Page:Aimard - Les Chasseurs d’abeilles, 1893.djvu/317

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
313
LES CHASSEURS D’ABEILLES


Il bondit comme un jaguar, saisit le vaquero à la gorge.

— Je crois que oui, seigneurie.

— Ah ! ah ! ah ! et quel est cet endroit, compagnon ?

— Mon Dieu ! seigneurie, peut-être me trompé-je, mais à mon sens il serait malheureux que, faute de témoins, un secret aussi merveilleux que celui de ce remède se perdît. En conséquence, je désirerais vous conduire à un endroit où nous en trouverions.