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Correspondance de Voltaire/1751/Lettre 2296

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Correspondance de Voltaire/1751
Correspondance : année 1751, Texte établi par Condorcet, GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 37 (p. 334).

2296. — À FREDERIC II, ROI DE PRUSSE.
Le 3 octobre.

Faible réponse à votre belle ode[1], en attendant que j’aie l’honneur de la renvoyer avec très-peu d’apostilles.


La mère de la Mort, la Vieillesse pesante,
À de son bras d’airain courbé mon faible corps[2], etc.

  1. À Voltaire. Qu’il prenne son parti sur les approches de la vieillesse et de la mort.
  2. Voyez ces stances, tome VIII.