Histoire socialiste/Table analytique/O

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Jules Rouff (p. 132-135).



O


Oberkampf, V, 258 ; VI, 316 et sq ; son œuvre industrielle, 512. Obligation de l’Enseignement. Silence de Talleyrand et de Condorcet sur la question, II, 1149.

Observations. Pamphlet anonyme, paru à Londres en réponse à Burke ; c’est un cri de misère significatif, III, 743.

Observatoire (section de l’), 11, 1268 ; son rôle le 31 mai, IV, 1408 ; V, 86 ; 205.

Ocharitz. Envoyé d’Espagne, son rôle dans le procès du roi. IV, 936 et sq.

O’Connel, VIII, 382.

Obock (V.), XII, 244.

Octobre (Journées des 5 et 6), I, 339 et sq.

8 Octobre 1870 (Mouvement du), XI, 258.

31 Octobre 1870 (Journée du), XI, 14, 259.

Octrois. Leur suppression à Lyon en 1789, I, 419 ; en 1790, 422 et sq ; leur rétablissement, 425 ; leur suppression complète par la Constituante en 1791, 598 ; fête dans Paris, 598 ; leur organisation par la Convention, V, 154.

Odéon, V, 225, 226.

Odger (Georges). Trade unioniste, X, 236 ; 238 ; son rôle à la fondation de l’Internationale, 240 ; 243.

Œuvre des Fraternités. Tentative de 1848, IX, 314.

Offices. Leur liquidation, II, 1020 et sq.

OFFICES MINISTÉRIELS. Leur vénalité est respectée en 1848, IX, 118.

Office du Travail. Les Associations professionnelles, VI, 264 ; 547 ; X, 192 ; 204.

Ogé. Organise la révolte des mulâtres à Saint-Domingue, I, 568.

Oise (Dép.). V, 190 ; sa situation industrielle en 1811, VI, 522.

Okolovicz, combattant de la Commune, XI, 391.

Oldenbourg, (Duché d’). La question pendante entre la France el la Russie en 1809, VI, 385.

Olivier. Sa culture, de 1794 à 1800, V, 274.

Olivier. Directeur de l’enregistrement sous la Commune, XI, 396.

Ollivier (Démosthène), VIII, 423 : proscrit en 1851, X, 27.

Ollivier (E.). Préfet de Marseille en 1848, IX, 87 ; 274 ; son caractère et son ambition, X, 103 ; élu en 1857, 104 ; il refuse le serment, 104 ; proteste contre la loi de sûreté générale, 111, 143 ; son activité au Corps législatif de 1859 à 1863, 147 ; son flirt avec Morny, 148 ; 156 ; élu en 1863, 158 ; 159 ; le droit de grève, 235 ; sa conversion à l’Empire, 259 et sq ; la lutte avec Rouher, 282 et sq ; sa défaite en Juillet 1867, 283 ; 343 ; le ministère de 2 Janvier 1870, 374 ; réformes constitutionnelles, 384 ; le plébiscite, 385 ; sa lutte contre les socialistes, 388 ; sa démission, XI, 8 ; 31 ; sa protestation contre l’annexion de la Belgique, 36 ; c’est l’homme qui a le mieux compris que l’unité allemande était une nécessité et que la France n’avait pas le droit de s’y opposer, 127 ; ses discours sur l’unité italienne, 128 ; il approuve le Gouvernement de ne pas intervenir dans la question des duchés, 129 ; il défend contre Thiers l’unité italienne, à propos de la question romaine, 131 et sq ; après la crise de Sadowa, c’est lui qui interprète les événements allemands avec le plus de liberté et de largeur de pensée, 135 et sq ; son discours du 15 mars 1867, 135et sq ; importance que donne à ce discours sa situation politique, 139 ; son évolution : il avait donné des preuves de constance et de cohérence dans les desseins ; on pouvait semble-t-il espérer de lui une solution du problème allemand conforme à la paix et au droit des nations, mais il avait trop peur de la Révolution ; il manquait de fermeté et de calme, 146 ; il n’est point de force à porter le fardeau du pouvoir, 148 ; sa situation politique quand surgit la candidature Hohenzollern, 167 et sq ; comment il fléchit sur la question romaine et trahit sa propre politique, 172 ; 179 ; ce qu’il aurait pù faire encore du 8 au 10 Juillet 1870, 193 ; son silence le 11 Juillet aggrave la nervosité de l’opinion, 198 ; comment il communique, le 11, la dépêche annonçant le retrait de la candidature, 201 ; l’anarchie du régime, 201 ; la tempête qu’il déchaîne au corps législatif, 2O3 ; son attitude lamentable le 12 Juillet, 208 ; comment il demande les crédits de mobilisation, 225.

Olozaga. Ministre espagnol, VIII, 528 ; ambassadeur d’Espagne à Paris, XI, 200.

Ohimus (D’)_ X, 288 ; son rôle dans les tentatives de conciliation en 1871, XI, 411.

Opéra, de 1794 à 1800, V, 223.

Opinion nationale (L’), journal X, 144 ; 195 ; 198 ; 209 ; 211 ; 212 ; 230 ; 257 ; 265 ; 296, 307 ; 323 ; XI ; 291 ; 470.

Oudia. Un des soixante, X, 225.

Orange (République d’). La guerre avec l’Angleterre en 1900, XII, 288.

Orateur du Peuple (L’). Journal de Fréron, V, 70.

Orchies (V.). Le Tiers-État demande la répartition entre les habitants des revenus des communaux, I, 206.

Ordinaire. XII, 41 ; 54 ; 169.

Ordonnances (de Juillet 1830), VII, 240 et sq.

Ordonneau, (général). Son rôle à Lyon en 1831, VIII, 156.

Ordre (parti de l’). Nom du parti de la résistance en 1848, IX, 24 ; son programme élastique, 25.

Ordre moral. XII, 107 et sq ; ce que fut le régime, 127 et sq.

Ordres. Leur suppression ébranle la propriété ecclésiastique, I, 445.

Ordres religieux (Cf. Vœux monastiques). Décret de la Constituante les supprimant, I, 522 ; discussion qu’il soulève, 523 et sq.

Orfèvres. Délégation des orfèvres de Paris à la Convention, IV, 1784.

Organisation du Travail. Son histoire en 1848 ; Louis Blanc et la commission du Luxemboug ; les sociétés ouvrières de production, IX, 267 et sq.

Organisation du Travail (L’), journal, IX, 72.

Organisateur (L’), journal Saint-Simonien, VIII, 191.

Orient (question d’). L’affaire de 1840, VIII, 386 ; l’agitation patriotique en France, 393 et sq ; son règlement par Guizot en 1841, la reprise de l’entente cordiale, 420.

Orléans (V.). VII, 76 ; comment il accueille le Coup d’État de 1851, X, 18 ; la propagande républicaine sous l’Empire, 95.

Orléans (duc d’) (Philippe-Egalité), ses intrigues au Palais-Royal, au début de la Révolution, I, 316 ; exclu sut demande de Buzot, IV, 875 et sq ; la mesure est rapportée ; 877.

Orléans (duc d’), fils aîné de Louis-Philippe, VIII, 159 ; 298 ; sa mort dans l’accident de Neuilly, 432.

Orléans (duc d’) XII, 275.

Orléans (duchesse d’), IX, 2.

Orléans (biens de la famille d’). Confis- qués en janvier 1852 ; leur distribution, X, 34 ; ils lui sont rendus, XIII, 92.

Orléanistes. Leur situation en 1850, IX, 203 et sq ; leur rôle sous le second Empire, X, 73 ; leurs ambitions en 1871, XII, 9.

Orloff (prince), XII, 227.

Ornans (V’.). Le Tiers-État demande le maintien et la mise en valeur des communaux, I, 2O5.

Orne (département). Sa situation industrielle en 1811, VI, 523.

Orphelinats. Leur développement de 1794 à 1800, V, 192.

Orsha (V.), VI, 403.

Orsini. Son attentat de 1858, X, 110 ; comment Napoléon s’en sert, 110 ; son procès, 113.

Orties (prison des), V, 75.

Ortolven, professeur de droit en 1848, IX, 1848.

Osborn. Trade unioniste anglais, X, 243.

Osselin, député à la Convention, IV, 946 ; 1259.

Ostyn. Elu à la Commune, XI, 308 ; son œuvre à la délégation des services publics, 399 : 430 ; il fait partie de la minorité de la Commune, 431 ; 439 ; 463.

Otages (loi des). Prise par le Directoire, V, 536 ; rapportée, VI, 23.

Otages, de la Commune. Leur exécution, XI, 457. 459.

Ott, IX, 231.

Otto, négociateur français avec l’Angleterre, VI, 126 ; ambassadeur français à Vienne en 18I3, 424.

Oudet. Signataire de l’affiche rouge, XI, 256 ; élu à la Commune, XI, 308 ; 430.

Oudinot. La campagne de France, VI, 587 et sq ; gagné par Talleyrand, VII, 20 ; campagne de 1823, 191.

Oudinot fils, repoussé à Civita Vecchia en 1848, IX, 19 ; 146 ; 147 ; 154 ; 220.

Oudot (l’abbé). Notable de Louhans. 1, 427.

Ouest (région de l’). État de ses classes laborieuses aux environs de 1830, VIII, 60.

Ourte (dép.). Sa situation industrielle en 1811, VI, 523.

Outhier. Socialiste du second Empire, X, 354.

Ouvrard. Mémoires, V, 566 et sq ; financier de l’époque du Consulat, VI, 3 et sq ; 463 ; VII, 72 ; 90 ; réapparition comme munitionnaire général pour la guerre de 1823, 192 ; son rôle pendant la campagne, 194.

Ouvriers (Cf. Prolétaires). Soutiennent à Paris, en 1789, la bourgeoisie radicale, I, 324 ; leurs ambitions fermentent en 1790-91, 590 ; ils prennent vaguement conscience de leurs intérêts de classe, 592 ; à quoi tiennent leurs revendications de salaires en 1791, 599 et sq ; ils n’ont jamais, pendant la Révolution, réclamé l’abolition de la loi Chapelier, 628 ; ils songent moins à l’associer qu’à tenir l’État et à s’en servir pour l’amélioration même de leur sort, 629 ; leur accord avec les fabricants contre les commerçants en 1792, 11, 1016 ; le premier député ouvrier, III, 113 ; leur condition en Angleterre au XVIIIe siècle, 695 et sq ; leur condition et leur esprit de 1794 à 1800, V, 241 ; ce que réclament leurs patrons, 241 ; un arrêté typique du Directoire, 241 et sq ; comment on tente de faire pression sur eux avant le 18 fructidor, 418 ; leur situation à la fin de 1798, 526 ; comment Fouché tente de les gagner, 560 ; politique de Napoléon à leur égard, de 1800 à 1807, VI, 225 et sq ; les ateliers publics, 226 ; la conception de la liberté du travail, 232 : la loi du 22 Germinal an XI ; comment elle règle les rapports entre ouvriers et patrons, 233 et sq ; accroissement de leur nombre sous le premier Empire, 520 ; leur situation à Paris en 1813, 534 et leur condition sous la Restauration, VII, 92 ; leurs opinions politiques à cette époque, 93 : les sociétés secrètes, 94 ; leur état d’esprit en 1830, 255 et sq ; leur agitation après les journées de Juillet, VIII, 16 et sq ; mesures proposées, 18 et sq ; comment les républicains veulent en dissimuler l’importance, 19 ; leur condition en 1830, 56 ; pourquoi le paupérisme est devenu moins supportable, 57 ; le patron ne se soucie plus de la vie de l’ouvrier et le lendemain est incertain, 58 ; les conditions de la vie, 58 et sq : la misère, 68 et sq ; la nourriture des classes ouvrières, 70 ; mauvaises conditions du travail, 71 ; surpeuplement et insalubrité des logements, 72 et sq : la législation les asservit, 74 ; l’ivrognerie, 75 ; les mœurs, 76 ; premiers germes de libération, 79 ; leur action et leur organisation de 1830à 1834, 225 et sq ; leur échec aux élections à la Constituante en 1848, IX, 47 ; ils inquiètent la province et manœuvrent mal à Paris, 48 ; leur situation sous l’Empire ; ce que l’Empire faisait pour eux, X, IV ; discussion sur leur attitude au Coup d’État, V : politique de Louis-Napoléon à leur égard, au moment du 2 décembre, 7 : leurs associations dissoutes après le Coup d’État ; 34 ; leurs sentiments républicains sous l’Empire, 90 ; les conditions du travail et de la vie sous le second Empire, 172 et sq : la misère dans les grands centres, 179 ; le gouvernement craint des émeutes de la faim, 180 ; l’enquête de 1855, 180 ; sentiments nouveaux qu’ils éprouvent à l’égard de leurs employeurs ; ils comprennent la lutte des classes, 182 ; la solidarité de classe se fait jour dans les consciences, 184 ; elle s’affirme par les tentatives d’associations professionnelles et les candidatures ouvrières, 187 et sq ; leurs manifestes contre la guerre en 1866, 267 ; leur condition pendant le siège de Paris, XI, 262 ; leur réorganisation vers 1874, XII, 132.

Ouvriers agricoles, VI, 235 ; de 1800 à 1807, 264.

Ouvriers du bâtiment. (Cf. Maçons). Leur lutte à Paris au sujet des heures de travail en 1806, VI, 236 et sq.

Ouvriers étrangers. Leur nombre sous le premier Empire, VI, 520 et sq.

Ouvriers en voitures, X, 179.

Ovalistes. Leur grève de 1869, X, 350.

Owen (Robert), VIII, 490 ; 562 ; IX, 22 ; 231 ; 233 ; 239 ; 289.

Ozanam, VIII, 336.