Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/67

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Oui, jusqu’à ce que mes enfants soient réveillés.

— Voulez-vous m’en donner un ?

— Je vous en ai donné un l’autre jour, qu’en avez-vous fait ?

— Je l’ai mis sur le bord du puits, le loup l’a mangé.

— Fallait courir après.

— J’ai tant couru, tant couru que je me suis cassé une jambe (bis).

— Faut aller au Reboutou.

Le Reboutou ne sait que me faire.

— Faut aller à la Reboutouse.

— La Reboutouse ne sait que me faire.

— Prenez le plus vilain, laissez-moi le plus beau.

Le chat saisit un enfant qui prend sa place, et on recommence toujours en clochant.

La Dragonne. — (Jeu de l’Épingle)

Ah ! Madame, venez compter,
Et comptez combien nous sommes,