Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/162

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des armes ; mais il est beau de tomber ainsi ; c’est un Waterloo. Nous sommes encore des lurons, quoi qu’on dise !

Ainsi parlaient le respectable maître Clopineau, et le digne maître Labrique, et l’onctueux maître Bontoux, et tous les nestors du notariat. Les jeunes maîtres tenaient à peu près le même langage, avec certaines variantes inspirées par la jalousie :

— Nous ne voulons pas renier maître L’Ambert : il nous honore, assurément, quoiqu’il nous compromette un peu ; — chacun de nous montrerait autant de cœur, et peut-être moins de maladresse. — Un officier ministériel ne doit pas se