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QUELQUES REMERCIEMENTS

fines. Tous ceux qui s’occuperont de cette question ne pourront se dispenser de lire ces quelques pages, écrites en cette langue nerveuse, coquette et narquoise, dont l’auteur détient jalousement le secret. M. Veber y a dit, avec concision, tout ce que ses successeurs ne feront que développer, sans le charme de sa grâce ironique. Je remercie encore M. Jules Renard, M. Tristan Bernard et M. Charles Mougel, dont les conversations me furent si utiles, et M. Henry Gauthier-Villars, qui voulut bien me communiquer ses excellentes traductions de Mark Twain et son étude sur Paul Masson.