Histoire socialiste/Table analytique/N

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Jules Rouff (p. 128-132).



N


Nadaud (Martin), VIII, 38 ; 79 ; 226 ; 230 ; 231 ; 239 ; 258 ; 372 ; 423 ; IX, 14 ; 209 ; 220 ; 278 ; 304 ; 305- ; 306 ; arrêté le 2 décembre 1851, X, 2 ; à Londres, 85.

Nabruzzi, socialiste italien, XII, 208.

Namur (V.). III, 191.

Nancy. Incidents militaires en 1790, I, 557 et sq ; VIII, 262 ; la république de 1848, VIII, 15 ; le programme décentralisateur, X, 284.

Nansouty (de), général ; son rôle à Toulouse en 1871, XI, 370.

Nankin (V.). Le traité de 1842, X, 131.

Nanterre (V.), I, 431.

Nantes (V.). La prospérité au XVIIIe siècle, décrite par le docteur Guépin, I, 61 ; sa bourgeoisie possède une organisation de classe, Bourse de commerce, Chambre de commerce, etc…, 6 1 ; la traite des nègres l’enrichit, 61 ; comment sa bourgeoisie, faisant appel à ses ouvriers, remporte la première victoire révolutionnaire le 1er novembre 1788, 62 ; sa lutte contre la noblesse des États de Bretagne, 63 ; sa vie municipale en 1789, 416 ; ses bourgeois révolutionnaires, 418 ; 709 ; se décide à soutenir les mulâtres, II, 989 ; IV, 1146 ; un mouvement contre la Montagne en 1793, 1291 et sq ; assiégé par les Vendéens, 1633 ; repousse les Vendéens, i683 ; les affaires de Nantes devant la Convention en 1794, V, 35 ; VI, 564 ; VIII, 20 ; 72 ; 262 ; 538 ; manifestations républicaines en 1850, IX, 207 ; 334 ; la propagande républicaine sous l’Empire, X, 152 ; le Congrès de 1804, XII, 265.

Nantil (Capitaine), libéral, VII, 153 ; échappe à la police, 160.

Naples (V.). Insurrection de 1820, VII, 154 ; la réaction de 1849, IX, 158. Napoléon (Le), journal du second Empire, X, 7.

Napoléon Ier (Napoléon Bonaparte). I, 725 ; préparé par Brissot et Hébert, IV, 1720 ; ses origines, V, 140 et sq ; son rôle le 13 vendémiaire, 143 ; la récompense, 145 ; il perfectionne la réclame, 227 ; sa nomination à l’armée d’Italie, 341 ; son mariage, 342 ; son génie militaire, 342 ; sa campagne d’Italie de 1796, 343 et sq ; comment il se débarrasse de tout contrôle, 346 ; comment il s’arrange avec les fournisseurs, 346 ; sa campagne de 1797 dans la Haute-Italie, 388 et sq ; Leoben, 391 et sq ; son jeu en 1797, 414 ; les directeurs ont recours à lui contre les conseils, 415 ; sa situation après le 18 fructidor, 430 ; son retour de Rastatt, 431 ; sa réception ; il devient membre de l’Institut, 432 ; l’expédition d’Égypte, 432 et sq ; son idée de la patrie, 464 ; comment en Égypte il fut tenu au courant des affaires de France, 476 ; sa rentrée en France, 478 ; son frère le pose en républicain ; Talleyrand en fait le suppôt du royalisme, 522 ; la popularité qu’on lui fait, 543 ; rappelé d’Égypte, 563 ; son retour, 564 ; ses intrigues à Paris, 565 et sq ; ses relations avec les Jacobins, 567 ; comment il rallie tous les partis, 568 ; ses relations avec les financiers, 571 ; le banquet du 15 brumaire, 574 ; le 18 brumaire, 576 et sq ; consul provisoire, 592 ; son caractère, VI, 14 ; comment il est amené par besoin d’argent à rechercher l’appui de la bourgeoisie, 15 ; son rôle comme consul provisoire, 20 et sq ; comment il s’arrange à accaparer la popularité de toutes les mesures prises, 24 et sq ; il s’oppose à Siéyès dans la question de Constitution, 31 et sq ; comment il le discrédite, 33 ; comment il rédige la Constitution, 34 ; son pouvoir comme premier consul, 42 ; comment il « complète » la constitution de l’an VIII, 47 et sq ; il s’appelle « national », ce que veut dire l’épithète, 54 ; son sens de la mise en scène, 63 ; sa politique religieuse sous le Consulat, 65 et sq ; sa politique extérieure, d’octobre 1799 à avril 1800, 99 et sq ; la guerre contre l’Autriche (1800-1801), 103 et sq ; la paix de Lunéville, 114 : la guerre contre l’Angleterre, 1800-1802, 116 et sq ; comment il pacifie la Vendée, 136 et sq ; sa politique de 1800 à 1812 contre les royalistes et les exclusifs, 143 et sq ; son attitude après le complot de la rue Saint-Nicaise, 147 et sq ; sa politique comme consul à l’égard de l’armée, 163 ; il devient consul à vie, 166 et sq ; sa politique extérieure d’août 1802 à mai 1804, 174 et sq.

Sa politique intérieure, de 1802 a 1804 ; la marche à l’Empire, 182 et sq ; Empereur, 198 ; le sacre, 203 ; il achève l’asservissement de la France, 199 et sq ; troisième et quatrième coalition, 204 et sq ; sa situation en Europe en 1807, 215 ; ses sentiments à l’égard dos ouvriers, 225 ; sa politique en matières de subsistances et d’approvisionnements, 260 ; le développement du blocus continental, 303 et sq ; ses démarches pour entrer dans la marine anglaise, 303 et sq ; ses ambitions immenses ; 304 ; comment par le blocus il satisfaisait les ambitions des industriels français, 316 ; les guerres d’Espagne, 340 et sq ; traits de caractère, 333 et sq ; comment il chauffe l’enthousiasme au moment où il part pour l’Espagne en 1809, 352 ; sa politique religieuse, de 1807 à 1814, 369 et sq ; ses démêlés avec la papauté ; l’enlèvement du pape, 372 et sq ; la campagne de Russie, 384 et sq ; le retour de Russie, 408 ; comment il trouve des dévoûments en France, 409 ; ses plans en 1813, la campagne d’Allemagne, 410 et sq ; état de l’opinion en 1813, 412 ; l’Europe prête à la révolte, 414 ; sa politique intérieure de 1807 à 1814, 440 et sq ; histoire du mariage autrichien, 458 et sq ; son œuvre au point de vue industriel, 511 et sq ; ses avances aux industriels, 531 ; sa sollicitude pour le commerce, 531 et sq ; sa politique ouvrière, 546 et sq : la campagne de France et l’abdication, 582 et sq ; la responsabilité de la capitulation de Paris pèse surtout sur lui, VII, 3 ; sa situation après la capitulation de Paris, 19 ; son abdication, 20 et sq ; le retour de l’Ile d’Elbe, 43 et sq ; sa politique nouvelle, 47 ; sa situation en face de l’Europe, 49 ; habileté de sa politique extérieure, 49 et sq ; son armée, 51 : la campagne de 1815, 52 et sq ; il fut impeccable comme stratégiste à Waterloo ; mais il avait lassé toutes les énergies. 59 ; son retour à Paris, 62 ; son abdication pour Napoléon II, 62 ; il tombe aux mains de l’Anglerre ; Sainte-Hélène. 64 ; sa mort 66 ; jugement sur son œuvre 67 ; le mal qu’il a fait, 68 ; proscription de toute la famille en 1815, 102 ; le retour des Cendres, 382 et sq ; la cérémonie du retour des Cendres, VIII, 411 ; IX, 15 ; 16 ; 302.

Napoléon II. Sa mort, VIII, 215.

Napoléon III (Louis-Napoléon Bonaparte). D’où il sort en 1836, VIII, 294 ; son entreprise de Strasbourg ; elle n’était ni aventureuse, ni stupide, 295 ; l’équipée de Boulogne, 386 ; le prisonnier de Ham et sa légende, 386 ; son évasion de Ham, 536 ; son élection comme député et son admission à l’Assemblée, IX, 56 ; son rôle en juin 1848, 83 ; sa présence à la tribune, 114 ; candidat à la présidence, 126 ; forces qu’il a pour lui ; sa propagande, 127 ; les marchandages avec les partis ; avant tout fidèle au bonapartisme, 127 ; sa victoire du 10 décembre, 128 ; il engage la lutte pour l’extermination des républicains dès la fin de 1848, 140 ; sa politique personnelle se fait jour, 155 ; il développe sa politique personnelle, se place au-dessus des partis, 158 ; son petit ministère, 158 ; son attitude dans la discussion de ta loi Falloux, 185 et sq ; comment il va se servir de la loi de mai 1850, 199 ; son caractère rêveur et conspirateur ; ses dettes, 205 ; son rôle comme président ; ses avances au clergé, 206 ; sa politique à l’égard des différentes classes, 207 ; ses auxiliaires payés, 207 ; sa politique pendant toute l’année 1851 ; sa lutte contre l’Assemblée, 214 et sq ; la proposition de rétablissement du suffrage universel.

Le coup d’État, 220 et sq, puis X, 1 et sq ; comment il l’avait conçu, 4 ; les Idées napoléoniennes et les Rêveries politiques, 4 ; la besogne de son administration depuis 1850, 6 ; la réalité détruit le rêve de Louis-Napoléon, 7 ; la répression des résistances au coup d’État, 25 et sq ; son activité pendant le temps de la dictature, 33 et sq ; le rétablissement de l’Empire, 40 ; le régime impérial : gouvernement et société, 41 et sq ; politique à l’égard des grands corps sociaux : armée, 50 ; Église, 50 et sq ; comment il veut gagner la bourgeoisie par les améliorations matérielles, 52 et sq ; sa conception de l’État, moteur du monde économique, 56 ; les réformes industrielles de 1852 à 1860, 57 et sq : sa politique ouvrière, 64 et sq ; bienveillance et surveillance, 66 ; inféodé à la politique catholique à l’extérieur, 77 ; la guerre de Crimée, 77 et sq ; ses grandes idées de politique extérieure, 105 ; son intervention pour les nationalités lui ralliera, espère-t-il, les républicains, 106 ; ses interventions pour la Roumanie, 106 ; les affaires italiennes jusqu’en 1859, 107 et sq ; la brochure l’Empereur et l’Italie, 116 ; la guerre et les soulèvements, les embarras de l’Empereur, 119 ; Villafranca, 120 ; les annexions italiennes, 121 et sq : la politique libre-échangiste, les traités de 1860 ; l’opposition protectionniste, 124 et sq : ce sont tous ces embarras qui amènent les décrets libéraux de 1860 ; l’empereur veut se décharger de sa responsabilité, 128 et sq ; comment il tente, en 1860, de contenter les catholiques par les expéditions lointaines, 130 et sq ; ses embarras devant la question romaine de 1860 à1863, X, 137 et sq ; sa maladresse dans l’affaire polonaise, 143 ; il ne réussit qu’à tourner contre lui tous les partis, de 1860 à 1863, 143 et sq ; comment son gouvernement en 1863 ne se trouvait pas au fond très ébranlé, mais la réapparition de la classe ouvrière détermine une opposition nouvelle, 160 ; aux environs de 1860, il laisse parler la classe ouvrière, car il a besoin de son appui contre les protectionnistes, 194 ; il perd, de 1864 à 1867, tout le prestige acquis en Europe en 1856, 246 et sq ; ses idées pacifistes en 1863, 248 ; les traités de 1815, 248 ; la question des duchés, 249 et sq ; le Mexique de 1863 à 1865, 251 et sq ; les affaires italiennes de 1865 à 1867, 255 et sq ; il cherche dans la question des duchés la solution de la question italienne, 257 et sq ; discussion à la Chambre sur cette politique, 259 et sq ; il répond à Thiers sur les traités de 1815, par le discours d’Auxerre, 264 ; Sadowa, 271 et sq ; tous les partis déchaînés contre lui, le poussent à réclamer des pourboires, à chercher de la gloire, 273 et sq ; le rapprochement avec l’Autriche, 278 ; les points noirs, 279 ; les affaires italiennes de 1866 à 1867, 279 ; les manifestations à l’occasion de Mentana, 281 ; la lettre du 19 janvier 1867, 283 ; son règne, de 1868 à 1870, 321 ; sa politique après les élections de 1869, 355 et sq ; nouveau pas dans la voie libérale ; le message du 12 juillet 1869, 356 ; le ministère Ollivier, 374 ; la fin du régime, 374 et sq ; le moment d’accalmie de juin 1870, 388 ; la guerre de 1870, XI, 3 ; ce qu’aurait dû être sa politique en 1866 ; laisser la nation allemande se constituer, 32 ; au lieu de cela il fit une politique de chantage, 32 et sq ; son impuissance en faisait la plus dangereuse des politiques, 38 ; sa politique à l’égard de l’Allemagne après la circulaire La Valette, 57 ; il a toujours l’air de vouloir la guerre en gardant la paix, 57 ; Benedetti le presse de choisir, 57 et sq ; son gouvernement n’avait plus assez de force morale pour accepter l’élévation de l’Allemagne, 62 ; situation où le place la candidature Hohenzollern, 166 ; ce qu’il aurait fallu pour éviter la catastrophe, 167 ; comment ses défenseurs ont cherché à tort à faire retomber la responsabilité de la guerre sur les républicains, 177 et sq ; son rôle les 8, 9 et 10 juillet 1870, 193 et sq ; le 22 juillet, la conversation avec Nigra avant le conseil de Saint-Cloud, 2o3 et sq ; brusque revirement de sa politique en quelques heures, 207 ; sa mort, XII, 92.

Napoléon (Jérôme), IX, 219 ; 226 ; 369.

Napoléon (prince). Sa politique libérale et anticléricale, X, 110 ; son mariage avec la fille du roi de Sardaigne, 115 ; 137 ; 139 ; ses avances aux ouvriers aux environs de 1860, 195 et sq ; il signale à Napoléon III le péril de son attitude vis-à-vis de la Prusse, XI, 38 ; 159 ; son manifeste aux élections de 1871, XII, 22 ; 46 ; 196 ; 241.

Naquet (Alfred), X, 281 ; 286 ; 324 ; élu en juillet 1871, XII, 22, 23 ; 158 ; sa proposition d’amnistie, 179 ; 183 ; 234.

Naquet (Gustave). Son rôle dans les journées du coup d’État, X, 10 et sq ; 153.

Narbonne, ministre de la Guerre, II, 874 ; amant de Mme de Staël, 874 ; il pousse la Cour à la politique de guerre, 875 et sq ; son discours à la Législative, 879 ; il dérive peu à peu vers la Gironde, 925 ; son jeu pour se rendre populaire, g36 ; mais le roi n’aime que Molleville ; il le renvoie, 937 ; son rôle dans les négociations de 1813, VI, 431 et sq.

Narbonne (V, ). La Commune de 1871, 370 et sq ; le procès de la Commune, XII, 33.

Narlez, commissaire de section, II, 1278.

Narvaez, ministre espagnol, VIII, 528.

Nast. Élu à la Commune, XI, 308 ; sa démission de la Commune, 328.

Nation. Affirmation première de son droit éminent sur la propriété, II, 1109 ; son droit dans l’organisation de l’Enseignement chez Talleyrand, 1199 ; chez Condorcet, 1143 et sq ; notion et liberté, III, 445.

Nation (La), journal de M. de Genoude, VIII, 415.

National (Le), VII, 240 ; 242 ; VIII, 35 ; 99 ; 111 ; 112 ; son influence en 1832, 169 ; ses amendes, 170 ; 262 ; 272 ; 276 ; 340 ; 362 ; 367 ; 374 ; ses critiques sociales, 374 ; 376 ; 382 ; 385 ; 393 ; 395 ; 408 ; 411 ; 418 ; 424 ; sur les communistes, 457 ; 56g ; IX, 48.

Nationalisation. Comment la Révolution tout entière est entraînée dans ce sens par la force des choses, IV, 1700 et sq.

NATIONALISATION DE LA BANQUE. Réalisée en partie par la Convention, IV. 1704.

NATIONALISATION DU COMMERCE. Comment la Révolution y vient en 1793, IV, 1661.

NATIONALISATION DE L’INDUSTRIE. Comment l’idée surgit de plusieurs côtés en 1793, IV, 1701 et sq.

Nationaliste. Leur mouvement, XII, 270 ; leur recul, 275 ; leur succès à Paris en 1900, 290.

Nature. Comment les révolutionnaires l’invoquaient, IV, 1641.

Naundorff. faux Louis XVII, V, 109 ; VII, 32 et sq.

Naudrin, membre du Club de l’Évêché, IV, 1257.

Nauwo (V.). L’expérience cabétiste, IX, 242.

Navarin (V.). Bataille, VII, 222.

Navigation (Cf. Marine)- La question des subventions aux lignes, en 1840, VIII, 379 et sq.

Navigation intérieure (Cf. Canaux). De 1794 à 1800, V, 171.

Necker. Quand il semble socialiste, il ne fait, au fond, que lutter contre les propriétaires fonciers et cherche à donner à l’industrie une main-d’œuvre à bon marché, I, 135 ; sa polémique avec l’abbé Baudeau, 135 ; aveuglé par une vanité puérile, il ne comprend rien au aspirations des états généraux. 232 ; propose que le roi juge des contestations sur les élections, 240 ; n’assiste pas à la séance du 23 juin, 248 ; renvoyé, 259, 261 ; rappelé par le roi, 277 ; il voudrait rappeler son influence en février 1790, 358 ; 436 ; fait le 6 mars 1790 un rapport sur les finances, 461 ; critiqué par la Constituante, 657 ; se retire, 658 ; sa retraite en Suisse, 658.

Nègres. Leur condition ; les colons ne veulent pas qu’on leur accorde le droit de citoyen, 560 et sq ; la question de l’esclavage à la Législative, II, 963 et sq.

Négrier (général), IX, 34.

Négrier (général), nommé au Conseil supérieur de la Guerre, XII, 301.

Nelson, amiral anglais, V, 466 ; 483 ; son rôle à Naples en 1799, 507 ; sa croisière dans la Baltique en 1801, VI, 128 ; meurt à Trafalgar, 212.

Némésis. Société secrète de 1850, IX, 211.

Nemours (duc de). Sa candidature au trône de Belgique, VIII, 132 et sq ; le refus de Louis-Philippe, 134 ; sa dotation, 352 ; 432, 560 ; IX, 2.

Nerwinde (V.). Défaite de Dumouriez, IV, 1169.

Nesselrode. Diplomate russe, VII, 11 ; son rôle dans le rétablissement des Bourbons, 15 et sq, 26.

Nétri. Son rôle dans les journées du coup d’État, X, 10 et sq.

Nettement. Son opposition en 1859, X, 123.

Nettré. Ami de Blanqui, VIII, 346.

Neue Freie Presse, XI, 155.

Neuilly-sur-Seine (V.), XI, 353 ; le combat du 3 avril 1871, 358 et sq ; le pont est emporté le 7 avril, 391 ; la résistance de Dombrowski, 393 ; 424.

Neutres. Comment Schlegel et l’Angleterre nient leurs droits, VI, 310 et sq.

Neuve-Lyre (V.), Il, 1072.

Nevers (V.), VIII, 538.

Nevèze, commissaire de section, 11, 1277.

Newington (V.), III, 206.

Newton, IX, 246.

Ney (Edgar), IX, 155, 156.

Ney, VI, 113 ; 223 : à Borodino, 394 ; dans la retraite de Russie, 399 ; à Bautzen, 427 ; VII. 20 ; il abandonne Napoléon, 22 ; sa mission près d’Alexandre, 23 ; sa rencontre avec Napoléon à Auxerre en 1815, 46 ; son rôle dans la campagne de 1815, 52 et sq ; renvoyé devant un conseil de guerre, 78 ; son procès et sa mort, 86.

Nicol (capitaine), VII, 175.

Nicholay, ouvrier anglais, X, 207.

Nicolas 1er cf. Russie. Ses relations avec l’Angleterre en 1844, VIII, 511 et sq.

Nicoleau, président du Conseil du département en mai 1793, IV, 1372.

Niel. XI, 244.

Nièvre (département). Mouvement de salaires au printemps de 1792, II, 1067 ; IV, 1268 ; une députation de son directoire demande la nationalisation de l’industrie, 1702 ; sa situation industrielle en 1811, VI, 522 ; comment il accueille le coup d’État de 1851, X, 18 ; la Commune, XI, 376.

Nigra, XI, 203.

Nîmes (V.), I, 50i ; VI, 516 ; la terreur blanche, VII, 83.

Nioche, IV, 1440.

Niort (V.), IV, 989.

Niox (général), XI, 2.

Nivière. Chol. Officier municipal à Lyon, III, 267 et sq ; IV, 1055 ; réélu maire, 1058 ; sa lutte avec Chalier, 1059 et sq ; sa démission et sa réélection, 1067 ; sa nouvelle démission, 1068.

Noailles (Vicomte de). Demande le 4 Août 1789, une grande réforme du système féodal, I, 280 ; son intention, 282 ; pair, sa retraite, VIII, 275.

Noblemaire (G.), 72 et sq.

Noblesse. Son pouvoir et ses privilèges sous l’ancien régime, I, 13 ; comment elle exploite à son profit, le pouvoir royal, I, 22 ; comment elle menace les forces vives de la France, en 1789, I. 23 ; partout sauf à Lyon, elle est étrangère à la vie industrielle, 83 ; ses droits spéciaux aux électios des États généraux, 148 ; possédants fiefs, et non-possédants fiefs, 140 ; les nobles pauvres et aigris contre la cour feront entendre dans les assemblées électorales leurs protestations grondeuses, 150.

Contradictions dans la conscience politique et sociale de ses membres en 1789, I, 175 ; ils veulent bien sacrifier leurs privilèges d’impôt à condition de garder les droits féodaux, 176 ; ils veulent « la liberté », c’est-à-dire, l’amoindrissement du pouvoir royal, 176 ; différence de leur théorie et de celle du Tiers, 176 ; tourmentés en 1789 d’un grand besoin d’activité, 178 ; se livrant à la magie, 178 ; la noblesse se constitue en ordre distinct, 235 ; elle est désemparée par les résolutions du Tiers État constitué en Assemblée nationale, 244 ; son mouvement à la nuit du 4 Août : pourquoi des nobles prennent l’initiative de la suppression des droits féodaux, 283 ; ils veulent, quand il en est temps encore, légaliser le mouvement pour le contenir et le refouler, 284.

Dans l’affaire des Dîmes, elle sacrifie le clergé pour se sauver, 297 ; sa propagande contre-révolutionnaire, I, 550 ; Cf Émigrés ; sa situation après le 18 brumaire, VI, 2 ; la noblesse du premier Empire, VI, 202 ; l’ancienne noblesse empressée auprès de Napoléon, 442 ; la noblesse impériale, 443 ; les grands fiefs institués en 1806 ; les majorats, 443 ; la noblesse nouvelle est fondée surtout sur la fortune, 446.

Nodier (Charles), V, 99 ; 103 ; 104 ; son œuvre, VI, 500 ; IX, 249.

Noël. Ouvrier occupé aux assignats, emprisonné, V, 302.

Noir (Victor). Sa mort et ses funérailles, X, 374.

Noiret, communiste parisien, VIII, 375.

Noirot, curé de Sallestaines, I, 650.

Noirot (Jean), administrateur du district de Louhans, 1, 429.

Noisseville (V.). Bataille, XI, 12.

Noisy-le-Sec (V.), I, 638.

Nolhac, membre de la Municipalité de Lyon en 1789, I, 420 ;

Nomény (V.). La noblesse demande le maintien des communaux dont elle touche i/3 des revenus, I, 210.

Nord (Dépt), 11, 1034 ; les approvisionnements en 1792, 1063 ; les salaires en 1804, VI, 555 et sq ; sa situation économique en 1806, VI, 264 ; en 1811, 522 ; 581 ; état de ses classes laborieuses aux environs de 1830, VIII, 59 ; 60 ; l’ivrognerie, 75 ; 176 ; sa situation industrielle sous la République de 1848, IX, 327 ; la propagande républicaine sous l’Empire, X, 95 ; la protestation protectionniste en 1860, X, 126.

Normandie. Sa bourgeoisie proteste contre les traités de commerce de 1785, 1, 72 ; son industrie de la dentelle, 75 ; 413 ; les dernières luttes de Frotté, VI, 139 et sq ; sa situation économique en 1815, 288 ; la protestation protectionniste en 1860, X, 126 ; la grève de 1869, 350.

Notables. Ceux qu’on appelle ainsi en 1789, dans l’organisation municipale, I, 411 ; notables communaux et départementaux dans la constitution de l’an VIII, VI, 30.

Norwich (V.) III, 201.

Notariat. Son organisation sous le Directoire, V, 159 (erratum).

Nottingham ( V.). Pétition des habitants pour la réforme électorale, III, 810 ; VIII, 36.

Nougaret. V. 98.

Nourry (Guillaume-Antoine) dit Roselli, acteur et révolutionnaire, IV, 1295.

Nouveau conducteur de l’étranger à Paris. VIII, 299.

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