Page:Œuvres de Descartes, éd. Cousin, tome I.djvu/240

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dentes qui puissent tomber en la connoissance de l’esprit humain, et c’est tout ce que j’ai eu dessein de prouver dans ces six Méditations ; ce qui fait que j’omets ici beaucoup d’autres questions, dont j’ai aussi parlé par occasion dans ce traité.


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