Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 5/0857

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Louis Conard (Volume 5p. 224-225).

857. À SAINTE-BEUVE.
Caude-Côte, près Dieppe, 16 août 1866.
Cher maître,

Je reçois la lettre de M. Duruy avec votre petit mot. Merci de l’un et surtout de l’autre. Mais je suis accoutumé de longue date à vos procédés.

Est-ce que la main des amis n’est pas un peu là-dedans ? Je dis d’un ami ou d’une amie ? Cette dernière a été bien aimable aussi, car c’est d’elle que j’ai appris ma nomination.

Mille remerciements de votre sincèrement dévoué.

P.-S. — Ce serait le cas de trouver quelque chose de spirituel et de bien senti. Mais je ne trouve rien. Donc, une repoignée de main.