Discussion:Ô doux parler, dont l’apast doucereux

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Dernier commentaire : il y a 12 ans par Zyephyrus dans le sujet Autre édition (entreposage)

Autre édition (entreposage)[modifier]

Édition Blanchemain de 1857. Source.

LIIII.

Ô doux parler dont les mots doucereux
Sont engravés au fond de ma memoire !
Ô front, d’Amour le trofée et la gloire,
Ô doux sourcis, ô baisers savoureux !

Ô cheveux d’or, ô cousteaux plantureux
De lis, d’œillets, de porphyre et d’yvoire !
Ô feux jumeaux, d’où le ciel me fit boire
À si longs traits le venin amoureux !

Ô vermeillons ! ô perlettes encloses !
Ô diamants ! ô lis pourprés de roses !
Ô chant qui peut les plus durs émouvoir,

Et dont l’accent dans les âmes demeure.
Eh ! dea ! beautés, reviendra jamais l’heure
Qu’entre mes bras je vous puisse ravoir ?

Collationné, ponctuation vérifiée sur la source ci-dessus ; il reste à créer le livre, mais je complète pour l’instant l’édition Hugues Vaganay (Garnier, 1923) : nous avons le volume 3, j’ajoute le volume 2 et le volume 1. --Zyephyrus (d) 12 mars 2012 à 21:59 (UTC)Répondre

Créer aussi ce livre..--Zyephyrus (d) 12 mars 2012 à 22:41 (UTC)Répondre