Bibliographie critique de Marceline Desbordes-Valmore/26
XXVI.
CHOIX DE SAINTE-BEUVE
(2E ÉDITION)
1860
POÉSIES || DE || MADAME || DESBORDES-VALMORE. || Nouvelle édition augmentée et précédée d’une notice || par || M. Sainte-Beuve || de l’Académie Française. || Paris || Charpentier, libraire-éditeur || 28, Quai de l’École, 28 || 1860.
In-12 de 2 feuillets préliminaires non chiffrés (faux-titre portant au verso : Paris. — Imp. Simon Raçon et Comp., rue d’Erfurth, 1 ; et titre) et 320 pages (les dix premières numérotées en chiffres romains). Couverture jaune, imprimée, dans un encadrement typographique. Seconde édition[1] du recueil de 1842, augmentée de neuf pièces :
3 IDYLLES :
Me voici ! je respire avec peine ! (LA JOURNÉE PERDUE).
Viens, le jour va s’éteindre, il s’efface et je pleure (LA NUIT).
L’avez-vous rencontré ? Guidez-moi, je vous prie (L’ABSENCE)
3 ÉLÉGIES :
Que veux-tu ? je l’aimais, lui seul savait me plaire (À MA SŒUR).
Ah ! prends garde à l’amour, il menace ton cœur (À Mlle GEORGINA NAIRAC).
Que j’aimais à te voir, à t’attendre, Albertine (ALBERTINE).
2 ROMANCES :
Hélas ! je devrais le haïr (SON RETOUR).
De ses fuseaux légèrement blessée (LA PIQÛRE).
1 CONTE :
C’était jadis. Pour un peu d’or (CONTE IMITÉ DE L’ARABE).
- ↑ Enregistrée le 25 août 1860 dans la Bibliographie de la France (n° 7552).