Page:Aimard - Par mer et par terre : le corsaire.djvu/87

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— J’allais vous prier de m’y conduire.

En s’éveillant, Olivier aperçut Ivon Lebris, assis à son chevet et guettant son réveil.

Les deux amis s’embrassèrent.

Ivon avait déjà quitté l’uniforme des matelots français ; il portait un costume à peu près semblable à celui d’Olivier.

Les jeunes gens allaient entamer le chapitre des confidences lorsqu’un domestique entra et leur annonça que M. et Mme Maraval les attendaient pour se mettre à table.

Olivier se hâta de terminer sa toilette, puis les deux jeunes gens se rendirent, de compagnie, à la salle à manger, où le déjeuner était servi et les attendait.