Page:Abbadie - L’Art de se connaitre soi-meme.djvu/206

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Îmis qu’elle ne Hit autre chose.en èftet/ inon qu’il y a en nous des connoìffances efficaces, & d’autres qui demeurent ians esset. •!"• îrnoq jio.’ », •• i ..., u Si l’on y regarde de prés, or> trouvera qu’une connoissance est ordinaire-* ment speculative, ou practique -, selour, qu’elle interesse ou qu’elle «interesse point nôtre cœur. Quand nous considerons la verité dans les sciences, nous rieq avons ordinairement qu’une conubiffarvce speculative. Mais lors, que nous la considerons dans des objets qui nous interessent, tels que-font les affaires de la vie civile, ou les matieres de la Relìgion, nous fa haïssons iì elle est facheuse, Ou noui Faymons fi elfe est agreable, & elle nous détermine à laction ou x la suite, selon, qu’elle porte l’un ou l’autre de.ces deux caractères. Voyfa cé quècfest^aèlè practique des Schofestique&i c’est uné^verité qui a de la force. Or la verité tire toujours fa force de nôtre cœur. > ~.> iw.jiwiq i r ; lo ersèt’tì est de la-luniiere dé Peri** tendement, coinmede cellede la na-’ ture. Elle éclaire tout i nuis elle né