Page:Œuvres de Descartes, éd. Cousin, tome V.djvu/525

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Que ces moins petites ne peuvent passer au travers de plusieurs corps, et que cela rend ces corps froids 162
Ce qu’on peut concevoir pour le chaud et pour le froid. ibid.
Comment les corps durs peuvent être échauffés. 163
D’où vient que l’eau est communément liquide, et comment le froid la rend dure. ibid.
Comment la glace conserve toujours sa froideur, même en été, et pourquoi elle ne s’amollit pas peu à peu comme la cire. 164
Quelles sont les parties des sels. 165
Quelles sont les parties des esprits ou eaux-de-vie. ibid.
Pourquoi l’eau s’enfle en se gelant. ibid.
Pourquoi elle s’enfle aussi en s’échauffant. ibid.
Pourquoi l’eau bouillie se gèle plus tôt que l’autre. ibid.
Que les plus petites parties des corps ne doivent point être conçues comme des atomes, mais comme celles qu’on voit à l’œil, excepté qu’elles sont incomparablement plus petites ; et qu’il n’est point besoin de rien rejeter de la philosophie ordinaire pour entendre ce qui est en ce traité. 166


DISCOURS SECOND.
DES VAPEURS ET DES EXHALAISONS.


Comment le soleil fait monter en l’air plusieurs des petites parties des corps terrestres. 167
Quelles sont les vapeurs. 168
Quelles sont les exhalaisons. ibid.
Qu’il monte en l’air beaucoup moins d’exhalaisons que de vapeurs. ibid.
Comment les plus grossières exhalaisons sortent des corps terrestres. 169