Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/165

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Dixième artillerie du train,
Nous partons demain ;
Nous partons demain,
Le sabre à la main,
Jusqu’en Tunisie,
Rejoindr’ nos amis,
Pour les soulager
Ces braves, ces braves,
Pour les soulager,
Ces braves guerriers.

Le tambour bat,
Ce jeune et ce jeune.
Le tambour bat,
Ce jeune soldat.

Ya-t-un navire à Bordeaux.
Nous boirons d’ce vin nouveau,
Gai, gai, nous v’là-t-en ville,
Bon, bon, nous arrivons.