Page:Œuvres d’Éphraïm Mikhaël (Lemerre, 1890).djvu/20

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(Bruxelles, 1884-1886), La Pléiade (Paris, 1886), La Jeune France (Paris, 1886-1887). Sous le titre L’Automne, il a réuni les poèmes compris dans la présente édition entre les pièces intitulées L’Automne et Conseil du Soir, inclusivement.

En 1888, il écrivit, en collaboration avec M. Bernard Lazare, une légende dramatique en trois actes, La Fiancée de Corinthe.

Il fit représenter au Théâtre Libre, le 10 décembre 1888, une féerie en un acte, Le Cor fleuri.

En 1889, le jury du concours de poésie institué par L’Écho de Paris lui avait, à l’unanimité, décerné le premier prix pour le poème intitulé Florimond.

En outre, des poésies, des poèmes en prose et des articles de critique ont paru dans diverses revues, et les poèmes en prose La Captive, Le Magasin de Jouets, La Jonque, Royauté, Miracles, L’Évocateur, Le Solitaire, ont été traduits en anglais par M. Stuart Merrill et publiés dans le recueil Pastels in prose.

Enfin Éphraïm Mikhaël laisse un drame lyrique inédit, Briséis, écrit en collaboration avec M. Catulle Mendès.

Il est mort le 5 mai 1890.

Il est mort tôt, trop tôt pour ceux qui l’aimèrent,