Œuvres de Philippe Desportes (éd. 1858)
Apparence
Texte établi par Alfred Michiels, Adolphe Delahays, (p. 2).
Livre I
[modifier]Sonnet I : « Je vous offre ces vers qu’Amour m’a fait escrire » | page 13 |
Sonnet II : « Le penser qui m’enchante et qui, le plus souvent » | 14 |
Sonnet III : « Je me laisse brûler d’une flamme couverte » | 14 |
Sonnet IV : « Le jour que je fus né, l’impitoyable archer » | 14 |
Sonnet V : « Voicy du gay printans l’heureux advenement » | 15 |
Sonnet VI : « Ô grand démon volant, arreste la meurtriere » | 15 |
Sonnet VII : « Ô lict ! s’il est ainsi que tu soit inventé » | 15 |
Sonnet VIII : « Si la foy plus certaine en une ame non feinte » | 16 |
Sonnet IX : « Dès le jour que mon ame, amoureuse insensée » | 16 |
Sonnet X : « Je suis chargé d'un mal qui sans fin me travaille » | 17 |
Sonnet XI : « Du bel œil de Diane est ma flamme empruntée » | 17 |
Sonnet XII : « Vallon, ce Dieu tyran, qui me fait endurer » | 17 |
Sonnet XIII : « Durant les grand’s chaleurs, j’ai vu cent mille fois » | 18 |
Sonnet XIV : « Las ! qui languit jamais en si cruel martire » | 18 |
Sonnet XV : « Un jour l’aveugle Amour, Diane et ma maistresse » | 19 |
Sonnet XVI : « Ayant (brûlé d’Amour) gemi, crié, pleuré » | 19 |
Sonnet XVII : « Je le sçay trop, qu’il ne faut que j’espere » | 19 |
Sonnet XVIII : « Ny les dédains de son jeune courage » | 20 |
Sonnet XIX : « Las ! que me sert de voir ces belles plaines » | 20 |
Sonnet XX : « L’aspre fureur de mon mal vehemente » | 21 |
Chanson : « Ceux qui peignent Amour sans yeux » | 21 |
Sonnet XXI : « On ne voit rien qui soit si solitaire » | 22 |
Sonnet XXII : « Eloignant vos beautés, je vous laisse en ma place » | 22 |
Sonnet XXIII : « Or que mon beau soleil loin de moy se retire » | 23 |
Sonnet XXIV : « Pour estre absent du bel œil qui me tue » | 23 |
Sonnet XXV : « Lors que le trait par vos yeux decoché » | 23 |
Sonnet XXVI : « Mon Dieu ! mon Dieu! que j’aime ma deesse » | 24 |
Sonnet XXVII : « Elle pleuroit, tout paille de crainte » | 24 |
Sonnet XXVIII : « Je ne me plains de vostre cruauté » | 25 |
Sonnet XXIX : « Si c’est aimer que porter bas la vue » | 25 |
Sonnet XXX : « Las ! que me sert, quand la douleur me blesse » | 25 |
Sonnet XXXI : « Je le confesse, Amour, je te suis redevable » | 26 |
Sonnet XXXII : « Marchands, qui recherchez tout le rivage more » | 26 |
Sonnet XXXIII : « Si tost qu’au plus matin ma Diane s’eveille » | 26 |
Sonnet XXXIV : « Celuy que l’Amour range à son commandement » | 27 |
Sonnet XXXV : « Par vos graces, madame, et par le dur martire » | 27 |
Sonnet XXXVI : « Pour me recompenser de tant de passion » | 28 |
Sonnet XXXVII : « Amour, quand fus-tu né ? Ce fut lors que la terre » | 28 |
Sonnet XXXVIII : « Celle a qui j'ay sacré ces fleurs de ma jeunesse » | 28 |
Sonnet XXXIX : « Doncques sera-t-il vray que l'ennuy qui me ronge » | 29 |
Sonnet XL : « Puis-je pas à bon droit me nommer miserable » | 29 |
Sonnet XLI : « S’il est vray que le ciel ait sa course eternelle » | 30 |
Chanson : « Helas ! tyran plein de rigeur » | 30 |
Sonnet XLII : « Or que bien loin de vous je languys soucieux » | 30 |
Sonnet XLIII : « Solitaire et pensif, dans un bois écarté » | 31 |
Sonnet XLIV : « Ô songe heureux et doux ! où fuis-tu si soudain » | 31 |
Sonnet XLV : « Je me travaille assez pour ne faire apparoir » | 31 |
Sonnet XLVI : « Quand j’approche de vous, et que je prends l’audace » | 32 |
Sonnet XLVII : « Malheureux fut le jour, le mois et la saison » | 32 |
Sonnet XLVIII : « Les premiers jours qu’Amour range sous sa puissance » | 33 |
Sonnet XLIX : « Ces eaux qui, sans cesser, coulent dessus ma face » | 33 |
Sonnet L : « Helas ! de plus en plus, le malheur qui m’outrave » | 33 |
Sonnet LI : « Heureux anneau de ma belle inhumaine » | 34 |
Sonnet LII : « Quand la fiere beauté qu’uniquement j’admire » | 34 |
Sonnet LIII : « Je recherche à toute heure, avec la souvenance » | 34 |
Sonnet LIV : « Je te l’avois bien dit, pauvre cœur desolé » | 35 |
Sonnet LV : « Amour brûle mon cœur d’une si belle flamme » | 35 |
Sonnet LVI : « Si la pitié trouve en vous quelque place » | 36 |
Sonnet LVII : « Si j’aime jamais plus, pour vivre mal-contant » | 36 |
Sonnet LVIII : « J’ai long-tans voyagé, courant tousjours fortune » | 36 |
Sonnet LIX : « Puis que je fay rien en vous obeïssant » | 37 |
Sonnet LX : « Je suis repris, helas ! je suis repris » | 37 |
Sonnet LXI : « Madame, apres la mort, qui les beautez efface » | 38 |
Sonnet LXII : « Las ! on dit que l’espoir nourrit l’affection » | 38 |
Sonnet LXIII : « Amour a mis mon cœur comme un rocher à l’onde » | 38 |
Sonnet LXIV : « Comme un pauvre malade en la couche arresté » | 39 |
Sonnet LXV : « Si ce n’est qu’amitié, c’est la plus enflamée » | 39 |
Sonnet LXVI : « J’ay par long-tans, comme amour m’affolloit » | 39 |
Sonnet LXVII : « J’accompare ma dame au serpent furieux » | 40 |
Sonnet LXVIII : « Ma nef passe au destroit d’une mer courroucée » | 40 |
Plainte : « Helas ! je meurs en presence de celle » | 41 |
Complainte : « Depuis l’aube du jour, je n’ay point eu de cesse » | 42 |
Sonnet LXIX : « Puis qu’on veut que l’image en mon cœur si bien peinte » | 44 |
Dialogue : « Amour, ame des cœurs, esprit des beaux espris » | 44 |
Plainte : « Sus ! sus ! mon lut, d’un accort pitoyable » | 44 |
Dialogue : « Amour, ame des cœurs, esprit des beaux espris » | 46 |
Complainte : « Puis que le ciel cruel, trop ferme en mes malheurs » | 47 |
Complainte : « Or que je suis absent des beaux yeux de ma dame » | 48 |
Chant d’amour : « Puis que je suis épris d’une beauté divine » | 50 |
Procez contre Amour : « Chargé du desespoir, qui trouble ma pensée » | 53 |
Chanson : « Helas ! que me faut-il faire » | 57 |
Complainte : « Je veux maudire Amour, dieu de sang et de flame » | 57 |
Chanson : « L’Amour qui loge en ma poitrine » | 59 |
Plainte : « Quand je pense aux plaisirs qu’on reçoit en aimant » | 60 |
Contr’Amour : « Ce malheureux Amour, ce tyran plein de rage » | 61 |
Rymes tierces : « Si jamais plus ma liberté j’engage » | 65 |
Sonnet LXIX : « Puis que par ton secours mon braiser est estaint » | 66 |
Livre II
[modifier]Sonnet I : « Amour, trie et choisis les plus beaux de ces vers » | page 67 |
Sonnet II : « Arreste un peu, mon cœur, où vas-tu si courant ? » | 67 |
Sonnet III : « Si je me siez à l’ombre, aussi soudainement » | 68 |
Sonnet IV : « Las ! trop injuste Amour, veux-tu jamais cesser ? » | 68 |
Sonnet V : « O mon petit livret, que je t’estime heureux ! » | 68 |
Sonnet VI : « Privé des doux regards, qui mon ame ont ravie » | 69 |
Plainte : « En quel desert, quel bois ou quel rivage » | 69 |
Sonnet VII : « Ma dame, Amour, Fortune et tous les elemens » | 71 |
Sonnet VIII : « Je me veux rendre hermite et faire penitence » | 71 |
Sonnet IX : « Vous voulez estre hermite, hermite allez vous rendre » | 71 |
Sonnet X : « Amour de sa main propre a portrait cet image » | 72 |
Sonnet XI : « Hé ! ne suffit-il pas qu’Amour, trop animé » | 72 |
Sonnet XII : « Si le mary jaloux de la belle Cypris » | 73 |
Sonnet XIII : « Je sçay qu’ell’ ont des yeux, les autres damoiselles » | 73 |
Sonnet XIV : « Malheureux que je suis ! je vous soulois descrire » | 74 |
Priere au sommeil : « Somme, doux repos de nos yeux » | 74 |
Sonnet XV : « Yeux, qui guidez mon ame en l’amoureux voyage » | 76 |
Sonnet XVI : « Au saint siege d’Amour, des grands dieux le vainqueur » | 76 |
Sonnet XVII : « Si vous voulez que ma douleur finisse » | 77 |
Chanson : « Un doux trait de vos yeux, ô ma fiere deesse » | 77 |
Chanson : « Je ne veux jamais plus penser » | 78 |
Sonnet XVIII : « Depuis que sous vos loix mon ame est retenuë » | 79 |
Sonnet XIX : « Helas ! chassez ce couloir obstiné ! » | 79 |
Sonnet XX : « Que trop d’amour me seiche et me devore ainsi » | 79 |
Sonnet XXI : « Vous le voulez, et j’ay trop de coustume » | 80 |
Sonnet XXII : « Encor aucunefois, cet archer decevant » | 80 |
Sonnet XXIII : « Puis que mon plus bel âge, en servant despensé » | 80 |
Sonnet XXIV : « Je ne suis point jaloux ny ne le veux point estre » | 81 |
Sonnet XXV : « Belle et guerriere main apprise à la victoire » | 81 |
Sonnet XXVI : « Chassez de votre cœur l’injuste cruauté » | 82 |
Sonnet XXVII : « Si vous m’aimez, madame, helas ! si vous m’aimez » | 82 |
Sonnet XXVIII : « Hé ! que n’est-il permis, aussi bien qu’à mes yeux » | 82 |
Songe : « Celle que j’aime tant, lasse d’estre cruel » | 83 |
Rymes tierces : « Pleurs et soupirs, je vous ouvre la porte » | 83 |
Complainte : « La terre, nagueres glacée » | 84 |
Sonnet XXIX : « Mary jaloux, qui me defens la vuë » | 87 |
Sonnet XXX : « J’excuse le mary de celle qui m’a pris » | 88 |
Sonnet XXXI : « D’où vient qu’une beauté, qui m’est toujours presente » | 88 |
Sonnet XXXII : « Junon, royne des dieux, de courroux toute plaine » | 88 |
Sonnet XXXIII : « Puis que, pour mon malheur, ceste unique beauté » | 89 |
De la jalousie : « Amour à petit feu fait consommer mon ame » | 89 |
Sonnet XXXIV : « Celle à qui mes escrits ont donné tant de gloire » | 92 |
Sonnet XXXV : « Jamais fidelle amant n’eut plus douces pensées » | 93 |
Sonnet XXXVI : « Ma vie à un enfer peut estre comparée » | 93 |
Sonnet XXXVII : « Vostre cœur s’est changé, maistresse, et je l’endure » | 93 |
Épigramme : « Vous m’avez fait jetter au plus vif de la flame » | 94 |
Sonnet XXXVIII : « Vous l’aviez inventé, rapporteurs dangereux » | 94 |
Sonnet XXXIX : « Ne dites plus, amans, que l’absence inhumaine » | 94 |
Sonnet XL : « Las ! je ne verray plus ces soleils gracieux » | 95 |
Chanson : « Las ! en vous esloignant, ma dame » | 95 |
Sonnet XLI : « Cheveux, present fatal de ma douce contraire » | 96 |
Sonnet XLII : « Aimons-nous, ma deesse, et monstrons à l’épreuve » | 96 |
Stances : « Lors qu’un de vos rayons doucement me blessa » | 97 |
Sonnet XLIII : « J’ay fait de mes deux yeux une large riviere » | 97 |
Sonnet XLIV : « Vostre bouche, ô deesse ! a mal prophetizé » | 98 |
Sonnet XLV : « Cent et cent fois le jour je fay nouveaux discours » | 98 |
Chanson : « Celuy que le ciel tout-puissant » | 98 |
Sonnet XLVI : « Je m’estoy dans le temple un dimanche rendu » | 99 |
Sonnet XLVII : « Que maudits soient mes yeux, si pronts à mon dommage » | 100 |
Sonnet XLVIII : « Quand nous aurons passé l’infernale riviere » | 100 |
Sonnet XLIX : « Ô mort ! tu pers ton tans de me poursuivre ainsy » | 101 |
Stances : « Sommeil, qui, trop cruel au tans de mes amours » | 101 |
Sonnet L : « J’estoy sans connoissance estendu dans ma couche » | 101 |
Sonnet LI : « Cette humeur qui m’aveugle et me bande les yeux » | 102 |
Sonnet LII : « Quel supplice infernal, quelle extrême souffrance » | 102 |
Sonnet LIII : « Dieu des hommes perdus, sera-ce jamais fait ? » | 102 |
Sonnet LIV : « Dressez-moy sans cesser querelle sur querelle » | 103 |
Sonnet LV : « Puisqu’il vous plaist, Madame, et qu’avez tant d’envie » | 103 |
Sonnet LVI : « Tant d’amour, tant de foy dont vos lettres sont plaines » | 104 |
Sonnet LVII : « J’ai tant souffert d’ennuis, de honte et de misere » | 104 |
Sonnet LVIII : « Le robuste animal dont l’Inde est nourriciere » | 104 |
Sonnet LIX : « Belle et cruelle main, qui m’avez enchaisné » | 105 |
Sonnet LX : « Chacun jour mon esprit loin du corps se retire » | 105 |
Sonnet LXI : « Beaux nœux crespes et blonds nonchalamment épars » | 105 |
Dialogue : « Qui vous rend, ô mes yeux ! vostre joye premiere » | 106 |
Sonnet LXII : « Quoy que vous en pensiez, je suis toujours semblable » | 106 |
Chanson : « Amour, grand vainqueur des vainqueurs » | 107 |
Sonnet LXIII : « La Foy, qui pour son temple a choisi ma poitrine » | 108 |
Sonnet LXIV : « Sur le tombeau sacré d’un que j’ay tant aimé » | 108 |
Sonnet LXV : « Jamais, au grand jamais, on ne verra changer » | 109 |
Chanson : « Que vous m'allez tourmentant » | 109 |
Sonnet LXVI : « Que je hay l’inconstance et que j’estime fous » | 109 |
Sonnet LXVII : « Quand j’admire, étonné, vostre beauté parfaite » | 110 |
Sonnet LXVIII : « On verra défaillir tous les astres aux cieux » | 110 |
Sonnet LXIX : « Si j’aime autre que vous, que l’honneste pensée » | 110 |
Sonnet LXX : « Pendant que mon esprit mille douceurs conçoit » | 111 |
Sonnet LXXI : « Chaste sœur d’Apollon dont je suis esclairé » | 111 |
Sonnet LXXII : « Lettres, le seul repos de mon ame agitée » | 112 |
Sonnet LXXIII : « Aux plus rudes assaux d’une aspre maladie » | 112 |
Sonnet LXXIV : « Si l’amour de ma foy rend vostre ame craintive » | 112 |
Sonnet LXXV : « Ô vers que j’ai chantez en l’ardeur qui m’enflame » | 113 |
Stances : « Belle et fiere deesse à qui je suis voüé » | 113 |
Sonnet LXXVI : « J’ay couru, j’ay tourné, volage et variable » | 114 |
Sonnet I : « Icare est cheut icy, le jeune audacieux » | page 115 |
Sonnet II : « Quand je pouvoy me plaindre en l’amoureux tourment » | 115 |
Sonnet III : « Venus cherche son fils, Venus, tout en colere » | 116 |
Sonnet IV : « Quand je suis tout le jour de douleur agité » | 116 |
Sonnet V : « Puis que vous le voulez, demeurez inhumaine » | 117 |
Sonnet VI : « Je ne puis pour mon mal perdre la souvenance » | 117 |
Sonnet VII : « Amour sceut une fois si vivement m’attaindre » | 118 |
Sonnet VIII : « Dieu, qui fais de mon cœur ta victime sanglante » | 118 |
Sonnet IX : « Amour peut à son gré me tenir oppressé » | 118 |
Sonnet X : « Amour, qui vois mon cœur à tes piés abbatu » | 119 |
Sonnet XI : « Cesse, ô trop foible esprit ! de plus faire defance » | 119 |
Sonnet XII : « Celuy qui n’a point veu le printans gracieux » | 120 |
Sonnet XIII : « Pourquoy si plein d’orgueil marches-tu sur ma teste » | 120 |
Sonnet XIV : « Je sens fleurir les plaisirs en mon ame » | 120 |
Sonnet XV : « Ce n’est assez que soyez si bien née » | 121 |
Sonnet XVI : « Mon Dieu, que de beautez sur le front de ma dame ! » | 121 |
Sonnet XVII : « Qu’une secrette ardeur me devore et saccage » | 122 |
Sonnet XVIII : « Pourquoy si folement croyez-vous à un verre » | 122 |
Sonnet XIX : « L’arc de vos bruns sourcils mon cœur tyrannisans » | 122 |
Stances : « Lors que j’escry ces vers, il ne faut que l’on pense » | 123 |
Elegie : « Je delibere en vain d’une chose advenuë » | 124 |
Complainte : « Sauvage loy d’Amour et de ma destinée ! » | 125 |
Priere : « Grand Dieu d’Amour, enfant de Cytherée » | 126 |
Chanson : « Douce liberté desirée » | 127 |
Fantaisie : « D’où vient qu’un beau soleil, qui luit nouvellemant » | 128 |
Sonnet XX : « Quand quelquesfois je pense à ma premiere vie » | 129 |
Sonnet XXI : « Vous me cachez vos yeux (las ! trop cruellement) » | 129 |
Sonnet XXII : « J’ay languy malheureux quatre longues journées » | 130 |
Chanson : « Que je suis redevable aux cieux » | 130 |
Sonnet XXIII : « Las ! que puis-je avoir fait, ô moy, pauvre insensé » | 131 |
Sonnet XXIV : « Ma bouche à haute voix chante assez liberté » | 131 |
Sonnet XXV : « Mettez-moy sur la mer, quand elle est courroucée » | 132 |
Sonnet XXVI : « Grand Jupiter, ministre de l’orage » | 132 |
Sonnet XXVII : « Amour en mesme instant m’aiguillonne et m’arreste » | 132 |
Sonnet XXVIII : « Ô beaux yeux inhumains, pourquoy m’embrazés-vous » | 133 |
Sonnet XXIX : « Qui fait plainte d’Amour en doit estre ignorant » | 133 |
Chanson : « Pour vous aimer je veux mal à mon cœur » | 133 |
Chanson : « Quel feu par les vens animé » | 134 |
Le cours de l’an : « L’an, comme un cercle rond qui tout en soy retourne » | 136 |
Elegie : « Ayez le cœur d’un tigre ou d’une ourse cruelle » | 138 |
Il n'y a pas de Sonnet XXX | --- |
Sonnet XXXI : « Quand le soleil doré laisse nostre hemisphere » | 139 |
Sonnet XXXII : « Deux clairs soleils, la nuict estincelans » | 139 |
Sonnet XXXIII : « En pire estat ma fortune est venuë » | 140 |
Elegie : « Jamais foible vaisseau, deçà, delà porté » | 140 |
Sonnet XXXIV : « Amour, à qui j’ay fait tant de fois sacrifice » | 143 |
Sonnet XXXV : « Ce jour un pauvre amant triste et desesperé » | 144 |
Sonnet XXXVI : « Ô mon cœur plein d’ennuis que, trop pront, j’arrache » | 144 |
Sonnet XXXVII : « Durant qu’un feu cruel dedans Rome saccage » | 144 |
Sonnet XXXVIII : « Loin du nouveau soleil en mes vœux adoré » | 145 |
Sonnet XXXIX : « Si ceste grand’ beauté, tant douce en apparence » | 145 |
Sonnet XL : « Quand premier Hippolyte eut sur moy la victoire » | 146 |
Sonnet XLI : « Je ressemble en aimant au valeureux Persée » | 146 |
Sonnet XLII : « Ô doux venin mortel ! Ô guide tromperesse ! » | 146 |
Sonnet XLIII : « Tant d’outrageux propos, de courroux et d’orage » | 147 |
Sonnet XLIV : « Avoir pout toute guide un desir temeraire » | 147 |
Sonnet XLV : « A pas lens et tardifs tout seul je me promaine » | 147 |
Sonnet XLVI : « Aspre et sauvage cœur, trop fiere volonté » | 148 |
Sonnet XLVII : « Je crois que tout mon lict de chardons est semé » | 148 |
Sonnet XLVIII : « Ô champs, cruels volleurs du bien qui me tourmente ! » | 149 |
Sonnet XLIX : « La mort, qui porte envie aux plus rares beautez » | 149 |
Chanson : « Blessé d’une playe inhumaine » | 149 |
Chanson : « Que n’ay-je la langue aussi pronte » | 150 |
Stances : « Si je languy d’un martire inconnu » | 150 |
Sonnet L : « Bien souvent Hippolyte, à grand tort courroucée » | 151 |
Sonnet LI : « L’eau tombant d’un lieu haut goute à goute a puissance » | 151 |
Sonnet LII : « Bien que le mal d’Amour, qui me rend furieux » | 152 |
Stances : « Quand au matin le grand flambeau des cieux » | 152 |
Sonnet LIII : « Bien qu’une fièvre tierce en mes veines boüillonne » | 153 |
Sonnet LIV : « S’il n’y a rien si froid ne si glacé que celle » | 153 |
Sonnet LV : « Vous n’estes point mes yeux, ô trompeuse lumiere » | 153 |
Sonnet LVI : « Ayant trois ans entiers toute Rome asservie » | 154 |
Sonnet LVII : « Autour des corps, qu’une mort avancée » | 154 |
Sonnet LVIII : « Tourne, mon cœur, ailleurs ton esperance » | 155 |
Complainte : « Quelle manie est égale à ma rage ? » | 155 |
Sonnet LIX : « Amour, si j’ay souffert, fidelle à ton empire » | 156 |
Sonnet LX : « Si les pleurs que j’espans, si le triste langage » | 156 |
Sonnet LXI : « Depuis deux ans entiers que j’aime une beauté » | 157 |
Sonnet LXII : « Pour tant d’ennuis divers, tant de flamme et de glace » | 157 |
Sonnet LXIII : « J’estoy dans une sale ombragé de la presse » | 157 |
Sonnet LXIV : « Si doucement par son regard me tuë » | 158 |
Sonnet LXV : « Si la fureur d’amour, rendant l’ame agitée » | 158 |
Sonnet LXVI : « Vouloir ambitieux, esperance interdite » | 159 |
Sonnet LXVII : « Bien que ma patience et ma foy vous ennuye » | 159 |
Stances : « Quand j’espreuve en aimant les rigueurs d’une dame » | 159 |
Sonnet LXVIII : « Les sanglots continus, l’ardeur, l’impatience » | 161 |
Sonnet LXIX : « A mon terrestre ciel j’ose faire la guerre » | 161 |
Sonnet LXX : « Soucy chaud et glacé, que la crainte a fait naistre » | 162 |
Sonnet LXXI : « Espouvantable nuict, qui tes cheveux noircis » | 162 |
Sonnet LXXII : « Quand je voy flamboyer cette heureuse planette » | 162 |
Sonnet LXXIII : « Comme quand il advient qu’une place est forcée » | 163 |
Sonnet LXXIV : « Celle qui de mon mal ne prend point de soucy » | 163 |
Sonnet LXXV : « Sommeil, paisible fils de la nuict solitaire » | 164 |
Sonnet LXXVI : « Si le pasteur de Troye, éleu divinement » | 164 |
Sonnet LXXVII : « Rendez-vous plus cruels, beaux yeux qui me blessez » | 164 |
Sonnet LXXVIII : « Ravy de mon penser, si hautement je volle » | 165 |
Sonnet LXXIX : « Le tyran des Hebreux transporté de furie » | 165 |
Sonnet LXXX : « Quand l’ombrageuse nuit nostre jour décolore » | 166 |
Sonnet LXXXI : « Que je suis redevable à la douce pensée » | 166 |
Sonnet LXXXII : « Amour, choisis mon cœur pour butte à tous tes traits » | 166 |
Sonnet LXXXIII : « Langue muette, à mon secours tardive » | 167 |
Sonnet LXXXIV : « De quels cousteaux fut mon ame blessée » | 167 |
Sonnet LXXXV : « Mes yeux, accoustumez au jour de vostre veuë » | 167 |
Sonnet LXXXVI : « Je vey contant les jours et les heures passées » | 168 |
Sonnet LXXXVII : « Au nid des aquilons en la froide Scythie » | 168 |
Sonnet LXXXVIII : « Je veux jurer ces vers, qui rendront tesmoignage » | 169 |
Tombeau d’Amour : « Cy gist l’aveugle Amour, sa puissance est étainte » | 169 |
Chanson : « Tant que j’ay eu du sang, des soupirs et des larmes » | 169 |
Chanson : « Pour voir ma fin toute asseurée » | 170 |
Chanson : « Sçavez-vous ce que je desire » | 171 |
Chanson : « Le mal qui me rend miserable » | 172 |
Chanson : « Pour faire qu’une affection » | 173 |
Chanson : « Si tost que vostre œil m’eut blessé » | 175 |
Stances : « Si l’angoisse derniere en rigueur est semblable » | 175 |