Page:Aimard - Par mer et par terre : le corsaire.djvu/370

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dernières lignes bleues de l’horizon, un sanglot douloureux déchira la gorge de la jeune femme ; elle tomba à demi pâmée dans les bras de son mari, en lui disant avec une expression impossible à rendre :

— Je n’ai plus que toi, maintenant Oh ! aime-moi bien, pour remplacer dans mon cœur la mère et le père que je quitte !

Puis, après un instant, elle sourit à travers ses larmes, car elle avait foi en son amour !


FIN DU CORSAIRE.