Lettres à Frederic Donnadieu.djvu/12

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XII


Pavillon Peiresc, dimanche matin (P.-S. à ma lettre d’hier 26 septembre 96.)


Pardonnez, s. v. p. au phs distrait de tous les hommes d’avoir oublié de vous envoyer ses remerciements et ses félicitations au sujet de votre inscription si heureusement déchiffrée[1]. J’ai transmis l’Éclair à un membre de l’Institut qui est un des premiers épigraphistes de notre époque, mon cher confrère et ami M. Héron de Villefosse, Je suis sûr que ma communication lui fera grand plaisir et qu’il sera complètement d’accord avec vous sur l’interprétation et la restitution du souvenir lapidaire laissé chez la fille de la grande Rome, dans cette petite Rome qui s’appelait Julia Beterra.

  1. Il s’agit d’une inscription qui venait d’être trouvée à Béziers, et dont on lira le texte et l’interprétation par M. Héron de Vittefosse, dans la lettre qui suit.