larmes ont commencé à couler, mais elles ont seulement ajouté à sa beauté, et m’ont enflammé plus fortement, prétendant ainsi être étonné, je lui ai rappelé qu’elle était sur le lit conjugal, et donc il était nécessaire à notre plaisir commun qu’elle ne devrait pas maintenant montrer toute opposition à mes souhaits. Mais ça n’a servi à rien ; elle ne serait pas persuadée de le prendre dans sa main. Pendant cette dispute, mon membre était devenu furieux et se frappait la tête contre les lèvres du port bientôt condamnées à le recevoir. « Je ne pouvais pas vaincre sa modestie sur ce point, je renonçai, et prenant mon instrument dans ma main, J’ai placé la tête entre les lèvres et avec mon doigt et mon pouce, j’ai réussi à étirer la petite ouverture délicate suffisamment large pour pouvoir insérer la tête entièrement. À mesure que le moment de son martyre approchait, sa confusion et son agitation augmentaient peu à peu. L’insertion de la tête de ma vibrante civière vierge lui faisait battre la poitrine d’ivoire avec la rapidité de l’éclair, tandis que son cou et ses épaules blancs de lait étaient couverts de rougeurs. Elle aurait parlé, mais ne pouvait pas donner des mots aux mots. Cependant, parler à ce moment-là n’avait pas de grandes conséquences, si bien que je m’efforçai de pénétrer dans son sanctuaire vierge, mais l’avenue était trop étroite pour laisser la place à une première tentative. Une seconde poussée, faite avec circonspection, eut un peu plus de succès ; un troisième et un quatrième approfondirent ma pénétration ; enfin, en continuant mon succès avec force et rapidité, le doux obstacle commença à céder, jusqu’à ce que je m’eusse percé à mi-chemin d’elle. Combien étaient délicieuses les expressions variées que présentait sa douce figure. Quand elle sentit la pénétration, sa confusion était si grande qu’elle ne put garder les yeux ouverts, mais comme la terre était gagnée, la confusion commença à se dissiper, ses yeux perdirent leur inconscience, l’étonnement mêlé de douleur se manifesta clairement sur sa jolie figure et ses doux cris. Je commençais à me défouler malgré mes baisers féroces. Je faisais maintenant un effort désespéré pour percer les défenses restantes de sa chasteté de coy, mais a été empêché par l’extase me saisissant ; la semence de la vie distillée de moi comme un déluge. »Cela arrêta mes démarches pendant quelques instants, mais ne me força pas à me retirer d’elle. En fait, bien que j’aie débordé la partie pénétrée, encore très peu de ma raideur ou de la vigueur a été perdue. Ses lèvres douces, les mamelons de ses seins bien formés, me renouvelèrent bientôt ma force. Pendant la cessation des hostilités, elle me supplia, si je l’aimais, de retirer mon instrument furieux. « Vous allez me tuer, » elle a pleuré dans une voix la plus piteuse. Je mourrai certainement, il est impossible de soutenir vos cruelles déchirures. « Si je t’aime, peux-tu en douter, n’ai-je pas risqué ma vie pour toi ? répondis-je en suçant tendrement les lèvres et en fourrant ma langue dans sa bouche. « Sans doute, l’amour délicieux, la souffrance que vous souffrez est cruelle, mais elle est liée à votre sexe et elle va rapidement disparaître, et vous ne pouvez pas participer aux douces joies de l’amour sans subir l’épreuve, donc, chère servante, soumettez avec courage les joies les plus voluptueuses seront ta récompense. En ce moment je recommençais à percer de toutes mes forces ; le débordement de ma semence en elle m’a considérablement aidé, ayant tellement huilé la route que je me suis senti peu à peu allonger, mais il a quand même dû la blesser terriblement, comme en témoignaient ses cris. La pitié pour ses souffrances m’a fait m’arrêter un moment, pour l’assurer que c’était presque fini. « Sentez-vous, » j’ai pleuré, « ma douce vie, c’est presque tous entrés. » Agitation avec ses souffrances, ou peur d’une nouvelle angoisse, je ne sais pas ce qui la poussait à obéir. Elle a trouvé la vérité de mon affirmation, mon L’instrument était composé de trois parties en elle, mais il y restait comme s’il était trop épais pour entrer plus loin. Pendant que sa main était sur elle, j’ai fait un effort furieux — encore une fois il a pénétré. « Ah ! » elle a pleuré, « reste vos poussées cruelles, vous me tuez ! » mais, rassemblant toutes mes forces et faisant une grande fente, je l’envoyai glorieusement et triomphalement en elle jusqu’au bout. Le divan qui était le champ de bataille tremblait sous le choc. Vous pouvez juger de ma vigueur car les rideaux mêmes de l’appartement ont tremblé En vain elle m’a supplié de retirer la flèche qui était percée jusqu’à ses entrailles mêmes. « Non, » j’ai répondu, « c’est maintenant fini, vous n’avez rien plus loin, d’une vierge pure, vous êtes devenue une chaste femme, et tout ce qui reste à faire est de rendre le voyage facile et agréable pour vous : ce doux amour ne peut se faire que par des jouissances judicieuses et fréquentes. moi, à partir du moment où l’étroite union de nos corps a proclamé ta virginité prise, tes souffrances doivent devenir de moins en moins aiguës. Mes mots ont été soutenus par des actions. Maître de la citadelle, j’ai assumé tous les droits du conquérant. En me tirant presque d’elle, d’un coup vigoureux, je reculai. L’expérience se répéta encore et encore. Ses larmes coulaient, entremêlées de cris, de sanglots et de soupirs. Je ne désistai pas, mais murmurai : « Courage, courage, mon cher amour, bientôt tu éprouveras le plus doux plaisir. À chaque nouvelle poussée, la difficulté d’entrée diminuait. Maintenant perdu dans un ravissement indéfinissable, je la saisis fortement dans mes bras, et je la fourre de fureur et de précaution. Ses cris s’étaient calmés. Le moment extatique approchant à nouveau, je me suis conduit jusqu’à la garde ; il était impossible de jouir d’une conjonction plus voluptueuse, une décharge abondante remplissait les replis de son sein ; sa virginité était partie. Je tombai dans ses bras insensible, tout à fait envahi par la plus délicieuse de toutes les jouissances terrestres. En retrouvant mes sens, j’étais encore enseveli dans ma belle Théodora ; sa tête était inclinée sur son épaule droite ; avec une douce respiration, ses seins d’ivoire se soulevaient délicieusement contre mon sein ; ses yeux étaient fermés, mais la rosée nacrée luisait encore dans ses cils noirs et soyeux. Entourant tendrement son cou de mes bras, j’embrassai les gouttes tremblantes. Quelle exquise était la satisfaction de mes sens en ce moment ! Toujours tremblante de l’extase d’avoir dépucelé comme une vierge aussi pure et belle que jamais était tendue sur l’autel de Vénus, comme la joie était palpitante quand je portais de nouveau ses douces lèvres aux miennes, nourrissant mes sens de l’inspiration luxueuse de son souffle baume au milieu d’une pluie de baisers de colombe ! Un de ses bras, qui reposait à mes côtés, je l’ai délicatement placé autour de mon cou. Elle ne l’a pas retiré. Peu à peu, ses yeux charmants s’ouvrirent et bien que je puisse clairement lire dans leur expression dissolvante quelle douleur elle ressentait de l’énorme machine enfouie en elle, mais toujours avec joie je voyais par l’expression de ses yeux que la possession complète de son joli corps avait élevé le bourgeon de tendresse dans les sens de ma victime. Bien que sa floraison fût douloureuse, la douceur de ses baisers, le voluptueux gonflement de ses seins, ce regard indescriptible que la vraie modestie montre au moment où elle a reçu son choc irréparable d’un homme puissant, tous ont eu tendance à renouveler vigueur que j’avais perdue à défaire sa zone vierge. Les rougeurs qui couvraient avec rapidité son cou et ses épaules, le gonflement croissant de ses seins, le tremblement de ses membres et de son corps, tous proclamaient la distension qu’elle éprouvait intérieurement, causée par ses beautés extérieures. Être dans cet état et se taire entre les cuisses gonflées d’une telle beauté était impossible. Je me suis progressivement retiré presque d’elle. Un grand soupir suivit mon mouvement, puis je me rengainai jusqu’aux cheveux, mais de nouveau à notre jonction, un cri lui échappa. « Idole de mon âme, m’écriai-je, cela vous fait-il mal, ne craignez pas, ne faites que peu de temps, vos souffrances cesseront pour toujours. — En effet, mon cher monsieur, sanglota-t-elle, vous me faites cruellement mal, je mourrai, priez pour m’épargner. Encore je me suis lentement et progressivement retiré et ai retourné mon instrument dans sa gaine délicieuse ; mais, au lieu de le faire rouler jusqu’à la poignée jusqu’à ce que nos cheveux se mélangent comme avant, quand je me suis arrêté à un centimètre et demi. Trouvant l’insertion accompagnée d’un profond soupir seulement, encore et encore j’ai répété le mouvement, l’agitation tremblante étant la seule réponse. Satisfait comme j’étais que cette manière de l’apprécier ne la blessait pas beaucoup, encore il était impossible de continuer longtemps. La jouissance d’elle était trop excitante pour me permettre d’avoir le contrôle complet de mes sentiments du début à la fin de la jouissance, par conséquent ses beautés m’éveillèrent bientôt en une furie, une agonie de délices, mes coups de tête et devenant plus féroces. l’excitation a augmenté. La force de mes chocs furieux faisait trembler tout autour de nous par leur violence. dans le Pendant que je m’éloignais d’elle, elle renouvelait ses cris douloureux en vociférant bruyamment : « Oh, priez, monsieur, épargnez-moi, arrêtez-vous, je ne peux pas le supporter, vous me brisez, cruel. oh ! je mourrai. Puis, « Oh, mon Dieu ». Puis, de nouveau (sa voix se réduisant à une supplication plus douce) : « Oh ! Mon cher monsieur, par pitié, épargnez-moi, cher monsieur, ne vous en faites pas. Je murmurais qu’il était impossible de se désister, je ne pouvais qu’arrêter ses plaintes en fermant sa bouche de baisers. Elle a vu de mon agitation c’était en vain pour supplier, ainsi est devenu résigné à son destin. Sans doute, elle éprouvait quelque consolation, car chaque moment diminuait la douleur ; des soupirs commencèrent à usurper la place des cris et quand elle retira ses lèvres des miennes, ce ne fut que pour reprendre le souffle que j’avais presque aspiré. En ce moment, je vis clairement que sa nature était touchée par mes démarches énergiques. L’extase me saisit de nouveau et, pour la troisième fois, je me dissolvai en elle. Ainsi je consommai mon mariage, et ainsi la jeune fille tendre perdit sa virginité pour sa pruderie en attaquant vos sentiments. Il est vrai que le Rubicon était passé avec elle, mais j’avais pris la résolution de ne pas la détromper pour savoir qui possédait sa jeune fille jusqu’à ce qu’elle eût suffisamment apprécié les doux plaisirs du coït pour la récompenser de la perte et faire la découverte. une question sans grande conséquence. Deux fois par la suite (faisant cinq dans le tout) j’ai fait jouer et force la défunte servante à soutenir l’assaut, chaque fois la transpercer au vif avec les poussées les plus redoutables et animées, et arroser son récepteur brûlant de la rosée de la vie ; puis, pensant que j’avais fait assez pour sa première instruction, je me levai pour rencontrer Hassan à son retour (comme je l’assurais) mais je désirais qu’elle ne se dérangeât pas. Après quelques caresses de plus, je la remis au dieu du sommeil, les seuls bras, sauf le mien ou celui d’une femme, je l’espère, elle se reposera jamais. »Hassan arriva à l’heure fixée. Théodora était tombée dans un sommeil rafraîchissant dont j’étais obligée de la déranger, mais je lui demandais de ne pas s’inquiéter, lui assurant que personne ne la blesserait. J’ai expliqué aussi vite que possible que l’eunuque du Dey n’était pas satisfait de l’affirmation que notre mariage avait été consommé, ce qui rendait nécessaire qu’elle se soumette de nouveau à être examinée. Je l’ai calmée aussi bien que possible, l’assurant qu’il n’y avait pas d’aide pour cela, mais c’était la dernière révélation que subirait sa modestie. Une larme perlée ou deux tombèrent de ses beaux yeux, mais elle se soumit. Je retirai les vêtements tandis qu’Hassan lui saisissait les jambes par les chevilles, les divisant doucement ; le fond de ses cuisses de lis et la feuille étaient couverts de gouttes cramoisies ; l’entrée délicieuse dans le bosquet de Vénus, qui avant qu’elle avait reçu mes étendues luxueuses avait tellement l’aspect du bourgeon de la rose, maintenant accroché flasque, lâche et enflammé par la friction énorme qu’il avait souffert, satisfaisant le spectateur dans un moment que l’hymen avait été brisé et la défloraison achevée. Hassan baissa aussitôt la tête, satisfait, et je le conduisis hors du boudoir. À mon retour, elle était encore en larmes, mais je les ai bientôt séchées. Après avoir commandé le dîner, je lui ai dit qu’un esclave viendrait l’aider à s’habiller, et au moment où sa toilette serait terminée, le repas serait prêt. J’envoyai par l’esclave une belle robe de satin blanc, avec des gouttes de diamant et un collier de perles, et avec une lettre indiquant que je souhaitais qu’elle porte ces ornements en cadeau de noces. Je l’attendis dans la pièce extérieure. Elle est venue s’appuyer sur un esclave. Elle paraissant à peine capable de marcher me fit voler vers son soutien et sa tête se crispa sur mon épaule sans résistance. Je la portai sur un lit où, en la serrant dans mes bras, je l’attirai sur mon sein et lui posai de nombreux doux baisers sur les lèvres et sur le cou, lui conférant toutes les marées attachantes que je pouvais exprimer. Mais bien qu’elle tremblât, rougisse et soupire, et qu’elle puisse à peine garder les yeux ouverts, à ma grande satisfaction, ses lèvres rendaient mes douces pressions, et tout à fait il y avait quelque chose dans son comportement qui me satisfaisait j’avais suscité son intérêt c’était équivalent à la réciprocité ; en effet, chaque instant avait pour effet d’enlever la coissance naturelle que chaque fille doit ressentir en compagnie de l’heureux possesseur de sa virginité si peu de temps après la perte. Le dîner était servi, dont elle partageait la satisfaction apparente. Pendant notre repas, je l’ai surprise en m’examinant quand elle pensait que j’étais fiancée ou ne l’observais pas ; ses joues, son cou et ses épaules étaient instantanément envahis par des rougeurs sur elle découvrant que j’avais remarqué ce qu’elle faisait. Je l’attira tendrement à mon sein, l’assurant qu’il n’y avait pas de raison pour ses rougeurs. Bref, le repas fut apprécié avec un double zeste par les nombreux plaisirs sans nom et délicats que je recevais de la confusion de la jeune fille causée par la nouveauté de la situation dans la jolie fille. Après le banquet était remJ’ai adoré c’était passé le coucher du soleil. Comme elle était couchée dans mes bras, ses yeux semblaient lourds, ce qui m’amena à demander si elle se retirait et à prendre une heure ou deux de repos avant de passer la nuit avec elle, lui disant en même temps qu’elle ne devait pas s’attendre à beaucoup dormir cette nuit-là. Elle accepta de se prévaloir de mon offre, sur laquelle, convoquant l’esclave pour l’aider à se déshabiller, je la soutins à l’entrée du boudoir, la démissionnai dans les mains de l’esclave et lui donna des instructions pour laisser toutes les lampes allumées et convenablement approvisionnées. Après avoir reposé sur un canapé pendant environ deux heures, je me suis déshabillée. En entrant dans le boudoir, je vis que Théodora dormait nue sous la chaleur du temps ; dans son sommeil elle avait enlevé presque tous les draps. Sa tête reposait sur un de ses bras sur l’oreiller, son autre bras reposant négligemment à côté d’elle, tandis que les trésors de ses jolis seins et de ses épaules n’étaient pas protégés par la moindre couverture. Sans la déranger, je me suis étendu à côté d’elle, ramenant ma bouche aussi près que possible de la sienne. Nos lèvres ont enfin touché un moment. J’ai sucé son souffle doux. Allongée ainsi en examinant les beautés de ses membres délicats, je vis soudain une étrange confusion qui semblait la saisir. Elle a paru comme si elle luttait avec quelqu’un ; Puis elle soupira. J’ai attrapé le rêve volant et lui a donné un autre doux baiser ; elle dormait toujours. Son doux désordre et ses luttes semblaient augmenter ; elle a prononcé des mots brisés et inarticulés. Une rougeur se répandit sur son visage et son sein ; elle se retourna sur le dos comme si elle était poussée par quelqu’un, ses jolies cuisses se déployèrent d’elles-mêmes, ses seins se soulevèrent rapidement, tout son corps s’agite, ses bras se contractent soudainement, puis elle devient immobile comme la mort. Certes, elle avait goûté en rêve toutes ces joies que le sens éveillé peut connaître. Une douce émotion succède au calme dans lequel elle a été absorbée. — Oui, tu m’aimes, soupira-t-elle avec les accents les plus tendres ; Puis elle soupira, respira brusquement et dit de nouveau : « Oh, je ne peux pas en douter. » Plus perdue dans le transport qu’elle, je n’avais pas le pouvoir de bouger. Un moment après elle ne devint pas moins confondue que moi ; son âme semblait se livrer à une extase ; elle tremblait de nouveau et semblait convulsée de plaisir. Mahomet, comme elle est belle ! comme cette confusion est devenue infinie ! Je ne pus la supporter plus longtemps, mais je la saisis dans mes bras et je rompis ainsi ses joies en l’éveillant ; ensuite il ne restait plus de l’illusion qui avait absorbé ses facultés, que cette tendre languisse à laquelle elle s’était abandonnée avec une chaleur. cela la rendait digne des plaisirs qu’elle avait possédés. Quand elle ouvrait les yeux, où régnait l’amour, les regards qu’elle lançait paraissaient encore pleins du feu qui se répandait dans ses veines ; elle n’avait pas encore perdu l’impression qui avait été faite dans son envie de dormir. Oh, comme son regard était émouvant. — Théodora, m’écriai-je avec ravissement en la pressant contre moi, belle et aimable Théodora, comme tu étais belle en ce moment, l’embrassant avec toute l’ardeur que j’étais capable d’exprimer. Le rêve gardait encore une certaine influence sur son esprit éveillé, le souvenir de son impulsion dernière augmentait insensiblement sur elle, et les désirs auxquels elle avait été jusque-là un étranger palpitaient dans ses veines. « Expérimente comme je suis dans les femmes, ma passion pour Théodora maintenant non seulement me rendais attentif à tous ses mouvements, mais me permettait aussi de faire de vraies conjectures sur leur sens. Je vis assez pour me convaincre que je n’étais pas un objet d’indifférence pour elle, et que plus que jamais elle me regardait avec plaisir. La charmante fille, toute naïve et sincère par nature, ne savait pas dissimuler ses pensées ; alors si elle ne me disait pas tout ce qu’elle ressentait en ma faveur, c’était seulement à cause d’une honte. Cependant, je découvris tout ce que je désirais savoir, car j’étais conscient de quelque chose de plus que sa modestie ne la laisserait parler. Mais mes baisers et mes caresses, combinés à son rêve, commençaient à la réchauffer. Elle rougissait moins de toutes les libertés que je prenais à celles qu’elle craignait de prendre. En fait, malgré elle elle commençait à prendre part à mon transport. Tandis que je suçais ses lèvres douces, ma main glissa entre ses cuisses, mais bien qu’elle fût encore entre elles, elle les garda fermées. S’écria-t-il, belle Théodora, refusez-vous de me rendre heureux ? « Ah, » répondit-elle, sans réfléchir, « tu n’étais que trop en ce moment, et avant que tu ne te réveilles, j’avais tout l’avantage que tu pouvais souhaiter. » Sous la pression d’expliquer le mystère apparent de ses paroles, elle a résisté à mes instances plus longtemps que je ne l’avais prévu. Les baisers et les caresses finirent cependant par l’emporter sur elle, et sa répugnance à parler du sujet disparut peu à peu. — Si je devais te dire, dit-elle d’une voix tremblante, ne m’abuse pas. Je me suis juré de ne pas, mais avec des transports qui, au lieu de supprimer son appréhension mJe lui ai assuré qu’il me serait impossible de tenir ma promesse. Trop peu qualifiée dans l’humanité pour sentir l’effet de ce qu’elle était sur le point de révéler, elle me confessa au moins qu’étant dans un sommeil le moment où je lui parlai, elle m’avait vu dans un rêve, et à travers mon agence elle ressentait un ravissement qu’elle avait auparavant remarqué. « J’étais entre tes cuisses ? m’écriai-je en la pressant vivement dans mes bras. Couvert de rougeurs mais me regardant avec des yeux nageant avec langueur, elle a répondu en tremblant, « Oui. » — Alors, reprit-je plus enflammé, vous m’aimez plus dans l’idée que dans ma vraie personne ? « Cela, dit-elle, serait impossible, je ne pourrais pas vous aimer davantage, mais il est certain que j’avais moins honte de vous le dire. « Mais quoi de plus ? » demanda-t-elle impatiemment. — Oh, ne me demande pas, répondit-elle en cachant ses rougeurs sur mon sein ; « Je ne peux pas entrer dans les détails, mais j’étais vraiment heureux sans regret. » Ici, elle s’arrêta un instant, puis ajouta « ou douleur ». Alors qu’elle expliquait ainsi l’effet de son rêve, je lui avais tendu les cuisses et, avec mon index, pendant quelques instants, avait chatouillé l’intérieur de son délicieux amour. — gaine. Ses yeux étaient pleins sur moi, chargés de tous les feux de l’amour et du doux désir, indiquant clairement ce qu’elle pensait. Il était impossible de retenir plus longtemps mon ardente impatience, la tournant ainsi sur son dos, je me suis mis entre ses cuisses et, m’étendant sur elle, je l’ai suppliée de dire qu’elle m’aimait. Elle a seulement répondu avec des soupirs, plus impressionnants que des mots. Je lis dans chaque regard et dans chaque mouvement ce qu’elle aurait dit si elle n’était pas retenue par la honte. Un bras tenait ses lèvres aux miennes, l’autre main dirigeait l’instrument qui, dans son rêve, l’avait rendue si heureuse. De faibles murmures et des soupirs à moitié étouffés luttant contre les restes de la pudeur la rendaient plus belle que jamais, tandis qu’avec mon énergie, mon instrument vigoureux était poussé jusqu’à la fin de sa pénétration, son progrès faisant jaillir à travers ses yeux les étincelles du feu d’amour qui flambait maintenant dans chaque veine-aye, dans chaque pore en elle. Elle avait maintenant pris la flèche de l’amour (de la pointe à la plume) dans cette partie où, maintenant ne causant aucune douleur, les lèvres, qui devaient leur première respiration à mon puissant instrument, s’accrochèrent comme si elles éprouvaient de la gratitude une chaleur de zeste, une énergie compressive qui lui donnait à sa manière le plus délicieux accueil de la nature, chaque partie de son fourreau se resserrant autour de moi, et tendait à se rapprocher de son toucher béat. Enfouie en elle de la sorte, nous étions tous les deux perdus dans l’extase et l’oubli de nous-mêmes ou de ce qui était nécessaire pour satisfaire les exigences de la nature. Nous semblions expirer nos âmes entières sur les lèvres les unes des autres. Nous restâmes immobiles par excès de béatitude. Après avoir languit quelques instants sur son sein, je me remis enfin, mais la charmante fille ne supportait plus l’ardeur de mes regards, et remuait un peu la tête d’un côté, avec un soupir ne respirant que de l’amour. — Ah ! Théodora, m’écriai-je doucement, vous n’avez sûrement pas détourné dans vos rêves ces yeux qui nagent, ces lèvres douces ? en même temps j’essayais s’il était possible de me forcer plus loin en elle. Soudain, ses bras entourèrent mon cou, ses lèvres rejoignirent les miennes avec des pressions douces et palpitantes, tandis qu’avec une activité voluptueuse, elle déplaça son jeune corps pour recevoir mes coups, murmurant avec tendresse, « Est-ce que cela vous satisfait, cher monsieur ? puis-je agir pour vous satisfaire ? Je n’avais plus aucun commandement sur moi-même : saint Mahomet, comme l’extase était sauvage, la joie douce s’était emparée de ses sens, de ses tremblements, de ses secousses, de ses doux mouvements, des mouvements actifs de ses bras et de ses jambes, de ses respirations rapides, mais la nature, incapable de supporter le torrent du plaisir, nous abandonna tous les deux : nous nous enfonçâmes dans les bras l’un de l’autre. — Je n’ai pas besoin de vous troubler ou d’exciter votre jalousie par d’autres récits amoureux. Entre le matin et le matin, elle devint plus docile à mes désirs que tu n’étais sur ton éducation … Le matin, couchée sur mon sein, à moitié endormie, gémissante de la lassitude que venait de jeter une féroce jouissance Elle a soudainement soupiré : « Pauvre Emily ! » Je compris instantanément le sujet sur lequel ses pensées se promenaient, d’autant plus qu’une larme s’échappa de sa belle paupière, roula sur sa joue et tomba sur ma poitrine. anxieusement elle a raconté la cause de son chagrin, quand, dans la plénitude de son chagrin, elle raconta toutes les circonstances de la lettre qu’elle vous avait adressée, et ne cacha pas (comme elle le fit dans sa première relation) la réponse peu aimable qu’elle avait écrite. maintenant beaucoup regretté. — Comment pourrais-je, lui dit-elle affectueusement en cachant son visage dans mon sein, une pauvre fille idiote comme je l’étais alors, avoir l’imagination des transports que j’ai goûtés dans tes bras ce soir ? Mais c’était très cruel de lui écrire comme je l’ai fait Êtes-vous sûr que le Dey orde Pourquoi, lui répondis-je, il y avait un bruit qu’un esclave anglais avait été étranglé ; mais on ne compte pas sur ce que nous entendons sur ce qui se passe dans le sérail, même s’il vient des eunuques eux-mêmes ; — Oui, continuai-je, si par hasard la lettre que vous mentionnez est tombée entre les mains du Dey, il n’y a pas de danger. des ennuis ou des dépenses qui l’auraient dissuadé de prendre possession de votre aimable personne, et tout artifice aurait été utilisé jusqu’à ce qu’il ait joui de votre virginité ; et s’il ne pouvait pas vous avoir apprécié par votre propre consentement ou votre propre tromperie, il ne se ferait pas scrupule d’utiliser la force pour satisfaire ses désirs. — Comment peut-il s’attendre à ce que quelqu’un l’aime ? demanda-t-elle tendrement. dis-je, que très peu de femmes peuvent lui résister longtemps, tant il sait leur plaire. D’ailleurs, vous ne formez pas une véritable estimation du pouvoir de l’homme sur les passions des femmes. Hier vous étiez une fille ignorante qui me connaissait à peine ! Combien de fois pendant la nuit tes lèvres ont-elles les plus douces caresses invoquées sur ton Dieu pour témoigner de ton amour pour moi, que tu n’avais encore jamais vu auparavant ? N’est-ce pas vrai ? dit-je en l’embrassant tendrement. « C’est vrai », répondit-elle en me jetant les bras autour du cou. « Bien que notre mariage n’ait pas eu de raison d’être amoureuse, ni ma gratitude ni ce que tu m’as appris depuis hier l’ont engendré. Je ne me suis pas sentie comme je fais pour toi maintenant. Cet appel tendre força de nouveau mes passions presque illimitées ; Je l’ai serrée avec transport sur mon sein, nos lèvres jointes, nos souffles se mêlaient ; quand doucement je l’ai tournée sur son dos, ses cuisses gonflantes, maintenant obéissant aux intimations d’amour et de nature, volontairement prolongées, se résignant à la porte d’entrée du plaisir. Divisant les lèvres boudeuses et entrant dans sa pointe de velours, le membre fut rapidement coincé en elle jusqu’à son extrémité — elle l’avait maintenant au contenu de son cœur — ravi à sa plus grande capacité en l’étant. Étendue comme elle étouffait presque sur un banc de plaisirs, sa pointe la piquait tellement qu’elle attrapait enfin la rage de ma conduite furieuse, elle sortit complètement de son esprit, son sens se concentrant dans cette partie favorite de son corps, la dont tout était si luxueusement rempli et employé. Là, seule, elle existait, toute perdue dans ces délicieuses transports, ces extases des sens, que ses yeux clignant, le vermillon illuminé de ses lèvres et ses soupirs de plaisir, allaient chercher si pathétiquement. En bref, elle était une machine (comme toute autre machine) obéissant aux impulsions de la clé qui la mettait si puissamment en mouvement, jusqu’à ce que le sentiment de plaisir écumant à une hauteur déclencha la douche qui allait apaiser cet ouragan. Elle me tenait compagnie fidèle, partant avec les vieux symptômes — un délire délicieux, un tremblement tremblant, un « Ah, moi, où suis-je ? » et deux ou trois longs soupirs, suivis par le critique, mourant, « Oh, oh ! » Quand je la quittais, elle restait immobile, gorgée de plaisir, étouffée, tout essoufflée, à bout de souffle, sans autres sensations de la vie que dans ces vibrations exquises qui tremblaient encore sur les cordes de délices qui avaient été si ravies. et que la nature avait trop intensément lutté pour que les sens soient rapidement en paix. C’est ainsi que j’ai gratifié mes sens et pris ma revanche sur la belle Théodora pour l’insulte qui m’a été faite. Ainsi elle est devenue l’esclave de mes plaisirs. Elle connaissait à peine l’effet de la tempête qu’elle soulevait et à quel point elle le sentirait quand elle exploserait. Ayant déposé dans sa matrice ma vengeance ardente, j’étais satisfait, et il ne me restait plus qu’à la détromper et à vous présenter. Il n’a pas fallu beaucoup d’ingéniosité pour y parvenir. Prévoyant clairement qu’il y aurait quelques larmes nacrées entre vous, aussi que j’aurais à écouter quelques reproches tendre de Théodora, ce n’était pas non plus une grande affaire. Après avoir consacré près de trois semaines à la jouissance de Théodora, hier j’avais l’intention de retirer le rideau qui pendait devant ses yeux. J’ai désiré Hassan à une heure particulière de vous amener aux appartements de Théodora, et quand il m’a entendu utiliser une expression particulière pour vous laisser entrer dans le boudoir. Il est à peine nécessaire d’expliquer que Théodora était maintenant amenée à se soumettre à tous les vœux que je pouvais former. À cette occasion, je l’avais complètement déshabillée, n’ayant pour moi qu’une robe ample. Dans cet état, je lui ai demandé de s’appuyer sur le canapé, le visage vers le bas, en l’élevant un peu en plaçant un repose-pieds à chaque pied, de façon à ce que ses cuisses soient bien tendues et que l’entrée soit parfaitement exposée. . La tête de mon instrument était alors fixée en elle. En ce moment vous êtes entré selon mes instructions, mais la robe vous déguisait tellement qu’elle ne vous connaissait pas, et HAssan vous a attrapé comme vous vous êtes évanoui. Je lui ai fait signe de vous emmener, puis j’ai immédiatement réenvoyé l’arme dans son trou affamé, car je savais bien que cela supprimerait toute question concernant vous pour le présent. Je l’ai saisie autour des reins et lui ai demandé si elle voulait être placée dans cette situation avec le Dey. Elle tourna la tête, avec la crainte évidente d’un danger inconnu marqué dans son beau visage, et répondit : « Ah ! Monsieur, vous me faites trembler. — Pourquoi tremblerais-tu, ma douce, il a souvent été près de toi pendant les dernières semaines et il est plus près que tu ne le suppose. « Oh, où », a pleuré la fille visiblement alarmée, « où est-il ? » « Pourquoi jusqu’à votre très rapide », était ma réponse, et je me suis forcé dans elle autant que je pourrais aller. C’est le Dey qui a joui de votre virginité, dont vous supposez l’épouse, et que vous ressentez maintenant jusqu’à la garde dans vos organes vitaux. Elle s’est évanouie, mais mes coups violents l’ont bientôt amenée à la vie. L’extase me saisit, je me rejetai en elle et, me retirant d’elle, je m’écriai : « Voilà, mon enfant, la tromperie est finie, vous connaissez maintenant la bête dans toute sa bestialité … Sachez, charmante charmante, m’écriai-je, c’était cette lettre qui t’a procuré le plaisir que tu as reçu dans mes bras, la femme qui vient de nous interrompre est ton amie Emily. Elle poussa un léger cri et s’évanouit à nouveau. Comme j’étais prêt pour l’action, je fus bientôt de nouveau en elle, et quelques coups violents l’amenèrent rapidement. Pour être bref, pendant que mon instrument était en elle, je n’ai eu aucune difficulté à obtenir sa grâce. Elle a demandé la permission de vous voler, et j’ai accédé à sa demande. Comme le Dey a cessé de parler de son outil rampant (que je dois avouer que je manipulais pendant sa confession) a donné des marques de préparation et bientôt j’ai eu le morceau délicieux où je l’aurais gardé pour toujours. Après cela, le Dey s’amusait souvent avec nous alternativement, obligeant l’un d’entre nous à guider dans l’autre son instrument et à manipuler ses bijoux pendants ; puis il jette sa main en arrière et insère son doigt dans l’endroit béant qui attend son tour. De cette façon, nous étions souvent (tous les trois) dissous en même temps dans un déluge de félicité. Cela avait duré plusieurs semaines, lorsqu’une terrible catastrophe mit fin à nos plaisirs. Le Dey avait reçu une fille grecque d’un de ses capitaines. Elle se soumit passivement à ses embrassements et ne se plaignit pas avant d’avoir attaqué sa seconde virginité ; alors elle a semblé inspirée avec la force d’un Hercules. Elle saisit soudainement un couteau qu’elle avait caché sous un coussin, saisit son apogée de force, et, en moins d’une pensée, tira le couteau et le détacha de son corps, elle le plongea dans son propre cœur et expira immédiatement. L’aide fut immédiatement invitée à arrêter la saignée du Dey, et avec la force qui caractérise toujours la grandeur, il ordonna à son médecin de le soulager de ses appendices restants, maintenant inutiles, ses réceptacles du jus remuant l’âme, remarquant en même temps que la vie serait l’enfer s’il gardait le désir après la mort du pouvoir. Quand le Dey fut presque guéri, il nous envoya chercher et nous révéla les membres perdus, conservés dans des spiritueux de vin dans des vases de verre. Il nous fit ses adieux affectueusement, nous disant qu’un navire partirait pour l’Angleterre dans quelques jours, et qu’il ne nous servirait plus, il nous renverrait dans notre pays natal. Sa bonté a eu un tel effet sur mes sentiments que de causer une fausse couche. J’ai été dangereusement malade pendant deux semaines, pendant lesquelles Sylvia m’a assisté avec les soins d’une mère. L’heure du départ est enfin arrivée. Le Dey nous a envoyé et nous a présenté un de ses précieux vases à Sylvia et l’autre à moi. Il est tombé à mon sort d’avoir le puits. Il nous a également fait plusieurs autres cadeaux précieux, et nous a dit adieu, espérant que dans notre propre pays nous devrions trouver des partenaires pour lui fournir. Nous l’avons laissé avec un coeur lourd. Nous avons embarqué à bord du navire et sommes arrivés ici sans accident. Nos amis ont étouffé les choses et ont rapporté que nous avions été dans un pensionnat en France, au lieu du pensionnat du Dey d’Alger. Sylvia épousa ensuite un baronnet, qui perdit sa charge avant de faire son entrée, si bien qu’elle joua le prude. Quant à moi, vous savez bien quels sont mes sentiments. Jamais je ne me marierai jusqu’à ce que je sois assuré que l’élu possède suffisamment de charme et de poids non seulement pour effacer l’impression du Dey de mon cœur, mais aussi d’une partie plus sensible. J’ai une jeune femme de bonne volonté qui possède assez de ruses pour attraper n’importe quel homme, et assez d’expérience pour répondre à mon but ; sur dix prétendants, sept ont traversé son épreuve et ont été trouvés manquant. Mes espoirs à l’heure actuelle sont centrés sur un comte irlandais, que j’ai un pressentiment sera jugé digne d’acceptation. Quand j’ai changé de nom, soyez assuré que vous connaîtrez les détails. Vous voulez sans doute savoir ce qu’il est advenu des vases, là Je dois donc vous rassurer sur ce point. Sylvia a une amie qui tient un pensionnat à la mode à Londres, et elle m’a persuadée de laisser la mienne avec la sienne dans la garde de cette dame, qui les montre comme une récompense pour le bon comportement aux petites étudiantes. Pauvres filles, comment leurs petites souricières doivent gicler à la vue !

EMILY BARLOW

THE END