Page:Œuvres de Walter Scott, Ménard, traduction Montémont, tome 6, 1838.djvu/433

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

qu’il désirait. » L’auteur laisse à faire l’application de cette anecdote ; il ajoute seulement, que bien qu’il ignorât les rapports de certaines fictions de son roman avec des événements réels, il se résout à croire qu’il y a pensé, ou du moins qu’il y a rêvé pendant qu’il composait Guy Mannering.


FIN DE GUY MANNERING.