Page:Ackermann - Contes et Poésies, 1863.djvu/19

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Ah ! si la Muse était tant soit peu fée,
Chanter, vraiment, serait emploi des dieux ;
Point ne pourrait le plus petit Orphée
La bouche ouvrir, qu’on ne vît de tous lieux
Courir les gens. Oui, nous ferions merveille,
Et sous nos pas la foule toute oreille