Page:About - Le Nez d’un notaire, coll. Nelson.djvu/225

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M. Bernier la ramassa, l’examina à la loupe et crut voir que l’or était comme argenté aux environs de la cassure.

— Diable ! dit-il. Est-ce que Romagné aurait fait des sottises ?

— Quelles sottises voulez-vous qu’il fasse ?

— Il est toujours chez vous ?

— Non ; le drôle m’a quitté. Il travaille en ville.

— J’espère que, cette fois, vous avez pris son adresse.

— Sans doute. Voulez-vous le voir ?

— Le plus tôt sera le mieux.

— Il y a donc péril en la demeure ? Cependant je me porte bien !