Correspondance de Voltaire/1766/Lettre 6237

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Correspondance : année 1766GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 44 (p. 186).

6237. — À M. HENNIN[1].
Samedi au soir.

Vous n’aurez point M. d’Argental ; il ne veut point venir, monsieur, et je suis au désespoir ; vous auriez eu en lui un ami et un collègue. Quand vous pourrez venir coucher à Ferney, vous me consolerez ; en vérité, j’ai besoin de consolation. V.

  1. Correspondance inédite de Voltaire avec P. -M. Hennin. 1825.