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Correspondance de Voltaire/1763/Lettre 5407

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Correspondance : année 1763GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 42 (p. 569).

5407. — À M. DAMILAVILLE.
13 septembre.

J’abuse des bontés de mon cher frère, mais je sais qu’elles sont inépuisables. Il trouvera dans ce paquet un arrêt du conseil qui a déjà jugé notre procès en notre faveur. Je l’accompagne d’une lettre[1] que j’écris à M. Mariette. Je supplie mon cher frère de la lire ; ce n’est pas un ouvrage bien philosophique, mais il est accoutumé à mêler les affaires aux belles-lettres. Il n’y a que les sots qui prétendent que les lettres et les affaires sont incompatibles. J’embrasse cordialement et philosophiquement mon frère. Écr. l’inf…

  1. Elle est perdue.