Page:Aldebrandin de Sienne-Le régime du corps, 1911.djvu/43

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jadiz maistre Alebrandin, medecin du roy de France. — Dieu qui par sa grant puissance. F°109r° : si sont ceulx des yeulx et du visaige. Explicit. Le copiste a sauté toute la quatrième partie, laPhisanomie, se contentant d'en transcrire seulement le premier chapitre-: «  Pour ce que donne vous avons. », et le dernier: «  Il convient qui juger veult. » ARSENAL, 2510 (Ms. C) I. - Ms. de lafin du XIIIe siècle, provenant du fonds de Paulmy, composé de 61 feuillets de parchemin mesurant 232 millimètres sur 165; écriture go- thique ordonnée en deux colonnes de 26 lignes. Incipit, f° I : En cest livre pores apenre et savoir, chascuns qui sens et discré- tion a en soi, cornent il se doit maintenir et vivre en santé, les maladies eskiveer de ci a la mort naturel selonch ce que vos porres oïr Ci apries el prologue. — Dieus qui par sa digne grant poissance le monde estaubli. Explicit, f° 57 r° : Et li ensengnement qui sont li plus creable ce sont cil des iex et dou visage. — Ex.pli.chit. — Ichi endroit fine li livres qui doit iestre apieles la flours et la rose de toute medecine de fisique. Et le fist maistre Aldebrandins de Sciane pour le bone contesse de Prouvence la quele fu mere as .iiij. roines, l'une de France, l'autre d'Alemagne, d'Engleterre et de Sezile. Suivent quelques feuillets contenant diverses recettes mé- dicales. Deux feuillets (fos 33 et 34) ont été ajoutés, tout au début du XVIe siècle, par Jehan Neriot, possesseur du livre, lequel I. Voy. pour tous ces mss.le Catalogue des mss. de la Bibliothèque de l'Arsenal, dressé par M. Henry Martin.