pères (p. 64), et les trois derniers paragraphes du• schemoné-esréh ordinaire (p. 42 n° 46).
XIX.
psaume 104.ברכי נבשי
(Se dit en hiver.)
C’est avec un sent profond que le rituel a .consacré au jour commémoratif de la création ee psaume qui en trace un׳ tableau sublime.
Bénis!,Éternel, ô mon âme!
Mon Bi'eu, qae tu es grand!
Ta es revêtu de magnificence et de majesté ,
Ta t’enveloppes de lumière comme d’un manteaa,
Tu étends les cieux comme un rideau,
Tu élèves une demeure avec la voûte des eaux:
Les nuages sont ton char triomphal,
Tu marches sur les ailes du vent.
Les tempêtes sont tes messagers,
Les flammes et les éclairs , tes ministres.
Tu as fixé la terre sur ses bases,
Ses fondements sont à jamais inébranlables.
Tu as couvertTahîme d’un rideau,
Fixé, les eaux sur les montagnes.
A ta voix elles ont fui;
Au bruit de ton tonnerre, elles se sont écoulées.
Elles ont franchi les montagnes,
Se sont précipitées dans les vallées,