Lettres de Jules Laforgue/153
Lettres. — II (1883-1887)
Texte établi par G. Jean-Aubry, Mercure de France, (Œuvres complètes de Jules Laforgue. Tome V, p. 216).
CLIII
À XAVIER PERREAU[1]
[10 août 1887.].
Cher monsieur Perreau,
Sans aller à Versailles et en écrivant au besoin un petit mot, pourriez-vous savoir si dans la maison en question (Versailles) on nous prendrait pour 15 jours — à quel prix — si l’on pourrait avoir la pension et à quel prix (deux personnes) ? Je vous serais bien obligé.
Votre, je vous prie,
Jules Laforgue.
8, rue de Commaille.
8, rue de Commaille.
- ↑ Carte postale. Édouard Dujardin avait demandé au musicien Xavier Perreau, avec qui il était très lié et qui venait de faire un séjour à Versailles et y retournait fréquemment, s’il pourrait y trouver pour Laforgue un appartement où celui-ci respirerait un air pur. (Note de M. Édouard Dujardin.)
Le samedi 20 août 1887, Jules Laforgue s’éteignait à Paris, 8, rue de Commaille, quatre jours après le vingt-septième anniversaire de sa naissance.