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Le Littré de la Grand’Côte/3e éd., 1903/Carmes déchaux

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Chez l’imprimeur juré de l’académie (p. 77).
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CARMES DÉCHAUX. — C’est le vrai mot, et non Carmes déchaussés, comme le prétend à l’aveuglette le bonhomme Molard. À Lyon, il y avait les Grands Carmes ou Carmes Chaux (quoique les facétieux du temps prétendissent qu’ils l’étaient tous plus ou moins) et les Carmes Déchaux dont le couvent était à Montauban, au-dessus de Pierre-Scize.