Le Littré de la Grand’Côte/3e éd., 1903/Carmes déchaux
CARMES DÉCHAUX. — C’est le vrai mot, et non Carmes déchaussés, comme le prétend à l’aveuglette le bonhomme Molard. À Lyon, il y avait les Grands Carmes ou Carmes Chaux (quoique les facétieux du temps prétendissent qu’ils l’étaient tous plus ou moins) et les Carmes Déchaux dont le couvent était à Montauban, au-dessus de Pierre-Scize.