Le Littré de la Grand’Côte/3e éd., 1903/Larmier
LARMIER, s. m. — Soupirail de cave (voy. abat-jour). — De lacrymarium. Pas douteux qu’à l’origine le larmier ne fût un trou destiné à évacuer les eaux pluviales (comp. larmier, moulure pour les eaux pluviales). Le sens s’est ensuite étendu à des trous qui n’avaient pas la même fonction, tels qu’un soupirail.