Page:Aimard - Les Trappeurs de l’Arkansas, 1858.djvu/213

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— Voilà qui est convenu, dit l’Élan-Noir en souriant, maintenant, allons voir les castors.

Ils reprirent leur marche, et au bout de quelques minutes, ils arrivèrent sur la lisière de la forêt.

Alors le trappeur s’arrêta en faisant un geste à la jeune fille, pour lui recommander l’immobilité, et, se tournant vers elle :

— Regardez, lui dit-il.