Page:Œuvres de Chapelle et de Bachaumont.djvu/265

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mais, selon mon cœur, je ne souhaite point que vous plaisiez à d’autres qu’à moi. Ce n’est pas que j’aie rien à craindre de ce côté-là : car, comme je vaux bien deux douzaines de chiennes, je pense qu’il ne vous resteroit guère de chose, à vous qui, au plus, n’en pouvez aimer que cinq ou six à la fois.