Page:Œuvres mêlées 1865 III.djvu/87

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ici. Pour les airs et ce qu’il y a de nouveau, je ne lui veux pas coûter tant de ports : mais ne m’envoyez rien qui ne vous ait fort plu, soit en musique, soit en autre chose. Pour ces bagatelles, où je me suis amusé quelquefois, je n’ai rien que la moitié d’un discours qui est encore tout brouillé. Il y a une année qu’il me prit envie de traiter l’intérêt sale et vilain, la vertu toute pure et le sentiment d’un homme du monde, qui fait le tempérament, et qui tire de l’un et de l’autre ce qui doit entrer dans le commerce. J’avois laissé ces papiers en Angleterre, que j’ai trouvés perdus, à la réserve de quelques périodes du dernier Écrit. Je tâcherai de les rajuster ; mais comme elles ont trop de liaison avec les autres qui sont perdus, je ne crois pas que cela puisse être fort bien[1].

  1. En effet, ce fragment, recueilli par Des Maizeaux, est fort médiocre, et je l’ai supprimé.