Page:Alcott - La Petite Rose ses six tantes et ses sept cousins.djvu/159

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« rose » étaient superbes et je vous remercie de tout mon cœur d’être venu me chercher. Je suis sûre que j’en rêverai, » ajouta-t-elle avec un sourire.

Et elle s’endormit, un peu plus tard, se disant :

« C'était plus difficile que je ne croyais, mais je ne regrette rien et je ne désire pas d'autre récompense que le plaisir que j'ai donné à Phœbé ! »