Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 3, Lemerre, 1890.djvu/237

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à part.
Quel bon cœur ! Je me sens le coin de l’œil mouillé,
Et par l’émotion j’ai le nez chatouillé.
––Il éternue.

Marinette.
J’entends éternuer, et je ne vois personne !

Géronte.
C’est moi qui…

Marinette.
C’est moi qui…Mais, quelle est cette voix qui résonne ?
Un fantôme, un esprit !…

Géronte.
Un fantôme, un esprit !…Eh ! non ; c’est moi.

Marinette.
Un fantôme, un esprit !… Eh ! non ; c’est moi.Qui donc ?

Géronte.
Géronte.

Marinette.
Géronte.Et votre corps, où donc est-il ?

Frontin, décoiffant Géronte.
Géronte. Et votre corps, où donc est-il ?Pardon !
Monsieur, vous oubliez que pour être visible
Il faut vous décoiffer.

Marinette.
Il faut vous décoiffer.