Page:Œuvres de François Villon Thuasne 1923.djvu/144

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Autre ballade : Quoy que tiennent belles langagieres (89 v°).

Autre ballade : Se j’ayme et sers la belle de bon hait (fol. 90 v°).

Ballade : Car ou soies porteur de bulles (fol. 91).

Epitaphe de Villon : Cy gist et dort en ce sollier (fol. 91 v°).

Ballade : A Chartreux aussi Celestins (fol. 91 v°).

Autre ballade de son apel : Que vous semble de mon appel (fol. 93).

Tetrastique quand il fut jugé : Je suis François dont ce me poise (93 v°).

Epitaphe du dit Villon : Freres humains qui aprez nous vivez (93 v°).

Le debat du cuer et du corps dudit Villon : Qu’est ce que j’oy… (fol. 94).

La requeste que bailla le dit Villon a messeigneurs de Parlement : Tous mes cinq sens… (fol. 95).

La requeste que bailla le dit Villon a monseigneur de Bourbon : Le mien seigneur et prince redoublé (fol. 96).

Ballade : Tant grate chievre que mal gist (96 v°).

Autre ballade : Je congnois bien mouches en lait (97 v°).

Ballade : Rencontré soit de beste feu gectant (fol. 98).

Cy finent les ballades de Villon.

V. — Ce ms. des poésies du duc d’Orléans provient de la bibliothèque du duc de la Vallière d’où il est passé en 1784, dans celle du Roi. Il porte aujourd’hui le n° 25458 du fonds français de la Bibl. nationale. Il contient la Ballade dite du concours de Blois (n° 113, fol. 163 1°) et le Dit de la naissance Marie (n° 109, fol. 154 r°). Schwob a cru que ces deux pièces étaient écrites, dans le ms., de la main de Villon, en se basant sur l’orthographe et sur la couleur de l’encre (Revue des Deux Mondes, 1892, p. 407, et, ensuite, dans les différentes éditions du Spici-