Page:Aicard - Les Jeunes Croyances, 1867.djvu/55

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Que si, par un beau jour, perdu dans une foule,
Car nous ne savons pas où le hasard nous roule,
Par un jour envié vous passiez devant moi,
J’irais droit jusqu’à vous pour vous dire : « C’est toi ! »

Nîmes, 1864.