Page:Œuvres d’Éphraïm Mikhaël (Lemerre, 1890).djvu/219

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pacifiquement à leur course ; les brises du ciel murmuraient des paroles de bienvenue ; des formes lumineuses et blondes se penchaient sur les nuées et, à travers les brumes d’une étrange aurore, le solitaire vit briller enfin au plus lointain des cieux la lumière si longtemps cherchée, la lumière des yeux fraternels.

Novembre 1889.